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Fractures de l extr mit sup rieure du tibia Fractures de l extr mit sup rieure du tibia Les probl mes sp cifiques D sorganisation des surfaces art par ... – PowerPoint PPT presentation

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Transcript and Presenter's Notes

Title: Pr


1
Fractures de lextrémité supérieure du tibia
2
(No Transcript)
3
Classification en fonction du mécanisme
Compression axiale
Fracture bitubérositaire Fr.
spinotubérositaires externes et internes
Compression latérale
Fracture-séparation externe et interne
Fracture tassement Fr mixtes

4
Fractures spino-tubérositaires
5
Fractures unitubérositaires
6
Fractures-séparation
7
(No Transcript)
8
Plaque AO Plaques de Bousquet
9
Fractures complexes
10
Fractures ouvertes utiliser des fixateurs
externes avec des broches dans les fragments
proximaux
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Fractures de lextrémité supérieure du tibia
  • Les problèmes spécifiques
  • Désorganisation des surfaces art par enfoncement
    résiduel dun plateau tibial gt perturbation
    grave du jeu art.
  • Désaxation globale du mb inf en varus (plateau
    tibial int ) ou valgus (plateau tibial ext)
  • Le ttt doit répondre à 2 objectifs restauration
    des surfaces art et redonner au mb inf un axe
    normal

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Fractures de lextrémité supérieure du tibia
  • Traitement chirurgical
  • Relever la surface art enfoncée, puis la
    maintenir par
  • ostéosynthèse /- greffon illiaque. Vis, plaque
    vissée
  • Traitement orthopédique
  • Méthode de traction mobilisation dans laxe
    avec une broche transtibiale (lenfoncement nest
    pas relevé, la mob est immédiate pour conserver
    lamplitude art) traction mise en place 45-60
    jours

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Fractures de lextrémité supérieure du tibia
  • Dans tous les cas, mob doit être précoce, tjs
  • réalisée pdt les 45 premiers jours dans le sens
  • de la diminut des contraintes sur le plateau
  • fracturé, afin de ne pas risquer de tasser la
  • surface art relevée

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Fractures de lextrémité supérieure du tibia
  • Rééducation après ostéosynthèse.
  • Période dalitement courte, suivi de la pose
  • dune attelle post.
  • Phase de préconsolidation
  • Verticalisation demblée permise déambulation
    en décharge
  • Acquérir le plus vite possible lext active
    complète (lattelle
  • est remise en place après les séances)
  • Entretien art mob passive manuelle, puis
    auto-passive,
  • arthromot

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Fractures de lextrémité supérieure du tibia
  • Entretien art mob en décoaptation
    fémoro-tibiale (par
  • traction dans laxe du segment jambier ou en
    imposant une
  • contrainte varisante en cas de lésion externe,
    valgisante en cas
  • de lésion interne) mob en piscine dès
    cicatrisation
  • Entretien musculaire
  • Lever dinhibition technique de facilitation
  • Éviter toute R distale pour le QD
  • Eviter toute composante de rotation et de
    coaptation

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Fractures de lextrémité supérieure du tibia
  • Rééducation après ostéosynthèse.
  • Phase de remise en charge et dappui
  • Vers le 75-90 ème jour
  • Progression selon protocole de remise en charge
  • Augmentation des sollicitations passives et
    actives
  • Poursuite du W de gain damplitude, surtout fle
  • Poursuite du W du QD IJ TS
  • Travail des stabilisateurs latéraux (patte doie
    en cas de lésion
  • du PT externe, TFL en cas de lésion du PT int)

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Fractures de lextrémité supérieure du tibia
  • Rééducation après traction-mobilisation.
  • Soins de lalité
  • Massage à visée circulatoire, décontracturant
  • Contractions statiques du QD technique de
    facilitation
  • Mob du genou en passif doux dès J3 mob rotule
    (les poids
  • de la traction sont laissés en place). Une
    participation active
  • des fléchisseurs de hanche est demandée.(amplitude
    30-40)
  • Mob en extension de hanche à partir du bassin
  • Mob du pied antiéquin

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Fractures de lextrémité supérieure du tibia
  • La traction est enlevée vers S6, puis attelle
    articulée ou
  • amovible gardée 1 mois
  • Poursuite de la rééducation en continuant de
    maintenir le
  • foyer de fr.
  • Verticalisation avec précaution
  • Programme de rééducation idem précédent puis
    remise en
  • charge

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Fractures de lextrémité supérieure du tibia
  • Déficit de flexion
  • Adhérences intra-articulaires, rétraction des
    parties molles
  • périart. (ailerons rotuliens)
  • Mob sous AG
  • Précoce 4-5 mois post fr.
  • Manœuvre forcée, brutale faite après reprise
    dappui et après
  • Consolidation
  • W immédiat de recherche damplitude (manuelle,
    mécanique)
  • antalgique cryoSETA massa antalgique

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Fractures de lextrémité supérieure du tibia
  • Posture en fle extalternée toute les 3 heures
    avec attelle,
  • Platre
  • Mob par attelle motorisée à partir de J1 mob
    de la rotule
  • Contracter relacher, stabilisation rythmique,
    piscine
  • Physiothérapie antalgique
  • Éveil musc. Avec W contre R
  • W en force avec contractions statiques pour
    limiter les
  • risques de réactions infl.
  • Obtention du verrouillage actif du genou et ext)
    TOTALE
  • ACTIVE

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Fractures de lextrémité supérieure du tibia
  • Arthrolyse
  • Section et résection de éléments périart.
  • Libération du cul de sac sous quadricipital et
    section des ailerons rotuliens
  • Libération des adhérences du QD
  • La fle doit être plus facile
  • Appui partiel ensuite puis total à J15
  • !!! Récup du QD en force
  • !!! Récup verrouillage actif du genou

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Fractures de lextrémité supérieure du tibia
  • Déficit dextension
  • Eviter tout flexum
  • Correction après un flexum de 3-4 mois par plâtre
  • Ttt chir. Par allongement des IJ, désinsertions
    des coques
  • condyliennes, libération de tous les éléments
    post rétractés.
  • Massages décontracturants
  • Mob en ext avec attelle, W du QD
  • W des IJ à 6 semaines ( si intervention chir.)
  • W fonctionnel vers J45 après sevrage de lattelle
    post

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Fractures de jambe
  • Etiologie
  • Ces fractures prédominent chez des sujets de 18 à
    40 ans.
  • Elles se font le plus souvent par torsion (sport,
    ski) ou par choc direct (circulation et travail).
  • Exceptionnellement on a des fractures isolées du
    tibia ou des fractures isolées du péroné, mais le
    plus souvent ce sont des fractures des 2 os de la
    jambe. Les fractures sont parfois à des niveaux
    différents. Il y a un point faible à l'union du
    1/3 moyen et du tiers inférieur du tibia, qui
    explique la prédominance des fractures à ce
    niveau. Le tibia est courbe dans les 2 plans.

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Fractures de jambe
  • Les traits de fractures et les déplacements
  • Fractures spiroïdes  50  des casFractures par
    torsion le plus souvent diaphysaire basse. Le
    péroné est fracturé plus haut. Il y a un biseau
    supéro-interne qui menace la peau.
  • Parfois il y a un trait de refend qui peut isoler
    un 3ème fragment en aile de papillon.
  • Il y a des spiroïdes courtes et des spiroïdes
    longues (les longues sont plus stables)
  • Le déplacement se fait par chevauchement, le plus
    souvent. Il tend à s'accentuer.

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Fractures de jambe

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Fractures de jambe
  • Fractures transversalesElles succèdent à un choc
    direct et peuvent se voir à tous les niveaux. Le
    déplacement est variable. Cette forme peut être
    stable après réduction, à moins qu'il n'y ait un
    3ème fragment.
  • Fractures obliques courtesElles sont très
    instables. L'ouverture cutanée peut se faire de
    dedans en dehors.
  • Fractures comminutivesElles s'accompagnent de
    lésions des parties molles et sont très
    instables.
  • Fractures bifocales ou à double étageIl y a un
    fragment intermédiaire de diaphyse qui risque
    d'être isolé de la vascularisation. La
    vascularisation intra-osseuse est en effet peu
    importante et c'est la vascularisation
    périphérique qui est prédominante et peut être
    interrompue par la fracture et par le déplacement

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Fractures de jambe
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Fractures de jambe
  • Fractures isolées du tibiaLe déplacement est
    limité par l'intégrité du péroné. Le trait est
    oblique et la réduction est difficile à maintenir
    par un plâtre. Nombreux sont les partisans de
    l'ostéosynthèse dans ces cas.
  • Les déplacements de toutes ces fractures
    combinent angulation, translation, chevauchement,
    et décalage (rotation).

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Fractures de jambe
  • Evolution
  • La consolidation d'une fracture de la jambe bien
    traitée se fait en 2 à 3 mois chez l'adulte, plus
    rapidement chez l'enfant. On parle de retard de
    consolidation au 4ème mois s'il n'apparaît pas de
    signe de cal périphérique.
  • Les complications sont celles de toutes les
    fractures diaphysaires

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Fractures de jambe
  • L'immobilisation des fractures sans déplacement

31
Fractures de jambe
  • L'extension continue



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Fractures de jambe
  • La réduction sur cadre de TRILLAT suivie de
    plâtre

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Fractures de jambe
  • La méthode de SARMIENTO

Elle permet un appui précoce dans certaines
formes de fractures. Le plâtre cruro-pédieux
initial est remplacé vers la 3ème semaine par un
plâtre de marche spécial. Cet appareil est
caractérisé par un moulage serré des masses
musculaires qui joueront le rôle de tuteur
compressif pour l'os. Les appuis sont bien
modelés au niveau des condyles fémoraux et du
tendon rotulien et de la rotule.
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Fractures de jambe
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Fractures de jambe
  • L'ostéosynthèse à foyer ouvert
  • Le vissage simple Les vis seules sont rarement
    suffisantes, sauf dans les fractures spiroïdes
    longues. Ce type de montage n'évite pas un plâtre
    protecteur, mais il permet une excellente
    réduction.
  • Les cerclages métalliques sont très insuffisants
    pour les fractures de jambe (sauf pour les
    spiroïdes) et ils ont été abandonnés.
  • Les plaques visséesElles permettent une très
    bonne réduction et une bonne stabilité et évitent
    le plâtreLes plaques ne sont plus utilisées pour
    les fractures diaphysaires et elles sont
    réservées surtout aux fractures des extrémités

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Fractures de jambe
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Fractures de jambe
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Fractures de jambe
  • L'enclouage centro-médullaire à foyer fermé

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Fractures de jambe

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Fractures de jambe
  • Le clou  verrouillé  par des vis (KEMPF et
    GROSSE) Les vis sont enlevées avant la
    consolidation définitive, vers la 6ème semaine et
    l'appui autorisé, ce qui stimule la formation du
    cal. On peut verrouiller une extrémité du clou ou
    les deux.

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Fractures de jambe
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Fractures de jambe
  • En fonction du trait de fracture
  • Les fractures transversales sont stables et
    consolident bien avec le traitement orthopédique.
    Ou place dun clou centro-médullaire avec appui
    repris immédiatement.
  • Les fractures spiroïdes  Le vissage associé à
    une plaque vissée de neutralisation est adopté
    par beaucoup. L'enclouage centro-médullaire peut
    presque toujours être réalisé dans les fractures
    spiroïdes.

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Fractures de jambe
  • Les fractures comminutives peuvent être enclouées
    à foyer fermé verrouillage du clou en haut et
    en bas par des vis transversales qui bloquent les
    rotations et maintiennent la longueur correcte.
  • Les fractures à double étage enclouage à foyer
    fermé avec petit clou  d'alignement  et
    renforcer le montage par un verrouillage avec des
    vis.
  • Les fractures isolées du tibia Ces fractures
    peuvent être traitées par plâtre mais à condition
    de surveiller l'absence de déplacement secondaire
    (fréquent). ou enclouage centro-médullaire à
    foyer fermé.

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Fractures de jambe
  • Fractures isolées du péronéElles sont dues à des
    chocs directs. Elles consolident habituellement
    sans réduction et sans ostéosynthèse au 1/3 moyen
    ou nécessiter une réduction et une ostéosynthèse.
  • L'extension continue peut permettre d'attendre
    l'amélioration des conditions cutanées avant de
    prendre la décision de faire une ostéosynthèse
    (qui pourra se faire 2 à 3 semaines plus
    tard).Le traitement antibiotique est
    systématique

45
Fractures de jambe
  • En fonction des lésions cutanées
  • fixateur externe

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Fractures de jambe
 
 
 
 
 
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Fractures de jambe
  • Traitement des pseudarthroses avec perte de
    substance
  • osseuse

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Fractures de jambe
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Principes de rééducation
  • Rééducation dès les premiers jours
  • Prévention des phlébites, des raideurs et des
  • Amyotrophie
  • Pas de travail des releveurs contre R avant
  • phase dappui partiel
  • Travail du triceps contre R à la phase dappui
  • total

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Rééducation à la phase de non appui
  • Bilan du Patient
  • Recherche des troubles thromboemboliques,
    dœdème, de
  • douleur sous plâtre
  • Recherche des déficits sensitifs, musculaire,
    articulaires
  • (parfois en équin), et musculaires (attention aux
    prises au test qd, ij, ts))
  • incapacités fonctionnelles marche
  • Évaluation des secteurs non lésés.

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Rééducation à la phase de non appui
  • Traitement durant qq semaines
  • Exercice actif des 2 chevilles anticoagulants
  • déclive bas de contention
  • Surélévation mb inf
  • DLM cryothérapie
  • Pressothérapie
  • Surveillance du plâtre si besoin complications
    cutanées
  • (escarre, sensation de brûlure), complication
    circulatoire
  • (œdème distale, cyanose des orteils, phébite),
    complication
  • neurologique (compression du SPE)

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Rééducation à la phase de non appui
  • Entretien des art libres du pied par
    mobAnalytique
  • !!!! À ne pas mettre de R à la triple fle-ext
  • Entretien art hanche pour éviter flexum
  • !!! Rot (clou Centromédullaire non verrouillé)
  • Balnéothérapie
  • Lever de sidération W du verrouillage actif du
    genou
  • PC antalgique cryo, SETA, pas dUS
  • W de la marche avec 2 CA
  • Travail proprioceptif par sollicitation manuelle
    plantaire type
  • massage, travail sur balle de tennis

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Rééducation à la phase dappui partiel
  • Autorisé vers la 6ème 8ème semaine pour
  • les fr. simples et vers la 15ème semaine pour
  • les fr. ouvertes
  • Autorisé à 1 mois post-op si fixateur de type
  • Rigide
  • Examen kiné cicatrice, mobilité, trouble de la
  • trophicité

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Rééducation à la phase dappui partiel
  • Remise en charge plan incliné, balance, 2CA,
    balnéothérapie et
  • travail de la marche
  • Travail musculaire en CCF en piscine (en flexion)
  • Travail du JA avec QD contre R croissante (assis)
  • Travail contre R proximale du QD et IJ SETE
  • Travail de la mobilité avec techniques
    analytiques et spécifiques
  • de toutes les art de lavant pied et de la
    médiotarsienne
  • (attention au contre prise pour la sous
    astragalienne)
  • Massage de la cicatrice
  • Travail sensorimoteur

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Rééducation à la phase dappui total
  • Objectif réduire les déficits et incapacités
  • Examen pas de déficit du genou et de la hanche
  • La mise en charge totale peut réactiver des
  • phénomènes dl et infl oedeme
  • Présence dun déficit musculaire, en force,
    endurance
  • Présence dun déficit proprioceptif, dune
    boiterie
  • dappréhension à la marche, montée et descente
  • descaliers

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Rééducation à la phase dappui total
  • Traitement
  • Gain damplitude de la cheville techniques
    analytiques, manuelles, postures
  • Travail de tous les muscles du mb inf, avec R
    manuelle, mécanique, SETE, en Cco, CCF avec
    variations du nb de séries, répétitions.
  • DLM, cryo
  • Étirement actif

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Rééducation à la phase dappui total
  • Travail sensorimoteur exo en charge
  • partielle
  • avec ballon de klein, puis en charge sur
  • plan instable (appui unipodal)
  • Travail de la marche déroulement du pas,
  • longueur, rythme
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