Normes Ifrs et Analyse financi

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Normes Ifrs et Analyse financi

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Avril 2006 Normes Ifrs et Analyse financi re Jean-No l Vieille Directeur G n ral D l gu KBL France Gestion Administrateur de la SFAF 01 56 88 63 86 – PowerPoint PPT presentation

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Title: Normes Ifrs et Analyse financi


1
Normes Ifrs et Analyse financièreJean-Noël
VieilleDirecteur Général Délégué KBL France
GestionAdministrateur de la SFAF01 56 88 63
86
Avril 2006
2
Sommaire
  • Rappel des objectifs des normes IFRS 3
  • Revue des principales normes, avec exemples
    dapplications 5
  • Pour une analyse du tableau de financement 18
  • Lexemple de Renault et des entreprises du CAC
    40 20
  • Conclusions 24

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Rappel des principaux objectifs des normes IFRS
  • Homogénéisation des principes comptables pour
    lensemble des sociétés européennes cotées à
    compter du 1 janvier 2005
  • Convergence à terme vers un référentiel
     mondial 
  • Comparabilité et niveau dinformation accrus dans
    le futur, mais rupture avec les données
    historiques

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Rappel des principaux objectifs des normes IFRS
  • Néanmoins, il existe des limites importantes à la
    comparabilité des comptes
  • - Les choix offerts aux émetteurs lors de la
    première adoption (IFRS 1)
  • - Un manque de précision sur les modalités
    pratiques dapplication de certaines normes
  • Immobilisations corporelles (IAS 16)
  • Reconnaissance des revenus ( IAS 18)
  • Dépréciation dactifs (IAS 36)

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Revue des principales normes, avec exemples
dapplications
  • IFRS 1 Première application des normes
    internationales
  • - Réévaluation appliquée de façon ciblée à
    certaines immobilisations
  • Avantages du personnel imputation des écarts
    actuariels en diminution des capitaux propres
    douverture
  • Mise à zéro des réserves de conversion au 1
    Janvier 2004
  • Instruments financiers adoption des normes IAS
    32 et 39 au 1 janvier 2005
  • Choix complémentaire retraitement des
    regroupements dentreprises à compter du 1
    janvier 1999

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Revue des principales normes, avec exemples
dapplications
  • Exemples dapplications chez PPR, Bongrain et Air
    France de IFRS 1
  • - PPR retraitement des regroupements
    dentreprises intervenus depuis début 1999, année
    dentrée de Gucci
  • Traitement de lacquisition de Gucci selon IFRS
    3 (augmentation des intérêts minoritaires de 1,2
    Md sur le bilan douverture) et arrêt de
    lamortissement de goodwill à compter de début
    1999 (augmentation des fonds propres de 0,1 Md).
  • Bongrain a choisi lui de ne pas réaliser de
    retraitement rétrospectif et a maintenu
    lévaluation des immobilisations corporelles et
    incorporelles en coût historique.
  • Air France a opté pour la valorisation de sa
    flotte  à sa juste valeur  dans le bilan
    douverture, impact négatif après impôts différés
    de 478 M sur la situation nette et impact
    positif de 100 M sur le rex. En revanche, pas de
    retraitement rétrospectif des regroupements
    dentreprises.

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Revue des principales normes, avec exemples
dapplications
  • Exemples dapplications chez PPR, Bongrain et Air
    France de IFRS 1
  • - PPR Utilisation de la juste valeur de façon
    spécifique sur les terrains de lenseigne
    Printemps (recours à une entreprise externe pour
    évaluer lensemble du parc immobilier de
    lenseigne). Impact, augmentation des capitaux
    propres de 0,2 Md, sans incidence sur les
    résultats futurs.
  • - Comptabilisation des écarts actuariels (sur
    les engagements de retraite amortis sur la durée
    de vie active moyenne résiduelle des
    bénéficiaires) imputation des écarts actuariels
    existant à la date de transition sur les capitaux
    propres au 1 janvier 2004 baisse inférieure à
    0,1 Md chez PPR et de 20M chez Air France sur
    les capitaux propres.

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Revue des principales normes, avec exemples
dapplications
  • Exemples dapplications chez PPR, Bongrain et Air
    France de IFRS 16 / 40
  • - Rappel des conséquences des normes.
    Possibilité dutiliser dans le cadre récurrent,
    soit la juste valeur, soit la méthode de coût
    pour les immeubles dexploitation (IAS 16) et les
    immeubles de placement (IAS 40). Ces impacts ont
    été très largement non significatifs, la méthode
    du coût ayant été choisie pour éviter la
    volatilité des résultats futurs.
  • - Chez Bongrain, petit effet sur le calcul des
    amortissements, en normes françaises, ils étaient
    calculés selon le mode linéaire ou dégressif
    suivant la nature des immobilisations et selon
    les durées dusage. En IFRS, ils sont calculés de
    manière linéaire sur la base de la durée
    dutilité de chaque bien et / ou composant de
    bien. Doù effet chez Bongrain dune amélioration
    des capitaux propres de 95,7 M. Les pièces
    détachées sont désormais amorties, alors que ceci
    était comptabilisé dans les charges (1,2 M sur
    les capitaux propres chez Bongrain).

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Revue des principales normes, avec exemples
dapplications
  • Exemples dapplications chez PPR, Bongrain et Air
    France de IAS 38 et 36 (immobilisations
    incorporelles et dépréciation)
  • - Rappel des conséquences des normes. Les fonds
    de commerce acquis sont reclassés en écarts
    dacquisition. Le goodwill nest plus amorti,
    donc disparition des dotation aux écarts
    dacquisition, les écarts dacquisition négatifs
    sont imputés directement en capitaux propres au
    1/1/2004 puis seront mis directement en résultat.
    En contrepartie, mise en place de tests de
    dépréciation dactifs (la valeur nette comptable
    des UGT doit être justifiée au regard de leurs
    valeurs recouvrables, impairment test). Enfin, on
    supprime la notion de charge à répartir (frais
    douvertures,.)
  • - Effets pour les groupes assez importants de
    cette modification, création de charges
    exceptionnelles lorsque le goodwill nest pas
    justifié, en revanche, le résultat net est
    augmenté se façon structurelle par labsence de
    dépréciation de goodwill.

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Revue des principales normes, avec exemples
dapplications
  • Exemples dapplications chez PPR, Bongrain et Air
    France de IAS 32 et 39 (Instruments financiers)
  • - Rappel des conséquences des normes.
    Comptabilisation de lensemble des titres
    dautocontrôle en déduction des capitaux propres.
    Les instruments hybrides (les convertibles) sont
    scindés en composantes capitaux propres et
    dettes. Comptabilisation des instruments
    éventuels de couverture. Limpact pour PPR est
    une diminution des fonds propres de 300M et une
    hausse de la dette de 300 M. Impact positif chez
    Air France (non précisé) et neutre chez Bongrain.

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Revue des principales normes, avec exemples
dapplications
  • Exemples dapplications chez PPR, Bongrain et Air
    France de IAS 18 (produits des activités
    courantes)
  • - Rappel des conséquences des normes. Différence
    de définition par rapport à la notion de chiffre
    daffaires. Norme susceptible de faire lobjet
    dinterprétations différentes de la part des
    distributeurs européens. Le traitement des marges
    arrières passe en réduction de coût des
    marchandises vendues chez les distributeurs et
    pour les producteurs, cela va en déduction du
    chiffre daffaires. On doit également déduire du
    chiffre daffaires les subventions, les escomptes
    pour paiement comptant, les ventes dexcédents et
    de coproduits (cas de Bongrain). Chez Bongrain,
    cest 20 du CA qui disparaît, en revanche,
    limpact sur le résultat dexploitation est quasi
    nul.

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Exemples de quelques impacts
  • Bilan douverture 2004
  • PPR capitaux propres normes francaises 8,6
    Md Normes IFRS 9,8 Md
  • endettement financier net normes fr 5,0 Md
    Normes IFRS 4,7 Md
  • Peu de différence sur le compte de résultat
  • Bongrain capitaux propres normes francaises
    762 M Normes IFRS 846 M
  • endettement financier net normes fr 531,4
    M Normes IFRS 538,5 M
  • CA normes françaises 4128 M Produits des
    activités ordinaires 3304,5

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Exemples de quelques impacts
  • Bilan douverture 2004
  • Air France capitaux propres normes francaises
    4,06 Md Normes IFRS 3,4 Md
  • Danone capitaux propres normes francaises
    4,824 M Normes IFRS 4,643M
  • endettement financier net normes fr
    2,692 M Normes IFRS 5,371 M
  • CA normes françaises 13 700 M Produits des
    activités ordinaires 12 575 M
  • Bénéfice net 506 M en nomes françaises
    et de 638 en IFRS, BPA passant de 1,25 à 1,79.

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Lanalyse du compte de résultat le cas Renault
1. Hausse de lEBE, baisse du résultat
dexploitation et du résultat net
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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Lanalyse du bilan 1. Hausse des
immobilisations, baisse des fonds propres et
hausse de la dette
16
Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
En conclusion, une lecture des comptes plus
complexe
  • La nouvelle présentation du bilan améliore la
    visibilité de la situation financière réelle de
    lentreprise dans la mesure où la plupart des
    dettes hors bilan sont réintégrées. La valeur
    économique prend le pas sur une valeur
    historique.
  • On assiste donc généralement à une
    revalorisation du haut du bilan (hausse des
    incorporelles, cf comptabilisation des frais de
    développement,.).

En revanche, on constate une augmentation du taux
dendettement par deux phénomènes,
réincorporation des dettes hors bilan et de
nouvelles dettes (cf provisions pour retraites)
et diminution des fonds propres (déduction des
titres de lauto-contrôle, dépréciation du
goodwill et suppression des autres fonds
propres,).
En conclusion la notion de taux dendettement
doit être revisitée car le taux classique (dettes
nettes sur les fonds propres nest plus très
pertinent), il faut plutôt lui substituer un
ratio du type dettes nettes sur EBITDA ou sur le
free cash-flow.
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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
En conclusion, une lecture des comptes plus
complexe
  • Le bilan et le compte de résultat sont de plus
    en plus influencés par des données comptables
    nayant aucune contrepartie en termes monétaires
    (remontée de lexceptionnel au niveau du résultat
    dexploitation, calcul différent des frais
    financiers, prise en compte de la dette qui était
    auparavant hors-bilan, ..).

Difficulté pour lanalyste de réaliser des
comparaisons entre les sociétés, puisque des
options comptables différentes peuvent être
utilisées qui entraînent des résultats assez
divergents (comptabilisation des frais de
recherche et développement, problème plus général
de lactivation des charges, impairment test,. )
.
Une réponse à ces difficultés le recours à une
analyse du tableau de financement, qui à lui seul
permet de répondre à des questions importantes en
termes de diagnostic lentreprise parvient-elle
à créer de la valeur, quelles sont les flux
financiers dentrée et de sortie.
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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Pour une analyse du tableau de financement
  • Lanalyse des flux financiers une réponse
    fondamentale
  • Le tableau pluriannuel des flux financiers
    permet une interprétation extrêmement claire de
  • 1/ Lévolution de la croissance au travers du
    CA et de la valeur ajoutée
  • 2/ Lanalyse de la répartition de cette valeur
    ajoutée
  • 3/ Lanalyse de la politique industrielle, du
    financement du cycle dexploitation et des
    investissements.
  • 4/ Enfin lanalyse de lendettement, de la
    politique de distribution et des éléments de
    nature exceptionnelle (produits de cession,
    investissements financiers et croissance
    externe).

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Lanalyse du free cash-flow Un concept
fondamental
  • Le free cash-flow reste un élément de diagnostic
    très pertinent
  • Il est un véritable instrument danalyse de la
    performance économique de lentreprise
  • 1/ Sa définition est simple EBE (hors
    exceptionnels, cf normes IFRS) Variation du BFR
    Investissement industriel Impôts sur les
    résultats.
  • 2/ En discountant à linfini cet élément par le
    WACC, on obtient la valorisation par les DCF.
  • 3/ Cest la mesure de la capacité de
    lentreprise à générer du cash destiné en
    priorité aux actionnaires. On hiérarchise ainsi
    les ressources et les besoins de lentreprise en
    privilégiant le financement de sa croissance par
    des ressources internes.
  • 4/ Attention, reste un point délicat, lanalyse
    de linvestissement (diagnostic, séparation entre
    investissement de croissance et investissement de
    maintien)

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Lanalyse du tableau de financement le cas
Renault
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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Une réflexion concernant les entreprises du CAC
40, à la lumière du tableau pluriannuel des flux
financiers.
  • Modification de la croissance et de la
    répartition de la valeur ajoutée
  • Après une forte croissance annuelle de la valeur
    ajoutée entre 1997 et 2001, 14,1, on sattend
    ensuite à une progression plus modérée entre 2001
    et 2006, 1,9. Il sen suit une forte
    déformation de la répartition de la VA, avec un
    transfert important du poids des frais de
    personnel vers lentreprise.

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Une réflexion concernant les entreprises du CAC
40, à la lumière du tableau pluriannuel des flux
financiers.
La stratégie actuelle des acteurs est validée
réduction de coûts par le biais dune diminution
du poids des frais de personnel, diminution de
lendettement et baisse relative de
linvestissement industriel. Létat devient un
des grands bénéficiaires de cette répartition,
par le biais de la hausse des résultats des
entreprises (pertes de 19Md en 2001, gains de
plus de 60 Md attendus en 2005).
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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
Une lecture stratégique du tableau de financement
  • Linvestissement dépensé par les entreprises
    a-t-il évolué en cohérence avec la constitution
    de cash?
  • En 2001, linvestissement industriel dépensé par
    les entreprises industrielles du CAC 40 est
    cohérent avec le solde potentiel, 60 Md dépensés
    contre un potentiel de 62 Md.
  • En revanche, il nen est rien en 2004 puisque
    linvestissement dépensé nest que de 50 pour un
    potentiel de 75 Md. Les entreprises ont
    clairement préféré créer du cash ou racheter
    leurs titres en bourse.
  • Le free cash-flow en 2004 ressort ainsi à 40
    Md, qui va servir principalement à rémunérer les
    dividendes, (18 Md), les investissements
    financiers (19 Md).

En conclusion Après les errements stratégiques
des années 2000, il était nécessaire de
restructurer les entreprises en redéfinissant les
axes stratégiques, mais on peut sinterroger sur
un modèle qui ne créé pas demplois, naugmente
pas les salaires et ninvestit plus dans de
nouvelles capacités de production. Comment
stimuler alors de la croissance?
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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
En conclusion,
  • Le tableau de financement doit être la pierre
    angulaire du diagnostic financier et non un
    simple exercice de style imposé.
  • - Il doit charpenter la réflexion stratégique
    et financière.
  • - Bien utilisé, il devient une boîte à outils
    efficace et permet de préparer une évaluation
    rigoureuse de l entreprise.
  • - Il doit évidemment être  bouclé  afin
    déviter des erreurs dimputation.
  • - Lintérêt final est quil présente une
    lecture rapide des forces et faiblesses de
    lentreprise et il permet une vision globale et
    synthétique du compte de résultat et du bilan.

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Conférence organisée par Euronext et Lyon Place
Financière et Tertiaire
IFRS et méthodes de valorisation
  • Les changements de normes ne doivent pas
    entraîner de modifications de la valeur dune
    entreprise, en revanche certaines méthodes sont
    plus adaptées
  • - La méthode des comparables doit être
    utilisée avec précaution car les résultats
    dexploitation ou les EBE ne sont plus vraiment
    comparables, les retraitements sont nécessaires.
  • - Le PER devient plus difficile à utiliser car
    des phénomènes exceptionnels viennent polluer le
    résultat net, les entreprises devront donner des
    résultats nets courants pour pouvoir travailler
    sur cet indicateur.
  • - La valorisation par le Discounted Free
    Cash-Flow reste lapproche la plus intéressante
    car cet indicateur reste relativement  pur .
  • - Le WACC sera plus faible puisque
    lendettement est généralement plus élevé (donc
    effet de levier plus élevé). On pourra comparer
    le Wacc théorique avec le wacc utilisé par
    lentreprise lors du calcul des tests de
    dépréciation.
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