Le CSM 24 h sur 24 h - PowerPoint PPT Presentation

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Le CSM 24 h sur 24 h

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Construire des syst mes int gr s, coh rents, de services dans la communaut , ... (voire intelligibles) les relations avec elles et entre ses acteurs. ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Le CSM 24 h sur 24 h


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Le CSM 24 h sur 24 h
Roberto Mezzina Responsable du CSM
Barcola/Aurisina, Trieste
  • Structure, fonctions, programmes

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Le CSM 24 h sur 24 hle but
  • Construire des systèmes intégrés, cohérents, de
    services dans la communauté, capables de
    développer une stratégie pour répondre aux
    besoins de santé mentale dune zone territoriale
    précise, à partir dune optique et dune pratique
    de désinstitutionnalisation pour aller au delà
    des institutions ségrégatives et de la pratique
    psychiatrique courante de "traitement de la
    maladie".

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Le CSM 24 h sur 24 h questions
  • Nous devons nous poser les questions suivantes
  • Quels sont les prémisses théoriques et les
    objectifs généraux sur qui nous avons organisé
    les services?
  • Que signifie construire un service?
  • Dans quelles directions évoluons-nous?
  • Le service de santé mentale territorial
    représente-t-il un moment stratégique et
    organisationnel central dans la production des
    pratiques de prévention, soin et réhabilitation?

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Le CSM 24 h sur 24 h prémisses
  • Souligner l'importance dune vision stratégique
    du système des services comme un tout intégré,
    contre une idée de fragmentation de réponses
    spécifiques à des besoins et à des sujets
    spécifiques (taylorisme).
  • Tenir en compte le système de valeurs, voire
    les paramètres et critères de confrontation, en
    tant que prémisses éthiques-organisationnelles
    du travail territoriale.

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Le CSM 24 h sur 24 h schéma descriptif
  • Il faut analyser
  • les parcours de la demande, les caractéristiques
    daccessibilité du service
  • la relation entre structures/services et
    fonctions/programmes et les connexions entre les
    différentes parties du réseau des services dans
    une perspective de continuité thérapeutique
  • la flexibilité-modulation ou la possible
    combinaison de programmes (non pas des protocoles
    rigides)
  • la présence ou non dune sélection des usagers
    par gravité et de structures pour patients
    graves
  • lintégration par le biais de réponses
    "sociales" aux besoins de la personne
  • éviter lhospitalisation développant des
    interventions communautaires sur la crise
  • affronter les échecs thérapeutiques et le risque
    de chronicité

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Lutopie de la réalité (Franco Basaglia, 1974)
  • Envisageant une organisation sanitaire, on risque
    de tomber dans deux erreurs opposées
  • dun coté celui de proposer des réponses qui vont
    au delà du niveau de réalité des besoins, ce qui
    en crée dautres, à travers la production de
    nouvelles réalités-idéologies à qui les mesures
    adoptées sont prêtes à répondre
  • de l autre, celui de rester si adhérant à la
    réalité, qu on propose des réponses enfermées
    dans la même logique qui produit le problème à
    affronter.
  • Dans les deux cas la réalité reste immuable et
    les réponses se limitent à définir et à
    circonscrire la problématique de chaque milieu
    spécifique.

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Lutopie de la réalité (Franco Basaglia, 1974)
  • Quand on se propose d organiser un service
    psychiatrique, la difficulté consiste à trouver
    des réponses concrètes aux demandes concrètes
    provenant de la réalité où on agit. Mais les
    réponses adhérant à la réalité devraient en même
    temps la transcender (à travers lélément
    utopique), essayant de la transformer.

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L'APPROCHE DES CRITERES DE FONCTIONNEMENT
  • Lorganisation se base sur des critères dérivant
    de linterprétation de la loi de réforme de 1978
    selon loptique de la désinstitutionnalisation
    italienne.
  • Ils définissent le cadre conceptuel dans lequel
    il faut agir et les logiques à travers lesquelles
    se définit limportance de la réponse
    territoriale.
  • Ils sont structurellement interconnectés.

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Responsabilité sur la santé mentale de la zone
territoriale
  • Pas seulement en ce qui concerne les problèmes
    définis comme pertinents sur la base dune
    symptomatologie spécifique, mais aussi pour des
    fins de prévention des problématiques du vivre
    social qui influencent la qualité de la vie des
    individus.
  • Cela implique
  • - Tension vers le non-envoi à des structures
    dhospitalisation.
  • - Tendance à assumer toute la demande
    psychiatrique du territoire et prise en charge
    sans sélection par gravité des patients.
  • - Éviter, par conséquent, l'abandon des patients
    graves et difficiles (révision constante des
    échecs thérapeutiques) et les processus de
    transinstitutionnalisation (Prison, O.P.G.).
  • - Développer des rapports avec les usagers non
    seulement le patient, mais aussi son contexte
    micro-social et la communauté en sens ample.

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Présence active du service et mobilité vers la
demande
  • La présence active du Service coïncide avec
    laccessibilité en tant que mobilité vers la
    demande. Cela implique
  • déviter les listes d'attente des urgences, les
    filtres bureaucratiques
  • de promouvoir les modalités de prise en charge
    dans les lieux de vie.
  • (l. R. art. 9,  les prises en charges sont
    effectuées, selon la nécessité du cas, auprès du
    Centre, au domicile de l usager ou ailleurs
    (école, lieu de travail, etc. ) (l. R. art. 12,
     l activité de diagnostic et soin psychiatrique
    s effectue normalement au domicile du
    patient ).

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Continuité thérapeutique
  • La continuité thérapeutique concerne le rapport
    entre la même équipe et le patient et la
    continuité des prestations.
  • L'intervention s effectue dans les lieux de vie
    du patient et en strict rapport avec son
    entourage dans les institutions
    socio-sanitaires dans les institutions
    judiciaires et pénales (Tribunal, prison,
    O.P.G.).
  • Continuité dans le temps elle se définit selon
    le besoin de soin et l'unité de prévention/cure
    et réhabilitation.

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Rôle central de la crise dans le service
territorial
  • Modalités alternatives de gestion
  • éviter lhospitalisation
  • une organisation du C.S.M. telle quon puisse
    faire face aux urgences et éventuellement aux
    T.S.O. (Traitement Sanitaire Obligatoire)
  • (l. 72, art. 13 "l'activité de diagnostic et
    soin psychiatrique seffectue normalement au
    domicile du patient et auprès des structures
    territoriales du département, à temps partiel ou
    de façon continuelle, y compris les traitements
    sanitaires obligatoires qui ne nécessitent pas
    dhospitalisation).

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Globalité/intégration
  • Globalité/intégration de la réponse
    ("COMPREHENSIVENESS") entre social et sanitaire,
    entre thérapeutique et assistance.
  •  Cela implique l'utilisation des ressources
    disponibles dans le service et l'activation des
    services sociaux et sanitaires, ce qui s ajoute
    à la valorisation adéquate des ressources du
    contexte micro-social.

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Travail déquipe
  • Le travail d équipe est nécessaire pour obtenir
    la flexibilité du service, pour le rendre
    disponible aux usagers (accessible, traversable).
  • Il s articule en
  • - formulation des projets thérapeutiques
  • - coordination des différentes figures
    professionnelles, en valorisant la contribution
    de chacun et léquilibre entre inter-dépendance
    et autonomie des rôles (optimisation des
    ressources subjectives et des professions)
  • - développement dapproches multidisciplinaires
    pluriprofessionnelles par le biais de
    collaborations entre figures différentes.

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Travail déquipe
  • - Activité dinter-vision déquipe et formation
    constante sur le terrain.
  • - Circulation de l'information dans le Service
    (discussions informelles, réunions d équipe de
    routine pour la formulation des projets
    thérapeutiques, coordination départementale
    accessible aussi aux non-médecins, etc.).
  • - Intégration du travail non professionnel et
    bénévole (même des familles) en particulier pour
    des fins de réhabilitation et de support social.

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Rapport entre structures et fonctions dispositif
stratégique ou lieu communautaire?
  • Coordination centrale / autonomie locale
  • Style communautaire / faire communauté

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Le CSM 24 h sur 24en tant que dispositif
  • Dispositif unitaire, central, de lorganisation
    contre la fragmentation de structures qui se
    produit souvent dans les systèmes de santé
    mentale communautaires.
  • Ce choix se propose de structurer le travail
    thérapeutique, sachant que lefficacité
    thérapeutique dérive de lensemble des actes dun
    service. Le CSM construit un ensemble intégré de
    réponses, qui devient, cas par cas, un programme
    thérapeutique personnalisé.
  • Un observatoire recueillant les demandes et
    réduisant leur fragmentation est en mesure de
    réaliser ensuite un décentrement progressif des
    réponses vers la communauté.
  • Le CSM constitue aussi un scénario pour des
    interactions sociales complexes (qualité
    communautaire).

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Prise en charge
  • La prise en charge met l'usager en contact avec
    un répertoire doptions aux infinies combinaisons
    parmi lesquelles il faut choisir, négocier,
    interloquer en sens thérapeutique. Le Centre de
    Santé Mentale est ainsi le centre de
    planification de cela, en tant que "structure de
    connexion" (Bateson, 1984) ), assurant la
    continuité des soins et le sens du projet, et non
    seulement ses médiations bureaucratiques-administr
    atives.
  • Selon Weick, le sens intersubjectif est une
    nouvelle propriété censée définir les
    organisations à la structure horizontale,
    autogérée. L esprit collectif en tant que
    co-détermination, non en tant que domination!

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Procédures simples
  • Ne pas séparer les personnes hospitalisée des
    autres (résoudre la crise dans la quotidienneté)
  • Minimiser les barrières soignants / soignés
  • Réduire la compartimentation / la propriété des
    lieux (non à lidentification rôles / espaces)
  • Porte ouverte, même en cas de TSO
  • Faire des choses normales dans un environnement
    normal
  • Partager, vivre ensemble

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Procédures simples
  • Implication des usagers dans la gestion du Centre
    (téléphone, attention à la maison, à la cuisine,
    accompagnement et support de lautre en crise)
  • Personnaliser le contrôle sur lusager
    problématique jusqu à lassistance personnalisée
    au lit.
  • Pas de systèmes de contention
  • Gestion collective de linformation
  •  Case notes  et travail déquipe tout
    reconduire aux histoires, à la discussion
    commune, au sens de communauté du groupe.
  • Négocier tout, rendre compte de tout.

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Procédures simples
  • Négocier les modalité d accueil, du Day Hospital
    à lhospitalité diurne-nocturne (hospitalisation)
  • Statut d hospitalité sanitaire
  • Recherche continuelle dadhésion au traitement à
    travers la relation de confiance
  • Insertion des usagers en crise dans des activités
    structurées et non structurées

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Avantages du CSM 24h/24h
  • Point de repère ouvert 24h / 24h
  • Le personnel peut être employé de façon souple
  • Les usagers peuvent recevoir une ample gamme de
    réponses
  • La crise rentre en contact immédiat avec un
    système de ressources / options même de
    réhabilitation
  • La même équipe assiste toujours l usager et
    contracte avec lui
  • Lhospitalisation peut être décidée et
    concordée immédiatement, sans bureaucraties et
    renvois, ainsi que la sortie
  • On évite la perte immédiate de contact avec le
    réseau et le contexte de vie
  • On évite la perte immédiate de rôle, de
    compétences, et laisse lusager libre et actif
  • On réduit le stigmate de lhospitalisation

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Qu est-ce que le CSM 24h/24h nest pas
  • Un pavillon, où on retrouve les rituels des
    hôpitaux et où la communauté ne rentre pas
  • Une structure résidentielle avec des temps
    différents et modulés sur la quotidienneté
  • Une disponibilité de lits à l'intérieur dun
    service territorial ou dans des structures
    annexes à ce dernier
  • Une simple extension de l'horaire d ouverture
  • Un service de plus dintervention nocturne sur le
    territoire.

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Qu est-ce que cest le CSM
  • Le temps de vie et les liens entre "santé" et
    "maladie" (Basaglia, 1981), deviennent ainsi
    réellement centraux et peuvent interagir
    concrètement.
  • Le sujet apparaît dans un scénario mobile, où les
    relations qui se structurent tendent à sortir de
    la rigidité des rôles institutionnels.
  • Une transformation profonde de la façon
    dintervenir et de la philosophie dun service
    territorial
  • VISIBILITE DES BESOINS DE SANTE MENTALE

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Accessibilité et modèle de reconnaissance
  • Le service est plongé dans la communauté, dans
    un environnement très complexe, qui ne peut que
    le polluer, il doit donc se concevoir comme un
    système ouvert.
  • La relation avec les usagers est pour la plu part
    informelle, en ce qui concerne laccès aux soins
    et le style des rapports.
  • Flexibilité faire face aux besoins émergeant des
    réponses mêmes. Rapport de métamorphose
    spéculaire avec la demande.
  • On ne doit pas sarrêter à la demande. Il faut au
    contraire chercher le besoin dont nous sommes les
    interprètes. Voilà pourquoi il est nécessaire de
    traiter un modèle de reconnaissance du mal-être,
    non fondé sur le symptôme mais sur le signifiant
    personne / histoire / sens.

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Intelligence et transparence des services
  • Les institutions sont intelligentes dans la
    mesure où elle rendent intelligentes (voire
    intelligibles) les relations avec elles et entre
    ses acteurs. Les Institutions sottes sont les
    plus difficiles à déchiffrer, dans leurs
    prémisses de rationalité et dans leurs effets
    pervers.
  • Les institutions médiocres poussent à des
    interactions médiocres, opportunistes,
    fatalistes, autodestructrices (Donolo).

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Changement dobjectifs le problème daujourdhui
  • nest plus seulement celui de garder le patient
    dans son contexte social
  • ("non à l'exclusion")
  • et donc, en même temps, celui de réduire le dégât
    iatrogène psychiatrique (les institutions avant
    tout)
  • mais plutôt celui de réduire le dégât social et
    de construire des parcours de subjectivité (des
    réseaux, des voies) tout en ne négligeant pas
    lhandicap psychiatrique qui
  • réduit les capacités daccès,
  • réduit les opportunités sociales

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Une vision espace-temporelle du service
  • Le service de santé mentale (Le CSM 24h/24/)
    peut/doit devenir central à l'intérieur de cette
    zone territoriale définie.
  • Il constitue un point dobservation privilégié et
    absolument unique, car capable de développer une
    observation inter-active sétendant dans un
    espace fini mais extrêmement complexe et articulé
    dans sa définition, qui reflète et représente
    tout ce quune population produit en termes de
    pathologie, de mal-être, de conflit et de trouble
    social.
  • Il se projète de façon linéaire et constante dans
    le temps suivant les histoires, les vicissitudes
    personnelles, lévolution de cet espace
    territorial et de sa population, modifiant de
    façon contextuelle les réponses.

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Développements
  • Réseau en évolution continuelle
  • Dun lieu/institution à des parcours pour les
    usagers.
  • De la crise ---gt lopportunité Service centré
    sur le client.
  • Il faut se poser la question de combien
    dacteurs, combien de processus
    extra-cliniques.
  • Sujets ouverture vers des nouveaux besoins et
    des nouveaux sujets vers un réseau participatif.
    Programmes pour les familles et comité de
    participation, self-help des usagers jeunes.
  • Nouveau rôle des usagers / producteurs
  • Nouveau rôle des citoyens
  • Nouveau rôle des professionnels (pont,
    activateurs de parcours)

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Développements
  • Attention à l ensemble institutionnel vision du
    développement du service en termes de MCQ,
    habitat et responsabilité sur lenvironnement,
    gestion du groupe, valorisation des figures
    professionnelles, ambiance, attention aux
    innovations, programmes transversaux, etc.
  • Agrégation / réseaux

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LE SERVICE COMME ENTREPRISE SOCIALE
  • Utilisation, activation et reconversion des
    ressources existant sur le territoire "explorées"
    par le service.
  • Cohabitations
  • Petites cantines
  • Agrégation des familles en tant que ressource de
    soutien
  • Orienter et former les services dassistance à
    domicile des mairies
  • Accompagnements
  • Synergie avec les coopératives sociales
  • Développement des réseaux participatifs

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La communauté
  • Une communauté possible senvisage dans lagir
    des réseaux, ainsi comme les sociologues disent
    que ça arrive pour les réseaux daide et de
    support social se produisant à partir
    dévènements négatifs.
  • Autour du malade et du service apparaîtra la
    communauté des conflits et des différences,
    encore fondée sur une inclusion et, de façon
    spéculaire, sur une exclusion qui nécessitera
    toujours de jugements de diversité et voudra
    marquer les confins de la déviance. Mais il sera
    toujours possible de créer des rapprochements et
    de construire une nouvelle conscience.

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Repenser le statut des services pour la communauté
  • Il faut se poser de nouveau la question
    Qu est-ce que c est un centre de santé
    mentale? Sa présence exerce toujours une
    fonction critique, en défense des sujets faibles?
    Pose-t-il toujours des interrogations à la
    communauté, à son horizon normalisant, à ses
    mécanismes d exclusion et de mise en silence?
    Arrive-t-il à se remettre toujours en question
    dans sa production ou non de santé pour la
    communauté - voire, tout court, dans son faire
    communauté?
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