Le graphe darchitecture logique - PowerPoint PPT Presentation

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Le graphe darchitecture logique

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Praxeme, le sens de l'action. Praxime, initiative pour une m thode ... Le graphe d'architecture logique ' L'architecture, c'est de la musique. p trifi e. ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Le graphe darchitecture logique


1
Le graphe darchitecture logique
 Larchitecture, cest de la musiquepétrifiée. 
Goethe
2
Objectif de la séquence
  • Compétence visée
  • Pré-requis
  • Langage UML
  • Principes directeurs AMOS
  • FML.x antérieurs

Pouvoir comprendre les décisions de
larchitecture logique
Durée de la séquence 3/4 h
3
Contenu de la séquence
  • Définitions préalables
  • La stratification
  • Lorchestration
  • La factorisation des services utilitaires
  • Lexamen de larchitecture logique SMABTP

4
Définitions préalables
1
  • Larchitecture logique
  • Le caractère logique
  • Larchitecture de services

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Objectifs de larchitecture logique
  • Les objectifs de la structuration de
    larchitecture
  • Léconomie
  • Éviter la redondance et les complications
  • Lévolutivité
  • Flexibilité vis-à-vis des changements
  • Maîtrise du système
  • Maintenance de la lisibilité et réduction des
    risques et dépenses
  • Définition

Larchitecture logique est une discipline de
conception, visant à structurer le système
informatique, indépendamment des choix techniques
6
Le caractère logique de larchitecture
  • Il diffère des aspects amont et technique
  • Par rapport à lamont
  • Les modèles amont cherchent à décrire la réalité
    et ne se préoccupent pas des contraintes de
    linformatique
  • Larchitecture logique impose des contraintes
    structurelles
  • Elle cherche à réduire le couplage pour que le
    système informatique puisse fonctionner
    efficacement
  • Par rapport à laval
  • Le modèle logique est préservé des choix
    techniques
  • De ce fait, il est pérenne
  • Il a pour objectif de soutenir la démarche
    durbanisation du SI
  • La réutilisation
  • Elle nest plus envisagée seulement a posteriori
  • Comme classiquement, par mutualisation déléments
    existants
  • Elle provient des exigences formelles et
    structurelles imposées a priori

7
Deux exemples de décisions dordre logique
  • Le schéma densemble
  • Dans le modèle sémantique
  • La décomposition en domaines dobjets prépare la
    structuration du système en  fabriques
    logiques 
  • Mais, les domaines peuvent être fortement couplés
  • Dans le modèle logique
  • Moins de dépendances entre les fabriques logiques
  • Nécessité de mécanismes de compensation
  • Voir chapitre 3 de cette séquence
  • La factorisation décidée au niveau logique
  • Dans le modèle pragmatique
  • Les activités (actes de gestion) mobilisent des
    moyens généraux
  • Émission de courriers, communication multicanaux,
    archivage
  • Dans le modèle logique
  • Larchitecture pose a priori un atelier
     services généraux 

8
Le style darchitecture
  • Un style darchitecture est caractérisé,
    principalement, par le critère de décomposition
  • Larchitecture fonctionnelle décompose le système
    en fonctions
  • La décomposition fonctionnelle engendre des
    redondances
  • Larchitecture de services décompose le système
    en services
  • Loriginalité de Praxeme réside dans la
    découverte des services
  • Ils sont, majoritairement, déduits des modèles
    amont
  • De cette façon, le système informatique adhère à
    la structure naturelle du métier

9
Le style SOA
  • Larticulation autour du service (SOA) renvoie à
    limage client-fournisseur et à la notion de
    contrat
  • Les deux grands principes de larchitecture SOA
  • Lencapsulation
  • Les demandeurs ne connaissent que le contrat du
    service (les données restent masquées)
  • La coopération
  • Un processus est obtenu par le concours de
    plusieurs services
  • Le choix de la granularité service laisse
    beaucoup de possibilités de structuration de la
    communication
  • La négociation logique / technique précise le
    style
  • Dans AMOS, la contextualisation est un des
    éléments qui fixent le style darchitecture

10
Conclusion de cette partie
  • Sous laspect logique, nous appréhendons
    le système dinformation, indépendamment de la
    technologie
  • Du moins, relativement
  • Une précaution tout de même la négociation
    logique / technique
  • Sous cet aspect, nous prenons des décisions
    de structuration du système
  • Le choix du critère de décomposition est
    essentiel
  • Il détermine le style darchitecture logique
  • SOA est un style darchitecture logique
  • Privilégiant le service comme grain élémentaire
    du système
  • Usage de la métaphore

11
La stratification
2
  • Les composants logiques sont répartis
    en   strates 
  • Séparées par laction de contraintes topologiques
  • Du centre vers lextérieur
  • Du plus stable au plus volatil
  • La localisation contraint la communication
  • Celle-ci va de lextérieur vers lintérieur
  • En sens unique

12
Illustration des strates
13
La définition des strates
  • La strate Métier constitue le cur de métier
  • Concepts, objets métier
  • Abstraction faite des choix organisationnels et
    techniques
  • La strate Organisation isole les choix
    dorganisation
  • Aspect plus changeant, indépendamment du cur
    de métier
  • Lorganisation doit pouvoir évoluer facilement
  • Sans obliger à de grands changements dans
    linformatique
  • La strate Présentation décrit laspect
    logique du dialogue homme-machine
  • Indépendamment de la technologie dinterface

Ex. Contrat, Sinistre
Plusieurs façons de gérer les sinistres, selon
les partenaires
Autant dIHM que de technologies supportées
14
Lorchestration
3
  • Le problème
  • Maîtriser le couplage
  • La solution
  • Une architecture logique optimisé
  • Entre propagation et orchestration

15
Lexemple
  • Pour calculer le coût dun sinistre, il est
    nécessaire de connaître les garanties et les
    éventuels plans de coassurance
  • Dans le modèle sémantique
  • Les notions impliquées dans cet exemple sont
    reliées par navigation
  • Le calcul seffectue par propagation
  • Envoi de message au moment où on a besoin de
    linformation

Sinistre
Couverture
Garantie
Contrat
16
La propagation
  • Le fonctionnement en mode propagation
  • Par envoi de messages
  • Le diagramme de collaboration

calculer coût
Sinistre
montants
Couverture
conditions
Garantie
plan de co-assurance
Contrat
17
Les limites de la propagation
  • La modélisation sémantique adopte naturellement
    ce mode
  • Spontané quand on cherche à exprimer le savoir
     métier 
  • Renforcé par le paradigme objet
  • Transposé dans le système informatique, ce mode
    présente plusieurs risques
  • Difficile maîtrise de la dynamique
  • Couplage fort
  • Baisse des performances
  • Notamment du fait de multiples lectures ou de la
    sollicitation de plusieurs systèmes

18
Lorchestration
  • Une solution diamétralement opposée
  • On efface toutes les dépendances
  • On concentre le dialogue en un point
  • Lorchestrateur

Couverture
Sinistre
Garantie
Contrat
montants
plan de co-assurance
conditions
calculer coût
Orchestrateur
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Avantages et limites de lorchestration
  • Lorchestration dans le style darchitecture AMOS
  • Les machines logiques  organisation  jouent un
    rôle dorchestrateur
  • Les ateliers Métier peuvent aussi jouer ce rôle
  • Leurs services assemblent les services de la
    strate  Métier 
  • Pour un usage donné
  • Un cas dutilisation
  • Avantage de lorchestration
  • Le couplage semble réduit à néant
  • Plus aucun lien entre les composants
  • Limite de lorchestration
  • Elle revient à déplacer la logique métier
  • Cette logique nest plus dans les opérations
    sémantiques
  • Elle a été arrachée du concept métier et confiée
    à lorchestrateur, lequel nest pas une notion
    métier

20
Les trois modes de communication
  • Le mode de communication au sein du système de
    services peut être de trois types
  • Propagation
  • Linformation ou laction sont demandées au
    moment où on en a besoin.
  • Le modèle sémantique est exprimé de la sorte
  • Le couplage est assez fort
  • Orchestration
  • Les appels de services ne sont plus directs
  • Réduction du couplage
  • Les modèles amonts sont fortement transformés
  • Contextualisation
  • Position intermédiaire
  • /

21
La contextualisation
  • La solution du juste milieu
  • Lorchestrateur rassemble une partie de
    linformation nécessaire à laction
  • Par exemple, en fonction de la logique du
    dialogue
  • Il passe cette information aux composants
    impliqués dans le traitement
  • Cela leur évite de la rechercher eux-mêmes par
    propagation
  • La solution suppose de modifier la signature des
    services afin quelles fassent la place pour les
    informations à recevoir

0,5
0
1
orchestration
propagation
contextualisation
22
La contextualisation sur lexemple
  • Exemple de raisonnement
  • Les machines mSinistre et mCouverture sont dans
    le même atelier
  • Leur couplage  coûte  peu
  • mGarantie et mContrat sont dans une autre
    fabrique
  • La communication  coûte  davantage
  • Ces objets sont déjà sollicités dans le dialogue
  • Lorchestrateur est la MLO (par exemple moEvaluer)

Couverture
Sinistre
Garantie
Contrat
plan de co-assurance
montants
conditions
calculer coûtvaleurs plan co-assen paramètre
moEvaluer
23
Les actions pour la contextualisation
  • Lélaboration de larchitecture procède en deux
    temps
  • La structuration du noyau
  • Par dérivation du modèle sémantique
  • Ensuite, loptimisation
  • Via létude des contextes dutilisation (cas
    dutilisation)
  • Établissement du bilan de linformation
    recueillie au moment dappeler les services
  • Augmentation de la liste des paramètres du
    service
  • Réduction des appels au sein du service
  • Loptimisation
  • Réduit le couplage dans le noyau du système
  • Confie aux MLO leur fonction dassemblage
    élémentaire

24
Les conséquences sur la démarche
  • Lélaboration de larchitecture requiert
  • Étape 1
  • La dérivation du modèle sémantique pour
    constituer le cur du système
  • Étape 2
  • Les décisions de structuration du cur du système
  • Étape 3
  • La dérivation du modèle pragmatique pour obtenir
    la strate intermédiaire (MLO)
  • Étape 4
  • La connexion des deux strates après analyse des
    besoins de services des MLO
  • Étape 5
  • Le bilan des informations recueillie par la MLO
    au moment où elle sollicite les services internes
    de MLM
  • Réduction du couplage à partir de là

25
La factorisation des services utilitaires
4
  • Le problème
  • Éviter la redondance de fonctionnalités
    récurrentes
  • La solution
  • Création de fabriques et dateliers utilitaires
  • En relation dutilisation avec tous
  • Accessible depuis nimporte quel endroit
  • Ces constituants napparaissent quau niveau
    logique
  • Exemple
  • La fabrique  fUtilitaires 

26
Positionnement de  fUtilitaires 
  • Extrait du graphe darchitecture

27
La fonction de  fUtilitaires 
  • Ses ressources sont accessibles à partir de tout
    point du système
  • Finalité
  • Elle offre des services et ressources utiles pour
    toutes les strates du système

28
Le contenu de  fUtilitaires 
  • Le paquetage  Signalisation 
  • Tous les signaux et exceptions
  • Les moyens de les décoder
  • Le paquetage  Taxinomie 
  • Tous les types complexes permettant de faire
    circuler linformation dans le système
  • Latelier  aThesaurus 
  • Dispositif de codification
  • Cf. séquence  Les dispositifs logiques 
  • FML-07

29
Examen de larchitecture logique SMABTP
5
  • Passage en revue des différents éléments
    importants de structuration
  • Interactions
  • Relations et visibilité
  • Le but de cette partie est de montrer le type de
    décision et de raisonnement que pratique
    larchitecte logique
  • En préalable à la conception logique
  • De façon continue, pour la consolidation de
    larchitecture logique, au fil des projets

30
La décomposition en domaines dobjets
  • La décomposition du modèle sémantique prépare le
    graphe darchitecture logique
  • Cette décomposition en domaines dobjets présente
    une première ébauche de larchitecture des
    Fabriques Logiques de laspect logique

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Le graphe darchitecture logique,de premier
niveau
Moins de dépendances
Le graphe doit se lire en creux  tout ce
quil interdit
32
Le voisinage dune fabrique
Le diagramme de voisinage
Le schéma densemble
Toutes les fabriques accèdentà  fUtilitaires 
33
Les dépendances entre fabriques
  • Le diagramme de voisinage de chaque fabrique est
    étudié scrupuleusement
  • La dépendance résume des paquets dappels
    de services
  • Labsence de dépendance entre deux fabriques vaut
    interdiction de communiquer
  • Quand elle est possible ? réduction importante du
    couplage

34
Le positionnement de la FLO SMABTP
  • Les fabriques logiques de la strate
     Organisation  correspondent aux organismes
  • Cela laisse toute souplesse pour réaliser les
    modes dactivité de chacun
  • Tout en partageant un noyau
  • Le  cur de métier 

35
Les interactions entre ateliers logiques
  • Les interactions entre ateliers logiques
    découlent de lapplication du principe de strates
  • Les ALO sollicitent les ALM
  • Ils orchestrent les services  métier 
  • Les ALM ne sollicitent jamais les ALO
  • Les ateliers de la strate  Organisation  sont
    moins couplés que les ateliers métier
  • Les ALO dérivent des domaines fonctionnels
  • Relativement indépendants les uns des autres
  • Les ALM fournissent les données au reste du
    système
  • Cette mutualisation justifie des utilisations et
    donc le couplage

36
Le contenu des fabriques  métier 
Extrait
37
La décision sur latelier  aFlux 
  • Larchitecte logique a extrait de la gestion des
    sinistres tout ce qui concerne les mouvements
  • La création des mouvements est impliquée
    étroitement dans la gestion des sinistres
  • Considérant que les services associés aux
    mouvements peuvent contribuer à dautres
    traitements,il les a isolés pour les mettre à la
    disposition du système
  • Plutôt que de les cacher dans  aSinistre 
  • Cette décision évite la redondance
  • Puisque dautres domaines fonctionnels auraient
    créés leur propre gestion des mouvements
  • La réutilisation impose quelques contraintes
  • La sémantique de mouvement doit être généralisée
  • Par exemple, aucune référence au sinistre dans
    mouvement

38
Les dépendance de la fabrique  fPortefeuille 
Graphe darchitecture dordre 2 les dépendances
entre lesateliers
39
Les relations entre ateliers
  • Rappel
  • Les ateliers logiques  métier  ne communiquent
    que via leurs interfaces
  • Ils sont opaques

40
Synthèse des relations dans larchitecture logique
41
Récapitulatif des acquis
  • Rappel de la compétence visée
  • Notions clefs de la séquence
  • Les motivations de larchitecture logique et le
    choix du style darchitecture SOA
  • La notion de stratification
  • Propagation, orchestration et contextualisation
  • Les grands types de relations dans larchitecture
    logique


Pouvoir comprendre les décisions de
larchitecture logique
Compétence Performance
42
Exercices (a)
  • Citer les trois motivations de larchitecture
    logique
  • Quel est le grand principe du style SOA ?
  • Définir ce quest la propagation
  • Définir lorchestration
  • Définir la contextualisation

43
Exercices (b)
  • Citer les trois strates de larchitecture
    logique, ainsi que leur vocation respective
  • Quel est le composant darchitecture le plus
    proche de la notion de déploiement physique ?
  • Dune MLM et dune MLO, qui appelle lautre ?
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