Evaluation de lUnit Exprimentale Ecologie et Ecotoxicologie aquatique U3E

1
Evaluation de lUnité Expérimentale Ecologie et
Ecotoxicologie aquatique (U3E) 12-14 mai 2009
CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
2
Evaluation du 12 au 14 mai 2009

• Commission dévaluation
• - Joël AUBIN (Rennes- UMR SAS)
• Alexis CHAMPIGNEULLE (Thonon-UMR Carrtel)
• - Vincent Faloya (Rennes-UMR Bio3P CNUE)
• - Agnès HUBERT(Versailles-Unité dappui du DGAP)
• - Arnaud RICHARD (ONEMA)
• Lettre de mission
• ?critères organisationnels et manageriaux
• ?critères scientifiques et techniques
• Activités 2005-2008 et projets

CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
3
LU3E quelques rappels (crée en 1998)
CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
4
Missions et activités de lU3E

• Dans le domaine de lécologie et de
  lécotoxicologie aquatique (eaux douces)
• gt Mission générale dappui aux programmes de
  recherche des UMR (ESE, ECOBIOP, autres)
• Mise en place et suivi dessais
• Elevages dorganismes aquatiques

• gt Observation des systèmes aquatiques, dans le
  cadre de partenariats (ONEMA, fédérations de
  pêche,).

CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
5
Les moyens de lU3E (1)

• 2 halls expérimentaux couverts et des serres
  délevage (Rennes )
• gtEnsemble de mésocosmes lentiques et étangs
  (Rennes et Le Rheu)
• gt Sites ateliers ( 2 petits fleuves côtiers, le
  Scorff et lOir)

CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
6
Les moyens (2)

• gt 19 agents (12 permanents INRA dont 3 IE)
  Equipes identifiées
• gt Un budget équilibré (120 k/an. Pas de
  recettes)
• gt Une organisation évolutive
• gt Un CSU renouvelé en 2008

CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
7
Les points forts de lU3E
CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
8
Les points forts de lU3E (1)
gt Dispositif expérimental unique en France
(Mésocosmes lentiques) Complémentarité des
approches (observation et expérimentation). gt
Capacité dadaptation à des demandes nouvelles et
en forte croissance. gt Disponibilité de
chroniques de données (sites ateliers suivis
depuis 20 ans) gt Qualité des partenariats (CSP
puis ONEMA,), contractualisés. gt Relations
UE-UMR de proximité équilibrées et stimulantes
(pas seulement partage de bureaux et secrétariats
- dialogue en amont sur les essais à mettre en
place - coopérations dans le respect des missions
de chacun complémentarité des interventions des
équipes techniques et scientifiques UE et UMR)
CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
9
Les points forts de lU3E (2)
gt Equipe motivée et compétente (renforcement
récent, capacité daccueil et dacquisition de
nouvelles compétences,) des agents autonomes
qui ont le sens du collectif. gt Organisation
pragmatique et efficace mise en place par DU et
DUA (responsabilités déquipes, réunions
régulières, communication interne partagée). gt
Maitrise des savoir-faire essentiels et des
procédures indispensables à la réalisation des
essais AQR (audit prévu), suivi des
réglementations (effort soutenu de formation des
agents et bonne répartition entre agents)
CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
10
Les points forts de lU3E (3)

• gt Importance et qualité des réalisations (liste
  des programmes, satisfaction des équipes de
  recherche)
• gt Culture de lécrit plutôt bien partagée
  (protocoles rédigés, gestionnaire de documents
  GDO, rédaction darticles techniques, site web).
  Citation dans les publications scientifiques ou
  cosignatures.

CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
11
Les points faibles de lU3E
CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
12
Les points faibles de lU3E (1)
gt Moyens financiers limites / investissements gt
Vétusté des serres délevage imposera des choix
(ou fermer ou investir) gt Exigüité et
inadaptation des locaux hébergeant le personnel
(commun UE-UMR ESE) gt Adéquation ente leffectif
de lunité et le volume de travail. Forte
croissance des demandes des UMR? veiller à
établir des priorités. gt Poids croissant des
opérations conduites avec les partenaires (en
particulier avec lONEMA voir
convention-cadre). Eviter dispersion. Veiller à
la cohérence de l ensemble ne doit pas se
faire aux dépens de lappui aux UMR (département
EFPA et autres).
CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
13
Les points faibles de lU3E (2)
gt Le CSU doit se réunir de façon formelle et
jouer son rôle aider le DU à gérer lUE,
établir des priorités si nécessaire et préparer
les évolutions. (Même si les contacts entre le
DUE et le président du CSU sont fréquents) gt
Renforcements récents en personnel doivent être
gérés (donner le temps à léquipe expérimentale
de Rennes de se stabiliser, bien définir les
rôles des ingénieurs arrivés récemment, en
veillant aux complémentarités).
CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
14
Le projet de lU3E
CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
15
Le projet de lU3E (1)
Elargir le réseau de sites de lORE Petits
Fleuves Côtiers et enrichir les collections de
données et déchantillons en assurer la gestion
et la mise à disposition pour les UMR et les
partenaires.
gt Dans la continuité des activités actuelles de
lUE gt Projet en phase avec les orientations de
département EFPA-DS ECONAT gt Projet discuté avec
les unités de recherche lUE assurera la
coordination technique et organisationnelle. Mais
les rôles de chaque partie doivent être précisés
gt Acquérir une lisibilité nationale et
européenne oui, mais cela aura un  coût  pour
lUE (accréditation, ouverture des sites,)
CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
16
Les sites ateliers

La Bresle
Vers un ORE  Petits Fleuves Côtiers  ( demande
de label national en 2010)
LOir
Le Scorff
-Suivi par lU3E Oir, Scorff -Suivi par lUMR
ECOBIOP Nivelle -Suivi par lONEMA Bresle
La Nivelle
CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
17
Le projet de lU3E (2)
gtNe pas minorer certaines difficultés
méthodologiques (validation de données
anciennes,) gt Besoin de moyens supplémentaires,
en particulier en termes de compétences
(personnel de lONEMA si le site-atelier de La
Bresle est intégré au dispositif. Ingénieur pour
la gestion de bases de données)
CS-CG département EFPA 6 octobre 2009
18
Le projet de lU3E (3)

• Avis et recommandations de la
  commission
• Globalement, le projet renforce le risque de
  dispersion déjà mentionné, mais cest un projet
  ambitieux, dont lexamen doit être poursuivi en
  concertation avec les chercheurs (comités ad hoc,
  dont le CSU). La commission souligne que la mise
  en place de ce projet conduira à un renforcement
  de lUE en personnel ingénieur (4 IE dans lunité
  si recrutement / BDD). Conséquences pour le
  fonctionnement de lunité ?
• Expliciter les actions à mener, en précisant les
  moyens nécessaires, les complémentarités entre
  intervenants et le calendrier (prévu dans le
  cadre de la demande de labellisation).

CS-CG département EFPA 6 octobre 2009