TICE et ASH

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TICE et ASH

•  Comment intégrer les TICE dans des pratiques ? 

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•  En fait, les technologies nouvelles ( telles
  l'audio-visuel ou l'informatique ) placent les
  responsables de formation devant des "obligations
  de choix" concernant les investissements, les
  modèles pédagogiques et jusqu'aux objectifs de
  l'enseignement ( Ferry, 1983 ) . Elles
  fonctionnent comme des analyseurs
  particulièrement efficaces. 

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•  La formation des enseignants à une utilisation
  efficace des TIC doit être effectuée au cours de
  la formation initiale aussi bien que dans le
  cadre de la formation continue. Dans tous les
  scénarios, la formation devrait viser à aider les
  enseignants à intégrer les TIC dans leur pratique
  quotidienne d une manière générale et dans les
  programmes éducatifs individuels des élèves. La
  formation aux TIC doit être souple et prendre en
  compte les besoins de chaque enseignant. De plus,
  toute formation relative à l utilisation des TIC
  doit examiner les aspects méthodologiques et
  didactiques et l organisation de
  l apprentissage en faisant des connexions
  claires entre théorie et pratique. 

Rapport européen sur les TIC
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Sommaire

• 1. Le rapport européen
• 2. Les TICE dans l apprentissage
• 3. Les TICE dans l enseignement
• 4. Créer de nouveaux environnements
• 5. Multimodalité
• 6. Interactivité
• Bonus histoire du www
• Bibliographie

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1.Le rapport européen sur les TICE et l AIS

• - Les principaux facteurs qui font obstacle à
  l utilisation des TICE
• - La perception des enseignants d une
  utilisation limitée des TIC.
• - Les principaux facteurs d encouragement à
  l utilisation des TICE.
• - La pédagogie
• - En résumé

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Le rapport européen sur les TICE et l AIS

•  Les TIC en elles-mêmes n auront pas pour
  résultat des changements massifs dans les
  systèmes éducatifs des pays européens sauf si
  leur potentiel en tant qu outil d apprentissage
  est exploré de façon plus approfondie. 

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Les principaux facteurs qui font obstacle à
l utilisation des TICE

• Le manque de confiance des enseignants dans
  l application des TIC aux programmes et
  curriculum liés à l éducation spécialisée.

• Le manque d échanges d informations, de
  partage d expertise au niveau de l école et
  entre les écoles.

• La disponibilité limitée au niveau de l école
  en matière de ressources et de compétences
  matérielles et logicielles.

• L accès de l école à un soutien et à une
  information spécialisés.

• Une mauvaise identification des TIC et de
  l éducation spécialisée dans les plans de
  développement de l école.

• Un manque d évaluation des besoins des élèves
  en matière de TIC.

• Une structure d organisation de l école
  rigide.

• Des barrières d âge et de sexe dans
  l utilisation des TIC.

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La perception des enseignants d une utilisation
limitée des TIC.

• Un manque d incitation pour les enseignants à
  accepter des responsabilités en matière de TIC
  dans les écoles.

• La résistance au changement en général et plus
  particulièrement au changement apporté par
  l utilisation des TIC.

• Une disponibilité ou un accès limité à la
  formation continue dans le domaine des TIC.

• Une disponibilité limitée en matière de
  formation continue et une participation limitée à
  cette formation.

• La confusion entre des sources de soutien,
  d information et de conseil non coordonnées.

• Le manque d expertise et/ou d intérêt pour les
  TIC chez les personnels de soutien dans le
  domaine des besoins éducatifs spécifiques (les
  psychologues par exemple)

• Des possibilités limitées pour les enseignants
  d appliquer les résultats de la recherche.

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Les principaux facteurs d encouragement à
l utilisation des TICE.

• Une politique d utilisation des TIC dans
  l éducation spécialisée clairement définie dans
  l école.

• L engagement et le soutien des directeurs
  d école.

• La disponibilité de ressources et d aides
  matérielles spécialisées appropriées et de
  soutien dans l école et à l intérieur de la
  classe.

• L accès à une formation spécialisée qui
  développe le sentiment de confiance de
  l enseignant.

• La disponibilité d informations spécialisées et
  d exemples de pratiques d autres enseignants.

• Le travail en équipe et le partage
  d expériences et de compétences.

• La motivation croissante des enseignants et
  l accroissement de leurs compétences concernant
  l utilisation de la souplesse des TIC.

• Les résultats positifs en termes
  d apprentissage et/ou de motivation des élèves
  comme résultat de l utilisation des TIC.

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• L utilisation croissante des TIC à la maison,
  par les parents et plus généralement dans la
  société.

• La prise de conscience des possibilités offertes
  par les TIC en matière de nouvelles stratégies
  d enseignement.

• Une prise de conscience croissante des avantages
  des TIC à tous les niveaux de l éducation (y
  compris au niveau des législateurs)

• La coordination régionale de toutes les formes
  de soutien en matière de TIC et d éducation des
  enfants à besoins spécifiques.

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La pédagogie

•  La question soulevée est de savoir quelle est
  la vraie valeur éducative des TIC, et non pas
  leur utilisation potentielle comme un autre outil
  quelconque de l environnement éducatif.
• toute tentative pour développer une
  meilleure application des TIC et pour générer une
  nouvelle qualité d apprentissage ne sera pas
  couronnée de succès si de nouvelles théories
  concernant l apprentissage de l utilisation de
  ces technologies ne sont pas imaginées. 
• L introduction et l application plus large des
  TIC en situation d enseignement signifie que
  tous les enseignants - y compris peut-être plus
  particulièrement ceux qui travaillent avec des
  élèves à besoins spécifiques - participeront à
  des développements d environnements pédagogiques
  dans lesquels le rôle de l enseignant changera
  de manière fondamentale. 

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L avenir des TIC dans l éducation spécialisée.

• - Exigences en termes de développement d une
  infrastructure
• - Mise à disposition d une information sur les
  TIC et l éducation spécialisée
• - Attention portée à la recherche et à la
  collaboration future
• - Méthodes permettant la réalisation des points
  ci-dessus

Il importe donc de comprendre ce que les TIC
changent dans les activités de traitement de
l information mises en jeu dans les différentes
tâches d apprentissage.
La compréhension des effets de ces outils et des
difficultés qu ils provoquent nécessite de
recourir, d une part, à des modèles du
fonctionnement cognitif du sujet apprenant et,
d autre part, à une analyse des contextes et des
conditions d utilisation de ces outils qui
influencent et modifient ces modèles.
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En résumé

• Promouvoir une formation de base et une formation
  spécialisée en matière d utilisation des TIC
  pour les enseignants.
• Garantir une infrastructure matérielle et
  logicielle à tous les élèves.
• Promouvoir la recherche, l innovation et
  l échange d informations et d expériences.
• Informer la communauté éducative et plus
  largement la société des avantages de
  l utilisation des TIC dans l  éducation
  spécialisée.

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2. Les TICE dans l apprentissage
1. Le béhaviorisme 2. les théories cognitives
(cognitivisme) 3. les théories constructivistes
(cognition située)
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Hypothèses sur les apprentissages

• Tout apprentissage mettrait en uvre des
  activités mentales comme la compréhension,
  lexploration et la répétition
• Une situation dapprentissage est la mise en
  uvre dun équilibre différent entre ces activités

compréhension
répétition
exploration
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1. Le béhaviorisme

• Les behavioristes ne s intéressent qu aux
  résultats, et non aux processus cognitifs de
  traitement de l information.
• Les behavioristes s intéressent d abord au
  contenu informationnel à transmettre. Ils mettent
  ainsi entre parenthèses le système cognitif de
  l individu les processus cognitifs et les
  structures sur lesquelles ils opèrent pour
  traiter les informations nouvelles et construire
  de nouvelles connaissances.
• La conception béhavioriste, encore largement
  dominante dans de nombreuses pratiques
  enseignantes et dans de nombreux systèmes et
  outils multimédias, ne peut contribuer
  efficacement au développement cognitif et
  métacognitif de l élève.

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2. les théories cognitives (cognitivisme)

• Le paradigme cognitiviste s intéresse au
  fonctionnement et au contenu de la  boîte
  noire . Le contenu de la  boîte noire  peut
  être défini par deux éléments clés les
  processus cognitifs et les représentations sur
  lesquelles ils opèrent, quelles que soient les
  activités de l individu.
• L apprentissage est conçu comme un processus de
  construction des connaissances, et non pas comme
  un processus d acquisition des connaissances.
  Ensuite, les activités d enseignement sont des
  activités d aide à la construction des
  connaissances et non pas des activités de
  transmission des connaissances.

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3. les théories constructivistes (cognition
située)

• Deux types d approches

Le constructivisme courant cognitiviste et
approche piagétienne La construction des
connaissances est conçue comme un ensemble de
processus  d assimilation  des informations
nouvelles aux schémas anciens. Les travaux sur le
conflit socio-cognitif rentre dans ce cadre.
Le constructionnisme approche socioculturelle de
Vygotski. La connaissance est l effet d une
co-construction entre les individus et les
groupes et le résultat d une interaction entre
les facteurs culturels et langagiers. Cette
approche a ouvert la voie à de nombreux cadres
théoriques qui conçoivent la cognition comme
socialement partagée.
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Relations entre situations et activités mentales
Apprentissages par instruction
compréhension
Cours magistraux
Résolution de problèmes
Préparation dun exposé
Exercices dapplication
Apprentissages par laction
Vrais TP
exploration
répétition
Exercices dentraînements
Apprentissages par découverte
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Le système d enseignement classique dit ce
qu est une maison. Avec l idée d apprentissage
actif (ou constructivisme), on dit où aller
chercher les informations pour se faire une idée
de la maison et avec l idée du
constructionnisme, on ajoute le fait qu il faut
construire une maison (en utilisant, par exemple,
les systèmes multimédias) afin d achever d une
manière efficace le processus d apprentissage. 
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•  L introduction et l application des TIC en
  situation d enseignement signifie que tous les
  enseignants - y compris peut-être plus
  particulièrement ceux qui travaillent avec des
  élèves à besoins spécifiques - participeront à
  des développements d environnements pédagogiques
  dans lesquels le rôle de l enseignant changera
  de manière fondamentale. Les concepts tels que
   apprendre à apprendre ,  apprentissage tout
  au long de la vie  et  éducation en-ligne à
  distance  étant de plus en plus souvent
  acceptés, les méthodes d apprentissage
  traditionnelles vont changer de façon radicale
  pour tous les élèves et pour tous ceux qui
  travaillent avec ces élèves. 

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3. Les TICE dans l enseignement

• Les modèles centrés sur l enseignant
• Les modèles centrés sur l élève
• Les modèles centrés sur les interactions

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Les modèles centrés sur l enseignant

• Intérêts
• enseignement direct
• processus linéaire
• traitement de petites unités
• facilite l acquisition des connaissances
• développe des  habiletés 
• flexibilité dans l apprentissage
• l élève est guidé

• Limites
• contenus découpés, isolés et décontextualisés
• objets d apprentissage considérés comme des fins
• peut engendrer passivité et démotivation
• connaissances rarement transférées
• les objets d apprentissage sont choisis en
  fonction des contenus disciplinaires

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Les modèles centrés sur l élève

• Limites
• l élève ne peut pas tout découvrir par lui-même
• présuppose des habiletés préalables
• nécessite la présence d un tiers

• Intérêts
• l élève gère lui-même son activité
• travail sur des situations-problèmes
• formulation d hypothèses
• recherche et analyse d informations
• apprentissage par l action

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Les modèles centrés sur les interactions

• Intérêts
• développement du travail coopératif
• pose l apprentissage comme un processus global
• permet un travail de médiation
• replace les TICE dans une perspective culturelle
• permet un travail sur les connaissances et
  compétences métacognitives
• reconnaissance de la place des affects

• Limites
• suppose des habiletés minimales
• exige la présence de l enseignant pour concevoir
  les situations et étayer le groupe
• réclame des outils d évaluation différents

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4. Créer de nouveaux environnements.
Vers de nouveaux modèles
 L apprentissage efficace est constructiviste,
cumulatif, autorégulé, intentionnel, situé et
collaboratif. 
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Une théorie écologique

• Le rappel en mémoire dépend de la tâche
• Lapprentissage est essentiellement un processus
  adaptatif à lenvironnement
• Le développement dune expertise implique un
  traitement économique et perceptif

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• l apprentissage collaboratif
• Interactions  sur  l ordinateur. Les élèves
  travaillent en groupe sur une application
  (situation la plus fréquente)
• Interactions  autour  de l ordinateur .Un
  groupe d élèves partage un nombre restreint des
  ordinateurs dans la classe.
• Interactions  à travers  l ordinateur .Utilisa
  tion des outils de communication
• Interactions  en relation  avec une activité
  qui nécessite, à un moment donné, l utilisation
  de l ordinateur.

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Rouet (2001)   plaide en faveur de la mise en
place de véritables programmes de recherche et
développement au sein même des établissements
scolaires. En effet, même si les technologies
devenaient peu à peu réellement utilisables par
les élèves, il restera à définir leur  niche
éducative , c est-à-dire l ensemble des
paramètres institutionnels, physiques, cognitifs
et pédagogiques qui permettront d en extraire
une réelle valeur ajoutée. 
Ces  zones d incertitude  dans lesquelles
évolue l ensemble des acteurs - les enseignants,
les étudiants, les décideurs, les chercheurs de
toutes les disciplines concernées - favorisent à
coup sûr les regroupements et les
collaborations. 
30
5. Multimodalité
. Interaction texte/texte
. Interaction texte/image
. Interaction texte/vidéo
. Interaction texte/son
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Conclusions sur la multimodalité

• La multimodalité peut être au service de la
  redondance, et la redondance peut faciliter le
  traitement des documents par des élèves qui
  connaissent mal les domaines abordé.
• Lintégration de sources mutuellement référencées
  amoindrit leffet de dissociation de lattention
• La représentation analogique des phénomènes (en
  particulier dynamiques) facilite la compréhension

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Les aides à la compréhension

• Adapter le vocabulaire utilisé aux élèves 
• Définir les mots difficiles 
• Adapter les structures syntaxiques aux élèves  
• Relier les arguments selon des schémas que
  connaissent les élèves  
• Fournir un dispositif de sélection ou de
  hiérarchisation de l'information en fonction de
  réponses à un questionnaire d'entrée 
• Proposer des représentations graphiques des
  situations décrites 
• Permettre, avec le dispositif d'intégration
  texte/graphique, une gestion aisée du traitement
  de la co-référence texte/image 
• Permettre une prise en compte de différents types
  d'objectifs  
• Permettre une sélection des informations et/ou
  une structuration de celles-ci en fonction de
  l'objectif.

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6. Interactivité

• L'organisation non-linéaire des données favorise
  la désorientation de l'utilisateur
• L'organisation fonctionnelle des contenus ne
  favorise pas la mémorisation, ni le repérage
• Lorganisation hiérarchique favorise la
  mémorisation et facilite la navigation.
• Lorganisation linéaire entraîne de faibles
  performances, mais semble bien adaptée à une 1ère
  utilisation.
• Lorganisation combinée (hiérarchique / réseau)
  semble intéressante mais on manque de résultats.

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• Dans le domaine des apprentissages, on peut
  concevoir deux niveaux dinteraction, celui de
  lapprentissage et celui de lutilisation,
  correspondant à deux niveaux de tâches
• Le scénario didactique, qui concerne la façon
  dont les contenus sont représentés et structurés
  pour permettre à lapprenant de construire des
  connaissances nouvelles et re-mobiliser des
  connaissances anciennes dans le domaine de
  contenu abordé.
• Le scénario de navigation, qui concerne
  lensemble des fonctionnalités qui permettent à
  lutilisateur dutiliser le système
  dinformation, les contraintes qui pèsent sur les
  accès aux informations.

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7. Hypermédias
Les hypertextes et les hypermédias sont des
ensembles de "données accessibles", constitués de
nuds connectés par des liens. Ils sont définis
en 1987 par Conklin comme l'appariement de deux
niveaux, le niveau des "données accessibles" et
le niveau de la base de données, le second niveau
"organisant" le premier.
36
Bonus histoire du www

• - La préhistoire
• - L antiquité
• - l âge féodal
• - la révolution
• - les années folles

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Historique la préhistoire ...

• 1837 Mise en place du premier télégraphe
  électrique.

• 1844 Première transmission numérique de données
  le morse.

• 1849 Le télégraphe est utilisé pour la première
  fois au plan international.

• 1876 Alexandre Graham Bell invente le téléphone.

38
L'antiquité (1945-1988)

• En 1965, Ted Nelson invente l'hypertexte. Il crée
  plus tard Xanadu, un logiciel d'hypertexte resté
  inachevé.

• En 1969, ARPAnet apparaît, grâce au projet ARPA,
  cela reste un petit réseau expérimental de quatre
  machines dans un contexte universitaire.
• Quatre machines...
• En 1972, ARPAnet possède dix machines. La même
  année, Ray Tomlinson invente l'e-mail.

• 1987 est l'année où le premier logiciel
  d'hypertexte est de masse est diffusé par Apple
  Hypercard.

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L âge féodal

• 1989. Tim Berners-Lee travaillant au CERN, jette
  les bases du World Wide Web et du HTML dans son
  article "Hypertexte et le CERN".

• 1990 Fin d'ARPAnet, remplacé par Internet. La
  même année, Archie le premier grand outil de
  repérage de fichiers sur Internet apparaît.
  Chaque nuit il faisait l'inventaire
  d'approximativement 3 des sites Internet. En un
  mois, tous les sites étaient répertoriés.

• 1992 Apparition grâce au CERN des navigateurs
  WWW en mode graphique. Premiers développements du
  HTML.

• La même année, le NCSA (National Center for
  Supercomputing Applications, Université
  d'Illinois), diffuse la première version de son
  navigateur WWW Mosaic, écrit par Marc Andreessen,
  étudiant de 22 ans.

40
La révolution (1993-1995)

• 1993 Le président Clinton lance sa page web
  http//www.whitehouse.gov (depuis il a été imité
  http//www.elysee.fr).

• En mars le Web représente 0,1 du trafic sur
  l'Internet. En septembre il représente 1 du
  trafic sur l'Internet.

• En octobre, Netscape, société crée par Marc
  Andreessen, inventeur de Mosaic, diffuse
  gratuitement son premier navigateur sur internet.
  10 du traffic transitant sur l'Internet est lié
  au WWW.

• 1995 En février, le navigateur Netscape
  atteint 4 millions d'utilisateurs et génère 75
  du traffic sur le Web.

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Les années folles (1996 à nos jours)

• 1998 Nombre de machines sur Internet 45000000.

• 2001 Le moteur de recherche Google recense 3
  milliards de pages HTML et 300 millions d'images.

• 2002 55000000 internautes, 500 milliards de
  pages. En France 7.7 millions d'abonnés.

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• Bibliographie
• Denis LEGROS - Jacques CRINON  Psychologie des
  apprentissages et multimédia  Armand Colin .
  Collection U
• Marcel Lebrun  Théories et méthodes
  pédagogiques pour enseigner et apprendre  Quelle
  place pour les TIC dans l éducation ? De Boeck
  Université.

43
Introduction à HTML http//www-lih.univ-lehavre.fr
/dutot/STPI/cours1.html
Rapport européen sur les TICE dans l éducation
des enfants à besoins éducatifs spécifiques.
http//www.european-agency.org
Le site d André Tricot http//perso.wanadoo.fr/an
dre.tricot/AndreTricot.html