Title: 2 Larbitrage entre les modalits alternatives
12- Larbitrage entre les modalités alternatives
- 2.1- Introduction
- 2.2- Théorie de la réglementation (Les approches
standards de lintervention publique) - 2.3- la gestion des incitations par les autorités
publiques (La nouvelle économie de la
réglementation,NER) - 2.4- Lapproche contractuelle à loffre de BS
publics (TCT, TCI) - Cours du 2 mai 2007
22.4 lapproche contractuelle à loffre de BS
public
- 2.4.1 la diversité des approches contractuelle
(TCT, TCI), une introduction - 2.4.2 application à loffre de BS public
32.4.1
- La diversité des approches contractuelle (TCT,
TCI) - une introduction
4Introduction
- Le contrat comme mode de coordination entre les
autorités publiques et les opérateurs (privés ou
publics)/ conception quasi contractuelle de la
réglementation - Le contrat doit assurer luniversalité et la
gestion efficace des essential facilities dans la
production de BS publics la gestion déléguée - Quel mode dorganisation régie, concession,
affermage - Quel contrat de délégation?
- Quest ce qui doit figurer dans un contrat?
Quest ce quun contrat efficace? - Comment faire en sorte que le cahier des charges
fixé par les pouvoirs publics soit respecté? - Comment faire en sorte que chacun soit incité à
agir dans le sens de lintérêt général? - Deux approches en termes de contrat incomplet la
TCT et la TCI
5Pourquoi un contrat incomplet?
- Le contrat complet dans la théorie des
incitations (rappel) - Les entreprises régulées et les autorités sont
engagées dans des relations de longues durée et
qui évoluent dans un environnement technique
changeant - Idéalement, les relations devraient être régies
par des contrats complets de long terme contrant
toutes les éventualités - En pratique, lengagement est de court terme et
incomplet
6Les hypothèses qui empêchent de passer un contrat
complet
- La rationalité limitée (TCT)
- linvérifiabilité ex post de certaines variables
centrales dans la relation (TCI) - Lincertitude radicale au sens de Knight
complexité de lenvironnement (TCT) - Environnement risqué (TCI)
- Information imparfaite pour les parties et pour
lenvironnement institutionnel mais information
symétrique (TCI)
7Les conséquences de lincomplétude
- La distinction entre ex ante et ex post
- Les coûts de transaction
- Leffet cliquet
- Le problème du hold-up
- Linterprétation de la TCT
- Linterprétation de la NTDP-TCI
81. Les différences ex ante/ ex post
- Comme tout ne peut pas (ne vaut pas le coût d)
être écrit dans le contrat ex ante, il est
nécessaire de compléter les blancs ex post
(une fois que les évènements se produisent), ce
qui implique de renégocier le contrat - il y a donc des différences entre les conditions
ex ante et ex post et une phase de renégociation
essentielle dans la vie du contrat - les parties savent quelles pourront être amenées
à renégocier importance de lidentité et des
caractéristiques personnelles des parties
(opportunisme/ rationalité)
92. Les coûts de transaction
- Deux types de coûts
- ex ante, lécriture des contrats est coûteuse
- ex post, les contrats sont révisés et renégociés
ce qui est coûteux car les parties peuvent avoir
du mal à se mettre daccord ou elles peuvent
avoir des informations différentes et la
négociation naboutit pas à une décision
efficace. - INEFFICACITE en raison de ces coûts de
transaction
103. Leffet de cliquet
- Linformation est asymétrique, imparfaite
- Le régulateur ne peut pas ignorer les
informations obtenue en cours de route une
fois que la firme régulée produit et quil
observe le résultat. - Par ex si elle produit de manière très efficace
aujourdhui, elle se verra imposer des contrats
de régulation plus ambitieux demain. Le sachant,
la firme na pas intérêt à être efficace
aujourdhui - SOURCES dINEFFICACITÉ La firme va chercher à
cacher ses capacités en obtenant des performances
inférieures effet cliquet
114. Leffet de hold up de la quasi-rente
- Article fondateur Klein, Crawford, Alchian 1978
appliqué à la relation acheteur/ vendeur - La firme a fait des investissements spécifiques à
la relation bilatérale (généralisable à la
relation de régulation) - Lactif spécifique est source de surplus (quasi
rente) dont une grande partie serait perdue en
cas de rupture
12Le modèle de lacheteur et du vendeur (Grossman,
Moore, JPE 1990)
- Deux acteurs (firmes) B (acheteur) et S
(fournisseur) - b et s le montant des investissements spécifiques
non vérifiables - Profit total ex ante de la relation déchange
V(b,s)-b-s - Le profit total ex post (les frais b et s sont
engagés) V(b,s)
13- Les options extérieures de B et S
- VB(b, AB) le plus haut rendement que B peut
obtenir de son investissement hors de la relation
étant donné quil possède AB - VS(s, AS) le plus haut rendement que S peut
obtenir de son investissement hors de la relation
étant donné quil possède AS
14création dun quasi-rente
- VgtVsVB car la relation génère une quasi-rente
V-Vs-VB - Timing du modèle
- Quels sont les investissements optimaux?
t1 Les parties investissent b et s taille du
gâteau
t2 Les parties négocient la répartition du
gâteau
15Négociation de Nash (symétrique)
- Les rentes sont divisées en deux parts égales
- Les options de sortie déterminent le minimum qui
peut être obtenu par chaque partie, seul la
quasi-rente fait lobjet dun partage - pB(b,s)VB1/2(V-VB-VS)1/2V1/2VB-1/2VS
- pS(b,s)VS1/2(V-VB-VS)1/2V1/2VS-1/2VB
16- Pour déterminer les investissements optimaux,
chaque partie maximise son profit - Max pB(b,s)-b
- Max pS(b,s)-s
- Hyp
17- Lorsquil ny a pas de quasi-rente (VVBVS)
alors B et S ont les bonnes incitations pour
investir, lincomplétude du contrat est sans
conséquence - Lorsquil y a une quasi-rente (les
investissements sont spécifiques) (VgtVBVS) alors
il y a sous-investissement
18- Les parties ninvestissement pas de manière
efficace car elles craignent dêtre expropriées
par lautre partie cest le problème du hold up - Résultats
- Lorsque les investissements sont spécifiques à la
relation, lincomplétude affecte les incitations - Le droit de contrôle sur les actifs Ai détermine
les options de défaut - Les actifs déterminent le pouvoir de négociation
( droits de hold up) de chaque partie
19Hold up (conclusion)
- Comme le contrat est incomplet, le partenaire
peut adopter un comportement opportuniste visant
à capter une partie de la quasi rente
(expropriation/ hold up) - INEFFICACITE anticipant le risque
dexpropriation, la firme va tenter de se
protéger ce qui implique des distorsions dans la
composition (faible spécificité) et lampleur des
investissements.
20Exemple classique deffet de hold up le cas
General Motor - Fisher Body
- Années 20 augmentation de la demande de voitures
de GM - Pas de clause prévue dans le contrat FB
(carrosserie)/ GM - GM avait fait des investissements spécifiques par
rapport à FB (chaîne de montage, technologies
adaptées aux carrosseries de FB/ passage du bois
au métal) - FB refuse daugmenter sa production, de
délocaliser son usine près de GM (pour accroître
la fiabilité des livraisons et baisser les coûts
de transport) ni de revoir le prix - GM décide dintégrer FB pour acquérir un pouvoir
direct - ce qui permet de supprimer le marchandage qui est
coûteux (TCT). - Cela permet aussi déviter le sous-investissement
de FB (NTDP)
21Généralisation par la théorie des droits de
propriété
- Plutôt que dinvestissement spécifique, on parle
doption de défaut (ce qui se passe si un accord
nest pas possible) - Les options de défaut déterminent le pouvoir de
négociation - La partie qui détient les droits résiduels de
contrôle est celle qui décide de lusage des
actifs non humains (machine, stocks, immeubles,
brevets, marques) lorsque ce nest pas écrit
dans le contrat ET en cas déchec des
négociations - Droits de propriété droits de contrôle résiduel
ex post
22(Ancienne) théorie des droits de propriété dans
la firme
- Droits de propriété droits résiduels de
contrôle - Lefficacité des décisions repose sur le couplage
entre droits de contrôle et droits au bénéfice
résiduel (Alchian et Demsetz)
23Nouvelle théorie des droits de propriété (NTDP) -
TCI
- Contrôle résiduel (droit de propriété)
- Pouvoir de renégociation ex post (augmente avec
les DP) - Répartition ex post du surplus
- Incitation à investir ex ante
- Pour la NTDP, la meilleure répartition des DP
permet de minimiser les distorsions des
incitations à investir. Cela peut même conduire à
lintégration verticale
24Nouvelle théorie des droits de propriété (NTDP) -
TCI
- La NTDP permet de déterminer quelle firme doit
intégrer lautre (le sens de lintégration) - Grossman, Hart (1986) la propriété doit être
attribuée au contractant dont linvestissement
préalable a le rendement net le plus élevé
(suffisamment élevé pour compenser le
sous-investissement par la firme rachetée). - Celui qui intègre est celui qui développe les
actifs les plus importants à la réalisation du
surplus - Lorsque les investissements sont dimportance
égale, la non intégration est préférable
25La question public/privé?
- Ce type de modèle peut sappliquer à la question
du choix entre public et privé, et de la forme
des contrats - Qui est propriétaire des actifs (droits résiduels
de contrôle)? le manager privé/ le fonctionnaire - Quels sont les actifs qui reviendront à lEtat à
lissue du contrat (type de contrats concession,
affermage)? - Quelle est la nature des investissements
nécessaires (spécifique ou non, montant)? - Le manager sengage par contrat à fournir un
service spécifié ce qui sous entend un niveau
dinvestissement. Mais - La qualité nest pas complètement observable
26Qualité non observable (le cas des prisons)
- Aux USA, la gestion des prisons est contrainte
par 463 standards dont 38 sont strictement
obligatoires. Ils portent sur la qualité des
repas, la formation du personnel, lusage de la
violence etc.. - Cependant lobservabilité de ces standards est
relative - Lusage de la violence repose sur une évaluation
subjective de sa nécessité - La formation/qualification est une variable clé
mais, dans les faits, si le nombre dheure par an
est précisé, rien nest dit sur la qualité de la
formation - Donc on peut considèrer que le contrat est
incomplet
27Les a priori du débat
- Le privé aurait des incitations trop fortes à
faire des économies sur les coûts au dépend de la
qualité des services - Le public aurait tendance à ne pas faire
suffisamment deffort de réduction de coût
28Les bases de la TCI
- Article fondateur Grossman S.J., Hart O.D.
(1986) The Costs and Benefits of Ownership a
Theory of Vertical Integration , Journal of
Political Economy, 94 - Objectif initial proposer une théorie des
organisation qui corresponde à une formalisation
de la TCT (question de lintégration verticale) - Article fondateur de lapplication de la TCI pour
traiter de lorganisation des services public
Hart, Shleifer, Vishny (1997) The proper Scope
of Government Theory and Application to
Prisons , Quarterly Journal of Economics
29Timing du modèle
Date 0
Date 1/2
Date 1
A1 et A2 écrivent le contrat et choisissent la
structure de propriété
A2 choisit i (niveau deffort pour augmenter la
qualité du service rendu) et e (niveau deffort
pour réduire les coûts)
Renégociation ou non
Renégociation ou non des renégociations ont lieu
pour déterminer le montant réel des
investissements réalisés cest-à-dire une fois
que les parties ont appris la nature des
améliorations potentielles de qualité ou les
réductions de coûts possibles.
30Logique de la TCI
- Partage du surplus suivant la solution de
négociation de Nash (symétrique) les rentes sont
divisées en deux parts égales. Les options de
défaut déterminent le minimum qui peut être
obtenu par chaque partie, seul lexcédent (la
quasi-rente) fait lobjet dun partage - Ex surplus généré par linvestissement100
- Option de défaut de lagent A60
- Option de défaut de lagent B10
- Partage du surplus selon la négociation de Nash
- Agent A60 (100-60-10)/275
- Agent B10(100-60-10)/225
31Renégociation efficace des contrats
- lagent A investit i, investissement totalement
spécifique - lagent A génère un surplus R(i) avec Rgt0 ,
R(i)lt0 - Lagent B ninvestit rien
- First best maximisation du surplus
- Max R(i)-i donc i est tel que R(i)1
- Second best
- Max P0-C01/2R(i)-i donc i est tel que
R(i)2 - Au total ilti
- distorsion à linvestissement ex ante
- Impossible datteindre le first best
R(i)
i
i
P0 est la compensation versée en rétribution de
la fourniture du service C0 est le coût fixe (ne
dépend pas du niveau deffort)
32Conclusion
- Ces deux théories permettent de traiter de la
question de lintégration verticale et plus
généralement du choix organisationnel pour la
fourniture dun BS public
332.4.2
- Application des théories des contrats incomplets
à la question du choix organisationnel dans la
délégation de service public
34Le choix organisationnel dans la fourniture de
BS public
PPP Privatisation
Gestion publique Régie
Délégation de SP / - forts pouvoirs de
renégociation des autorités publiques
35La délégation de service public en France
- EI droit romain droit civil/ droit
administratif - Diverses formules en fonction de la prise en
charge des investissements entre les parties, la
durée, les modalités de rémunération du
délégataire, modalité dintervention des
autorités délégantes (résiliation, modification
unilatérale sous motif dintérêt public (avec
compensation!) - Contrat de concession
- Contrat daffermage
- Contrat de gérance
36La gestion déléguée dans les pays anglo-saxons
- EI common law lautorité publique na pas de
droits exceptionnels de renégociation - Grand pragmatisme
- Quasi absence dautonomie du droit administratif
- Prévalence du contrat sur les règles générale
- BOT (build, operate, transfert) restitution au
bout dune période définie - BOOT (build, operate, own, transfert)
léquipement reste la propriété de lopérateur - BOO (build, operate, own) pas de restitution
37Les questions
- Est-ce que la collectivité locale doit déléguer
le service ou lassurer elle-même? (HSV, 1997) - Est-ce quelle doit choisir un seul délégataire
pour les investissements et lexploitation du
service ou bien peut-elle dissocier les deux?
(Hart, 2003)
38Le cas des prisons (Hart, Shleifer, Vishny 1997)
- Deux possibilités
- LEtat contracte avec une entreprise privée pour
fournir des services carcéraux - LEtat gère la prison publique (via un managers
publics - fonctionnaire)
39Le modèle
- Le manager dune prison peut faire deux types
defforts (i.e. dinvestissement) - Un effort pour augmenter son efficacité
productive (i.e. réduction des coûts de
production), noté e - Un effort pour augmenter la qualité du service
rendu, noté i - Hyp les deux effort ont un effet adverse, sur la
qualité/ sur les coûts - B bénéfice social et C coût social, P0 la
compensation en échange de la fourniture du
service - BB0-b(e)ß(i)
- CC0-c(e)
- C0-c(e)ei est le coût total pour M
- M manager, G gouvernement
40Le first best
- Elle correspond à la situation où tous les
investissements sont contractualisables (donc
vérifiables) - Signature dun contrat complet dans lequel on
maximise le surplus global - où ß(i),est leffet net des investissements
pour innover en termes de qualité
41La solution privée un manager privé pour
investir et gérer les prisons
- Le manager est propriétaire des actifs (droits
résiduels de contrôle) - Il implémente de manière unilatérale les
innovations qui visent à réduire les coûts de
production - Il négocie afin dimplémenter celles qui visent à
augmenter la qualité de service
42La solution privée
- UM1B0-P01/2ß(i)-b(e)
- UM2P0-C01/2ß(i)-c(e)-e-i
- Le vendeur M2va choisir e et i de façon à
maximiser ses gains - Maxi,e1/2ß(i)-c(e)-e-i
- La solution unique (eM2,iM2) est
- c(eM2)1 ½ ß(iM2)1
43La solution publique
- Soit ? la facilité avec laquelle un
fonctionnaire peut être remplacé. Si G renvoie le
fonctionnaire, il ne peut réaliser quune part
(1-?) de la valeur de linnovation - UM1B0-P0(1-?/2)-b(e)c(e)ß(i)
- UM2P0-C0?/2)-b(e)c(e)ß(i)-e-i
- Le vendeur M2va choisir e et i de façon à
maximiser ses gains - Maxi,e ?/2-b(e)c(e)ß(i)-e-i
- La solution unique notée (eG,iG) est
- ?/2(-b(eG)c(eG))1 et ?/2ß(iG)1
44Quelle est la solution organisationnelle optimale?
- Incitation à innover en termes de coûts de
production
?/2(-b(eG)c(eG))
c(eM2)
-b(e)c(e)
1
e
e(M2) privé
e
eG public
45- Incitation à innover en termes de qualité
1/2 ß(iG)
ß(i)
1/2 ß(iM2)
1
iM2 privée
i
i
iG public
46- La solution publique est supérieure lorsque
- Il y a peu dopportunité à innover en termes de
qualité de service - Les effets adverses des réductions de coûts sur
la qualité sont importants - Il ny a pas de concurrence possible ex post (ex.
le choix de la prison par le prisonnier!!!!)
47Conclusion du modèle
- La délégation du service à un opérateur privé
doit être rejeté lorsque - Le service attendu (notamment la qualité du
service) nest pas parfaitement contractualisable
(vérifiable) - Le comportement opportuniste rendu possible par
la non vérifiabilité (par ex. la baisse de la
qualité) a des conséquences en termes de santé
publique - Les consommateurs ne peuvent mettre en
concurrence les opérateur soit parce quil sagit
de biens dexpérience soit parce que lopérateur
a un monopole local
48Hart (2003, Economic Journal)
- On peut distinguer dans loffre de BS public la
question des investissements de celle de la
fourniture du service (exploitation des
infrastructure) - Lorsque lautorité locale décide de déléguer, est
ce quelle doit faire un bloc (infrastructure et
fourniture de service) ou bien deux blocs
distincts (un pour linfrastructure et un pour la
fourniture) - Il est possible que lEtat investisse ex ante et
delègue la gestion du service
49Conclusion de Hart (2003)
- Si le service peut être bien défini mais que
linvestissement est non vérifiable, il est
efficace de déléguer le service en un bloc.
Ainsi, on incite le délégataire à assurer le
niveau dinvestissement optimal dans les
infrastructures au travers dun contrat
dobligation de résultat (qualité de service) - Sil est difficile de définir le service à rendre
alors il vaut mieux déléguer en deux blocs pour
assurer un niveau optimal dinvestissement avec
un contrat aussi complet que possible tout en
visant un niveau de qualité de service minimum au
travers de contrats incomplets de CT (afin de
mettre en concurrence régulièrement les
opérateurs).
50HART (2003)
Prise en charge des investissements par lEtat
oui
non
HSV (1997)
le service attendu est-il parfaitement
contractualisable?
Relation contractuelle de CT
non
Oui
Pas de problème pour préciser la
qualité Externalisation possible
Existe-t-il un fort effet adverse de réduction
de coût sur la Qualité du service
Non
Oui
Pas de problème pour externaliser le service on
profite des réductions de coûts du privé sans
avoir À en craindre les conséquences
Y a-til une concurrence ex post possible
Oui
Non
Y a-t-il de fortes opportunités dinnovations
technologiques?
La solution privée est implémentable
Oui
Non
La solution publique lemporte
Trade off à effectuer effet adverse vs. perte de
capacité dinnovation