Introduction aux quations diffrentielles ordinaires EDO - PowerPoint PPT Presentation

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Introduction aux quations diffrentielles ordinaires EDO

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Population de N(t) individus au temps t. D crire l' volution de cette population: ... Ajout d'un ph nom ne : la pr dation. Exemple: vers dans des arbres, mang s par des ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Introduction aux quations diffrentielles ordinaires EDO


1
Introduction aux équations différentielles
ordinaires (EDO)
  • E. Grenier

2
Exemple dynamique des populations
3
I.1. Dynamique des populations
  • Population de N(t) individus au temps t
  • Décrire lévolution de cette population
  • Hypothèses sur la reproduction / prédation
  • Mise en équation
  • Simulations numériques
  • Discussion
  • Evolution de N
  • ?t N naissances décès
  • Le modèle le plus simple (Euler)
  • Le nombre de naissances est proportionnel à la
    population
  • Naissances a N
  • Le nombre de décès est proportionnel à la
    population
  • Décès b N
  • Bilan
  • ?t N ( a b ) N
  • Résolution
  • N(t) N(0) exp( (a-b) t).

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I.1. Dynamique des populations Euler
  • Résolution
  • N(t) N(0) exp( (a-b) t).
  • Discussion
  • a gt b natalité plus importante que la
    mortalité croissance exponentielle de la
    population.
  • a lt b natalité plus faible que la mortalité
    décroissance exponentielle de la population.
  • Discussion du modèle
  • Simple à mettre en équations et à résoudre
  • La croissance exponentielle nest pas réaliste
    limitations dues au milieu ambiant
  • Pour être plus réaliste il faut faire dépendre a
    et b de N
  • Changement dhypothèses de mises en équations
    pour avoir un comportement plus réaliste.
  • Hypothèses à ajouter limitation de la croissance
    dans un milieu fini.

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I.1. Dynamique des populations modèle logistique
  • Le modèle logistique (Verhulst, 1836) les
    nouvelles hypothèses
  • Hypothèse de milieu limité le milieu peut
    nourrir K individus
  • Si N lt K il y a suffisamment de ressources la
    population augmente car la natalité est
    supérieure à la mortalité.
  • Si N gt K il ny a pas assez de ressources des
    individus meurent de faim. La mortalité devient
    supérieure à la natalité.
  • Si N ltlt K cas dEuler croissance
    proportionnelle à N.
  • Mise en équations
  • ?t N f(N)
  • f(N) gt 0 si N lt K
  • f(N) lt 0 si N gt K.
  • f(N) c N si N ltlt K
  • De plus, il ny a pas de création spontanée
    dindividus f(0) 0.
  • Choix de f le f le plus simple satisfaisant ces
    hypothèses est
  • f(N) r N (1 N/K)
  • où r est une constante.

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I.1. Dynamique des populations modèle logistique
  • Equation logistique
  • ?t N f(N) r N (1 N/K)
  • Discussion
  • Parfois f(N) est donné par des mesures
    expérimentales.
  • Si on connaît bien la dynamique de reproduction /
    mort, on peut parfois en déduire f, mais il faut
    pour cela des hypothèses supplémentaires
  • La fonction proposée est la plus simple qui
    fonctionne
  • Signification des constantes
  • K capacité du milieu nombre dindividus quil
    peut nourrir.
  • r
  • cest linverse dun temps.

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I.1. Dynamique des populations modèle logistique
  • Equation logistique
  • ?t N f(N) r N (1 N/K)
  • Les solutions analytiques existent ..
  • Allures des solutions p2

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I.1. Dynamique des populations équilibre stable
/ instable
  • Equation logistique
  • ?t N f(N) r N (1 N/K)
  • Etat déquilibre N tel que
  • f(N) 0.
  • Notion de stabilité
  • Équilibre stable après une petite perturbation,
    le système revient à N
  • Equilibre instable une petite perturbation
    déstabilise le système.
  • Equation des petites perturbations N(t) N
    u(t)
  • ?t u f(Nu) f (N) u O(u2)
  • soit en négligeant les termes de taille u2
  • ?t u f (N) u
  • Discussion
  • f (N) gt 0 croissance de u N est un
    équilibre instable
  • f (N) lt 0 décroissance exponentielle de u N
    est un équilibre stable.

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I.2. Dynamique des populations modèles avec
prédation
  • Ajout dun phénomène la prédation.
  • Exemple vers dans des arbres, mangés par des
    oiseaux.
  • Modélisation
  • Modèle simple pas déquation sur le nombre de
    prédateurs
  • P(n) nombre dindividus morts par prédation par
    unité de temps
  • ?t N f(N) P(N)
  • Hypothèses sur la prédation un premier exemple
  • La prédation est proportionnelle au nombre de
    vers
  • Sauf sil y a beaucoup de vers effet de
    saturation les oiseaux se gênent entre eux
  • P(N) BN / (A N)
  • Système obtenu
  • ?t N r N (1 N/K) BN / (AN)

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I.2. Dynamique des populations modèles avec
prédation
  • Modélisation
  • Hypothèses sur la prédation un second exemple
  • La prédation est proportionnelle au nombre de
    vers
  • Sauf sil y a beaucoup de vers effet de
    saturation les oiseaux se gênent entre eux
  • Sauf sil y a trop peu de vers les oiseaux ne se
    déplacent pas
  • P(N) BN2 / (A2 N2)
  • Système obtenu
  • ?t N r N (1 N/K) BN2 / (A2N2)

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I.2. Dynamique des populations modèles avec
prédation
  • Etats déquilibre du second modèle
  • r N (1 N/K) BN2 / (A2N2)0
  • soit N 0
  • Soit
  • r (1 N/K) (A2 N2) BN 0
  • qui est une équation polynomiale de degré 3 qui
    a
  • Soit trois racines réelles
  • Soit une racine réelle et deux racines complexes
    conjuguées.

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II.1. Populations en interaction Lotka Volterra
  • Deux populations une de proies, une de
    prédateurs
  • N(t) nombre de proies, P(t) nombre de prédateurs
  • Le modèle de Lotka Volterra
  • Naissances des proies proportionnelles à N
  • Morts par prédation proportionnel à N et à P
  • Naissances de prédateurs proportionne à P et à N
  • Mort de prédateur proportionnelle à P (mort
    naturelle).
  • Mise en équations
  • ?t N a N b N P
  • ?t P c N P d P
  • Remarque pas de limitation par le milieu
    nourrisant les proies (herbivores).
  • Propriété remarquable soit a d / a.
  • H a c N / d b P / a log (Na P)
  • ne dépend pas du temps.

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II.1. Populations en interaction Lotka Volterra
14
II.1. Populations en interaction Lotka Volterra
15
II.2. Populations en interaction Lotka Volterra
modifié
  • Deux populations une de proies, une de
    prédateurs
  • N(t) nombre de proies, P(t) nombre de prédateurs
  • Le modèle de Lotka Volterra
  • Modèle logistique prédation pour les proies
  • Modèle logistique pour les prédateurs, la
    capacité du milieu étant proportionnelle au
    nombre de proies.
  • Mise en équations
  • ?t N r N (1 N/K) B N P / (A N)
  • ?t P k (1 h P/N)
  • Remarque plus de quantité conservée comme H.
  • Notion de cycle limite les trajectoires
    senroulent autour dune solution périodique.

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II.2. Populations en interaction Lotka Volterra
modifié
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II.3. Populations en interaction compétition
  • Deux populations en compétition pour la même
    ressource.
  • N(t) nombre dindividus de la première espèce,
    P(t) nombre dindividus de la seconde espèce.
  • Modélisation
  • Les espèces se gênent
  • La capacité du milieu est partagée par les deux
    espèces
  • Mise en équations
  • ?t N rn N (1 N/ Kn b P /Kn)
  • ?t P rp P (1 P/Kp b N/Kp)
  • Signification des constantes
  • Kn nombre dindividus de la première espèce que
    peut nourrir le milieu
  • Kp nombre dindividus de la seconde espèce que
    peut nourrir le milieu
  • bP fraction des ressources du milieu utilisées
    par lespèce 2 (y compris la gêne)
  • b N fraction du milieu utilisé par lespèce 1.
  • Etats déquilibre
  • N b P Kn

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II.3. Populations en interaction compétition
  • Changement dinconnues
  • u N/Kn, v P/Kp
  • a b Kp/Kn, a b Kn/Kp
  • Discussion principe dexclusion compétitive

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II.4. Populations en interaction mutualisme
  • Deux populations en symbiose se facilitent
    mutuellement laccès à la ressource.
  • N(t) nombre dindividus de la première espèce,
    P(t) nombre dindividus de la seconde espèce.
  • Modélisation
  • Les espèces en symbiose
  • La capacité du milieu est partagée par les deux
    espèces
  • Mise en équations
  • ?t N rn N (1 N/ Kn b P /Kn)
  • ?t P rp P (1 P/Kp b N/Kp)
  • Signification des constantes
  • Kn nombre dindividus de la première espèce que
    peut nourrir le milieu
  • Kp nombre dindividus de la seconde espèce que
    peut nourrir le milieu
  • bP fraction des ressources du milieu rendue
    utilisable par lespèce 2 par symbiose.
  • b N fraction du milieu rendue utilisable par
    lespèce 1.

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II.4. Populations en interaction mutualisme
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Exemple épidémies
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Epidémies SIR
  • Maladie contagieuse.
  • Trois populations
  • S(t) nombre dindividus sains
  • I(t) nombre dindividus malades
  • R(t) nombre dindividus morts, ou guéris et
    immunisés contre la maladie.
  • Modélisation
  • Contamination proportionnelle au nombre de
    rencontres entre individus sains et malades.
  • Les malades ont une certaine probabilité de
    guérir par unité de temps.
  • Mise en équations
  • ?t S - r S I
  • ?t I r S I a I
  • ?t R a I
  • Remarque
  • S I R ne dépend pas du temps (conservation du
    nombre dindividus)

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Epidémies SIR
24
Epidémies SIR
25
Petits systèmes dEDOs
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Une EDO
  • u un scalaire.
  • Comportements possibles
  • Explosion réaction autocatalysée
  • ?t u u2
  • Solution en 1/ (T_0 t)
  • Convergence vers un équilibre stable
  • ?t u f(u)
  • u -gt u
  • avec f(u) 0
  • convergence à vitesse exponentielle généralement
  • Solution constante, reste sur un équilibre
    instable (exceptionnel)

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Une EDO un exemple
  • Exemple comportements possibles pour
  • ?t u u (1 u)

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Une EDO pas de comportement oscillant possible
  • Pas de solution périodique possible pour une
    seule EDO
  • Preuve
  • ?t u f(u)
  • On multiplie par ?t u ce qui donne
  • (?t u)2 f(u) ?t u
  • Que lon intègre entre t et t T
  • ? (?t u)2 ? f(u) ?t u
  • Soit F définie par
  • F f
  • Alors la dérivée de F(u(t)) vaut f(u) ?t u donc
    la seconde intégrale vaut
  • F(u(tT)) F(u(t)) 0
  • Donc la première intégrale est nulle donc u est
    constante !

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Deux EDO
  • u et v deux scalaires.
  • ?t u f(u,v)
  • ?t v g(u,v)
  • Comportements possibles
  • Explosion
  • Convergence vers un équilibre stable
  • u -gt u et v -gt v
  • avec f(u,v) g(u,v) 0
  • convergence à vitesse exponentielle généralement
  • Solution constante, reste sur un équilibre
    instable (exceptionnel)
  • Convergence vers une solution périodique

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Deux EDO
  • Exemple solution périodique stable
  • ?t (u i v) i(ui v) (ui v)(1 u2
    v2)
  • cycle limite stable
  • u2 v2 1

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Deux EDO cas linéaire
  • u et v deux scalaires.
  • ?t u a u b v
  • ?t v c u d v
  • Solution explicite
  • Matrice M de coefficients a b c d
  • Recherche de vecteurs propres et valeurs propres
  • M e_1 ?_1 e_1
  • M e_2 ?_2 e_2
  • (sauf cas particulier ?_1 ?_2).
  • Solution est de la forme
  • (u(t),v(t)) a_1 e_1 exp(?_1 t) a_2 e_2
    exp(?_2 t).
  • Comportement asymptotique dépend des signes des
    parties réelles de ?_1 et ?_2
  • 0 est stable si et seulement si
  • Re(?_1) lt 0 et Re(?_2) lt 0.

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Deux EDO cas linéaire classification
33
Deux EDO cas linéaire classification
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Trois ODE
  • Trois scalaires u, v et w
  • Les comportements précédents ne sont pas les
    seuls possibles
  • Chaos possible exemple le plus simple le
    système de Lorenz
  • ?t x s (y-x)
  • ?t y r x y xz
  • ?t z x y bz
  • avec s 10, r 28, b 8/3

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Trois ODE Lorenz
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Trois ODE Lorenz
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Plusieurs ODE
  • Classification impossible
  • Notion dattracteur étrange
  • Grande variabilité en fonction des paramètres
  • Etude numérique est la seule possible en général
  • Sauf cas très rares, pas de solution explicite
    aux équations différentielles ordinaires !

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Simulations numériques
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Schéma dEuler (explicite)
  • Le schéma le plus simple pour résoudre
  • ?t u f(u).
  • Principe
  • Calcul approché de u(t) pour t 0, k, 2k, 3k, .
    où k est le pas de temps.
  • On note u_n la valeur approchée de u au temps n
    k.
  • Erreur, dautant plus petite que k est petit
  • Pour évaluer u au temps T il faut calculer
    u_(T/k) donc faire T/k calculs
  • Plus k est petit plus le calcul est précis et
    plus il est long (logique !)
  • Le schéma dEuler explicite
  • Approche ?t u au temps n k par ( u_(n1) u_n )
    / k
  • Schéma
  • u_(n1) u_n k f(u_n)
  • u_0 donnée initiale
  • Calcul itératif de u_(n1) en fonction de u_n

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Schéma dEuler (explicite)
  • Implémentation informatique de
  • ?t u 2 u (1 u)
  • u(0) 0.1
  • Programme Matlab ou R
  • u_0 0.1 donnée initiale
  • k 0.01 pas de temps
  • Tmax 5 temps maximal de calcul
  • u zeros(Tmax/k,1) vecteur qui va contenir
    la solution
  • u(1) u_0
  • for J1Tmax/k-1, boucle de calcul
  • u(J1) u(J) k2u(J)(1-u(J))
  • end
  • plot(u) affichage de la solution
  • Démonstration programme eulerexplicite.m

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Schéma dEuler (explicite)
  • Précision proportionnelle à k

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Schéma dEuler (explicite)
  • Limitations
  • Erreur proportionnelle à k peut mieux faire -gt
    Runge Kutta
  • Echoue sur les problèmes raides . Exemple
  • ?t u N f(u)
  • où N est très grand réaction très rapide.
  • Avantages
  • Très simple à mettre en uvre
  • En particulier lorsque f est très complexe
  • Autres schémas
  • Runge Kutta ordre plus élevé erreur en k4
  • Euler implicite supporte mieux les problèmes
    raides.

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Schéma dEuler (implicite)
  • Le schéma dEuler implicite
  • Approche ?t u au temps n k par ( u_(n1) u_n )
    / k
  • Schéma
  • u_(n1) u_n k f( u_(n1) )
  • u_0 donnée initiale
  • Implicite il faut résoudre une équation pour
    obtenir u_(n1)
  • Equation
  • u_(n1) - k f( u_(n1) ) u_n
  • Résolution de cette équation par une méthode de
    Newton

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Runge Kutta
  • Schéma plus complexe
  • u_(n1) u_n k (k_1 2k_2 2k_3 k_4) /6
  • avec
  • k_1 f (t_n, x_n)
  • k_2 f (t_n k/2, x_n k/2 k_1)
  • k_3 f (t_n k/2, x_n k/2 k_2)
  • k_4 f (t_n k, x_n k k_3)
  • Ordre 4 erreur en k4
  • Erreur beaucoup plus petite mais schéma plus
    complexe !
  • Très souvent implémenté dès que lon veut plus de
    précision que pour Euler.

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Autres méthodes
  • Schémas dordres plus élevés précision en kN
    avec N aussi grand que lon veut mais schéma
    plus complexes.
  • Schémas implicites
  • Schémas avec contrôle a posteriori derreur.
  • Bilan
  • Débuter par Euler
  • Si nécessaire passer à Runge Kutta 4
  • En cas déchec consulter un spécialiste !

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Dautres modèles
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Equations avec retard
  • Dynamique des populations lévolution de la
    population N au temps t dépend de N(t T) où T
    est le temps de gestation pour les naissances, et
    de N(t) pour la mortalité
  • Epidémie idem T temps dincubation
  • La dérivée de N(t) est une fonction de N(t T)
    et de N(t)
  • ?t N(t) f( N(t), N(t-T) )
  • Exemple une variante de léquation logistique
  • ?t N(t) r N(t) ( 1 N(t-T) / K)
  • avec K capacité du milieu
  • Solutions oscillantes possibles exemple
  • ?t N(t) p N(t-T) / 2T
  • a pour solution
  • N(t) A cos (p t / 2 T)
  • périodique de période 4T.

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Equations avec retard exemple mouches et moutons
  • Moutons australiens et mouches
  • Oscillations avec une période 35 à 40 jours.

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Equations avec retard respiration de Cheyne
Stokes
  • Physiologie
  • Respiration anormale
  • Périodes dapnée
  • Lamplitude de la respiration augmente et diminue
    régulièrement, avec des périodes dapnée.

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Equations avec retard respiration de Cheyne Stoke
  • C(t) niveau de CO2 dans les artères
  • La ventilation V(t) dépend de C(t) avec un retard
    T
  • V Vmax c(t-T) / a c(t-T)
  • Vmax ventilation maximale, T temps de retard
  • Evolution de c
  • ?t C(t) p b V C(t)
  • ce qui donne
  • ?t C(t) p b Vmax C(t) C(t-T) / a c(t-T)

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Equations avec retard respiration de Cheyne Stoke
  • Simulation numérique

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Equations avec retard respiration de Cheyne Stoke
  • Changement de variables
  • x c/a, V V/Vmax, a abVmax/p
  • T pT/a, t pt/a
  • ce qui donne
  • ?t x(t) 1 a x(t) x(t-T) / 1 x(t-T)
  • Etat stationnaire
  • x indépendant du temps, égal à x
  • a x2 1 x
  • Linéarisation
  • u x x supposé très petit
  • ?t u(t) - a V(x) u(t) a x V(x) u(t-T)
  • on cherche des solutions
  • u(t) u_0 exp(? t)
  • ce qui donne
  • ? - a V(x) a x V(x) exp(-? T)
  • équation en ?.

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Equations avec retard cellules sanguines
  • Dynamique du nombre de globules rouges ou blancs.
  • C(t) densité de cellules
  • Evolution
  • Mortalité
  • Création par la moelle épinière, avec retard
  • Equation
  • ?t C(t) f(C(t-T)) g C(t)
  • où g est une constante et
  • f(x) ? am x /(am xm).

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Equations avec retard cellules sanguines
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Equations avec retard cellules sanguines
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