Prise en compte de la difficult

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Prise en compte de la difficulté scolaireet
mise en place de la différenciation
pédagogiquedans le cadre des ateliers de soutien
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Introduction

• Définition du soutien scolaire et du dispositif
• Rassurer les élèves / mettre en valeur les
  connaissances
• Donner des habitudes de travail organisation du
  travail
• Apprendre à réinvestir les notions travaillées
• Fabrication doutils de travail. Ex grille de
  relecture, tableau des nombres (mesures), cahier
  de vocabulaire ou de sons, etc.
• Mise en pratique qui fait quoi ?
• En priorité, le maître de la classe, qui, de
  toute façon, établit le contrat avec lélève

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• Se servir des compétences des collègues. Ex
  maîtresse de CP et apprentissage de la
  phonologie.
• Cf la maîtresse de maternelle est aussi
  polyvalente !

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Repérage des élèves en difficulté

• Évaluation au besoin voir le site de
  circonscription
• ou
• Ciblage des difficultés en fonction des objectifs
  fixés depuis le début de lannée
• Prise en compte des priorités annoncées dans le
  projet décole (compétences du socle commun)

Création des groupes de besoin 5 élèves maximum !
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Le but des heures de soutien...

• Est de consolider les compétences du socle commun
  en Français et mathématiques.
• Est de pouvoir mettre en oeuvre ces compétences
  lors de situations problèmes.
• Est d'acquérir des méthodes de travail, de
  mettre en mots difficultés et points forts.
• Est de créer des habitudes de travail efficaces.

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Les préalables à l'apprentissage...

• On donne du sens aux savoirs
• En annonçant l'apprentissage
• En recueillant les expressions d'intérêt ou
  d'inhibition
• En contextualisant l'apprentissage comme réponse
  à un vrai problème
• En expliquant la situation d'apprentissage et les
  formes qu'elle va prendre

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Philippe Perrenoud donne sa définition du bon et
du mauvais élève

• Le bon élève qu'attend l'école est celui qui
  s'investit dans les activités, qui coopère,
  montre de l'intérêt et de l'effort avant d'être
  celui qui maîtrise les savoirs. Il est souvent en
  phase avec la culture scolaire.
• Le mauvais élève est celui qui refuse la règle du
  jeu parce qu'il n'en comprend pas le sens et
  parce qu'il dénigre ses savoirs propres,
  développe des stratégies de fuite bâcler, faire
  semblant ou s'avouer incompétent pour mieux se
  protéger.

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Valoriser les savoirs existants

• En recensant et prenant acte des acquis
  préalables.
• En reliant le savoir scolaire au savoir populaire
  et aux pratiques sociales apprendre, pour
  l'élève, c'est d'abord avoir un projet
  d'apprentissage. Préparer sa réussite va donc
  consister à offrir ou suggérer des projets
  d'apprentissage afin d'aider l'élève à se
  projeter dans le futur. Les acquisitions
  prendront un sens si elles sont reliées à des
  finalités, des perspectives, des évolutions.

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Mobiliser un projet d'apprentissage

• En évoquant la future maîtrise d'une compétence.
• En annonçant des critères de réussite.
• En faisant naître un désir de changement je peux
  y arriver...
• En faisant imaginer les moyens de réussite.
• En s'appuyant sur les besoins psychologiques
  individuels.

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Activités de mobilisation

• Exprimer ses intérêts et désintérêts individuels
  sur le sujet.
• Exprimer ses a priori et préjugés, ses craintes
  d'échec.
• Évoquer des emplois de la compétence à acquérir.
• Décrire les futures situations d'apprentissage et
  leur articulation.
• Décrire la tâche à effectuer.
• Élaborer des projets de travail ou des contrats
  d'activités.
• Définir des niveaux de performance à atteindre.
• Recenser des critères à satisfaire pour réussir à
  coup sûr.

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...

• Choisir des méthodes ou des formes de travail.
• Recenser les ressources disponibles à utiliser.
• Témoignage-exemple du maître sur sa propre
  maîtrise et son propre intérêt pour le sujet.

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Des activités d'évocation

• Recenser ce que l'on sait déjà ou ce que l'on
  croit savoir.
• Exposer les questions que l'on se pose sur le
  sujet, ce que l'on aimerait savoir.
• Formuler des hypothèses que l'on fait sur les
  réponses ou solutions.
• Évoquer les images mentales appelées par le sujet
  ou les compétences analogie, champs sémantiques,
  obstacles....
• Utilisation spontanée des savoirs et
  savoir-faire, essais et recherches.
• ...les propres évocations du maître.

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Pendant la leçon

• On entraîne à la déduction logique.
• On entraîne à la formation de concepts (Britt
  Mary Bart)
• On entraîne aux classements et mises en relation.
  (catégo, Hatier)
• On suscite la création originale.
• On diversifie les opérations pour un même
  contenu.
• On varie les consignes et modalités de travail.

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Après la leçon

• On fait identifier les classes de problèmes.
• On fait recenser les procédures de traitement et
  les ressources possibles.
• On permet le choix des contenus et des supports.
• On permet le choix de l'activité et de
  l'approche.
• On observe les procédés et leurs
  dysfonctionnements.
• On analyse les erreurs avec les élèves.
• On fournit les outils d'auto-évaluation et on
  bâtit le projet du prochain apprentissage.