Nutrition Entrale en Ranimation - PowerPoint PPT Presentation

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Nutrition Entrale en Ranimation

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M thodologie: consensus formalis d'experts (RAND/UCLA) Comit d'organisation. P. ... CHAMP I - Apports caloriques, macro et micronutriments (adulte) ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Nutrition Entrale en Ranimation


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Nutrition Entérale en Réanimation
  • Recommandation dexperts
  • Commission des référentiels
  • SRLF 2002-2003

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Méthodologie consensus formalisé dexperts
(RAND/UCLA)
  • Comité dorganisation
  • P. Charbonneau
  • R. Robert
  • J. Levraut
  • S. Leteurtre
  • M. Thuong
  • Conseillers scientifiques
  • C. Chambrier, V. Colomb
  • M. Hasselmann
  • X. Leverve, JC. Melchior
  • G. Nitenberg
  • Experts
  • S. Antoun, D. Barnoud
  • G. Bleichner
  • P. Boulétreau
  • F. Feillet, JP. Fulgencio
  • F. Gottrand
  • D. Guimber
  • J. Petit, MA. Piquet
  • JC. Preiser
  • B. Raynard
  • R. Vermesch, JF. Zazzo

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Les étapes
  • 3 réunions Mai, Septembre, Décembre 2002
  • Définition des champs (5) et sous-champs
  • Elaboration des recommandations (183 ? 128
    propositions)
  • Deux tours de cotation
  • Rédaction du texte des recommandations

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Cotation des propositions
  • Echelle délimitée par 3 zones en fonction de la
    place de la médiane
  • 1 à 3 4 à 6 7 à 9
  • désaccord indécision accord
  • Le degré de convergence selon lintervalle
    min-max
  • - L'accord (ou le désaccord) est dit fort ,
    si l'intervalle est situé à l'intérieur des
    bornes d'une des trois zones 1 à 3 ou 4 à 6
    ou 7 à 9.
  • - L'accord (ou le désaccord) est dit faible
    , si l'intervalle empiète sur une borne,
    (intervalle 1 à 4 ou 6 à 8 par exemple).
  • Dans la méthode RAND/UCLA, une valeur extrême
    haute et une valeur extrême basse sont écartées
    pour définir cet intervalle.

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Champs dapplication
  • Champ I
  • Indications à une nutrition entérale (NE)
  • Aspects quantitatifs et qualitatifs
  • Champ II
  • Mise en route de la NE aspects pratiques
  • Champ III
  • Surveillance complications
  • Champ IV
  • Situations particulières
  • Champ V
  • Evaluation

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CHAMP I - Indications à une assistance
nutritionnelle par voie entérale
  • Dès lors quun jeûne total ou partiel de plus
    dune semaine est prévisible F
  • Voie entérale préférentielle F
  • Non-indications
  • Patients non dénutris chez qui le jeûne
    prévisible lt 1 semaine et le niveau dagression
    peu sévère f
  • Patients dont le pronostic vital est engagé à
    court terme et pour lesquels, les thérapeutiques
    curatives ont été arrêtées F
  • Contre-indications
  • Patients comateux sans protection des voies
    aériennes f
  • Instabilité hémodynamique à la phase initiale f
  • Occlusion digestive mécanique F

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CHAMP I - Apports caloriques, macro et
micronutriments (adulte)
  • Apport énergétique quotidien usuel 25 à 35
    Kcal/kg (calories totales, apport protéique
    inclus) F
  • Association de glucides (40-60), de lipides
    (20-40) et de protéines (15-25) F
  • Besoins de base (ANC) en micronutriments
    (vitamines et oligoéléments) 2000ml/j des
    mélanges industriels F
  • Objectif quantitatif à atteindre et à ne pas
    dépasser 100 de la dépense énergétique, en
    période aiguë f

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CHAMP I - Apports caloriques, macro et
micronutriments (pédiatrie)
  • Besoins énergétiques journaliers estimés
  • de 120 à 90 kcal/kg pour les nourrissons de 0 à 1
    an,
  • de 90 à 75 kcal/kg pour les enfants de 1 à 7 ans,
  • de 75 à 60 kcal/kg pour les enfants de 7 à 12 ans
  • de 60 à 30 kcal/kg entre 12 et 18 ans F
  • Apports glucidiques 40 à 50 des apports
    caloriques chez le nourrisson et lenfant. F
  • Besoins et apports protidiques
  • besoins NN  3g/kg/j, NRS  2.5g/kg/j, enfant 
    2g/kg/j)
  • apport protéique environ 15 des apports
    caloriques totaux F
  • Les vitamines et les oligoéléments dans toutes
    les solutions de nutrition entérale F

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CHAMP I - Les produits disponibles
  • Seuls, les produits industriels doivent être
    utilisés, et ce, dans leur conditionnement
    dorigine. F
  • Les préparations standard  polymériques, iso ou
    hyper-caloriques, avec ou sans fibres. F
  • Le recours à des mélanges semi-élémentaires nest
    pas justifié. f

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CHAMP II Mise en route de la NEVoie dabord
  • Sonde naso ou orogastrique en première intention
    F
  • Une gastrostomie ou jéjunostomie
  • NE de longue durée
  • Choix de la technique de pose F
  • Chez ladulte, une jéjunostomie peut être
    proposée au cours dune chirurgie gastrique,
    sophagienne ou lors dune laparotomie de
    chirurgie lourde. F

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CHAMP II Mise en route de la NEVoie
dintroduction de la sonde
  • Introduction de la sonde par voie nasale f
  • Voie buccale en cas dobstacle nasal bilatéral ou
    de traumatisme du massif facial. F
  • Chez le nourrisson (âge lt 3 mois) voie buccale
    impérative. F

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CHAMP II Mise en route de la NEPosition de
lextrémité distale de la sonde, calibre, matériau
  • Extrémité distale de la sonde placée dans
    lestomac, en évitant la position sous-cardiale.
    F
  • Sondes de petit calibre ( 14 F chez ladulte,
    6-10 F chez lenfant), en silicone ou en
    polyuréthane. F
  • Mise en place, au-delà de langle de Treitz, en
    cas 
  • de trouble persistant de la vidange gastrique F
  • de pancréatite aiguë compliquée, de fistule
    pancréatique à débit élevé f

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CHAMP II Mise en route de la NE Contrôle après
la pose
  • Contrôle du bon positionnement de la sonde
    radiologique. F
  • Prévention des fausses routes des sondes ou de
    leur déplacement secondaire
  • bonne fixation et contrôle régulier de la
    position de la sonde. F
  • Sassurer de labsence de mobilisation de la
    sonde 
  • par un contrôle quotidien de visu du repère
    extérieur de la sonde et par la radiographie de
    thorax effectuée en routine F
  • devant lapparition de troubles digestifs
    (vomissements, diarrhée, reflux..) par un nouveau
    contrôle radiologique. F
  • Autres méthodes de contrôle (insufflation dair,
    pH du liquide aspiré)
  • Incertitude sur la bonne position. f

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CHAMP II Mise en route de la NE Quand débuter
la NE?
  • Le bénéfice dune nutrition entérale instaurée
    très précocement (H6 à H12) ou précocément (ltH36)
    a été démontré chez les patients chirurgicaux
    chirurgie viscérale majeure, polytraumatisé et
    les brûlés graves. F

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CHAMP II Mise en route de la NE Modalités
dadministration
  • Utilisation dune pompe à débit continu. F
  • Après estimation de la tolérance digestive
    (volume résiduel),
  • un régime starter soit  une augmentation
    progressive du débit et des concentrations  non
    justifié. f
  • En cas dintolérance digestive haute et en
    instillation jéjunale,
  • administration rapidement progressive en 48 à 72
    heures. F
  • Chez lenfant,
  • pompe volumétrique impérative
  • Réfrigérer les produits dalimentation
    reconstitués. F

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CHAMP III Surveillance - complications
  • Examen clinique quotidien (abdomen et transit
    notamment) du patient sous NE impératif. F
  • A la phase initiale,
  • mesure du volume résiduel gastrique toutes les 4
    à 6 heures, sans nécessité dinterrompre la
    nutrition. f
  • Seuil définissant lintolérance gastrique, le
    plus souvent retenu  à dire dexpert  est de
    150 à 300 mL. f
  • Contrôle de la glycémie F

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CHAMP III Surveillance Complications (1)
  • Prévention des pneumopathies dinhalation
  • position demi-assise du malade F
  • - sondes naso-duodénales trans-pyloriques F
  • - gastrostomie F
  • Sinusites nosocomiales
  • plus fréquentes avec les sondes digestives
    introduites par le nez quavec celles introduites
    par la bouche. F
  • Prévention de l'obstruction de sonde
  • rinçage suffisant avec de l'eau (10 à 20 ml chez
    ladulte ou adapté au poids de lenfant), à
    chaque prise médicamenteuse. F

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CHAMP III Surveillance Complications (2)
  • En cas dintolérance digestive haute et après
    élimination des facteurs favorisants, la
    prescription de prokinétiques est recommandée.
    F
  • lérythromycine (3mg/kg, 3 à 4 fois / jour sur
    30min), en labsence de contre-indications et par
    voie intraveineuse
  • le métoclopramide (10 mg, 3 fois / jour)
  • Chez lenfant, les doses de métoclopramide sont
    de 0.15mg/kg/jour en une prise et de 5mg/kg, 3
    fois/jour, pour lérythromycine (hors A.M.M.).
  • En cas déchec, linstillation postpylorique
    (avec ou sans aspiration gastrique simultanée)
    permet de poursuivre lalimentation entérale f
  • En dernier lieu, réduction des apports F

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CHAMP III Surveillance Complications (3)
  • Prévention de la contamination des apports
    nutritionnels
  • asepsie des manipulations F
  • Recherche de toxine de Clostridium difficile
    indispensable devant toute diarrhée sous
    nutrition entérale. f
  • Ralentisseurs du transit (lopéramide 4 à 16 mg/j)
    après vérification des bonnes pratiques (CI chez
    lenfant lt 2 ans). F
  • Saccharomyces boulardii réduit le risque de
    survenue dune diarrhée au cours de la nutrition
    entérale indécision - f
  • Seules les fibres représentées par les gommes et
    les mucilages ont un effet préventif sur la
    diarrhée et la constipation f

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CHAMP IVSituations particulières (1)
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CHAMP IV Situations particulières (2)
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CHAMP V Evaluation (1)
  • Evaluation de létat nutritionnel dans les 24
    heures suivant l'admission en réanimation est
    impérative F
  • indice de masse corporelle (IMC) inférieur ou
    égal à 18,5 ( 22 au-delà de 70ans) F
  • perte de poids involontaire de 5 en 1 mois ou de
    plus de 10 sur 6 mois (chez lenfant, lt85 du
    poids théorique pour lâge) F
  • données biologiques
  • transthyrétinémie inférieure à 110 mg/L f
  • albuminémie inférieure à 30-35 g/L f
  • CRP gt 50 mg/L désaccord, f

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CHAMP V Evaluation (2)Evaluation de
lefficacité nutritionnelle
  • En période aiguë
  • surveillance quotidienne du poids et son
    évolution F
  • détermination hebdomadaire de lalbuminémie f
  • détermination de la balance azotée f
  • En phase post-agressive
  • prise de poids f
  • normalisation de lalbuminémie f
  • bilan azoté positif f
  • augmentation de la transthyrétinémie f

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CHAMP V Evaluation (3)
  • Indicateurs de qualité de la NE en réanimation
  • relevé quotidien de lécart entre la nutrition
    prescrite et la nutrition dispensée F
  • relevé des incidents et complications
    intercurrentes liés à la nutrition F
  • Démarche qualité de la prescription de la NE
  • rédaction de protocoles, réalisation daudits,
    rappel régulier des références de bonne pratique
    F
  • Mise en place dun Comité de Liaison en
    Alimentation et Nutrition (C.L.A.N.),
    circulaire DHOS 29 Mars 2002 F

25
CONCLUSIONS
  • 67 daccord fort
  • Voies de recherche
  • Place et coût de la pharmaconutrition chez les
    patients de réanimation
  • Evaluation de lefficacité nutritionnelle en
    phase aiguë
  • Pancréatite aiguë compliquée
  • Impact dune démarche-qualité, référent en
    nutrition clinique
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