Einfhrung in die franzsische Literaturwissenschaft - PowerPoint PPT Presentation

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Einfhrung in die franzsische Literaturwissenschaft

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Michel Foucault: Les mots et les choses, Surveiller et punir, L histoire de la sexualit ... des cand labres allongeaient des flammes sur les cloches d'argent ; ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Einfhrung in die franzsische Literaturwissenschaft


1
Einführung in die französische Literaturwissenscha
ft
  • Dr. Christoph Mayer
  • WiSe 2008/9

2
10. Unterrichtsstunde
  • Realismus und Naturalismus in Frankreich
  • Theorieansätze (I) Literatursoziologe
  • Arbeitsaufgabe 5
  • Kein Tutorium

3
Neue Ideen
  • Positivismus Auguste Comte
  • "Die Kunstwerke sind als Erzeugnisse und
    Tatsachen anzusehen, deren Wesen zu bestimmen und
    deren Ursachen zu erforschen sind." (Taine)
  • Realismus Stendhal, Balzac, Flaubert
  • Erfassung der Wirklichkeit, Erschaffung einer
    Wirklichkeit
  • Naturalismus Zola, Maupassant
  • Verbindung mit Sozialkritik, Darstellung des
    Alltäglichen

4
Neue Episteme
  • Michel Foucault Les mots et les choses,
    Surveiller et punir, Lhistoire de la sexualité
  • Episteme
  • Renaissance Ähnlichkeit
  • Klassik bis 19. Jh. Repräsentation
  • 19. Jh. bis ? Geschichte

5
Foucault
  • Negiert Autor als Urheber des Textes, fragt nach
    dem Diskurs (so auch Roland Barthes)
  • Analyse von Machtstrukturen
  • Diskursanalyse

6
Pierre Bourdieu
  • (Literatur)Soziologe in der Tradition des
    MARXISMUS
  • Theorie des champ littéraire und des autonomen
    literarischen Feldes
  • Frage nach Habitus der Autoren und Darstellung
    der Wirklichkeit der Gesellschaft in der
    Literatur
  • Autoren als Feldforscher und Analytiker

7
Literatursoziologie
  • Ältere Studien von Lukácz und Goldmann
    Widerspiegelungstheorie
  • Für Bourdieu ist Zola der erste Intellektuelle
    und Flaubert ein Analytiker der Gesellschaft
  • Für Viala entsteht das autonome Feld im 17.
    Jahrhundert

8
Stendhal
  • 1783-1842, egtl. Henri Beyle
  • Vorbild Winckelmann
  • Lucien Leuwen
  • La charteuse de Parme
  • Le rouge et le noir Julien Sorel
  • Kleinere Novellen
  • Italien-Reise

9
Honoré de Balzac (1799-1850)
  • La comédie humaine
  • Le père Goriot
  • La cousine Bette
  • Eugénie Grandet
  • .


10
Le Père Goriot
A propos de ce texte, on peut donc parler du
réalisme de Balzac mais ce réalisme est dépassé
par les symbolismes des descriptions. Les détails
sont triés, choisis pour dégager une
signification le réel est donc transfiguré il
est exagéré et grossi pour être parlant. Balzac a
réussi à donner du relief à la médiocrité et de
la force à la mesquinerie. Mme Vauquer reste une
figure inoubliable de la Comédie Humaine
11
Gustave Flaubert (1821-1880)
  • LEducation sentimentale
  • Madame Bovary
  • Bouvard et Pécuchet
  • Dictionnaire des idées recus

12
Madame Bovary
  • Emma Rouault, Charles Bovary
  • Un bal au château de Vaubyessard
  • maladie nerveuse, Umzug nach Yonville-l'Abbaye
  • Homais, pharmacien progressiste et athée
  • le curé Bournisien
  • Bekanntschaft mit Léon Dupuis, clerc de notaire
  • Avancen von Rodolphe Boulanger, gentilhomme
    campagnard
  • La naissance d'une fille
  • Elle veut s'enfuir avec son amant qui, lâche,
    l'abandonne
  • crise de mysticisme
  • au théâtre de Rouen, revoit Léon, sa maîtresse,
    promenade dans un fiacre
  • invente des mensonges, dépense des sommes
    importantes
  • emprunte à un marchand trop complaisant, Lheureux
  • tente d'emprunter auprès de Léon, puis de
    Rodolphe
  • Emma s'empoisonne avec l'arsenic dérobé chez le
    pharmacien

13
Flaubert Madame Bovary
  • Le bal à Vaubyessard
  • Le château, de construction moderne, à
    l'italienne, avec deux ailes avançant et trois
    perrons se déployait au bas d'une immense pelouse
    où paissaient quelques vaches, entre des bouquets
    de grands arbres espacés, tandis que des
    bannettes d'arbustes, rhododendrons, seringas et
    boules-de-neige bombaient leurs touffes de
    verdure inégales sur la ligne courbe du chemin
    sablé. Une rivière passait sous un pont à
    travers la brume, on distinguait des bâtiments à
    toit de chaume, éparpillés dans la prairie, que
    bordaient en pente douce deux coteaux couverts de
    bois, et par-derrière, dans les massifs, se
    tenaient, sur deux lignes parallèles, les remises
    et les écuries, restes conservés de l'ancien
    château démoli.
  • Le boc de Charles s'arrêta devant le perron du
    milieu des domestiques parurent le marquis
    s'avança, et, offrant son bras à la femme du
    médecin, l'introduisit dans le vestibule.
  • Il était pavé de dalles en marbre très haut, et
    le bruit des pas, avec celui des voix, y
    retentissait comme dans une église. En face
    montait un escalier droit, et à gauche une
    galerie, donnant sur le jardin, conduisait à la
    salle de billard dont on entendait, dès la porte,
    caramboler les boules d'ivoire. Comme elle la
    traversait pour aller au salon, Emma vit autour
    du jeu des hommes à figure grave, le menton posé
    sur de hautes cravates, décorés tous, et qui
    souriaient silencieusement, en poussant leur
    queue. Sur la boiserie sombre du lambris, de
    grands cadres dorés portaient, au bas de leur
    bordure, des noms écrits en lettres noires. Elle
    lut Jean-Antoine d'Andervilliers
    d'Yverbonville, comte de la Vaubyessard et baron
    de la Fresnaye, tué à la bataille de Coutras, le
    20 octobre 1587.

14
Flaubert Madame Bovary
  • Le bal à Vaubyessard (II)
  • Emma se sentit, en entrant, enveloppée par un
    air chaud, mélange du parfum des fleurs et du
    beau linge, du fumet des viandes et de l'odeur
    des truffes. Les bougies des candélabres
    allongeaient des flammes sur les cloches d'argent
    les cristaux à facettes, couverts d'une buée
    mate, se renvoyaient des rayons pâles des
    bouquets étaient en ligne sur toute la longueur
    de la table, et, dans les assiettes à large
    bordure, les serviettes, arrangées en manière de
    bonnet d'évêque, tenaient entre le bâillement de
    leurs deux plis chacune un petit pain de forme
    ovale. Les pattes rouges des homards dépassaient
    les plats de gros fruits dans des corbeilles à
    jour s'étageaient sur la mousse les cailles
    avaient leurs plumes, des fumées montaient et,
    en bas de soie, en culotte courte, en cravate
    blanche, en jabot, grave comme un juge, le maître
    d'hôtel, passant entre les épaules des convives
    les plats tout découpés, faisait d'un coup de sa
    cuiller sauter pour vous le morceau qu'on
    choisissait. Sur le grand poêle de porcelaine à
    baguette de cuivre, une statue de femme drapée
    jusqu'au menton regardait immobile la salle
    pleine de monde.
  • Mme Bovary remarqua que plusieurs dames
    n'avaient pas mis leurs gants dans leur verre.
  • Cependant, au haut bout de la table, seul parmi
    toutes ces femmes, courbé sur son assiette
    remplie, et la serviette nouée dans le dos comme
    un enfant, un vieillard mangeait, laissant tomber
    de sa bouche des gouttes de sauce.

15
Flaubert Madame Bovary
  • Le bal à Vaubyessard (III)
  • Après le souper, où il y eut beaucoup de vins
    d'Espagne et de vins du Rhin, des potages à la
    bisque et au lait d'amandes, des puddings à la
    Trafalgar et toutes sortes de viandes froides
    avec des gelées alentour qui tremblaient dans les
    plats, les voitures, les unes après les autres,
    commencèrent à s'en aller. En écartant du coin le
    rideau de mousseline, on voyait glisser dans
    l'ombre la lumière de leurs lanternes. Les
    banquettes s'éclaircirent quelques joueurs
    restaient encore les musiciens
    rafraîchissaient, sur leur langue, le bout de
    leurs doigts Charles dormait à demi, le dos
    appuyé contre une porte.
  • A trois heures du matin, le cotillon commença.
    Emma ne savait pas valser. Tout le monde valsait,
    Mlle d'Andervilliers elle-même et la Marquise
    il n'y avait plus que les hôtes du château, une
    douzaine de personnes à peu près.
  • Cependant, un des valseurs, qu'on appelait
    familièrement vicomte, et dont le gilet très
    ouvert semblait moulé sur la poitrine, vint une
    seconde fois encore inviter Mme Bovary,
    l'assurant qu'il la guiderait et qu'elle s'en
    tirerait bien.
  • Ils commencèrent lentement, puis allèrent plus
    vite. Ils tournaient tout tournait autour d'eux,
    les lampes, les meubles, les lambris, et le
    parquet, comme un disque sur un pivot. En passant
    auprès des portes, la robe d'Emma, par le bas,
    s'ériflait au pantalon leurs jambes entraient
    l'une dans l'autre il baissait ses regards vers
    elle, elle levait les siens vers lui une
    torpeur la prenait, elle s'arrêta. Ils
    repartirent et, d'un mouvement plus rapide, le
    vicomte, l'entraînant, disparut avec elle
    jusqu'au bout de la galerie, où, haletante, elle
    faillit tomber, et, un instant, s'appuya la tête
    sur sa poitrine.

16
Flaubert Madame Bovary
  • Le bal à Vaubyessard (IV)
  • La journée fut longue, le lendemain ! Elle se
    promena dans son jardinet, passant et revenant
    par les mêmes allées, s'arrêtant devant les
    plates-bandes, devant l'espalier, devant le curé
    de plâtre, considérant avec ébahissement toutes
    ces choses d'autrefois qu'elle connaissait si
    bien. Comme le bal déjà lui semblait loin ! Qui
    donc écartait, à tant de distance, le matin
    d'avant-hier et le soir d'aujourd'hui ? Son
    voyage à la Vaubyessard avait fait un trou dans
    sa vie, à la manière de ces grandes crevasses
    qu'un orage, en une seule nuit, creuse
    quelquefois dans les montagnes. Elle se résigna
    pourtant elle serra pieusement dans la commode
    sa belle toilette et jusqu'à ses souliers de
    satin, dont la semelle s'était jaunie à la cire
    glissante du parquet. Son coeur était comme eux
    au frottement de la richesse, il s'était placé
    dessus quelque chose qui ne s'effacerait pas.
  • Ce fut donc une occupation pour Emma que le
    souvenir de ce bal. Toutes les fois que revenait
    le mercredi, elle se disait en s'éveillant Ah
    ! il y a huit jours... il y a quinze jours..., il
    y a trois semaines, j'y étais ! Et peu à peu,
    les physionomies se confondirent dans sa mémoire,
    elle oublia l'air des contredanses, elle ne vit
    plus si nettement les livrées et les
    appartements quelques détails s'en allèrent,
    mais le regret lui resta.

17
Guy de Maupassant (1850-1893)
  • Novellen und
  • Kurzgeschichten
  • Schauerge-
  • schichten
  • (Le horla)
  • Romane
  • (Bel Ami)

18
Boule de Suif
  • Sammlung Boule de Suif, La Maison Tellier
  • La parure
  • Mais la soif du paraître et de l'admiration, qui
    flatte l'amour-propre, qui met en valeur, a
    dirigé leur vie comme elle dirige celle de bien
    des gens encore aujourd'hui.  C'est un appel à la
    réflexion, une dénonciation de l'absurdité.
  • Par ailleurs, nous pouvons voir combien ce
    dénouement est concis, allant droit au but, sans
    détour, et combien il est prompt, vif et bref.

19
La parure (1883)
  • C'était une de ces jolies et charmantes filles,
    nées, comme par une erreur du destin, dans une
    famille d'employés. Elle n'avait pas de dot, pas
    d'espérance, aucun moyen d'être connue, comprise,
    aimée, épousée par un homme riche et distingué
    et elle se laissa marier avec un petit commis du
    ministère de l'Instruction publique.Elle fut
    simple ne pouvant être parée, mais
    malheureusement comme une déclassée, car les
    femmes n'ont point de caste ni de race, leur
    beauté, leur grâce et leur charme leur servant de
    naissance et de famille. Leur finesse native,
    leur instinct d'élégance, leur souplesse
    d'esprit, sont leur seule hiérarchie, et font des
    filles du peuple les égales des plus grandes
    dames.Elle souffrait sans cesse, se sentant née
    pour toutes les délicatesses et tous les luxes.
    Elle souffrait de la pauvreté de son logement, de
    la misère des murs, de l'usure des sièges, de la
    laideur des étoffes. Toutes ces choses,dont une
    autre femme de sa caste ne se serait même pas
    aperçue, la torturaient et l'indignaient. La vue
    de la petite Bretonne qui faisait son humble
    ménage éveillait en elle des regrets désolés et
    des rêves éperdus. Elle songeait aux antichambres
    muettes, capitonnées avec des tentures
    orientales, éclairées par de hautes torchères de
    bronze, et aux deux grands valets en culotte
    courte qui dorment dans les larges fauteuils,
    assoupis par la chaleur lourde du calorifère.

20
La parure (1883)
  • Le jour de la fête approchait, et Mme Loisel
    semblait triste, inquiète, anxieuse. Sa toilette
    était prête cependant. Son mari lui dit un soir
    "Qu'as-tu ? Voyons, tu es toute drôle depuis
    trois jours."Et elle répondit "Cela m'ennuie
    de n'avoir pas un bijou,pas une pierre,rien à
    mettre sur moi. J'aurai l'air misère comme tout.
    J'aimerais presque mieux ne pas aller à cette
    soirée."Il reprit "Tu mettras des fleurs
    naturelles. C'est très chic en cette saison-ci.
    Pour dix francs tu auras deux ou trois roses
    magnifiques. "Elle n'était point
    convaincue."Non ... il n'y a rien de plus
    humiliant que d'avoir l'air pauvre au milieu de
    femmes riches." Mais son mari s'écria "Que tu
    es bête ! Va trouver ton amie Mme Forestier et
    demande-lui de te prêter des bijoux. Tu es bien
    assez liée avec elle pour faire cela."Elle
    poussa un cri de joie "C'est vrai. Je n'y avais
    point pensé. "
  • Le lendemain, elle se rendit chez son amie et
    lui conta sa détresse.Mme Forestier alla vers
    son armoire à glace, prit un large coffret,
    l'apporta, l'ouvrit, et dit à Mme Loisel
    "Choisis, ma chère."Elle vit d'abord des
    bracelets, puis un collier de perles, puis une
    croix vénitienne, or et pierreries, d'un
    admirable travail. Elle essayait les parures
    devant la glace, hésitait, ne pouvait se décider
    à les quitter, à les rendre. Elle demandait
    toujours "Tu n'as plus rien d'autre ?- Mais
    si. Cherche. Je ne sais pas ce qui peut te
    plaire. "

21
La parure (1883)
  • Il se rendit à la préfecture de Police, aux
    journaux, pour faire promettre une récompense,
    aux compagnies de petites voitures, partout enfin
    où un soupçon d'espoir le poussait.Elle attendit
    tout le jour, dans le même état d'effarement
    devant cet affreux désastre.Loisel revint le
    soir, avec la figure creusée, pâlie il n'avait
    rien découvert."Il faut, dit-il, écrire à ton
    amie que tu as brisé la fermeture de sa rivière
    et que tu la fais réparer. Cela nous donnera le
    temps de nous retourner. "Elle écrivit sous sa
    dictée.
  • Au bout d'une semaine, ils avaient perdu toute
    espérance.Et Loisel, vieilli de cinq ans,
    déclara " Il faut aviser à remplacer ce
    bijou."Ils prirent, le lendemain, la boîte qui
    l'avait renfermé, et se rendirent chez le
    joaillier, dont le nom se trouvait dedans. Il
    consulta ses livres " Ce n'est pas moi, madame,
    qui ai vendu cette rivière j'ai dû seulement
    fournir l'écrin."Alors ils allèrent de bijoutier
    en bijoutier, cherchant une parure pareille à
    l'autre, consultant leurs souvenirs, malades tous
    deux de chagrin et d'angoisse. Ils trouvèrent,
    dans une boutique du Palais-Royal, un chapelet de
    diamants qui leur parut entièrement semblable à
    celui qu'ils cherchaient. Il valait quarante
    mille francs. On le leur laisserait à trente-six
    mille.Ils prièrent donc le joaillier de ne pas
    le vendre avant trois jours. Et ils firent
    condition qu'on le reprendrait, pour
    trente-quatre mille francs, si le premier était
    retrouvé avant la fin de février.

22
La parure (1883)
  • Mme Loisel connut la vie horrible des
    nécessiteux. Elle prit son parti, d'ailleurs,
    tout d'un coup, héroïquement. Il fallait payer
    cette dette effroyable. Elle payerait. On renvoya
    la bonne on changea de logement on loua sous
    les toits une mansarde.Elle connut les gros
    travaux du ménage, les odieuses besognes de la
    cuisine. Elle lava la vaisselle, usant ses ongles
    roses sur les poteries grasses et le fond des
    casseroles. Elle savonna le linge sale, les
    chemises et les torchons, qu'elle faisait sécher
    sur une corde elle descendit à la rue, chaque
    matin, les ordures, et monta l'eau, s'arrêtant à
    chaque étage pour souffler. Et, vêtue comme une
    femme du peuple, elle alla chez le fruitier, chez
    l'épicier, chez le boucher, le panier au bras,
    marchandant, injuriée, défendant sou à sou son
    misérable argent. Il fallait chaque mois payer
    des billets, en renouveler d'autres, obtenir du
    temps. Le mari travaillait,le soir,à mettre au
    net les comptes d'un commerçant, et la nuit,
    souvent, il faisait de la copie à cinq sous la
    page.
  • Et cette vie dura dix ans.

23
La parure (1883)
  • Elle s'approcha."Bonjour, Jeanne."L'autre ne
    la reconnaissait point, s'étonnant d'être appelée
    ainsi familièrement par cette bourgeoise. Elle
    balbutia "Mais... madame !... Je ne sais...
    Vous devez vous tromper.- Non. Je suis Mathilde
    Loisel."Son amie poussa un cri "Oh ! . . . ma
    pauvre Mathilde , comme tu es changée ! ...-
    Oui, j'ai eu des jours bien durs, depuis que je
    ne t'ai vue et bien des misères... et cela à
    cause de toi !...- De moi... Comment ça ?- Tu
    te rappelles bien cette rivière de diamants que
    tu m'as prêtée pour aller à la fête du
    ministère.- Oui. Eh bien ?- Eh bien, je l'ai
    perdue.- Comment ! puisque tu me l'as
    rapportée.- Je t'en ai rapporté une autre toute
    pareille. Et voilà dix ans que nous la payons. Tu
    comprends que ça n'était pas aisé pour nous, qui
    n'avions rien... Enfin c'est fini, et je suis
    rudement contente."Mme Forestier s'était
    arrêtée." Tu dis que tu as acheté une rivière de
    diamants pour remplacer la mienne ?- Oui. Tu ne
    t'en étais pas aperçue,hein? Elles étaient bien
    pareilles."Et elle souriait d'une joie
    orgueilleuse et naïve.Mme Forestier, fort émue,
    lui prit les deux mains." Oh ! ma pauvre
    Mathilde ! Mais la mienne était fausse. Elle
    valait au plus cinq cents francs !..."

24
Emile Zola (1840-1902)
  • Erster Intellektueller Dreyfus-Affäre,
    Jaccuse
  • Zyklus Les Rougon-Macquart. Histoire naturelle et
    sociale dune famille sous le Second Empire
  • Germinal
  • Nana
  • Lassommoir..

25
Charles Baudelaire
  • Erfinder des Begriffs Moderne
  • Le peintre de la vie moderne
  • Constantin Guys
  • Großstadtlyrik
  • Le moderne
  • Le fugitif, le transitoire et le contingent


26
LAlbatros (Fleurs du Mal II)
  • Souvent, pour s'amuser, les hommes
    d'équipagePrennent des albatros, vastes oiseaux
    des mers,Qui suivent, indolents compagnons de
    voyage,Le navire glissant sur les gouffres
    amers.
  • A peine les ont-ils déposés sur les
    planches,Que ces rois de l'azur, maladroits et
    honteux,Laissent piteusement leurs grandes ailes
    blanchesComme des avirons traîner à coté d'eux.
  • Ce voyageur ailé, comme il est gauche et
    veule!Lui, naguère si beau, qu'il est comique et
    laid!L'un agace son bec avec un
    brûle-gueule,L'autre mime, en boitant, l'infirme
    qui volait!
  • Le Poête est semblable au prince des nuéesQui
    hante la tempête et se rit de l'archerExilé sur
    le sol au milieu des huées,Ses ailes de géant
    l'empêchent de marcher.

27
5 Arbeitsaufgabe
  • Lesen Sie den Aufsatz aus dem Buch Torsten König
    u.a. (Hg) Rand-Betrachtungen, Bonn 2006, der
    Ihrer Meinung nach am ehesten mit Ihrem Literaten
    zu tun hat! Kopieren Sie sich diesen Aufsatz!
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