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La Perception

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La Perception Porte d entr e de la cognition Plan D finition La perception est l activit au moyen de laquelle l organisme prend connaissance de son ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: La Perception


1
La Perception
  •  Porte dentrée de la cognition 

2
Plan
1. Introduction 1.1. Définition 1.2.
Distinction entre perception et sensation 1.3.
De lobjet au percept 1.4. Les tâches
perceptives 1.5. Conclusion
3
Définition
  • La perception est lactivité au moyen de
    laquelle lorganisme prend connaissance de son
    environnement sur la base des informations
    prélevées par les systèmes sensoriels

Fonction dinterprétation des données sensorielles
Activité de traitement de linformation
4
Systèmes sensoriels

5
Systèmes sensoriels
  • Les cinq systèmes sensoriels nont pas la même
  • Valeur écologique
  • Ne produit pas le même handicap, ladaptation se
    fait plus ou moins facilement
  • Valeur fonctionnelle
  • Informations plus ou moins précises, plus ou
    moins limitées

6
Type de Perception
  • Lintéroception
  • Informations sur les organes internes
  • La nociception
  • Informations sur la douleur
  • La proprioception
  • Informations sur la position du corps et ses
    mouvements
  • Lextéroception
  • Informations parvenant du milieu extérieur

7
Sensation et perception
  • Les perceptions réfèrent toujours à des objets
    externes
  • Les sensations sont des expériences personnelles
    du sujet

8
Sensation et perception
  • Sensation
  • Lexcitation par un stimulus approprié d un
    organe sensoriel
  • Modifications physiologiques
  • Perception
  • Opération (mentale) portant sur des sensations
  • Accorde une signification à la source responsable
    de la sensation

Connaissances primaires
Connaissances élaborées
9
Synthèse
  • Les sensations sont à la base des perceptions
  • L interprétation des sensations produit la
    perception
  • La perception a essentiellement une fonction
    cognitive d interprétation des informations
    sensorielles

10
Outil de la reconstruction
  • Lattention
  • Lintelligence et le jugement
  • La mémoire
  • L imagination

11
Où est la limite ?
Une mélodie
Sensation Entendre une suite de
notes Perception En déduire quil sagit dune
mélodie
Sensation Entendre des vibrations Perception
En déduire quil sagit de notes
12
Conclusion
Variations externes
?
Comportements
Sensations
Perceptions
13
De lobjet au percept
Aires sensorielles et aires associées
R E C E P T E U R S
Objet
Percept
Énergie envoyée aux récepteurs sensoriels
Codage transmis par voies nerveuses
14
Les tâches perceptives
  • Détection
  • Présence ou non du signal
  • Identification
  • Signification du signal
  • Discrimination
  • Est-ce le même signal ?
  • Estimation
  • Mesure

15
Conclusion
  • Un stimulus fournissant des informations
  • Un récepteur sensible aux informations
  • Un système de traitement de linformation
    (système perceptivo- cognitif)

Perception
16
Vidéo non disponible sur ce diaporama
17
Exemple du rôle de l attention
18
Conclusion
  • La sélection des informations seffectue grâce à
    lattention
  • Soit sélective
  • Soit partagée
  • Les ressources attentionnelles impliquées sont
    plus ou moins importantes.

19
Plan
2. Perception des formes. 2.1. La théorie de la
forme Le mouvement Gestaltiste 2.1.1.
Origine 2.1.2. Notions fondamentales et
principes de base de la Gestalt 2.2.
Ségrégation figure / fond 2.2.1. Point de vue
de la Gestalt 2.2.2. Propriétés perceptives de
la figure. 2.2.3. Influences objectives et
subjectives dans la ségrégation figure /
fond 2.2.4. Conclusion 2.3. Lois
d organisation des formes
20
Origine de La Gestalt
  • Courant structuraliste allemand
  • Opposition au courant associationniste
  • Le tout est différent de la somme des parties.

21
Le tout est différent de la somme des parties
22
Origine de La Gestalt
  • Courant structuraliste allemand
  • Opposition au courant associationniste
  • Le tout est différent de la somme des parties.

La forme et non les éléments fonde l unité
perceptive.
Von Ehrenfels (1890)
23
Notions fondamentales de la Gestalt
  • La structure
  • Relation entre les éléments
  • Le champ perceptif
  • Groupement des éléments selon des processus
    d'attraction ou de répulsion.

24
Notion de champ perceptif
25
Notions fondamentales de la Gestalt
  • La structure
  • Relation entre les éléments
  • Le champ perceptif
  • Groupement des éléments selon des processus
    d'attraction ou de répulsion.
  • Le fond
  • Selon le fond la perception de la figure peut
    varier.

26
Notion de fond
27
Notion de fond
X
X
28
(No Transcript)
29
Principes de base de la Gestalt
  • La perception est structurée d'emblée.
  • Il n'y a pas de distinction entre perception et
    sensation
  • Le tout est perçu avant les parties
  • L'organisation en ensemble ne se fait pas au
    hasard.

30
(No Transcript)
31
Ségrégation figure / fond
  • La ségrégation
  • Innée
  • Déterminée par des propriétés du système
    neurosensoriel
  • Hétérogénéité de la stimulation
  • Micro- mouvements oculaires

32
Propriétés perceptives
  • La figure paraît plus proche que le fond.
  • Le fond semble se continuer derrière la figure.
  • Le contour appartient à la figure et non au fond.

33
(No Transcript)
34
Influences subjectives
  • Lintention consciente
  • Rubin (1920), Koffka (1935)

35
(No Transcript)
36
Influences subjectives
  • Lintention consciente
  • Rubin (1920), Koffka (1935)
  • Lattention
  • Hebb (1958)
  • L expérience antérieure
  • Leeper (1935)

37
(No Transcript)
38
(No Transcript)
39
Influences objectives
  • Lorientation
  • La grosseur
  • Linclusion
  • Larticulation interne
  • La symétrie

40
Conclusion
  • La perception de la forme exige de grouper en
    organisation perceptive les portions d'image
    (figure) qui appartiennent à la forme en les
    dissociant de celles qui constituent
    l'environnement (fond).

41
(No Transcript)
42
Lois dorganisation des formes
  • La loi de la bonne forme
  • La loi de bonne continuité
  • La loi de proximité
  • La loi de similitude
  • La loi du destin commun
  • La loi de clôture

43
Loi de la bonne forme
  • Un pattern de stimulations est vu de telle sorte
    que la structure résultante est toujours la forme
    la plus simple, la plus équilibrée, la plus stable

La figure est- elle - composée d un triangle
et d un rectangle ? - forme complexe à 11
cotés ?
44
Loi de la bonne continuité
  • Se regroupent les éléments situés dans le
    prolongement les uns des autres

Le point A se dirige-t-il vers B, C ou D ?
B
C
A
Figures camouflées
D
45
Loi de proximité
  • Toutes choses étant égales par ailleurs, le
    groupement en unité se fait sur la base de la
    plus petite distance

Deux colonnes de quatre étoiles ou 8 étoiles ?
46
Loi de similitude
  • Se regroupent les éléments qui se ressemblent

Arrangement en ligne ou en colonne ?
47
Loi du destin commun
  • Les choses ou les points qui se déplacent selon
    une même trajectoire apparaissent groupés

Expérience effectuée chez des bébés de 4 mois
afin de mettre en évidence la loi du destin
commun
48
Loi de clôture
  • L'organisation en figure fermée a plus de chance
    d'être perçue

Tendance à dire quil sagit dun cercle
tendance à fermer la figure
Le vase est perçu avant les visages.
49
Conclusion
  • Critiques
  • Descriptif
  • Démonstration sur des objets simples
    bidimensionnels
  • Dans une figure complexe quel est le poids
    respectif de chacune des lois ?

50
Figures réversibles
51
Figures réversibles
52
Figures réversibles
53
Précédence globale ou locale
54
Précédence globale ou locale
55
Précédence globale ou locale
56
Précédence globale ou locale
57
Illusions perceptives
  • L'illusion perceptive nos sens nous font voir
    la réalité autrement qu'elle n'est.
  • C'est au niveau de l'interprétation du stimulus
    sensoriel qu'il y a une inadéquation entre
    l'objet réel et la perception qu'on en a.

58
Illusions perceptives
  • Écart (déformation, décalage) systématique entre
    la réalité physique et la perception que lon a.
  • Fausses perceptions
  • Les illusions sont des distorsions qui éloignent
    du réel.

59
Illusions
60
Illusions
61
Illusions
62
Illusions
63
Notion d objet
  • Un objet est une entité dans un espace
    tri-dimensionnel. Il a généralement une fonction
    précise et peut être désigné par une étiquette
    verbale.

64
  • Pour être identifié rapidement quelle que soit
    son orientation, sa taille ou sa localisation
    spatiale, lobjet doit activer une représentation
    codée de façon à présenter une invariance de ces
    propriétés physiques.

65
Notion de prototype
  • Représentation abstraite de lobjet
  • Exemplaire qui illustre le mieux la catégorie
  • Propriétés structurales propre à l objet
  • Généralisation possible

66
(No Transcript)
67
Modèle de reconnaissance par les composantes
  • Ce modèle porte sur la reconnaissance des classes
    dobjets et non sur des objets individuels
    (exemplaire d une classe)
  • Le prototype d un objet est représenté comme un
    arrangements de structures volumétriques Les
    Géons.

68
Biederman (1987)
  • Géons
  • Entités volumétriques communes à tous les objets
  • Quatre formes principales (cônes, cylindre, bloc,
    coin)
  • Variations métriques

69
Exemples
70
Postulats fondamentaux
  • Décomposition des objets en éléments de base.
  • Ces éléments de base sont des géons
  • Modèle de traitements

71
Étapes du modèle
72
(No Transcript)
73
Données expérimentales
  • Hypothèse
  • Ce sont les caractéristiques volumétriques qui
    sont importantes et non les caractéristiques de
    surface.

Tâche d identification d objet
74
Données expérimentales
  • Hypothèse
  • Rôle des indices structuraux dans le
    reconnaissance d objets.

Présentation d objet partiellement dégradé -
Milieu des contours - Jonction des contours
75
Conclusion
  • Extraction déléments simples
  • Indices structuraux
  • Caractéristiques volumétriques

76
(No Transcript)
77
Modèle de Morton (1969)
  • Modèle de reconnaissance des mots
  • Chaque concept est stocké dans une unité
    abstraite le logogène

Pour chaque mot connu il y a un logogène
  • Les logogènes reçoivent et accumulent
    lactivation issue des différentes entrées
    sensorielles.

78
Modèle de Morton (1969)
79
Notion de seuil
  • Chaque logogène à un seuil de réponse
  • Première réponse la familiarité
  • Propagation de lactivation si dépassement du
    seuil
  • Seuil dynamique

80
Fonctionnement du seuil de reconnaissance
attribué à chacune des unités de représentation.
81
Validation expérimentale
  • Outil de prédilection pour sonder les
    représentations mnésiques

Paradigme damorçage par répétition
82
Paradigme damorçage par répétition
Phase test
Phase damorçage
Image connue non amorcée
D E L A I
Image connue amorcée
Image inconnue non amorcée
Présentation d une liste d items
83
Test de la notion de seuil
  • Si le seuil de reconnaissance diminue après
    chaque reconnaissance

Le temps didentification dun mot devrait être
moins important lorsque le mot à été traité en
première phase que lorsquil ne la pas été
84
Test de lexistence dun logogène commun Clarke
Morton (1983)
Phase d apprentissage
Phase test
Tâche de reconnaissance
CHEVAL
CHEVAL
CHEVAL
85
Clarke Morton (1983)
86
Modification du modèlePatterson Morton (1980)
  • Subdivision du système des logogènes en trois
    systèmes distincts
  • - Un système de logogènes d entrée visuelle
  • - Un système de logogènes d entrée auditive
  • - Un système de logogènes de sortie

87
Modification du modèlePatterson Morton (1980)
88
Wagner, Gabrieli Verfaellie (1997)
Tâche d identification perceptive
89
Wagner, Gabrieli Verfaellie (1997)
90
Berry, Banburry Henry (1997)
Phase d amorçage
Phase test
Tâche de complétion de mots
CHEVAL
CH _ _ _ _
CHEVAL
91
Berry, Banburry Henry (1997)
92
Modification du modèleWarren Morton (1982)
  • Logogène Domaine verbale
  • Pictogène Domaine imagé
  • Système de logogène auditif
  • Système de sortie

Systèmes d entrée
93
Modification du modèleWarren Morton (1982)
94
Récapitulatif
  • Morton (1969)
  • Notion de seuil didentification
  • Il existe un logogène pour chaque concept connu

Expérience de Clarke Morton (1983)
95
Récapitulatif
  • Patterson Morton (1980)
  • Logogène visuel (mot, image)
  • logogène auditif

Expérience de Gabrieli Verfaellie (1997)
96
Récapitulatif
  • Warren Morton (1982)
  • Logogène verbal (mot)
  • logogène auditif
  • Pictogène (image)

Expérience de Warren Morton (1982)
97
Warren Morton (1982)
Phase d amorçage
Phase test
Image identique à la cible
Image similaire à la cible
Identification tachitoscopique
Cheval
98
Warren Morton (1982)
99
Conclusion
  • Quelle explication peut- on donner à ces
    résultats ?
  • Modèle hybride stockage des traitements
    appliqués

Solution en contradiction avec leurs suppositions
de base.
100
La reconnaissance des visages (Bruce Young,
1986)
  • Modèle inspiré de Morton (1969) notion de
    seuil, activation diffuse...
  • Modèle structural et très hiérarchisé
  • Toutes activités didentification est liée à
    l activation d unités de représentations
    abstraites.

101
(No Transcript)
102
Hiérarchie
  • Ellis (1986)
  • Le temps d accès aux informations sémantiques
    est plus long que celui de sentiment de
    familiarité (URV).
  • Young, Ellis Flude (1988)
  • La récupération du nom est moins rapide que
    celles des informations sémantiques
  • Situation écologique
  • Manque du nom

103
Unités de reconnaissance spécifique aux visages
  • Ellis, Young, Flude Hay (1987) utilisent le
    paradigme d amorçage par répétition afin de
    déterminer lexistence ou non d unités
    spécifiques
  • Remarque Leffet d amorçage par répétition
    est expliqué en terme de baisse de seuil au sein
    des URV

104
Ellis, Young, Flude Hay (1987, expérience 1)
Phase d amorçage
Phase test
Amorcé par un visage
Reno
Ou
Amorcé par un nom
Tâche didentification
Décision de familiarité
105
Ellis, Young, Flude Hay (1987)
106
Unités de reconnaissance des visages ou des
personnes ?
  • Ellis, Young, Flude Hay (1987)
  • Phase amorce Visages ou silhouette de
    personnalité
  • Tâche d identification
  • Phase test Présentation de visages
  • Tâche de décision de familiarité.

107
Ellis, Young, Flude Hay (1987, expérience 2)
108
Bruce Valentine (1985)
Phase d amorçage
Phase test
Tâche d identification
Décision de familiarité
Reno
109
Bruce Valentine (1985)
110
Bruce Valentine (1985)
  • Résultats incompatible avec le modèle tel quil
    est défini.
  • Même solution que celle énoncée par Warren
    Morton (1982)
  • Amorçage généralisateur
  • Amorçage spécifique

111
Conclusion
  • Effet  image identique vs similaire 
    inexplicable par le modèle de Bruce Young
    (1986).
  • Problème dû à la hiérarchisation
  • Faut-il faire linventaire de tous les films de
    Bruce Willis avant de pouvoir le nommer ?

112
Amorçage sémantique
113
Amorçage sémantique
  • Lidentification se verra facilitée par la
    présentation, au préalable, dun item qui lui
    sera sémantiquement relié.
  • La présentation du visage de "Stan Laurel"
    facilitera l'identification subséquente du visage
    d' "Oliver Hardy".

114
Amorçage sémantique
Amorçage par répétition
  • Présentation de deux items successivement
  • Effet à court terme
  • Effet intra et inter modal
  • Présentation d une liste ditem amorce puis
    items cibles
  • Effet à long terme
  • Effet intra modal

115
Explication au sein du modèle
  • Existence de liens bidirectionnels entre les URV
    et les NIS
  • Notion de pré- activation (automatique et donc
    inconsciente)

116
Bruce Valentine (1986)
Amorce reliée sémantiquement
Amorce non reliée
XXXXX
Amorce neutre
117
Bruce Valentine (1986)
118
Young, Flude Hellawell Ellis (1994)
Amorce non reliée
Amorce reliée catégoriellement
Amorce reliée de manière associative
119
Young, Flude Hellawell Ellis (1994)
120
Conclusion
  • Leffet damorçage sémantique semble dû à la
    fréquence co-occurrente plus quà lexistence
    dun lien sémantique unissant les deux visages.

121
Question
122
Modèle de Burton, Bruce Johnston (1990)
  • Implémentation du modèle de Bruce Young (1986)
  • Modèles connexionnistes (Modèle I.A.C.
    Interactive Activation and Competition Network
  • Architecture simple, utilisant des modes de
    représentation de type local (unités
    individuelles ayant des référents particuliers)

123
(No Transcript)
124
Re-définition des termes
  • La familiarité se situe au niveau des NIS
  • Accessible via toutes les unités de
    reconnaissance
  • Amorçage par répétition Renforcement du poids
    des connexions entre URV et NIS

125
Ellis, Young, Flude Hay (1987, expérience 1)
Phase d amorçage
Phase test
Amorcé par un visage
Reno
Ou
Amorcé par un nom
Tâche didentification
Décision de familiarité
126
Ellis, Young, Flude Hay (1987)
127
Bruce Valentine (1985)
Phase d amorçage
Phase test
Tâche d identification
Décision de familiarité
Reno
128
Bruce Valentine (1985)
129
Burton (1991 1994)
  • Unités de composantes des visages

130
Amorçage par répétition
  • Renforcement des liens entre
  • URV et NIS
  • UCV et URV

131
Conclusion
  • Explication
  • Amorçage par répétition intra modal
  • Effet d amorçage par répétition plus important
    lorsque  même image  par rapport à  image
    similaire 
  • Problème
  • Effet de contexte

132
Quel avenir ?
  • Modèle épisodique
  • Existence de traces mnésiques comportant toutes
    les informations encodées.
  • Modèle hybride
  • Représentations abstraites
  • Stockage des traitements perceptifs
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