Title: Evidence-Based Dentistry
1PART 2
EVIDENCE BASED DENTISTRY
F. MAATOUK, A. BAAZIZ, K. ARGOUBI, F. MASMOUDI,
H. GHEDIRA, B. JMOUR, A. ABID Odontologie
Pédiatrique. Faculté Médecine Dentaire. MONASTIR
2CEBD Centre for Evidence-Based Dentistry
http//www.cebd.org/
3www.ebd.ada.org
4International Centre for Evidence-Based Oral Health
UCL Eastman Dental Institute, London, UK
http//www.eastman.ucl.ac.uk/pdarkins/iceph/
20/10/2020
5www.astdd.org
Règles de Bon Usage
6http//www.guideline.gov.
20/10/2020
7(No Transcript)
8 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
3ème ETAPE
- L'évaluation critique de la validité et de
l'utilité des résultats trouvés ( niveau de
preuve ). - Les recherches médicales publiées peuvent manquer
de pertinence ou de rigueur méthodologique pour
être exploitées comme bases de décisions
cliniques - Nécessité dune évaluation critique de la
validité (exactitude) et de la pertinence
(utilité dans lexercice quotidien) des résultats
de la recherche. ( niveau de preuve )
9 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
Gradations des recommandations
Échelle Définition
A Données disponibles justifiant une recommandation de niveau élevé
B Données disponibles justifiant une recommandation de niveau intermédiaire
C Données disponibles insuffisantes pour justifier une recommandation
10 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- Niveau de preuve type de données utilisées dans
les recommandations - a Données publiées dans un journal scientifique
avec comité de lecture - b Données présentées dans un congrès
scientifique avec comité de sélection, et
disponible sous forme de résumé.
Niveau de preuve selon le type de données Niveau de preuve selon le type de données
Échelle Définition
I a, b Au moins 1 essai clinique randomisé - méta-analyses d'essais randomisés.
II a, b Essais cliniques non randomisés - Cohortes ou études cas-contrôle - Méta-analyse de cohortes ou études cas-contrôle
III Analyse d'experts sur la base d'autres données disponibles.
11 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
4ème ETAPE
- Mise en application des résultats de l'évaluation
dans la pratique clinique pour une prise en
charge personnalisée de chaque patient. - Lavant-dernière étape de lEBD est lintégration
des preuves de lévaluation dans la pratique
clinique courante. - Celles-ci ne sont applicables à un patient donné
que sil est semblable aux patients de létude. - Il convient dévaluer les risques et les
bénéfices potentiels du traitement dans chaque
cas particuliers. (Sarasin et Gaspoz, 1997).
12 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
Dans le cabinet dentaire, ces recommandations
doivent être modulées avec les besoins et les
préférences du patient. Seul juge, le dentiste a
la responsabilité dévaluer si les
recommandations proposées sappliquent
scrupuleusement à son patient.
13 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
5ème ETAPE
- Evaluation de la démarche Audit des décisions
prises.
Evaluating Performance auditing evidence-based
decisions. It appears logical that healthcare
professionals would be prompted to modify their
practice if given feedback that their clinical
practice was inconsistent with that of their
peers or accepted guidelines. One such strategy
is audit and feedback continues to be widely used
as a strategy to improve professional practice.
Newman MG, Weyant R, Hujoel P Improves grading
system and adopts strength of recommendation
taxonomy grading (SORT) for guidelines and
systematic reviews. J Evid Based Dent Pract
20077147-150.
Il paraît logique que les médecins dentistes
doivent rapidement changer leur pratique
14 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- Evaluation de la démarche Audit des décisions.
5ème ETAPE
15(No Transcript)
16 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- Le scellement des puits et fissures (SPF).
- Omar, enfant âgé de 8 ans vient nous consulter en
denture mixte, on relève.des récidives de carie,
des amalgames défectueux, les premières molaires
permanentes 36,46 présentent des sillons
infiltrés. -
- Problème clinique posé les obturations
préventives sont-elles indiquées ?
17 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- A. Les questions que lon se pose
- 1. Doit-on placer le SPF, uniquement sur les
puits et fissures indemnes de carie ou peut-on
sceller aussi les sillons avec carie de d'émail ?
- 2. Doit-on sceller tous les puits et fissures
indemnes de carie? - 3. Doit-on appliquer le SPF, uniquement au
courant de la première année suivant léruption
de la dent?
18 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- A. Les questions que lon se pose (suite)
- 4. Peut-on sceller efficacement les puits et
fissures vestibulaires et linguaux ? - 5. Peut-on appliquer le SPF juste après une
application de fluor? - 6. Est-ce que les dernières modifications de la
prévalence de carie vont affecter l'utilisation
du SPF ? - 7. Quelles sont les nouvelles découvertes en
matériaux dentaires qui ont pu améliorer
l'efficacité du SPF?
19 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- B. la recherche dans la littérature
- Lobjectif est de passer en revue les points
largement admis avant sur lutilisation du SPF à
la lumière des conclusions les plus
contemporaines de la littérature pour abandonner
les idées et les mythes persistants et qui
doivent être changés selon les nouvelles
recherches. - Sources 1 livres, revues disponibles à la
bibliothèque - Sources 2 Internet
- Mots clés MeSh Pit and fissure sealants, child,
glass ionomer, preventive dentistry, caries-risk
- Moteurs utilisés Medline, Sciences Direct,
Scholar Google1093 ref.
20 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- C l'évaluation critique de la validité et de
l'utilité des résultats trouvés ( niveau de
preuve ) - Les recherches conduites par (Siegal et al.
Fiegal et al.) ont amenée la pose de
recommandations qui sont une ressource pour les
dentistes dans la prise de décision clinique. - Ces recommandations cliniques doivent être
modulées avec le jugement du praticien et les
besoins et préférences du patient. - Siegal MD. Workshop on Guidelines for sealant
use. J. Publ health Dent 1995 55 (special
issue) 259-311. - Fiegal, Donly Oit and fissure sealants, Pediatric
dentistry. 2006 28.2143-150.
21 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- Recommandations daprès les récents rapports
de la littérature -
- 1. Le SPF placé des professionnels parfaitement
formés et entraînés à cette technique est sans
risque, sûr et efficace. - Son efficacité est augmentée par une bonne
technique, un suivi approprié et éventuellement
libération de fluor. - 2. Le bénéfice du SPF est augmenté par son
application sur des surfaces jugées à haut risque
ou des surfaces avec carie débutante son
placement sur des caries d'émail limitées aux
puits et aux fissures amène une inhibition de
leur progression. - 3. Le risque carieux et donc le bénéfice
potentiel du SPF peut exister à n'importe quel
âge, sur n'importe quelle dent avec des puits et
fissures profonds (temporaires ou permanentes
chez des enfants ou des adultes).
22 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- Recommandations (suite)
-
- 4. La technique du SPF doit inclure le brossage
des surfaces et quelque fois une enamelo-plastie
minimale. - 5. La pose dun liant hydrophile à faible
viscosité incorporé dans le sealant ou au dessous
peut améliorer la longévité et l'efficacité à
long terme du SPF. - 6. Les verres ionomères peuvent être employés en
tant que sealant transitoire et peuvent s'avérer
efficaces à plus long terme en tant que sealant. - 7. Les professionnels doivent être avisés des
nouvelles méthodes préventives efficaces contre
la carie des sillons, y compris les évolutions
des matériaux dentaires ou de la technologie.
23 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
Omar, 8 ans
30 Décembre 2008
7 Février 2009
24 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- La polémique sur la toxicité de lamalgame
dargent - Une femme de 45 ans vient vous consulter, elle
souffre depuis 3 mois de céphalées, le bilan que
lui a demandé son médecin traitant ne montre rien
de particulier. - Une semaine avant, elle a suivi à la télé un
documentaire sur la toxicité de lamalgame
dargent.
- Elle vous demande de la débarrasser des 7
obturations à lamalgame dargent quelle
présente sur - 15, 16, 35, 36, 37, 46 et 47.
25 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- A. Les questions que lon se pose
- 1. Qu'est-ce qu'un amalgame dargent?
- 2. Le mercure est-il une substance toxique ?
- 3. Peut-il provoquer des réactions pathologiques
? - Quels en sont les symptômes ?
- 4. Existe-t-il des contre-indications à
l'utilisation des - amalgames?
-
-
26 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
A. Les questions que lon se pose (suite) 5.
L'amalgame dentaire est-il sans danger chez les
femmes enceintes et allaitantes
? 6. Faut-il remplacer les obturations à
l'amalgame ? 7. Ya-t-il des recherches en cours
sur les risques liés à l'usage de l'amalgame? 9.
Quelle est la position des pouvoirs publics en
Tunisie ? et à l'étranger ?
- Mots clés MeSh dental amalgam, toxicity,
mercury - Moteurs utilisés 239 ref.
27 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- 1. Qu'est-ce qu'un amalgame, de quoi est-il
composé ? - L'amalgame d'argent est un produit composé
d'environ 50 de mercure. - Ce produit est utilisé depuis 150 ans environ
sans entraîner de problème médical dûment
identifié. -
- 2. Le mercure est-il une substance toxique ?
- Absorbé à des doses élevées, le mercure est un
poison mais ses effets toxiques n'apparaissent
que pour des doses très élevées ( gt0,47µg/kg/j ?
plus de 10 volumineuses obturations). - Aucun fait pathologique grave n'a été constaté
et prouvée scientifiquement. - Les sujets les plus exposés restent les
dentistes, chez qui on n'a pas identifié de
maladie professionnelle liée au mercure. - Cependant, rejeté dans la nature, le mercure
peut avoir des répercussions défavorables sur
l'environnement. C'est pourquoi des mesures de
récupération et de retraitement des déchets
d'amalgame ont été prises.
28 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- Le mercure peut-il provoquer des réactions
pathologiques ? - OUI! Mais elles sont rares et généralement de
faible importance avec un taux probablement
compris en 0,04 et 0,00001 alors que l'usage
de résine composite, présente encore à ce jour,
au moins 40 fois plus de risque allergique que
celui de l'amalgame. - 4. Quels en sont les symptômes ?
- Neurotoxicité, réactions allergiques, lichen
plan, eczéma péribuccal, brûlures et atteinte
rénale (glomérulaire). - 5. L'amalgame dentaire est-il sans danger chez
les femmes enceintes et allaitantes ? - Des quantités infimes de mercure (µg) diffusent
à partir des obturations et passent la barrière
placentaire sans danger certain pour l'embryon ou
le fœtus. - Cpdt la prudence suggère de différer pendant
cette période la pose et srt la dépose
d'obturations à base d'amalgame d'argent. - Les mêmes raisons imposent ces mêmes limitations
temporaires aux femmes qui allaitent. -
29 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- 6. Existe-t-il des contre-indications à
l'utilisation des amalgames ? - Oui. Seules les allergies à certains métaux et
les atteintes glomérulaires constituent des
contre-indications. - Localement, éviter tout phénomène de bimétallisme
et la création de micro-piles (au contact de
couronnes ou d'obturations métalliques). -
- Faut-il remplacer les obturations à l'amalgame ?
- Il n'existe aucune raison autre que le
délabrement des obturations à l'amalgame ou la
récidive des atteintes carieuses pour décider de
remplacer systématiquement les amalgames. - L'amalgame reste le meilleur matériau de
restauration dentaire pour les molaires et les
prémolaires. Il assure de façon satisfaisante le
contrôle de la plaque bactérienne (biofilm). Sa
résistance à la pression et à l'abrasion lui
permet de répondre convenablement aux
sollicitations mécaniques lors de la mastication.
- La dépose de tout amalgame peut entraîner une
augmentation temporaire de la teneur en mercure
dans l'organisme. Cette dépose ne peut être
acceptable que si une raison médicale le justifie
(digue, aspiration, masque). -
30 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
-
- 8. Quelle est la position des pouvoirs publics en
Tunisie ? et à l'étranger ? - Selon l'OMS, la FDA, la Haute Autorité de Santé
Fr, lAFSSAPS les conclusions publiées après
analyse de l'ensemble des données scientifiques
n'ont pas envisagé d'autres restrictions à son
emploi que celles qui ont été énoncées (allergie,
bimétallisme, pb rénaux). - A ce jour, seuls les pays nordiques (Norvège,
Danemark, Suède) en ont interdit lusage à partir
de 2008 pour protéger lenvironnement, des
recommandations de restriction sont effectives
dans dautres pays (Suède, Allemagne). - En Tunisie, il y a eu une thèse en médecine à
Monastir en 2008 sur la toxicité de lamalgame
pour le personnel de santé (2 cas suspects). - En 2007, les EOM séminaire utilisation
raisonnée de lamalgame dargent (Pr Toumelain) - Une thèse en Médecine Dentaire sur les déchets
damalgame est en cours - Tous les fauteuils dentaires ont un séparateur
damalgame mais rien nest fait pour récupérer
ces déchets
31- En conséquence et à défaut de nouvelles études
multicentriques venant infirmer les avantages des
amalgames, les règles de prudence doivent prendre
en considération les cas suivants allergie,
lichen plan, glomérulonéphrite, eczéma
péribuccal, et femme enceinte.
- En ce qui concerne la patiente
- La rassurer, la prévenir que la dépose est
encore risquée. - Remplacer les amalgames défectueux par des RC si
le cas sy prête. - Demander des analyses urinaires de Hg.
- Ladresser à un neurologue
32(No Transcript)
33 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
Region Name Region Name Number of Studies
World (map) World (map) 70353
Africa Africa 1559
01 South Africa 907
02 Egypt 115
03 Uganda 84
04 Kenya 71
05 Tunisia 62
06 Mali 48
07 Malawi 43
34 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- Actuellement la tendance est de plus en plus à
lenseignement cybernétique et à lapprentissage
interactif sur ordinateur. Nombreuses sont les
universités qui favorisent lélaboration de
didacticiels dans toutes les matières, tant
pour lenseignement à distance que pour enrichir
les cours actuels dun volet cybernétique. -
35 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- 1. Give a fish to a man he has food for a
day.Teach a man to fish he learns a skill for
life. - 2. I hear and I forget. I see and I remember. I
make and I learn. - Au lieu de donner à létudiant des
informations mâchées, il faut lui apprendre à
acquérir les info. lui même et à faire un
raisonnement correct. - Insister sur lapprentissage, le savoir faire et
le savoir être plus que sur le simple savoir.
Enseignez un homme à pêcher il apprend une
compétence pendant la vie. Vieux proverbe chinois
Jentends et joublie. Je vois et je me
souviens. Je fais et japprends.
36 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
FMDM
- Réseaux Internet Santé rns et MES
- Abonnement revue en ligne (Sciences Direct,
Hinari) - Amélioration des fonds et des services de la
biblio. - Salles dInternet enseignants étudiants
- PC de bureau et laptops
- Laboratoires Unités de recherches (1 labo 11
UR) - Mastères professionnels
- FMC ()
37 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- Formation des enseignant en Pédagogie
- Projet de réforme du cursus
- Projet damélioration qualité des thèses
- Séminaires Congrès (EOM)
- Audit Institution
- Projet de létablissement
- Programme appui à la qualité (PAQ)
38(No Transcript)
39 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
40 DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
APPROCHE APPLICATIONS FACULTÉ
CONCLUSION
- On ne traite pas des dents dans une bouche
mais un patient qui a des dents - Etre tjs prévento-conscient dans sa démarche
thérapeutique.
41 EVIDENCE-BASED DENTISTRY
Merci de votre attention!
See PART 1
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