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L'ann e 2003 en quelques chiffres. L'AMF cr e par la LSF du 1er ao t ... Recommandations comptables de la COB/AMF. Recommandations pour l' laboration des documents ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Pr


1
La Nouvelle AMFLes Recommandations pour
larrêté des comptes 2003
Philippe DANJOU Chef du service des affaires
comptables et Fiscales Sophie BARANGER, Adjointe
IMA FRANCE 28 janvier 2004
2
Plan
  • Lannée 2003 en quelques chiffres
  • LAMF créée par la LSF du 1er août 2003
  • Recommandations comptables de la COB/AMF
  • Recommandations pour lélaboration des documents
    de référence
  • Orientations recommandées en matière de rapport
    sur le gouvernement dentreprise et le contrôle
    interne

3
(No Transcript)
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(No Transcript)
5
(No Transcript)
6
  • Lannée 2003 en quelques chiffres
  • LAMF créée par la LSF du 1er août 2003 et le
    décret du 21 novembre
  • Recommandations comptables de la COB/AMF
  • Recommandations pour lélaboration des documents
    de référence
  • Orientations recommandées en matière de rapport
    sur le gouvernement dentreprise et le contrôle
    interne

7
La Loi de Sécurité Financière 140 articles
  • Titre 1er Modernisation des autorités de
    contrôle
  • Chap 1 (art 1 à 21) AMF
  • Chap 2 Autorités de régulation des assurances,
    établissements de crédit et entreprises
    dinvestissement ( art 22 à 35)
  • Titre II Sécurité des épargnants et des assurés
  • Chap 1 Réforme du démarchage bancaire
    financier et des conseils en investisst.
    Financier (CIF)
  • Chap 2 sécurité des épargnants et déposants
    règles prudentielles des OPCVM et mesures
    diverses
  • Titre III modernisation du contrôle légal des
    comptes et transparence
  • Chap 1 réforme du commissariat aux comptes
  • Chap 2 de la transparence dans les entreprises
    ( art 117 à 126)
  • Chap 3 dispositions diverses (127 à 140 dont
    133 )

8
Présentation de lAMF
  • Créée par LSF du 1/8/03, l'Autorité des marchés
    financiers est issue de la fusion de
  • la COB,
  • du CMF
  • et du CDGF.
  • Objectif renforcer lefficacité la visibilité
    de la régulation de la place financière
    française.
  • Inaugurée le 24 novembre par Ministre de
    léconomie des finances

9
Présentation de lAMF
  • AAI Autorité administrative indépendante,
    dotée de la personnalité morale et disposant
    dune autonomie financière
  • A pour missions de veiller
  • à la protection de l'épargne
  • à l'information des investisseurs
  • au bon fonctionnement des marchés
  • Participe à la régulation de ces marchés aux
    échelons européen et international.

10
Présentation de lAMF
  • AMF comprend
  • un collège de 16 membres
  • une commission des sanctions de 12 membres
  • des commissions spécialisées et des commissions
    consultatives.
  • Ministre de l'Économie désigne un commissaire du
    Gouvernement
  • Président de AMF nommé par décret du président de
    la République
  • AMF dispose de services dirigés par le secrétaire
    général.

11

La réforme des autorités de régulation financière
12
La nouvelle architecture réglementaire française
Avant LSF Investment services Markets Asset Management
Regulation COB CMF COB CMF COB
Advisory powers COB CMF COB CMF COB/CGDF
Conduct of business rules CMF CMF COB/CGDF
Prudential supervision CB, CCA, CCMIP CB, CCA, CCMIP COB/CGDF
Autorisations CECEI/CMF CECEI COB

Aprés LSF Investment services Markets Asset Management
Regulation Autorité des Marchés Financiers Autorité des Marchés Financiers Autorité des Marchés Financiers
Advisory powers Autorité des Marchés Financiers Autorité des Marchés Financiers Autorité des Marchés Financiers
Conduct of business rules Autorité des Marchés Financiers Autorité des Marchés Financiers Autorité des Marchés Financiers
Prudential supervision CB, CCAMIP CB, CCAMIP
Autorisations CECEI CECEI
Broker Dealer / Depository Regulations
13
Organigramme densemble
Michel PRADA
Président
Collège (16 membres)
Commission des sanctions
3 Commissions spécialisées Enquêtes contrôles
Commissions Consultatives (mbres Collège
experts)
Secrétaire Général
Gérard RAMEIX
SERVICES (Organigramme en cours de refonte)
14
Nouvelles missions (non assurées par COB CMF)
  • Rapport annuel sur le Contrôle interne (art 122)
  • Contrôle des conseillers en investissement
    financier (art 55 LSF)
  • LSF a créé statut des CIF et a confié à AMF
    responsabilité de contrôler respect de leurs
    obligations professionnelles. Tout manquement
    est passible de sanctions prononcées par AMF
  • Surveillance des agences de notation
  • publiecation chaque année dun rapport sur leur
    rôle, leurs règles déontologiques, la
    transparence des méthodes et limpact de leur
    activité sur les émetteurs et marchés
  • AMF partage le contrôle des démarcheurs avec
    d'autres autorités (CECEI et CEA).

15
Discours de F. Mer du 24/11/03
  •  Il ny a pas de protection efficace de
    lépargnant sans une bonne qualité dinformation.
    Pour cela, la loi de sécurité financière a placé
    lAMF au cœur des réformes de l'information et de
    la transparence financière.
  • Vous le savez, lEurope a décidé dadopter les
    normes comptables internationales IFRS, réalisées
    par lIASB. La France est favorable à ladoption
    dun standard international, qui vise à la
    meilleure qualité de la présentation des
    informations financières, et à une harmonisation
    européenne.
  • L'adoption de ces nouveaux standards comptables
    n'est pas une simple opération technique. Elle a
    des conséquences profondes sur les marchés
    financiers et leur stabilité. C'est d'ailleurs la
    raison pour laquelle, au sein de l'Europe, la
    France a plaidé de façon constante pour que les
    normes en chantier tiennent davantage compte de
    leurs implications économiques et de leur
    applicabilité pratique. Il sagit là
    essentiellement dune exigence de qualité des
    normes qui seront adoptées par lUnion. L'AMF
    aura un rôle majeur en ce sens et devra
    sinvestir dans toutes les étapes du processus.
    En amont, pour évaluer la pertinence des projets
    de normes soumis par l'IASB. Dans la période de
    mise en place, pour préparer le marché et
    garantir la continuité de l'information. Et,
    enfin, pour participer au contrôle de
    l'application des normes. 

16
Discours de F. Mer du 24/11/03
  •  Ce qui est vrai pour la comptabilité l'est
    aussi pour l'ensemble des changements, souvent
    majeurs, opérés dans le domaine de l'information
    financière et de son contrôle par la LSF. Le
    président de l'AMF, membre de plein droit du
    haut-conseil des commissaires aux comptes,
    participera aux travaux de cette instance qui va
    être très prochainement constituée par le Garde
    des Sceaux. L'AMF rendra également compte
    annuellement de la qualité des rapports sur le
    contrôle interne établis par les sociétés cotées.
    Enfin, elle devra déterminer le degré de son
    implication dans le domaine sensible des
    professions de l'information financière que sont
    les analystes et les agences de notation, pour
    lesquelles la loi fournit désormais une base
    d'action assez large qui appelle un fort
    discernement dans ses modalités d'application. 

17
Impacts de la LSF sur les missions et moyens de
lAMF vis-à-vis des commissaires aux comptes
  • Nouvelle mission dans le cadre du HCCC,
    participer à lapprobation des normes daudit et
    dindépendance des CAC ( art 821-1 et 821-2)
  • Confirmation du rôle de lAMF dans le contrôle
    qualité des CAC (art 821-8 et 9)
  • Novation les CAC peuvent être soumis à des
    inspections de lAMF

18
Nouveaux moyens fournis par la LSF (art 113)
  • Levée du secret professionnel des CAC au bénéfice
    de lAMF
  • Obligations dinformer lAMF dans certaines
    circonstances
  • Procédure dalerte
  • Révélation irrégularités inexactitudes à lAG
  • Refus de certification envisagé
  • ? suppose une procédure de suivi
  • Possibilité pour les CAC dinterroger lAMF
  • Toute décision ou fait susceptible davoir un
    effet sur linformation financière de la personne
    contrôlée
  • AMF entend voir ce dispositif appliqué à un champ
    large, incluant laudit, mais avec discernement
  • ? suppose une procédure dinstruction et de
    réponse

19
Plan
  • Lannée 2003 en quelques chiffres
  • AMF créée par la LSF
  • Recommandations comptables
  • Recommandations pour lélaboration des documents
    de référence
  • Orientations recommandées en matière de rapport
    sur le gouvernement dentreprise et le contrôle
    interne

20
(No Transcript)
21
http//www.amf-france.org
22
Recommandation sur linformation financière
pendant la période de Transition aux normes
IAS/IFRS
  • Travaux élaborés depuis plus dun an au sein de
    SISE, sous comité de CESRFin
  • Projet de recommandation publié le 7 octobre 2003
  • Auditions publiques le 12 novembre 2003
  • Recommandation finale de CESR du 30 décembre 2003
  • Publiée en français le 23 janvier 2004 sur le
    site de lAMF

23
Les textes de base à combiner
  • EU Règlement 1606 / 2002 publié en 2002
  • EU Règlement du 29 Septembre 2003 (JO du 13
    octobre annexes)
  • Toutes les IAS et interpretations sauf IAS 32 and
    39 sont maintenant dans la loi européenne et
    nationale
  • IFRS 1 demande deux années comparables
    établies selon normes IFRS
  • IAS 34 Interim Financial Reporting (
    application non obligatoire)
  • Projet de Directive Transparency en cours de
    discussion comptes trimestriels probablement
    pas obligatoires en 2004-2005 semestriels
    resteront obligatoires
  • QUESTIONS
  • Quelle communication sous le référentiel IFRS
    aura lieu entre aujourdhui et la fin de 2005 ?
  • Comment préparer les utilisateurs des comptes à
    ce profond changement dans le reporting ?
  • Comment sasssurer de la bonne préparation des
    sociétés cotées à léchéance 2005 ?

24
Comptes consolidés primaires(tels que requis
par la loi et par IFRS1)
IFRS 1date de première application ouverture
du premier exercice présenté 1/01/2004
1er janvier 2005 first-time adoption
2003 2004
2005 début 2006
Normes Locales
????????
Info.Intermédiaire
IFRS
Comptes primaires 2003 2004 publiés en normes
françaises
IFRS
IFRS Proforma
Comptes primaires en IFRS Publiés début 2006
2004 pro forma retraité en IFRS (IFRS1) publié en
même temps que les comptes 2005
25
Objectifs poursuivis
  • Préparer les investisseurs à comprendre les
    modifications comptables qui interviendront en
    2005
  • ?Une information graduelle en 3 étapes (2003,
    2004, courant 2005)
  • Encourager les émetteurs à donner tout au long de
    la période de transition des informations sur
    leur état de préparation au regard des nouvelles
    obligations de reporting
  • ? Eviter risque de rupture de la continuité du
    reporting en 2005-2006
  • ? permettre didentifier ceux qui prennent un
    retard excessif

26
Informations complémentaires recommandées par
CESR-Fin
Fin 2003 Fin 2004
courant 2005 Fin 2005
Normes locales
IFRS
IFRS proforma
Q1
S1
IFRS
(3)Information intermédiaire établie selon IAS 34
ou en conformité avec méthodes applicables en 2005
(2) Information quantifiée de limpact des IFRS
sur comptes 2004
(1) Description des plans de transition, des
différences-clé identifiées dans les méthodes
comptables par rapport aux IFRS 2005 (chiffrage
non requis)
27
En résumé, linformation publiée comporterait
  • Fin 2003, comptes consolidés en normes françaises
    information non comptable sur les plans de
    transition et différences de méthode constatées
  • Fin 2004, comptes consolidés en normes françaises
    information quantifiée sur limpact du
    retraitement IFRS sur les comptes 2004
  • En 2005 information intermédiaire (si requise)
    établie selon les méthodes IFRS applicables aux
    comptes 2005 (le cas échéant selon IAS 34)
    comparatifs retraités en IFRS
  • Fin 2005 comptes consolidés 2004 et 2005 en IFRS
  • 2003 non retraité en IFRS dans les documents de
    référence (sauf demande SEC pour les SEC
    registrants ?)
  • ? Action de sensibilisation de la SEC, réponse
    attendue

28
Recommandations en vue des Comptes 2003 publiées
le 28 octobre
  • Passage aux normes IAS/IFRS être prêt pour
    l'échéance de 2005
  • Modification des règles de consolidation
    résultant de l'article 133 de la loi n 2003-706
    du 1er août 2003 de sécurité financière - Impact
    sur les montages déconsolidants
  • Recommandation n 2003-R.01 du CNC du 1er avril
    2003 relative aux règles de comptabilisation et
    d'évaluation des engagements de retraite et
    avantages similaires

29
Passage aux normes IAS/IFRS
  • Le règlement n 1606/2002 du 19 juillet 2002
    s'applique à tous les émetteurs (sociétés) régis
    par le droit national d'un État membre dont des
    titres sont négociés sur un marché réglementé de
    l'Union européenne à la date de leur bilan de
    clôture
  • Pour la France, il s'agit donc du Premier marché,
    du Second marché et du Nouveau marché, sous forme
    société
  • Les sociétés dont des titres sont négociés sur le
    marché libre ne sont pas visées
  • Le 13 octobre 2003 publication du règlement CE
    n1725/2003 du 29 septembre 2003 portant adoption
    de certaines normes comptables internationales
    (la liste le texte intégral des normes et
    interprétations).

30
2003 des changements de méthodes possibles pour
converger vers IAS/IFRS
  • Au-delà de l'adoption des méthodes
    préférentielles, possibilité de changer de
    méthode afin d'évoluer vers les normes IAS/IFRS
    dans le respect des règles françaises (art 130-5
    PCG relatif aux changements de méthodes)
  • Un changement exceptionnel dans la situation du
    commerçant ou dans le contexte économique
  • dès 2003 et a fortiori en 2004 ampleur de la
    modification à caractère obligatoire du
    référentiel comptable des sociétés cotées
    européennes
  • ET le changement doit être de nature à fournir
    une meilleure information
  • S il permet l'application immédiate d'une norme
    qui s'appliquera en 2005 (doit être conforme à
    IFRS1)

31
Lien en capital et consolidation
  • La loi modifie la règle de consolidation article
    133 de la loi n 2003-706 du 1er août 2003 de
    sécurité financière - Impact sur les montages
    déconsolidants
  • Au 3 du II de L 233-16 Code com., les mots  et
    que la société dominante est actionnaire ou
    associée de cette entreprise  sont supprimés 
  • Ceci fait suite
  • A la modification de l'article 1er de la 7ème
    directive européenne (83/349/CE) par la directive
    dite de " modernisation" de 2002
  • Aux travaux du groupe de travail conjoint COB/CB
    en 2002 (cf. Rapport de la Commission des
    Finances du Sénat en première lecture du projet
    de loi)

32
Lien en capital et consolidation
  • gt Consolider par IG lorsque
  • détention directe ou indirecte de la majorité des
    droits de vote,
  • ou, même sans détention d'actions ou parts de
    capital
  • désignation de la majorité des membres des
    organes dirigeants,
  • exercice d'une influence dominante en vertu de
    clauses contractuelles ou statutaires.
  • Importance accrue des critères du 10052
    appréciés en substance, dont la définition dune
    EAH
  • structure juridique distincte, créée
    spécifiquement pour gérer une opération ou un
    groupe d'opérations similaires pour le compte
    d'une entreprise. L'entité ad hoc est structurée
    ou organisée de manière telle que son activité
    n'est en fait exercée que pour le compte de cette
    entreprise, par mise à disposition d'actifs ou
    fourniture de biens, de services ou de capitaux

33
Rappel des critères du 10052
  • Les situations suivantes peuvent caractériser
    l'existence d'un tel contrôle
  • l'entreprise dispose en réalité des pouvoirs de
    décision et de gestion sur l'entité ad hoc ou sur
    les actifs qui la composent, même si ce pouvoir
    n'est pas effectivement exercé elle peut par
    exemple dissoudre l'entité, changer les statuts,
    ou au contraire s'opposer formellement à leur
    modification
  • l'entreprise peut, en substance, bénéficier des
    résultats de l'entité, par exemple sous forme de
    flux de trésorerie ou de droits droit à une
    quote-part d'actif net, droit de disposer d'un ou
    plusieurs actifs, droit à la majorité des actifs
    résiduels en cas de liquidation
  • l'entreprise supporte in fine les risques
    relatifs à l'entité tel est le cas si les
    investisseurs extérieurs bénéficient d'une
    garantie, de la part de l'entité ou de
    l'entreprise, leur permettant de limiter de façon
    importante leur prise de risques. "

34
Mise en oeuvre
  • Changement interviendra pour les comptes
    consolidés des exercices ouverts à partir du 3
    août 2003 (exercices calendaires 2004)
  • Avec effet à louverture 2004 (changement
    réglementation)
  • Nécessité de continuer à compléter lannexe 2003
    conformément à la recommandation COB-CB
  • Groupe de travail du CNC chargé de revoir le
    CRC99-02 travaille prioritairement sur les
    modalités de 1ère consolidation
  • 1er produit fini attendu pour 1er trimestre 2004

35
Position AMF sur Recommandation CNC n 2003 R.01
sur les retraites
  • Le CNC a élaboré un texte en la matière à partir
    de lIAS 19 Employee Benefits
  • endossée en juillet 2003 par l'ARC
  • Qui devra être appliquée à compter du 1/1/2005
    avec effet rétroactif au 1/1/ 2004 dans les
    comptes pro forma
  • Le CNC recommande ( 121)
  • " Que l'entité ou l'entreprise provisionne ses
    engagements de retraite et avantages similaires,
    ou présente l'information correspondante en
    annexe, elle doit évaluer les engagements
    conformément aux dispositions de la
    recommandation décrites en annexe.
  • L'entité ou l'entreprise qui a choisi de ne pas
    provisionner ses engagements de retraite et
    engagements similaires doit fournir en annexe la
    même qualité d'information établie sur des bases
    identiques à celle exigée des entreprises qui ont
    choisi de les provisionner. "

36
Rec CNC reprise par la COB/AMF
  • Étude approfondie sur l'information fournie par
    sociétés du CAC40 en matière de retraite et
    avantages similaires (publication web le 26/01)
  • gttrès grandes disparités de méthodes et
    hypothèses
  • COB/AMF recommande aux sociétés faisant APE de
    suivre la Recomm. CNC
  • pas de provisionnement obligatoire dès 2003,
  • mais fournir une information annexe élaborée à
    partir d'un mode d'évaluation qui sera utilisé en
    2005et qui est nécessaire pour préparer le bilan
    douverture au 1/1/04 en normes IAS/IFRS.

37
Recommandation retraites
  • Apporte une précision sur le champ de l'exception
    du code de commerce ( 31)
  • Les avantages similaires prévus par l'article
    L.123-13 du C com sont les avantages postérieurs
    à l'emploi versés au salarié autres que les
    retraites. Cette définition exclut toutes les
    prestations versées pendant la durée de vie
    active du salarié comme les médailles de travail,
    y compris pendant la période de préretraite,
    ainsi que les avantages en nature. ".

38
Exception code de commerce
  • Ces précisions sont conformes au CRC 2000-06 sur
    les passifs, mais créent conflit de texte entre
    la recommandation et le règlement CRC 99-02
  • 300 " Certaines méthodes sont considérées comme
    préférentielles dans les comptes consolidés
    ainsi les coûts des prestations de retraite et
    des prestations assimilées (indemnités de départ,
    compléments de retraite, couverture médicale,
    médaille du travail, prestations de maladie et de
    prévoyance)  
  • Le CNC devrait proposer une modification des
    règlements sur les comptes consolidés (groupe
     revue du 99-02 ).

39
Importance de linformation à fournir
  • Pour les émetteurs qui ne provisionnent pas leurs
    engagements, ou qui le font seulement
    partiellement, fournir le montant de l'engagement
    à la clôture évalué selon IAS19, ainsi que les
    informations permettant sa compréhension
  • une description générale du type de régime
  • les principales hypothèses actuarielles utilisées
    (taux d'actualisation, taux de rendement
    attendus des actifs du régime, taux attendus
    d'augmentation des salaires, taux d'évolution des
    coûts médicaux et toute autre hypothèse
    actuarielle importante utilisée telle que les
    hypothèses démographiques) gt une présentation
    des différentes hypothèses ventilée par zone
    géographique ou selon un autre critère sectoriel
    encouragée
  • la juste valeur des actifs du régime.

40
Changement de méthode suite à ladoption de la
recommandation
  • (1.4) Les changements résultant de 1ère
    application de la rec. sont traités selon () art
    314-1 du PCG. Ils s'appliquent aux entreprises
  • qui ne provisionnaient pas leurs engagements,
  • ou qui provisionnaient partiellement leurs
    engagements,
  • ou qui provisionnaient en totalité mais selon des
    modalités d'évaluation différentes. 
  • Qualité de l'information à fournir au titre du
    changement de méthode afin de permettre au
    lecteur des états financiers de bien en
    comprendre la teneur.
  • mettre en perspective la nouvelle méthode et
    l'ancienne méthode utilisée,
  • en rappelant le champ qui était couvert (partiel
    ex salariés de 40 ans, ou provisionnement
    total)
  • et les principales modalités d'évaluation
    utilisées (détermination et rappel des
    principales hypothèses).

41
Changement de méthode suite à ladoption de la
recommandation
  • Si un émetteur provisionnait déjà totalement ses
    engagements, expliquer les différences ressortant
    au niveau des modalités d'évaluation et analysées
    comme un changement de méthode.
  • réel changement dans la méthodologie adoptée
  • ex si une entreprise provisionnait ses
    engagements sans tenir compte des augmentations
    prévues de salaires
  • et pas seulement changement d'hypothèses
    actuarielles
  • ex changement dans l'estimation des taux futurs
    de rotation de personnel, de départ à la retraite
    anticipée, de mortalité ou d'augmentation de
    salaires. changement d'estimation en écarts
    actuariels.

42
Plan
  • Lannée 2003 en quelques chiffres
  • AMF créée par la LSF
  • Recommandations comptables de la COB/AMF
  • Recommandations pour lélaboration des documents
    de référence
  • Orientations recommandées en matière de rapport
    sur le gouvernement dentreprise et le contrôle
    interne

43
Recommandations  document de référence 
publiées le 23/1/04
  • 2003 2ème année dapplication de la procédure
    de contrôle a posteriori des documents de
    référence.
  • 390 documents de référence déposés (348 en 2001)
  • 218 éligibles au contrôle a posteriori
  • 172 ayant fait lobjet dun enregistrement
  • ? 252 déposés à titre volontaire, 138
    obligatoires
  • Janvier 2003 14 recommandations pour
    lélaboration des documents de référence 2002.
  • Janvier 2004, en vue de la nouvelle campagne
  • focus sur certaines des recommandations de
    janvier 2003 et formulation, le cas échéant, de
    recommandations complémentaires
  • le contrôle interne
  • et le gouvernement dentreprise.

44
- Création de valeur -
  • Constat certaines sociétés ayant publié ce type
    dinformations lors des exercices passés nont
    pas continué à communiquer sur le sujet, quitte à
    devoir mettre en avant la détérioration de valeur
    ainsi obtenue.
  • ?
  • Recommandation complémentaire
  • Les émetteurs devraient, sil y a lieu
  • préciser les raisons qui les amènent
    éventuellement à ne plus communiquer sur ce type
    dinformations sils le faisaient habituellement
    dans leurs documents de référence précédents
  • justifier, de manière pédagogique, les raisons
    les amenant à recourir à de nouveaux critères.

45
- Facteurs de risque -
  • Constat cette information est très bien traitée
    par 35 des sociétés observées et encore
    insuffisante pour environ 20
  • la tendance consistant à évoquer les risques
    génériques liés à toute forme dactivité est
    encore souvent présente
  • les émetteurs nont pas toujours hiérarchisé les
    risques par ordre dimportance selon leur
    appréciation
  • linformation la plus souvent lacunaire est celle
    relative aux risques de marché les sociétés ne
    présentent encore souvent quun exposé détaillé
    de leurs instruments de couverture sans pour
    autant établir un lien avec leur exposition avant
    et après gestion.

46
- Clauses dites de  défaut  -
  • Constat 70 des sociétés ont donné une
    information détaillée sur les dettes et/ou les
     covenants .
  • Rappel de la recommandation COB de janvier 2003
      la description des dettes financières devra
    donc être accompagnée de toute précision utile en
    matière de clauses de cette nature .
  • ?
  • Recommandation complémentaire
  • Nécessité de présenter
  • une information détaillée quand la probabilité
    doccurrence des faits générateurs et leur impact
    possible sur la situation financière du groupe,
    (ex trésorerie) sont significatifs (information
    plus générale dans les autres cas)
  • pour les sociétés dont la situation de trésorerie
    est tendue, une information relative à la
    capacité daccès au crédit via la mention
    notamment des lignes de crédit confirmées auprès
    des banques.

47
- Assurance et couverture des risques -
  • Constat Efforts faits par un grand nombre de
    sociétés dans ce domaine 2/3 dentre elles
    donnent désormais une information correcte sur le
    sujet.
  • Rappel de la recommandation COB de janvier 2003
  • information sur la stratégie de couverture
    politique de prévention, souscription de polices
    dassurance ou tout autre forme de couverture
    plus ou moins externalisée
  • présentation aussi précise que possible de la
    politique dassurance du groupe.
  • Recommandation complémentaire
  • préciser si certains contrats dassurance sont
    souscrits avec une captive mentionner et
    commenter le mode de gestion du risque et la part
    du risque conservé.

48
- Gouvernement dentreprise -
  • Constat près de 80 des sociétés ont donné une
    information détaillée mais des efforts restent
    encore à faire.
  • Référence aux  principes de gouvernement
    dentreprise des rapports conjoints de l AFEP et
    du MEDEF de 95, 99 et 02 
  • Efforts particuliers à faire
  • information sur les règles applicables aux
    administrateurs concernant les opérations sur les
    titres de la société
  • présentation des principales missions de chaque
    comité et surtout exposé de lactivité de ces
    derniers au cours de lexercice
  • évaluation du conseil dadministration
  • règles de répartition des jetons de présence et
    montants individuels des versements effectués à
    ce titre à chacun des administrateurs.
  • Recommandation complémentaire
  • adapter les principes à la situation propre de
    lentreprise et compléter ceux-ci par toutes
    autres informations inspirées des meilleurs
    pratiques en ce domaine
  • information, le cas échéant, sur la prise en
    compte des nouvelles règles ou recommandations
    américaines en vigueur ( Sarbanes Oxley Act ).

49
- Rémunération des mandataires sociaux -
  • Recommandation complémentaire sinspirer des
    meilleures pratiques constatées, telles que
  • un tableau présentant pour chaque mandataire
    social sa rémunération fixe, sa rémunération
    variable, ses jetons de présence et ses avantages
    en nature
  • la base sur laquelle la part variable est
    calculée
  • une présentation comparative des rémunérations
    versées sur plusieurs exercices
  • une information sur les primes d arrivée ou de
    départ
  • un développement sur les régimes complémentaires
    de retraite spécifiques mis en place pour
    certains mandataires sociaux.

50
RECOMMANDATION ADDITIONNELLE- Méthode de
dépréciation des actifs incorporels et des
écarts d acquisition -
  • Lorsque de telles informations présentent un
    caractère sensible et significatif, notamment au
    regard du ratio actifs incorporels/capitaux
    propres, lAMF souhaite que les sociétés
    indiquent
  • si elles appliquent ou non par anticipation le
    règlement n2002-10 du CRC
  • si non, quelle méthode est appliquée pour le
    suivi de la valeur de leurs actifs incorporels et
    écarts dacquisition en précisant le cas échéant
    les indices de perte de valeur identifiés et les
    paramètres utilisés.
  • Dans le cas où un test de valeur a été effectué
    présentation de la méthodologie mise en œuvre
    (en particulier si utilisation dune méthode de
    discounted cash flows).
  • Plus particulièrement, lorsque le test de valeur
    a conduit a constater une dépréciation
    description fine des hypothèses utilisées et
    commentaire des résultats obtenus au regard des
    arrêtés comptables précédents.

51
RECOMMANDATION ADDITIONNELLE - Risques et
litiges méthode de provisionnement -
  • Dès lors quil sagit dune information sensible
    et que des montants significatifs sont en jeu
  • mention du montant total des provisions pour
    litiges
  • présentation de la méthodologie globale pour
    lapplication des principes comptables relatifs
    aux litiges
  • identification éventuelle des litiges les
    plus importants, jugés individuellement
    suffisamment significatifs pour être mentionnés.

52
RECOMMANDATION ADDITIONNELLE - Informations à
délivrer en matière de dérivés de crédit
(sociétés du secteur financier essentiellement) -
  • Information spécifique à développer, comprenant
    notamment
  • le positionnement de lémetteur et la stratégie
    quil développe sur ce type de marché
  • une description de lorganisation mise en place
    pour initier, suivre et contrôler ces opérations.

53
RECOMMANDATION ADDITIONNELLE - Transparence des
critères relatifs à linscription au bilan de
financements dactifs -
  • L AMF souhaite que les sociétés
  • précisent leurs politiques de financement de
    leurs actifs
  • donnent les principales caractéristiques
    relatives aux opérations de ce type présentant
    individuellement un caractère significatif
  • détaillent les critères retenus pour traiter
    comptablement les financements dactifs à court
    ou long terme comme des éléments de passif ou de
    hors bilan.
  • Deux exemples
  • Application aux contrats de location
  • Application aux contrats de financement du
    compte-client

54
Plan
  • Lannée 2003 en quelques chiffres
  • AMF créée par la LSF
  • Recommandations comptables de la COB/AMF
  • Recommandations pour lélaboration des documents
    de référence
  • Orientations recommandées en matière de rapport
    sur le gouvernement dentreprise et le contrôle
    interne

55
Art 117 à 122 de la LSF
Règlement général AMF
Rapports à lAssemblée Générale
Publication pour personnes faisant APE
Rapport annuel AMF (L 122)
Rendent compte
Contrôle Interne Élaboration Info. comptable et
financ. CI autres domaines
Travaux du Conseil
Présentent observations
Présidents (L 117) Commissaires (L120)
56
De nouvelles obligations dinformation
  • Une information des actionnaires par les
    présidents de toutes les sociétés anonymes (art.
    117 LSF) - Rapport du président de toute SA,
    joint au rapport annuel de gestion, pour rendre
    compte aux actionnaires, des conditions de
    préparation et dorganisation des travaux du
    conseil - Idem pour les procédures de contrôle
    interne mises en place par les SA - Mention des
    éventuelles limitations aux pouvoirs du directeur
    général pour les SA à conseil dadministration?
    Un contrôle par les commissaires aux comptes
    (art. 120 LSF) - Portant sur la partie du
    rapport du président traitant des procédures de
    contrôle interne relatives à lélaboration et au
    traitement de linformation comptable et
    financière - Conduisant à des observations, dans
    un rapport joint à leur rapport général -
    Conformément à un avis technique de la CNCC pour
    les comptes 2003 (à paraître sous peu)

57
De nouvelles obligations dinformation
  • Une information du marché par tous les émetteurs
    faisant appel public à lépargne (APE) (art. 122
    LSF)Disposition du code monétaire et financier,
    avec un champ dapplication à la fois plus
    restreint (SA faisant APE uniquement) et plus
    large (toute autre personne morale faisant APE)?
    Conséquence information due par tous les
    émetteurs APE (forme sociale, type de produit
    émis et nationalité indifférents) ? Un rapport
    de lAMF (art. 122 LSF)Chaque année, rapport de
    lAMF sur la base des informations publiées par
    les émetteurs (pas un rapport dappréciation sur
    le CI des entreprises françaises, mais sur
    linformation quelles rendent publique)

58
Les conditions de publication retenues
? En labsence de document de référence, mise à
disposition gratuite (format papier et
électronique), avec publication dun communiqué
en informant le marché ? En présence dun
document de référence, celui-ci inclura les
informations relatives au gouvernement
dentreprise et aux procédures de contrôle
interne, le rapport spécial des CAC (pour les
SA), dans le chapitre relatif au gouvernement
dentreprise? Conséquence continuité par
rapport au régime existant
59
Orientations complémentaires les informations
relatives au gouvernement dentreprise
  • Approche traditionnelle AMF (recommandations
    documents de référence 02, reprise pour la
    campagne 03) - lémetteur décrit son système de
    gouvernement dentreprise- lémetteur indique
    sil applique chacune des recommandations de
    place (aujourdhui rapport consolidé AFEP/MEDEF)
    ou explique pourquoi il sen écarte ? Position
    étendue à tous les émetteurs faisant APE (quils
    publient ou non un document de référence, quils
    soient ou non une société) pour application de
    larticle 122 LSF ? Conséquence tout émetteur
    faisant APE expliquera au marché son système,
    indiquant sil applique les recommandations de
    place ou à défaut explique ses choix ? Quand
    lémetteur publie un document de référence, cette
    information figure dans un chapitre dédié
    au gouvernement dentreprise

60
Orientations complémentaires les informations
relatives au contrôle interne
? Nécessité dorienter les émetteurs pour la
rédaction des rapports, doù concertation avec
les associations représentatives des entreprises,
qui a abouti à - Recommandations conjointes
AFEP/MEDEF pour guider les présidents de sociétés
anonymes (cotées ou non) dans la rédaction du
rapport- Note du comité juridique ANSA ?
lAMF recommande lutilisation de ces lignes
directrices par les émetteurs pour la partie
descriptive de leur rapport (description des
ressources, des procédures didentification des
risques, etc.)
61
Orientations complémentaires les informations
relatives au contrôle interne
? En plus de ces lignes directrices, lAMF
attire lattention des émetteurs sur les
orientations complémentaires suivantes ?
Lémetteur doit préciser quelles diligences ont
permis lélaboration du rapport (entretiens et
réunions avec direction générale, conseil
dadministration, CAC ou comité daudit)?
Lorsque le CAC informe le président dune
déficience majeure dans le contrôle interne, ce
dernier doit le mentionner dans son rapport?
Obligation dinformation permanente des émetteurs
imposant (sans attendre la parution du rapport)
- communication immédiate de toute information
sensible(notamment une défaillance majeure dans
les procédures de contrôle interne) -
équivalence dinformation avec communication
faite sur un marché étranger
62
Orientations complémentaires les informations
relatives au contrôle interne
? De façon à éclairer les émetteurs sur les
jugements quelle sera amenée à porter dans son
propre rapport, lAMF précise aux émetteurs ?
quils doivent entamer une démarche progressive
dévaluation leur permettant daboutir à une
appréciation sur ladéquation et lefficacité de
leurs procédures de contrôle interne ? que, du
fait de la lourdeur dun tel processus et à
linstar des systèmes étrangers, une certaine
souplesse leur est laissée sur les modalités et
les délais de mise en œuvre de cette démarche ?
quelle appréciera dans son rapport la pertinence
des informations transmises au marché, et
notamment la rapidité avec laquelle les émetteurs
se seront dotés des moyens leur permettant de
procéder aux évaluations nécessaires
63
Recommandations comptables complémentaires à venir
  • Un complément sur les retraites
  • étude de la pratique
  • Loi Fillon
  • travaux Comité durgence (du 21/1/04 ?)
  • Un encouragement à suivre la recommandation CNC
    sur lenvironnement

64
Dans le domaine de lAudit
  • Communiqué AMF du 21 janvier 3 points
    principaux à prendre en considération pour
    laudit des comptes 2003 des groupes
    internationaux
  • Procédures de confirmation directe
  • Situations à risque inhérent pouvant entrainer un
    accroissement des procédures daudit
  • Organisation des audits de comptes consolidés et
    travaux des auditeurs de la société-mère
  • Lettre CNCC aux cabinets du département APE
  • Communiqué IFAC du même jour
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