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Cours sur le traitement automatique des langues La s

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Cours sur le traitement automatique des langues La s mantique Violaine Prince Universit de Montpellier 2 LIRMM-CNRS Plan de l expos Introduction Les principes ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Cours sur le traitement automatique des langues La s


1
Cours sur le traitement automatique des
languesLa sémantique
  • Violaine Prince
  • Université de Montpellier 2
  • LIRMM-CNRS

2
Plan de lexposé
  • Introduction
  • Les principes
  • Les applications
  • recherche dinformation
  • interprétation de requêtes
  • dialogues finalisés
  • le contrôle de linterprétation morphosyntaxique
  • Conclusion et perspectives

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Introduction
  • Qu est-ce que la sémantique ?
  • affectation d un (ou plusieurs) sens à des
    formes
  • A quoi sert la sémantique ?
  • l utilité dépend du domaine
  • Domaines de la sémantique
  • linguistique
  • logique
  • langages

4
Définitions de la sémantique (I)
  • Autant de définitions que de domaines
  • en logique affectation dune interprétation à
  • un prédicat, une formule, un énoncé
  • en logique classique évaluation à vrai, faux
  • en logique multivaluée évaluation à une des
    valeurs autorisées
  • en logique floue calcul de la valeur
    (numérique) de la fonction de  fitness 

5
Exemples (I)
  • objet (ballon, rouge) évalué à vrai si et
    seulement si
  • objet(x,y) et  ballon  appartient au domaine de
    validité de x
  • et  rouge  appartient au domaine de validité de
    y
  • sémantique vériconditionnelle
  • ne traite pas du rapport avec le monde

6
Exemples (II)
  • objet( ballon, rouge) évalué à  inconnu  en
    logique non monotone
  • si on n a pas, dans la base, objet(ballon,
    rouge), comme une connaissance vraie.

7
Définitions de la sémantique (II)
  • langages de programmation
  • intervient après la vérification morpho-
    syntaxique
  • la sémantique est réalisée par le compilateur ou
    l interpréteur
  • interpréter une instruction revient à
  • vérifier les contraintes d intégrité
  • produire un exécutable

8
Définitions de la sémantique (III)
  • linguistique il existe plusieurs définitions
  • ordonner les significations d un mot (sens du
    dictionnaire)
  • exemple pompe
  • 1. appareil permettant l aspiration dun
    liquide, ex  une pompe de relevage 
  • 2. par extension de 1, dispositif de fourniture
    d essence pour automobile ,  la pompe à
    essence 
  • 3. par extension de 2, représente les propriétés
    de l essence,  le prix à la pompe  
  • 4. par extension de 2, représente le lieu de
    fourniture d essence ,  il y a une pompe pas
    loin  .

9
  • mais aussi ,
  • 5.faste, luxe ,  cérémonie en grande pompe 
  • 6. (familier) chaussures  des pompes en
    simili-crocodile .
  • 7. Exercice physique, parfois d aspect punitif
     vous me ferez 100 pompes 
  • retrouver le (ou les sens) en contexte
  • Je me suis arrêté à la première pompe que j ai
    pu trouver. Jen ai profité pour nettoyer au jet
    mes pompes boueuses, dautant plus que je devais
    assister ensuite à une cérémonie en grande pompe
    à la mairie.

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Quest-ce quun contexte ?
  • En linguistique
  • groupe de mots
  • phrase
  • paragraphe
  • texte
  • mais aussi
  • le sous-ensemble des hypothèses de lauditeur sur
    le monde (Latraverse, 1987)
  • les objets et individus présents dans la
    situation dénonciation ou évoqués par elle
    (Lyons, 1977)

11
Langue
référent objet linguistique
objet référé objet du monde
référé objet mental
monde
individu
triangle aristotélicien
Le contexte dun objet linguistique est composé
1.du co-texte (autres objets linguistiques dans
l entourage) 2.du contexte mental (base de
connaissances) où se trouve le référé 3.du
contexte externe (le monde) où se trouve l objet
référé.
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  • En logique
  • les prédicats du même énoncé
  • les variables liées
  • les valeurs de variables proposées
  • En logique, les contextes mental et externe sont
    confondus avec le co-texte
  • En programmation
  • il existe un  contexte mental  qui pourrait
    correspondre à
  • létat de la base de connaissances
  • létat de la machine

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A quoi sert la sémantique
  • En linguistique
  • mise en rapport des objets de langue avec le
    monde
  • les enfants de Pierre et Marie sont blonds
  • La génération soixante-huit, ce sont les enfants
    de Marx et du Coca-Cola
  • En traitement automatique des langues
  • mise en rapport des objets de langue et dune
     forme  calculable

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Les principes
  • Les modèles
  • de la linguistique
  • de l intelligence artificielle
  • autres modèles en informatique
  • Les modes de résolution
  • Les architectures

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Les modèles
  • Modèles linguistiques pour la sémantique
  • sémantique compositionnelle
  • sémantique différentielle
  • sémantique  interprétative 

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Modèles linguistiques pour la sémantique
  • Sémantique compositionnelle
  • Le sens de la phrase est une composition (plus ou
    moins formelle) des sens des mots
  • si un mot a plusieurs sens, cela génère autant de
    combinaisons possibles
  • le  bon  sens est celui dont la combinaison est
    plausible

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Sémantique compositionnelle
  • Exemple
  •  Je me suis arrêté à la première pompe que jai
    pu trouver. 

lieu appareil chaussure
La condition de  plausibilité  exclut
 faste , et  exercice physique .
18
Sémantique compositionnelle
  • Exemple
  •  Je me suis arrêté à la première pompe que j ai
    pu trouver. 
  • trois  phrases -sens  générées.

QUI DÉTERMINE LA PLAUSIBILITÉ ? UN PROCESSEUR
HUMAIN UNE CONNAISSANCE FORTE DU MONDE
19
Sémantique compositionnelle
  • Exemple
  •  Je me suis arrêté à la première pompe que j ai
    pu trouver. 
  • Une deuxième  passe  de plausibilité supprimera
    le sens  chaussure .

EST PLAUSIBLE CE QUI N EST PAS INCONGRU N EST
PAS RIDICULE
20
Sémantique différentielle
  • Parmi tous les sens d un mot, c est le plus
    spécifique qui doit être choisi en premier.
  • S appuie sur une représentation très fine des
    sens des mots dans le dictionnaire
  • Pottier, Greimas (sémantique structuraliste),
    Barwise et Perry (sémantique des situations)

21
Sémantique différentielle
  •  Je me suis arrêté à la première pompe que j ai
    pu trouver. 
  • 1. appareil permettant laspiration dun liquide,
    ex  une pompe de relevage 
  • 2. par extension de 1, dispositif de fourniture
    d essence pour automobile ,  la pompe à
    essence 
  • 3. par extension de 2, représente les propriétés
    de lessence,  le prix à la pompe  
  • 4. par extension de 2, représente le lieu de
    fourniture d essence ,  il y a une pompe pas
    loin  .

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Sémantique différentielle
  •  Je me suis arrêté à la première pompe que j ai
    pu trouver. 

1.
appareil
aspiration liquide
2.
appareil à essence
les propriétés de lessence
3.
essence automobile
lieu consacré à la vente
station dessence
4.
23
Sémantique différentielle
  • Les règles de différentiation qui s appliquent
    sont
  • compatibles avec le co-texte
  • arrêter, trouver
  • forcées par le co-texte (coercitive rules de
    Pustejovsky)

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Sémantique interprétative
  • Le sens le plus spécifique garde en mémoire tous
    les sens génériques, et la récurrence du terme
    peut s appuyer sur le fond commun.
  • Rastier (1986)
  • Fonctionne pour les mots à sens multiples et
    dépendants.

.
25
Sémantique interprétative
  •  Je me suis arrêté à la première pompe que j ai
    pu trouver. 

1.
appareil
aspiration liquide
2.
appareil à essence
les propriétés de lessence
3.
essence automobile
lieu consacré à la vente
station dessence
4.
26
Les modèles
  • Les modèles de lintelligence artificielle
  • Les schémas (frames)
  • Les scénarios (scripts)
  • Les ontologies arborescentes (issues des réseaux
    sémantiques)
  • Les graphes conceptuels

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Les modèles de l intelligence artificielle
  • Les schémas (Minsky 1974)
  • Un schéma (frame) est un ensemble de
    connaissances autour dun sujet donné (ici, un
    mot).
  • L usage des schémas en sémantique se fait de la
    manière suivante
  • sur une chaîne de classification donnée, on
    associe à chaque terme son schéma.

28
  • valeurs par défaut pour C1n sous forme
    d attribut (facette, valeur)

C11
Schéma de C11
Schéma de C1n-1
C1n-1
Schéma de C1n
lien  is-a 
C1n
29
Exemple
  • Chaise

fait en matière (organique, minérale) type
(naturelle, artificielle) prix origine
composé de pieds (3, 4) dosseret (oui, barreaux
oui,non non) assise matière
meuble
chaise
fauteuil
chaise-à-porteur
17ème siècle mode de transport
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  • Beaucoup de connaissances à intégrer
  • Problème des sens figurés du mot
  • jouer aux chaises musicales
  • mener une vie de bâton de chaise
  • Et de certains de ses dérivés
  • ambitionner le fauteuil présidentiel.
  • Les schémas sont adaptés en sémantique lorsqu il
    s agit d applications très limitées.
  • A éviter en recherche dinformation ou indexation

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Les modèles de l intelligence artificielle
  • Les scénarios (Schank 1978)
  • Un scénario (script) est un ensemble de
    connaissances autour d une situation donnée.
  • Le scénario comprend
  • des conditions initiales (de déclenchement)
  • des actions (possibles)
  • un résultat
  • des exceptions (anomalies)
  • A chaque élément est associé un schéma.

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Les scénarios pour l interprétation du LN
  • Les scénarios sappliquent à l interprétation du
    langage naturel en fournissant les conditions
    pragmatiques d interprétation.
  • Les conditions initiales peuvent être exprimées
    par du texte
  • Les actions sont des prédicats verbaux
  • Le résultat est ce qui est attendu
  • Les anomalies sont répertoriées lors qu elles
    sont connues.

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  • COMPRENDRE

ce que l on sait déjà
Ce qui est dit
événement
Schémas
actions élémentaires
référence à d autres schémas
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Exemple
  • Scénario  réviser une voiture 
  • ELEMENTS
  • voiture
  • ACTEURS
  • client, garagiste
  • CONDITIONS INITIALES
  • le client amène sa voiture au garage
  • il possède un moyen de paiement
  • la voiture est dans un état donné

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Exemple réviser une voiture
  • RESULTAT(ESCOMPTE)
  • le client reprend sa voiture au garage
  • il a de l argent en moins
  • la voiture est révisée
  • ANOMALIES
  • le client ne reprend pas sa voiture
  • la voiture n est pas révisée
  • la voiture est révisée mais elle n est pas en
    bon état

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Exemple réviser une voiture
  • ACTIONS
  • Origine CLIENT
  • AMENER (voiture, garage)
  • LAISSER-A (voiture, clés, papiers, garagiste)
  • CONVENIR-AVEC (rendez-vous, garagiste)
  • PARTIR
  • REVENIR
  • PAYER(facture)
  • PRENDRE (voiture, clé, papiers)

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Exemple réviser une voiture
  • Origine GARAGISTE
  • pour chaque partie de Voiture (schéma VOITURE)
    faire
  • VERIFIER (partie)
  • si partie à changer alors CHANGER(partie)
  • si partie à réparer alors REPARER (partie)
  • fin
  • pour tous les éléments changés et réparés,
    MARQUER (partie)
  • FACTURER (partie)
  • DONNER (facture, client).

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Les difficultés
  • Des situations stéréotypées
  • Ambiguïté du déclenchement
  • Jean est allé chez le garagiste.

réviser une voiture
acheter une voiture
louer une voiture
réparer une voiture
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Extensions plans et thèmes
  • Repérer le thème du texte
  • acteurs, éléments
  • premiers prédicats verbaux
  • Considérer un scénario comme un plan possible,
    modifiable (déroutable)

planification
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Conclusion sur les schémas et les scénarios
  • Essaient d intégrer des connaissances
     contextuelles  de type pragmatique
  • Mais
  • lourdeur des structures
  • rigidité
  • aspect trop détailliste par certains côtés pas
    assez par d autres
  • énorme quantité de connaissances
  • structuration dépendant fortement des concepteurs

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Les modèles de l intelligence artificielle
  • Les  ontologies  arborescentes
  • après l échec dune structuration trop
    importante et trop large
  • restriction des années 90
  • à une application
  • à un domaine, de préférence technique et défini
  • à une structure arborescente
  • plusieurs  arbres de connaissance  plutôt
    qu un seul réseau

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Exemple
  • domaine chimie
  • application enseignement secondaire de la
    chimie atomique
  • agrégats  partie-de 

substance
molécule
atome
particule
43
Exemple
  • domaine chimie
  • application enseignement secondaire de la
    chimie atomique
  • agrégat  sorte-de 

particule
particule chargée
particule neutre
proton
électron
neutron
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  • relations typées
  • sorte-de selon un critère
  • sorte-de inclusion de classe
  • sorte-de membre-de
  • partie-de
  • Les ontologies arborescentes supposent
  • un mot un sens
  • ce qui correspond qu à un sous-ensemble très
    faible du langage naturel

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Les modèles de l intelligence artificielle
  • Les graphes conceptuels (Sowa 1984)
  • l idée que l esprit et le langage s organisent
    de la même manière (ressemblance des contextes
    linguistique et mental)
  • il existe une représentation en lambda-calcul du
    contexte mental
  • application à la langue

objet du prochain cours
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Les applications
  • Recherche dinformation
  • recherche d une information I représentée par un
    texte T, dans une base de documents D
  • Indexation par un texte T d une information I,
    applicable à toute base de documents Dk
  • Les deux problèmes ne sont pas exactement
    symétriques

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Recherche d information
les Ij sont des sens possibles de T, ou
contenus dans des sens de T
I1
texte T
I2
In
base de documents (corpus)
recherche doccurrences
l algorithme de recherche d occurrence est
celui d un motif M/ M? T d un sous-motif K de
M/ MÇ T K
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Problèmes
  • L information I recherchée
  • n est pas représentée par un unique texte T
  • n est pas le seul sens possible de T
  • n est pas la composition des sens des éléments
    de T
  • Les occurrences de T récupérées, sont, au mieux
    des sur-textes de T, parfois des sous-textes.
  • La recherche d information est donc parasitée
    par la non unicité sémantique.

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Exemple
  • L information I recherchée concerne  l Hôtel
    de Ville , c est-à-dire, la mairie principale
    du lieu (s il s agit d une ville à
    arrondissements).
  • La séquence  hôtel de ville  a pour sens
  • I1 mairie
  • I2sorte d hôtel
  • I3sorte d hôtel en milieu urbain.
  • Sont récupérées dans le corpus des chaînes
  • rue de l Hôtel de Ville
  • l hôtel de Mussy est dans la ville de Gordes

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Exemple (suite)
  • Si, de manière sophistiquée, un analyseur accepte
    les formes accordées, on récupère en plus
  • tous les hôtels de la ville de Paris sont chers.
  • l hôtel est en dehors de la ville.
  • au métro Hôtel-de-Ville, vous trouverez le bazar
    de l Hôtel-de-Ville.
  • mais aussi, avec un pourcentage affaibli de
    concordance, tout ce qui va contenir  hôtel  et
     ville , dans la fenêtre donnée.

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L indexation
  • l indexation est le marquage d un texte T comme
    motif pour tout corpus de documents Dk, dans le
    but de récupérer une information I.
  • Il faut donc choisir, pour indexer, le meilleur T
    parmi les Ti représentant I, mais rechercher sur
    les Ti (avoir un dictionnaire TTi)
  • La qualité intrinsèque de T n est cependant pas
    suffisante, elle est dépendante de la
    confrontation avec chaque corpus.

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L indexation
  • Ainsi, par exemple il vaut mieux indexer par
  • mairie
  • que par  hôtel de ville 
  • par
  • coléoptère
  • que par  papillon 
  • à cause des sens multiples, mais, si vous
    cherchez dans un corpus scientifique, la qualité
    de votre index n est pas la même que dans un
    corpus général.

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  • Dans un corpus de biologie, le mot  mère a
    souvent le sens de  origine  ce qui n est pas
    le cas des corpus autres,
  • et le mot  charme  va souvent être associé
  • aux propriétés des particules dans un corpus de
    physique atomique,
  • aux arbres dans un corpus d agronomie
  • mais aussi à n importe quel autre sens possible.
  • ex   la démonstration/l expérience ne manque
    pas de charme .

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Les applications
  • L interprétation de requêtes
  • On suppose que l usager exprime une demande
    vis-à-vis d une
  • base de données
  • base de connaissances
  • base de documents
  • sous forme d une requête en langage naturel.

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Linterprétation de requêtes
  • la sémantique consiste a
  • transformer la requête en structure
  • toute ou partiellement appariable avec
  • la base de données attribut/valeur
  • la base de connaissances prémisse/conclusion
  • la base de documents
  • dans le dernier cas, il s agit d identifier le
    texte T a rechercher, et le sens I le plus
    plausible de T.

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Les dialogues finalisés
  • Le plus souvent, la requête est suffisamment mal
    formulée,
  • ou l on souhaite assister l usager dans la
    formulation ou la satisfaction de sa requête
  • Le dialogue est le plus haut niveau
    d intégration du TALN dans l interaction
    homme-machine
  • l appariement de la requête devient l étape
    ultime d un processus de communication

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La sémantique au secours de l analysemorpho-synt
axique
  • De nombreuses ambiguïtés morpho-syntaxiques
    peuvent être levées grâce à l information
    sémantique, mais surtout pragmatique.
  • la ferme de Jean
  • l usage désigne plus souvent le bâtiment que la
    poutre.

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Conclusion(provisoire)
  • la sémantique est un élément qui, en TALN,
    devrait être indissociable de la pragmatique.
  • Les mots ont des significations possibles
    différentes, mais en contexte, ils ont un sens,
    qui peut être complexe.
  • les modèles logiques de la sémantique ont été
    insuffisants pour remplir leur rôle
    d interprétation
  • en revanche, ils sont très utiles comme systèmes
    d aide au raisonnement

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perspectives
  • des modèles logiques descriptifs de la sémantique
    les graphes conceptuels
  • les problèmes de la sémantique
  • les modèles où le sens est calculé en contexte
  • le modèle vectoriel tourné vers la recherche
    d information et l indexation.
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