SmartJog est une filiale de TDF - PowerPoint PPT Presentation

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SmartJog est une filiale de TDF

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En corollaire, les annonceurs et certains acteurs m dias sont de plus en plus ... L' mergence de nouveaux acteurs (plateformes Nouveaux M dias) et formats (HD) ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: SmartJog est une filiale de TDF


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La dématérialisation des échanges dans
laudiovisuel entre professionnels
SmartJog est une filiale de TDF
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La dématérialisation des échanges dans
laudiovisuel professionnel
  • Qui sommes nous ?
  • Les motivations de la dématérialisation
  • Les bénéfices de la dématérialisation
  • État des lieux de la dématérialisation
    aujourdhui
  • La gestion des métadonnées, un enjeu
    stratégique
  • Le cas du cinéma numérique
  • Conclusion

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Qui sommes nous
  • SmartJog à été crée en 2001 dans le but de
    dématérialiser les échanges entre laboratoires de
    post-production et les télévisions notamment pour
    la publicité
  • Rapidement lactivité cest étendue au doublage
    audio (cinéma et télévision), aux séries, aux
    effets spéciaux cinéma, aux éléments marketing,
    aux rushes de tournage.
  • Les nouveaux média représentent aujourdhui une
    activité importante usine de pressage de DVD,
    plateforme de VOD, inflight
  • Demain, la livraison des films dans les salles
    de cinéma
  • SmartJog à aujourdhui 6 ans dexpérience dans la
    dématérialisation des échanges entre
    professionnels

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Qui sommes nous
  • SmartJog, filiale de TDF, gère et supervise le
    plus grand réseau de transfert des média ce qui
    lui a permis dobtenir la confiance des
    distributeurs Hollywoodiens et Européens
  • SmartJog opère plus de 600 serveurs déployés
    dans 65 territoires et exploités par plus de 4000
    professionnels

Plus de 4 000 utilisateurs connectés à la
plateforme SmartJog 250 sociétés de
post-production 140 distributeurs leaders dans le
monde et 20 sociétés supplémentaires connectées
chaque mois
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Qui sommes nous
DISTRIBUTION
  • Réseau privé 100 sécurisé de serveurs dédiés
    chez les clients reliés par connectivité haut
    débit
  • Transfert satellite, fibre et Internet.
  • Gestion de fichiers de très grande taille,
    jusquà plusieurs centaines de gigaoctets(y
    compris échanges de matériel film 2K/4K en phase
    de post production)

INTERMEDIATION
  • Connexion sécurisée par clé USB à
    www.smartjog.com
  • Base de données de certificats (KDM)
  • Catalogue de contenus numériques gérés par les
    distributeurs
  • Reporting électronique

INTEGRATION
  • SmartJog adapte son service aux besoins de chaque
    client

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Qui sommes nous
Sécurité
  • Réseau mondial le plus sécurisé
  • Utilisé par tous les Studios US
  • Transfert et intégrité 100 garantis
  • Supervision trafic et réseau 24/7

Rapidité
  • Délai de livraison garanti
  • Réseau hybride Terrestre Satellite
  • Suivi temps réel des transferts

Efficacité
  • Chargement automatique dans les serveurs de
    projection
  • Gestion dun parc de Librairies
  • Notification à réception

SERVICE DE STOCKAGE ET LIVRAISON
Architecturé autour de deux Data Center (Paris et
Los Angeles) le réseau SmartJog permet de stocker
et de distribuer tous types de contenus pendant
leur exploitation. 4 ports Gbps internet
backbone de très haute qualité fournis par
Level3 permettent la distribution sur VPN,
complété par une couverture satellite
internationale (30Mbps permanent sur lEurope) et
des peerings avec les principaux opérateurs
télécoms (Orange, Interoute, Colt...).
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Les motivations de la dématérialisation
  • Dans un environnement de post-production, les
    flux sont intégralement dématérialisés en ce qui
    concerne le travail sur les essences Audio et
    Vidéo.
  • En revanche, les flux transactionnels et les
    métadonnées sont gérés dans divers systèmes non
    réconciliés. Les documents papier subsistent
    encore, et de nombreuses saisies manuelles et
    redondantes sont effectuées.
  • Dans lenvironnement du diffuseur, les flux sont
    également intégralement dématérialisés, depuis la
    numérisation des supports physiques jusquà la
    tête de réseau de diffusion.
  • Souvent des duplications de supports physiques
    se produisent en amont ou en parallèle de
    lingest.
  • En complément les systèmes des diffuseurs sont
    dématérialisés en ce qui concerne les échanges de
    données entre programmation et automation. Mais
    ces systèmes fortement propriétaires nont pas
    été conçus historiquement dans le but de
    linteropérabilité.
  • La livraison sous forme de cassettes constitue
    donc une rupture entre ces deux environnements
    dématérialisés que sont le laboratoire et le
    diffuseur.
  • La résolution dune telle situation est perçue
    comme génératrice de gains économiques,
    defficacité et de productivité.
  • La dématérialisation est alors vue comme une
    évolution technologique naturelle.

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Les bénéfices de la dématérialisation
  • Diminution du coût lié à la duplication,
    manipulation et logistique de transport des
    cassettes (retard du matériel, traçabilité des
    supports...).
  • La numérisation et les contrôles qualité
    multiples sont remplacés par des process
    logiciels de traitement et transfert de fichiers
    avec garantie dintégrité.
  • Mise en uvre dune logistique plus fluide, et
    donc plus rapide permettant une plus grande
    réactivité de programmation. Par exemple une
    croissance des revenus générés pour les acteurs
    de la filière publicitaire (substitution ou choix
    des spots en  dernière minute ).
  • Continuité du processus technique  diminution
    des saisies multiples de données associées aux
    contenus, préservation et gestion des essences
    Audio et Vidéo en qualité  sortie de
    post-production .
  • Amélioration du contrôle du processus technique
    et du trafic, en particulier par la fourniture
    dinterfaces et de fonctions avancées de suivi
    (traçabilité des opérations).
  • Dans le cas des contenus HD, il est envisageable
    que la contribution seffectue dès lorigine sous
    forme fichier exclusivement, en labsence
    dinfrastructures antérieures imposant
    lutilisation de supports physiques et afin de
    minimiser le coût dinvestissement en machines
    tournantes.
  • Mise en service dun processus pouvant être
    décliné sur de multiples plateformes  nouveaux
    médias  IPTV, VOD, TMP et sur des formats
    divers (SD, HD, Proxy...) et en cohérence avec
    les autres fenêtres (distribution de lavant
    séance cinéma numérique notamment).
  • En corollaire, les annonceurs et certains acteurs
    médias sont de plus en plus sensibles aux aspects
     vert  et la dématérialisation peut utilement
    contribuer à la réduction de lempreinte carbone.

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Etat de la dématérialisation TV dans le monde et
en France
  • En Amérique du Nord, les échanges électroniques
    de contenus courts et longs (essentiellement SD)
    sont une réalité depuis de nombreuses années au
    sein des grands Networks, en mode syndication
    (conditions favorables topologie multicast,
    contraintes éditoriales et techniques très
    faibles).
  • Hors de lAmérique du Nord, la situation est
    contrastée la dématérialisation concerne
    principalement les échanges internationaux
    (localisation) et la distribution domestique des
    contenus courts (spots publicitaires).
    Lémergence de nouveaux acteurs (plateformes
    Nouveaux Médias) et formats (HD) accélère la
    transition.
  • La dématérialisation du processus publicitaire TV
    est totale aux Etats-Unis et Canada, en Australie
    et Nouvelle Zélande, au Royaume Uni et en
    Irlande, en Belgique et au Luxembourg, en Suisse.
    Des initiatives sont en cours dans les pays
    scandinaves, en Allemagne et en Italie.
  • Pour les contenus longs (séries, animations,
    documentaires, longs-métrages), la
    dématérialisation est avancée en Scandinavie et
    Europe de lEst, sur des formats déchange SD en
    IMX-30 ou 50 et 15 Mbps LGOP 422.
  • Avec larrivée des messages publicitaires au
    format 169 en France, cette dématérialisation
    simpose comme un objectif incontournable pour la
    profession. Il sagit donc dune opportunité de
    mise en oeuvre à court terme sur un champ
    dapplication simple et rapide (volumétrie
    France environ 16 000 messages publicitaires par
    an).
  • Les échanges électroniques actuels entre
    diffuseurs et prestataires techniques en France
    sont limités aux auto-promos ainsi que certains
    flux de post-production (doublage, sous-titres).
    Ils concernent également la distribution de
    programmes aux plateformes VOD qui est presque
    totalement dématérialisée (prépondérance de lIT,
    absence de workflow pré-existant) et des
    projets de syndication (TV Locales notamment).
  • Le transfert de fichiers sétend progressivement
    au domaine de la contribution la couverture live
    des Evènements Spéciaux est enrichie par une
    distribution non-linéaire de contenus associés
    (ex Euro 2008). Le réseau Videodyn arrive
    également en fin de vie et des solutions IP
    multi-services (linéaire non-linéaire) sont
    envisagées pour sy substituer.

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La gestion des métadonnées, un enjeu stratégique
  • Lintérêt majeur du format MXF est dintégrer et
    de véhiculer dans un même container les
    métadonnées et essences de façon indissociable.
    Cette implémentation de métadonnées descriptives
    est normalisée SMPTE 380M (DMS-1). Mais ce
    standard étant complexe, les premiers travaux ont
    établi une version simplifiée pouvant être mappée
    dans ce standard, afin de pérenniser les fichiers
    MXF ainsi produits.
  • Métadonnées éditoriales descriptives 
  • Représentent lensemble des données de production
    nécessaires aux intervenants dans la chaîne de
    fabrication.
  • Principaux champs concernés Titre Programme,
    Durée du Programme, Date de Fabrication, Public
    ID, Private ID .
  • Métadonnées structurelles 
  • Correspondent aux paramètres technique des
    essences vidéo et audio véhiculées dans le MXF.
    Ces données structurelles techniques sont
    nourries de manière automatique au moment du
    wrapping des essences dans la capsule MXF.
  • Principaux champs concernés Codec vidéo, Format
    d'image, Profile Level ID, Frame rate, Bit
    rate, Chroma, GOP Size  .
  • Métadonnées éditoriales structurelles 
  • Ces données techniques ajoutées complètent les
    données intrinsèques structurelles. Par exemple,
    les nombreuses métadonnées actives associées au
    Dolby E (malheureusement non normalisées
    actuellement) sont emblématiques des données
    nécessaires à connaître absolument lors dune
    réception de fichier PAD avant diffusion.

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Projet RIAM HDMat
  • Lobjectif de ce projet finalisé au printemps
    2007, piloté par Mikros Image en partenariat avec
    SmartJog et TPS, était la mise en uvre dune
    maquette opérationnelle de livraison déléments
    PAD HD sous forme fichier, et lensemble des
    développements liés.
  • Ce projet a fait lobjet de plusieurs
    présentations à la profession  directions
    techniques de chaînes, régies publicitaires,
    organismes interprofessionnels.
  • Les résultats du projet comprennent
  • la réalisation et la démonstration de séquences
    de livraison intégrales, depuis le master,
    jusquà la diffusion antenne,
  • la réalisation des développements spécifiques et
    ladaptation de développements existants,
  • les modèles, schémas et dictionnaires de
    métadonnées,
  • la gestion et larticulation des métadonnées sur
    lensemble du processus de livraison,
  • la présentation des interfaces transactionnelles
    développées,
  • les différents verrous techniques et
    opérationnels rencontrés.
  • Une attention particulière a été apportée à la
    mise en oeuvre fluide et de bout en bout
  • - dun processus électronique et automatique de
    gestion des méta-données (renseignement des
    méta-données par le laboratoire, renseignement
    automatique de la fiche de bande du Media Manager
    chez le diffuseur)
  • - dun processus électronique et automatique de
    conformation PAD des médias (wrapping,
    réconciliation et renommage selon le Private ID)
  • La description détaillée du projet est accessible
    sur http//www.riam.org/ section Les Projets
    RIAM.

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Diagramme HDMat
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Le cas du cinéma numérique
  • État des lieux
  • Après de nombreuses années de débats et de
    travaux de normalisation le cinéma numérique
    arrive enfin sur les écrans.
  • 4000 salles sont équipées aux Etats-Unis,
    environ 80 en France.
  • Les prochaines installations portent sur 10 000
    salles aux Etats-Unis (Acces IT) et sur 400
    salles en France (CGR)
  • La dématérialisation, incontournable ?
  • La norme na pas prévu de support physique mais
    uniquement un format de fichier. Cest la 1ere
    fois dans lhistoire laudiovisuel. Quatre ans de
    travail du DCI pour rédiger les principes de la
    norme et ont oublie le support physique ! Il
    faudra des groupes dutilisateurs pour
    recommander un formatage de disque dur (EXT2) et
    un type de connexion (USB2). La dématérialisation
    va clairement dans le sens de lhistoire.
  • Elle permet daméliorer la qualité toutes les
    copies sont neuves.
  • Elle augmente laccès aux uvres pas de
    limitation pour cause de manques de copies.
  • La sécurité est supérieure à celle des copies
    physiques
  • La dématérialisation, vecteur de nouveaux
    services
  • La mise en réseau ouvre la possibilité de
    nouveaux services accès à des contenus liés aux
    films présentés, partage dévènements (avant
    première, échange avec léquipe du film,)

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Performance de distribution
Transport dun film de 90Min
Connexion FTTH (100Mbps) Liaison grand public
fibre. Elle offre des débits en download proches
de 100Mbits/s, (soit environ 50
Go/Heure) Connexion ADSL 2 (15Mbps en
moyenne) Liaison grand public dégroupée. Elle
offre des débits en download de 15Mbits/s, (soit
environ 7 Go/Heure) Connexion satellite
(30Mbps sur lEurope) SmartJog dispose dune
capacité de 30 Mbits/s permanente sur lEurope
(soit environ 13Go/Heure) La réception par
satellite ninduit aucun surcoût pour
lexploitant (hormis linstallation dune
parabole) SmartJog, filiale du Groupe TDF, est
partenaire des opérateurs télécoms français et
propose une offre de transport IP multicast
utilisant les ressources backbone et desserte de
lopérateur
2 à 3 Heures environ
15 à 24 Heures environ
6 à 12 Heures environ
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Conclusion
  • La dématérialisation va dans le sens de
    lhistoire.
  • Cest un défi technique infrastructures
    réseaux, métadonnées,
  • Cest aussi bouleversement culturel le support
    physique rassure même si sa pérennité est de
    moins en moins garantie (les supports vidéo
    professionnels actuels ont moins de 10 ans de vie
    et il nest pas prévu de format de remplacement)
  • En éliminant la limitation de laccès aux
    contenus par laccès au support ont va
    profondément modifier les services et les usages
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