La mdecine gnrale : les constats et les perspectives

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La médecine générale les constats et les
perspectives
Martine Burdillat secrétaire générale
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La situation de la médecine générale

• - Elle est partie prenante de la situation
  démographique de lensemble des médecins
• - Elle est confrontée à des enjeux spécifiques

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La progression mais aussi le vieillissement des
effectifs de tous les médecins
Source Adeli, DREES France métropolitaine
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Les cessations dactivité seront supérieures aux
entrées
Source DREES
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Un nombre global de médecins en diminution dans
les prochaines années
Point le plus bas 188 000 (- 9,7 )
Niveau du numerus clausus 7 100 en 2007, 7 300
en 2008, 7 600 en 2009, 7 800 en 2010, 8 000 de
2011 à 2020, décroissant avec un pas de 100 de
2021 à 2030 (7 000 en 2030)
Source DREES
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Des enjeux spécifiques

• Un grand nombre de diplômés de médecine générale
  nexerce pas la médecine de premier recours
• Une répartition hétérogène et un vieillissement
  particulièrement accentué dans certains
  territoires

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Le nombre de médecins généralistes libéraux de
premier recours na pas augmenté sur la période
1995-2005
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Des disparités géographiques
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Accentuées si lon tient compte de lâge des
médecins
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Peu de territoires présentent aujourdhui de
réelles difficultés daccès aux médecins
généralistes
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(No Transcript)
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Une majorité de praticiens en secteur 1
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Les perspectives

• Des priorités accordées à la médecine générale
  le nombre de postes ouverts aux ECN en forte
  augmentation
• Des augmentations en particulier dans des régions
  où la densité médicale est inférieure à la
  moyenne nationale
• Un rôle de médecin traitant qui crée de fortes
  attentes

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La prise en compte de la densité de médecins pour
laffectation des postes
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Une répartition régionale des postes de médecine
générale qui tient compte de la démographie mais
des postes restent non pourvus
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Les préconisations de lONDPS pour la médecine
générale

• Les études médicales doivent mieux identifier et
  mieux faire connaître la médecine générale de
  premier recours auprès des étudiants. Elles
  doivent conduire à former des médecins qui
  exerceront la médecine générale de premier
  recours et pas simplement à former des médecins
  titulaires du diplôme de médecine générale.
• Pour cela, une véritable filière universitaire
  spécialisée bien individualisée dune durée de
  quatre ans doit être favorisée.

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(No Transcript)