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La PAC et sa rforme

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2 Contexte de la naissance de la PAC. 3 Quelques dates cl s de la PAC ... 10-11 Du d ficit aux exc dents : 1) le processus et 2) les cons quences. 12 La protection ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: La PAC et sa rforme


1
La PAC et sa réforme
  • Liste des diapositives
  • 2 Contexte de la naissance de la PAC
  • 3 Quelques dates clés de la PAC
  • 4 Objectifs de la PAC
  • 5 Fonctionnement de la PAC
  • 6 Principaux instruments de la PAC
  • 7 Schéma de lOCM céréales
  • 8 -9 Concentration-intensification de la
    production - 1 et 2
  • 10-11 Du déficit aux excédents  1) le
    processus et 2) les conséquences
  • 12 La protection incomplète du marché européen
    hypothèque la viabilité de la PAC
  • 13 Schéma les accords de 1962 au GATT ont
    déséquilibré le commerce extérieur de lUE
  • 14 La déformation du commerce extérieur suite à
    la protection incomplète du marché
  • 15 Les répercussions budgétaires de la protection
    imparfaite du marché européen
  • 16 Les impacts de la protection imparfaite du
    marché sur les structures de production
  • 17 La perte de légitimité de la PAC au niveau
    interne et externe
  • 18La guerre commerciale sur les marchés agricoles
  • 19 Le dumping, un problème épineux pour des
    marchés mal protégés
  • 20 Les premières tentatives de gestion de loffre
  • 21 La réforme de la PAC de 1992

2
Contexte de la naissance de la PAC
  • Après la guerre 1940-45, l'Europe dépend
    fortement, pour les principaux produits
    alimentaires, des importations de produits
    agricoles étrangers, surtout en provenance des
    États-Unis. La productivité moindre de
    l'agriculture européenne par rapport à celle des
    États-Unis rend la croissance des importations
    inéluctables
  • Les pénuries qui ont sévi durant la période
    marquée par la guerre ont servi de leçon.
  • L'Europe veut accroître son degré
    d'autosuffisance alimentaire, ce quelle
    considère désormais comme important pour sa
    sécurité. Elle se dote pour cela d'un outil la
    Politique Agricole Commune (PAC).

3
Quelques dates clés de la PAC
  • 1957 Naissance de lUnion européenne à 6
    membres
  • 1962 Accord au Cycle Dillon du GATT autorisant
    la création de la PAC, en échange de droits nuls
    sur les importations eur. daliments du bétail
  • 1963 Accords de Stresa sur la création de la
    PAC
  • 1967 Mise en uvre de la première organisation
    commune du marché pour les céréales, qui sert de
    modèle aux autres produits
  • 1968 Mise en uvre de limportante réforme
    structurelle (plan Mansholt) visant à accroître
    la productivité
  • les agriculteurs européens font de la casse à
    Bruxelles
  • 1992 Réforme à laube du Cycle dUruguay (sous
    Mc Sharry)
  • 1993 Signature des accords GATT à lissue du
    Cycle dUruguay
  • 2000 Nouvelle réforme de la PAC - Agenda 2000
    (sous Fishler)
  • 2003 Nouvelle réforme de la PAC (toujours sous
    Fishler)

4
Objectifs de la PAC
  • - augmenter la productivité, via le progrès
    technique
  • - stabiliser les marchés
  • - assurer la sécurité d'approvisionnement des
    consommateurs et des industries de transformation
    des produits agricoles
  • - fournir un revenu équitable aux agriculteurs
  • - fournir des produits à des prix raisonnables
    pour le consommateur.

5
Fonctionnement de la PAC
  • Le fonctionnement de la PAC repose sur un système
    de prix garantis et sur une protection aux
    frontières. Le tout est basé sur 3 principes
  • le marché unique 
  • la préférence communautaire 
  • la solidarité financière entre les États membres.
  • L'organisation commune du marché des céréales
    illustre bien le système européen qui fonctionne
    pour certains produits (céréales, lait, viande
    bovine, sucre,...) comme une écluse isolant le
    marché intérieur des fluctuations du marché
    mondial.

6
Principaux instruments de la PAC
  • Trois prix sont fixés annuellement pour
    l'ensemble de la CE 
  • - le prix indicatif, dont dépend le niveau du
    prix intérieur. Ce prix est l'objet d'une
    décision politique et est négocié chaque année
    entre les Etats membres.
  • - le prix de seuil, basé sur le prix indicatif,
    est le prix minimum d'un produit. Ce qui signifie
    qu'un produit d'importation qui serait moins cher
    est automatiquement taxé de façon à atteindre le
    prix de seuil. C'est une mesure de protection des
    produits européens.
  • - le prix dintervention, basé sur le prix
    indicatif, est le prix auquel la CEE garantit
    l'achat de toute offre de produits CEE. Cette
    intervention permet d'absorber et de stocker les
    excédents tout en régulant le marché par le jeu
    du stockage et du déstockage.
  • Pour permettre lécoulement des produits
    européens sur les marchés extérieurs
    interviennent les restitutions aux exportations,
    qui comblent la différence entre prix extérieurs
    et intérieurs.
  • En cas de saturation du marché, les organismes
    dinterventions sont obligés de se porter
    acquéreur au prix dintervention, avec un
    financement européen.

7
Schéma de lOCM céréales
8
Concentration-intensification de la production-1
  • La façon dont a été gérée la PAC -via des prix
    garantis pour des quantités illimitées- a
    avantagé les exploitations fournissant des
    volumes importants et les régions les plus
    productives.
  • Les structures agricoles ont évolué en
    concentrant la production dans de grosses
    exploitations et les régions les plus favorables.
  •  En termes sociaux, le processus a entraîné la
    réduction de l'emploi agricole , la paupérisation
    de nombreux agriculteurs et le dépérissement
    économique de régions entières , menant à une
    désertification progressive du milieu rural.
  • En termes denvironnement, ce processus la
    désertification provoque une régression du
    paysage et des milieux naturels liés à
    lagriculture dans les zones de culture
    intensive par contre, les pressions saccroissent
    (nitrates, pesticides, monocultures).
  • Le processus a aussi des conséquences néfastes
    sur le plan sanitaire (crises , allergies ) et le
    renforcement des normes porte atteinte à la
    production artisanale et à la qualité des
    aliments.

9
Concentration-intensification de la production-2
  • Quelques illustrations du processus
  • en Belgique, le nombre d'exploitation est passé
    de 225.198 en 1965 à 80.974 en 1992 et à 49.850
    en 2006 
  • dans l'UE des 15, une ferme familiale disparaît
    toutes les 2 minutes 
  • de 2001 à 2006, soit en cinq ans, lemploi passe
    de 102.868 à 92.405 unités (temps plein et
    partiel)
  • 6 des céréaliers produisent 60 de la production
    de céréales européenne 
  • 90 de la production des élevages avicoles sont
    aux mains de 10 des producteurs.

10
Du déficit aux excédents  le processus
  • La politique agricole commune, depuis sa
    création, comporte des éléments qui sont à la
    base d'un cercle vicieux
  • la PAC garantit les prix aux agriculteurs quelles
    que soient les quantités produites 
  • mais ces prix garantis baissent régulièrement,
    obligeant les agriculteurs à intensifier leur
    façon de produire et à accroître les superficies
    cultivées afin d'essayer de maintenir leurs
    revenus 
  • ce processus est encore renforcé par les réformes
    structurelles, induites notamment par le Plan
    Mansholt, qui visent à modifier les structures de
    production dans le sens de l'accroissement de la
    productivité.

11
Du déficit aux excédents  les conséquences
  • Ces mécanismes contribuent à lintensification de
    lactivité agricole et induisent une croissance
    rapide des quantités produites, qui dépassent
    bientôt les besoins de l'Europe. Dès la fin des
    années 70 des excédents de plus en plus important
    se forment.
  • Le fonctionnement de lintervention sest traduit
    par la constitution de stocks croissants et
    extrêmement coûteux de céréales, de beurre, de
    poudre de lait et de viande.
  • Sur le marché mondial, arrivent des quantités
    toujours plus grandes de produits agricoles, ce
    qui fait chuter les prix.
  • Parallèlement, lintensification de lactivité
    agricole conduit à diverses conséquences
    néfastes, notamment sur le plan de la réduction
    de l'emploi agricole, de la "désertification"
    progressive du milieu rural et des atteintes à
    l'environnement.

12
Lapplication incomplète de la préférence
communautaire hypothèque la viabilité de la PAC
  • Toutes les conditions sont remplies pour que dès
    ses débuts, la politique agricole européenne soit
    prise dans une contradiction irréductible -la
    protection imparfaite de la préférence
    communautaire- qui modifie les comportements
    économiques de tout un chacun. Les producteurs,
    en particulier, modifient les leurs ils
    produisent les produits soutenus par la politique
    agricole commune, et ils achètent, les produits
    qui ne bénéficient pas de la préférence
    communautaire tels les tourteaux de soja et les
    produits de substitution aux céréales (PSC)
    entrant dans les aliments pour bétail.

13
Les accords commerciaux de 1962 au GATT ont
déformé le commerce extérieur de l'UE
Evolution du solde importateur ou exportateur net
de l'Union européenne entre 1967 et 1991 pour les
céréales et les produits servant à l'alimentation
du bétail. (UE-10 1967-1985 UE-12
1986-1991). Source Sneessens,
Jean-François, Stratégie pour une agriculture
rurale, Louvain-la-neuve, 1996, p.7.
14
La déformation du commerce extérieur de lUE
suite à la protection imparfaite de la préférence
communautaire
  • Les deux courbes évoluent en sens inverse alors
    que leur total est relativement stable sur 25
    ans
  • - d'une part, l'accroissement important du
    déficit en aliment pour bétail importé à droit
    nul, qui ne rapporte pas un sous au FEOGA 
  • - d'autre part, le passage d'une situation
    déficitaire en céréale (qui rapportait les
    prélèvements au FEOGA) à une situation fortement
    excédentaire (qui coûtait quelque 30 du FEOGA).

15
Les répercussions budgétaires de la protection
imparfaite du marché communautaire
  • Avant 1991 (réforme de la PAC), le coût des
    excédents agricoles européens occasionnés par les
    opérations de stockage et les subventions aux
    exportations représentait 40 du budget agricole
    de l'UE. Ces dépenses profitent principalement
    aux exportateurs agroalimentaires.
  • Cette importance doit cependant être considérée
    en tenant compte du problème des droits nuls pour
    les importations dalimentation animale.
  • Il faut en outre considérer l'avantage
    incontestable que revêt l'organisation du marché
    qui a stabilisé les prix communautaires et
    contribué à atteindre l'autosuffisance
    alimentaire dont l'Europe était loin à la sortie
    de la guerre.
  • En outre, la PAC est pratiquement lunique
    politique commune de lUE à ses débuts.

16
Les impacts de la protection imparfaite de la
préférence communautaire sur les structures de
production
  • Les effets sur les structures de production et
    l'occupation du territoire sont à la mesure de la
    place déterminante qu'occupe la production de
    l'alimentation du bétail dans la superficie
    agricole utile place qui équivaut à 75 de la
    surface agricole utile (S.A.U.)
  • Les effets sur les structures de production
    concernent aussi lenvironnement on passe dun
    système intégré cultures-élevages (en vigueur
    depuis des millénaires en Europe) à un système où
    ses deux secteurs sautonomisent.
  • Lélevage hors sol est fortement favorisé. La
    pollution par les nitrates saccentue.

17
La perte de légitimité de la PAC au niveau
interne et externe
  • A lintérieur importance du budget consacré et
    impact sur le modèle de production (pollution du
    secteur, développement des élevages industriels).
  • A lextérieur limportance des soutiens accordés
    aux producteurs est critiquée au sein du GATT par
    les tenants de la libéralisation agricole, les
    USA et le Groupe de Cairns (gros exportateurs du
    Nord et du Sud) en particulier.

18
La guerre commerciale sur les marchés agricoles
  • Au moment où, en 1986, débute le Cycle dUruguay
    qui doit aborder les négociations agricoles, la
    guerre commerciale agricole bat son plein entre
    les Etats-Unis et l'UE, alors que les excédents
    agricoles atteignent des niveaux historiques.
  • Pour les pays producteurs d'excédents agricoles,
    tous les moyens sont bons afin d'écouler leur
    production, y compris sous la forme d'aide
    alimentaire.
  • Les pratiques américaines résultaient d'une
    politique agressive de conquête des marchés,
    motivés par un potentiel agricole considérable.
  • Celles de l'UE par contre étaient dictées par la
    nécessité d'écouler des excédents qui résultaient
    de faiblesses de la PAC, à savoir l'absence de
    maîtrise de l'offre ainsi que les lacunes dans la
    protection du marché européen pour les aliments
    du bétail (résultat du Cycle Dillon de 62).
  • Ces travers de la PAC et la pression de pôles de
    production intensifiés et spécialisés l'ont
    écarté de sa mission première d'assurer
    l'autosuffisance européenne pour l'entraîner vers
    une politique agro exportatrice.

19
Le dumping, un problème épineux pour des marchés
mal protégés
  • L'écoulement des excédents européens et
    américains en direction des pays du Sud a pris la
    forme d'aides alimentaires, mais surtout
    d'exportations commerciales subventionnées.
  • Souvent, les aides alimentaires ont favorisé des
    importations commerciales vers les villes du Sud,
    habituant les populations à consommer de nouveaux
    produits, non cultivables localement (par
    exemple, le pain en Afrique).
  • La mise à disposition d'une nourriture importée à
    meilleur marché concurrence l'arrière-pays qui,
    traditionnellement, les approvisionnait. Les
    paysans sont dès lors privés de l'indispensable
    complémentarité avec la ville.
  • Ils remplacent leurs cultures vivrières par des
    cultures d'exportation, en cela fortement
    encadrés par les pouvoirs publics conscients du
    fait que les importations alimentaires
    nécessitent des sources de devises. Mais c'est un
    pari, car la réduction constante des prix et la
    concurrence des grandes plantations ne leur
    assure pas nécessairement de revenus suffisants.

20
Premières tentatives de gestion de loffre
  • Face aux excédents, différentes tentatives de
    correction de la situation ont été menées et dont
    la pertinence et le succès furent discutables.
  • Pour le lait cette situation a conduit, en 1984,
    à la mise en place de quota de production
    laitière permettant de stabiliser la production
    européenne.
  • En ce qui concerne les céréales, des quantités
    maximales garanties (QMG) furent instaurées et
    décidées chaque année lors des accords sur les
    prix. En cas de dépassement de ces QMG, les prix
    institutionnels étaient abaissés.
  • On pu observer quau lieu de diminuer les volumes
    produits, les agriculteurs les augmentaient en
    intensifiant toujours plus leur production afin
    de compenser la baisse à l'unité. Les effets
    pervers du système sont donc l'intensification
    croissante de la production, la permanence des
    excédents et l'envolée des coûts budgétaires.

21
La réforme de la PAC de 1992
  • Le grand principe en est une baisse importante du
    prix des céréales et de la viande bovine, en vue
    de les rapprocher des niveaux des prix
    internationaux, lobjectif étant à terme de
    pouvoir exporter sans restitutions et de
    reconquérir le marché européen de lalimentation
    animale en ce qui concerne les céréales.
  • Des aides directes sont offertes en compensation,
    octroyées à lhectare (sans plafond) et calculées
    en fonction dun rendement moyen régionalisé.
  • Elles sont conditionnées à un retrait de la
    production (gel) de 15 de la surface. Les
    oléagineux ont été les premières cultures à être
    soumises à ce nouveau régime, afin de permettre à
    la Communauté de se conformer aux décisions du
    GATT (cf. conclusions du panel soja).
  • La forte baisse du prix des céréales favorise une
    plus forte incorporation de céréales européennes
    dans lalimentation du bétail.
  • Mais la réforme désavantage fortement lherbe et
    autres fourrages verts, à lexception du maïs
    ensilage, qui lui, bénéficie de la même prime que
    le maïs grain. Les mesures agissent comme un
    subside à lintensification de lélevage en
    réduisant le prix des aliments concentrés.
  • En favorisant le maïs et les céréales dans
    lalimentation animale, on accroit le besoin en
    protéines, conformément à lesprit de laccord
    entre lUE et les USA de Blair House.

22
La réforme de la PAC de lAgenda 2000
  • Il suffit de lire les priorités données à la PAC
    dans lagenda 2000, nouvelle réforme adoptée en
    mars 1999, pour comprendre que les leçons nont
    pas été tirées des scandales liés à
    lalimentation du bétail. En donnant la priorité
    à lexportation , donc à labaissement des prix
    agricoles européens (à moins que ce ne soit
    linverse) pour pouvoir exporter sans subvention,
    lUE refuse dadmettre que plus elle exporte de
    produits de moins en moins chers, plus elle
  • sappauvrit, et plus le nombre dagriculteurs
    diminue. Elle est encore empêchée par ses firmes
    de commerce et dindustrie dadmettre
    publiquement que lUE na dexcédents en produits
    animaux que sous forme daliments importés et
    transformés.
  • Lagenda 2000 a donc décidé
  • - une nouvelle baisse des prix des céréales de
    15,
  • - un alignement de laide aux oléagineux sur
    celui des céréales, et une diminution de laide
    aux protéagineux, ce qui réduit encore lattrait
    de ces cultures pourtant si déficitaires,
  • - un taux de base de gel des terres à 10,
  • - le maintien de la prime au maïs ensilage.

23
La réforme la PAC de 2003
  • La réforme est intervenue le 26 juin 2003, avec
    lobjectif de renforcer la compétitivité de
    l'agriculture européenne et de la mettre
    davantage en phase avec le marché, de contribuer
    à simplifier la PAC, de faciliter le processus
    d'élargissement et de contribuer à une meilleure
    prise en compte de la PAC au sein de l'OMC.
  • La révision de la politique de marché de la PAC
    touche essentiellement les céréales, certains
    produits laitiers (les quotas sont maintenus
    jusqu'en 2014-2015), le riz, le blé dur, les
    fruits à coque, les fécules de pommes de terre et
    le fourrage séché.
  • Les baisses de prix sont partiellement compensées
    par un relèvement des paiements directs aux
    producteurs de cultures arables, qui prennent la
    forme dun paiement unique par exploitation,
    indépendant de la production (découplage).
  • Les paiements directs sont subordonnés au respect
    de normes extra légales en matière d
    environnement, de sécurité des aliments, de
    bien-être animal, de santé et de sécurité au
    travail, ainsi qu'à l'obligation de mieux
    entretenir les terres (écoconditionnalité).
  • Une réduction des paiements directs est
    programmée entre 2006 et 2012 (dégressivité), les
    montants épargnés étant partiellement affectés au
    développement rural (de 1 à 6 entre 2006 et
    2011). La réduction nest pas uniforme et varie
    en fonction de limportance des revenus des
    exploitations (la modulation  exonération de
    réduction des revenus par exploitation pour les
    montants annuels de moins de 5000 et réduction
    différentielle pour les montants annuels de 5000
    à 50.000 ).
  • Enfin, une partie des économies réalisées sur le
    premier pilier sont réorientés vers le
    développement rural, dont le champ est qq peu
    élargi (promotion de la qualité des aliments et
    du bien-être animal, aide aux agriculteurs pour
    appliquer les normes de l'UE).
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