Supernova Remnants SNRs Restes ou vestiges ou rmanents - PowerPoint PPT Presentation

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Supernova Remnants SNRs Restes ou vestiges ou rmanents

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Adiabatic Phase : Solution de Sedov, Instabilit de R.-T. ... plut t tr s activement avec le gaz qui vient tout juste d'entrer en collision avec l'onde de choc initiale. ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Supernova Remnants SNRs Restes ou vestiges ou rmanents


1
Supernova Remnants (SNRs) Restes ou vestiges ou
rémanents
  • N49 (Dans le grand Nuage de Magellan)

2
Sommaire
  • Supernovas
  • Causes, types
  • SNRs
  • Rayons-X
  • Types de Supernovas -84
  • -auj
  • Évolution des SNRs
  • Free expansion Phase
  • Adiabatic Phase Solution de Sedov,
    Instabilité de R.-T. ,
  • Phase radiation Phase
  • Phase de dispersion
  • Accélération des particules
  • Importance des SNRs
  • Effets sur Voie lactée
  • Modélisation

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Supernovas
  • Explosion dune étoile gt création dun objet
    extrêmement lumineux gt beaucoup de radiation
  • Expulse de lénergie à de très hautes vitesses,
    créant une onde de choc supersonique qui se
    propage dans le MIS en balayant la matière
    rencontrée, la comprimant et la réchauffant.
  • Réchauffe matière jusquà 10 Millions Kgtplasma
  • Création dune  coquille  en expansion rapide
    de matière, poussière et gaz

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Causes des Supernovas
  • Plusieurs types qui peuvent être enclenchés par
    deux façons
  • Larrêt de production dénergie par fusion
    nucléaire
  • La soudaine production dénergie nucléaire par
    fusion nucléaire
  • Arrêt de la production dénergie par le noyau gt
    soumis à plusieurs effondrements gravitationnels
    gt une étoile à neutron ou en un trou noir. gt
    chauffage et expulsion des couches externes
  • Si une naine blanche accumule assez de matière
    dun compagnongt T du noyau aug. assez gt
    brûlage du Carbone possible gt fusion nucléaire
     runaway  .
  • gt Aboutit à une explosion thermocucléaire

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H
  • Type Ia (manque de H)
  • On croit quils résultent de laccrétion sur des
    NBs
  • Pas de raie de Balmer
  • Type Ibc/II gtassociés à leffondrement détoiles
    massives
  • Composés denviron 86 des SNs
  • Type IIgtont raies de Balmer

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SNRs
  • Après lexplosiongt éjection de matière
  • SRNs structure résultant de lexplosion de SNs
  • Atteignent ordre de 1000 à 10000km/s
  • Elle repousse poussière et gaz gtcréation onde de
    choc
  • SNRs Matière éjectée gaz et poussière du MIS
    que londe de choc à réchauffé et ionisé
  • Émission thermique
  • Le  Forward shock  excite et ionise la matière
    du MIS quil rencontre. gt
  • Radiation synchrotron Rayon-X et ondes Radio
  • Densité du plasma (moyenne) 1-10 millions de
    particules par cm3
  • Température du plasma choqué peut atteindre 10
    Millions K
  • Quand laire du vestige quelques douzaines ou
    centaines da.l. (diamètre) gt taux dexpansion
    ralentit graduellement
  • Décélérationgt La matière éjectée finie par
    rattraper le restegtcréation dun choc
     inverse 
  • Le  reverse shock  réchauffent la matière
    éjectée
  • Spectre est enrichi déléments plus lourds
  • Provenant du brûlage nucléaire avant lexplosion.

7
  • 1984145 SNRs galactiques, ajd 265
  • Bref, les observations des SNRs se font surtout
    dans
  • Radio (radiation synchrotron)
  • Optique (raies démission et synchrotron
    optique)
  • Rayon-X (bremsstrahlung thermique et/ou radiation
    synchrotron)

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Rayons-X
  • Les rayons-X émis par le SNR donnent beaucoup
    dindices qui aide à comprendre les SNRs, la
    composition de létoile qui la formée avant
    dexploser et leur interaction avec le MIS et la
    composition du MIS.
  • Rayonnement X Émission thermique gtMIS
    réchauffé et raie gtmatière éjectée réchauffée
  • Les électrons accélérés par le choc à des
    vitesses relativistes émettent de la radiation
    synchrotron (rayons-X) lorsquils changent de
    direction en présence dun champ magnétique.
  • Leur présence gt preuve directe de laccélération
    de rayons cosmiques.
  • Une étoile à neutron formée après une SN de type
    II pourrait aussi être une source significative
    de rayons-X

9
Example de lutilité des X-Rays
  • Émission en rayons-X (ROSAT) gt détecté étoile à
    neutron au centre du SNR Puppis A. (1995)
  • Existence et localisationgt informations sur
    lexplosion des étoiles.
  • Létoile ayant explosée ici est la plus massive
    ayant produit une étoile à neutron
  • Manifeste plusieurs propriétés dune ÉàN.
  • T3 millions de degrés K.
  • Même dimension
  • Mais pas encore détecté de pulsation.
  • Pour être à sa position actuelle gt voyager à
    aumoins 1000km/s.
  • Aspect unique semble voyager dans une direction
    opposée au reste de la matière éjectée.
  • Preuves dexplosion asymétrique, éjectant
    létoile à neutron loin de lexplosion avec une
    vitesse de 1000km/s.

10
Types de SNRs
  • Mathewson en 1983-84  Shell-Type  ou
     Partial-shell-type  gt
  •  Balmer-dominated 
  •  Oxygen-Rich 
  •  Plerionic-Composite 
  •  Evolved .
  •  Centrally influenced SNR 

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Balmer-Dominated
  • Coquille filamenteuse avec
  • Fortes raies de Balmer de lHydrogène
  • Très faibles raies ou absentes pour le OIII et le
    SII.
  • On peut comprendre de telles propriétés en terme
    de chocs de très hautes vitesses, sans radiation
    et sans collision qui entre en contact avec le
    gas neutre du milieu interstellaire environnent.
  •  shell-type  ou  partial-shell-formed 
  • Radio Non-thermique,  shell ou partial-shell,
    polarisation linéaire)
  • Optique filaments émettant raies thermiques
    (Balmer),
  • organisation des filaments
    full-shell ou partial shell
  • X-ray Émission thermique, forme shell et
     remplie  observée
  • Exemple  Type Tychonique 
  • Tycho SN1604, SN de Kepler

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Remnant of Tychos supernova (1572)
  • Image dans rayons-X
  • Bleu plus haute énergie
  • Bord externe Front de choque
  • Probablement SN de Type 1A (progenitor naine
    blanche) Il ny a pas de vestige stellaire
    évident.

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 Oxygen-Rich 
  • Généralement localisés près de régions HII.
  • On croit aussi quils sont le résultats de
    lexplosion des étoiles massives (gt25Mo)
  • Ce qui est éjectégt riche en oxygènegt est
    constitué de matériaux des profondeurs
    stellaires.
  • Radio (S ou partial-S), Émission nonthermique,
    pol. Lin.
  • Optique Filaments raies thermiques OIII,
    organisation S
  • ou P.S
  • X-Ray Émission thermique, S et  filled 
  • Exemple Cassiopeia A (Sn1670). Celle-ci est
    jeune, brillante, bien étudiée et on connaît bien
    son âge.

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Plerionic-Composite
  • Ces restes on un centre  pleins 
  • Sous-classe  combined or composite SNRs 
    Montre un contour en coquille et un  central
    plerion .
  • Les plerions qui sont des SNRs avec une
    morphologie centrale pleine prennent leur énergie
    à partir des pertes rotationnelles dénergie dun
    étoile à neutron centrale, contrairement aux
    autres classes qui prennent leur puissance des
    ondes de choc de lexplosion de la SN
  • (Même si les  Composite SNRs  ont aussi une une
    coquille générée par londe de choc).
  • Radio Non-thermique, (étendue/centre
     rempli -/p-e entouré dune
  • coquille)
  • Optique Raies thermiques des filaments et
    continuum non-thermique du
  • plerions, ( filaments
    partout, continuum concentré dans le centre)
  • X-rays Émission non-thermique du plerion et
    émission thermique
  • possible de la coquille,
    (étendue, émission concentrée au centre et
  • émetteur compact, possiblement
    un coquille externe)

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Evolved 
  • Ils ont été définis par Mathewson comme étant
    les restes en forme de coquille partielle, ayant
    un rapport SII / Halpha gt0.7 et ayant des ondes
    de chocs avec des vitesses plus modestes (50-200
    km/s.)
  • Émission se produit dans des petits nuages
    choqués du MIS.
  • La plupart des SNRs galactiques tombent dans
    cette classe.
  • Très probable que ca représente lévolution
    finale des 3 autres types de SNRs (balmer et
    oxygen, sont déjà en coquille, même jeunes, et on
    pense que les Composite-SNRs seront aussi pure
    shell-type quand le plerion interne séteindra.
  • Radio Non-thermique, partiellement en coquille
  • Optique Filament émettant raies thermiques, org.
    Partial
  • shell des filaments
  • X-Rays Émission thermique, forme irrégulière

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Centrally influenced SNRs
  • Trouvé Objets pas habituels
  • Entraient dans aucun Type ( shell, pure plerion,
    composite shell-plerion, ou evolve)
  • Semble avoir forme générale en coquille mais
    altérée significativement par lactivité
    centrale, émettant habituellement dans les rayons
    X.
  • Besoin de plus dinfos
  • Il y eu propositions de modèles, où des jets en
    précessions sont présents à cause dun objet
    compact central (binaire en accrétion ou pulsar
    par exemple)
  • Pourrait affecter la structure du SNR
    significativement

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Types de SNRs
  • Shell-type remnants
  • Crab-like remnants
  • Composite Remnants
  •  Mixed-morphology SNRs 

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Shell-type remnants
  • La grande majorité des restes de supernovas sont
    de ce type (80)
  • Les provisions en énergie sont apportées par
    lénergie cinétique de lexplosion.
  • Immense coquille de matière chaude dans l'espace
    produite par lexpansion de londe de choc, etc.
  • En lobservant, on voit plutôt une structure en
    forme danneau ( limb brightening ).
  • Ex Cassiopeia A (Oxygen-Rich)- Class S

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(No Transcript)
20
Cas A (radio) Cas A (X-Ray)
21
  • Distribution complexe de matière
  • éjectée
  • - Fe formé dans noyau trouvé près du rim
  • filaments non-thermique
  • - accélération de rayons cosmiques

Hughes, Rakowski, Burrows, Slane 2000, ApJ,
528, L109
  • Étoile à Neutron à lintérieur
  • - pas de pulsation ou de wind nebula observée

Hwang, Holt, Petre 2000, ApJ, 537, L119
22
Cassiopeia A
23
Cassiopeia A
  • Source radio extrasolaire la plus brillante.
  • La supernova (type inconnue) cest produit à
    environ 11,000 a.l. dici dans la Voie lactée.
  • La coquille en expansion est maintenant denviron
    10 a.l. de large.
  • On croit quelle est environ âgée de 300 ans.
  • La coquille à une température autour de 50
    Millions de degrés Fahrenheit (30 megakelvins),
    et voyage à plus de 10 millions de milles par
    heure ou 4 Mm/s
  • En 1979, Shklovsky avait prédit que Cas A avait
    un trou noir.
  • En 1999, le Chandra X-Ray Observatory à trouvé
    un "hot point-like source "   près du centre qui
    serait probablement létoile à neutron ou le trou
    noir prédit.
  • Les calculs disent que lexplosion aurait eu lieu
    en 1667,
  • Les observations avec le Hubble telescope ont
    montrées que , même si on croyait originalement
    que lexpansion se faisait uniformément, il y a
    deux jets opposés de débris qui voyagent à 20
    millions de milles/heure plus rapidement que le
    reste
  • Les différentes couleurs montrent les matériaux
    de différentes compositions chimique (matériaux
    similaires restent  rassemblés ).

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Kepler's Supernova
Kepler's Supernova
25
Kepler's Supernova
26
Kepler's Supernova
  • Constellation Ophiuchus.
  • En 2007, cétait la dernière supernova a avoir
    été indubitablement observée dans notre propre
    galaxie.
  • À 6 kiloparsecs de la Terre.
  • Visible à lil nu, ce SNR à son pic de
    luminosité était plus brillant que toutes les
    autres objets dans le ciel magnitude apparente
    de 2.5.
  • Observé en premier en 1604

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Crab-like remnants
  • On les nomme souvent  plerions 
  • Ils ressembles beaucoup à la nébuleuse du crabe.
  • Ils sont similaires aux  shell-types remnants ,
    sauf qu'ils ont un pulsar en leur centre qui
    expulse des jets de matière qui avancent très
    rapidement.
  • Ces restes ressembles plus à un  blob  (une
    structure de forme assez irrégulière et donc
    dapparence flou) plutôt qu'à un anneau.
  • Cest Weiler Panagia (1978) qui ont suggéré le
    terme  plerions  (qui veut dire  plein  en
    grecque).

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(No Transcript)
29
Nébuleuse du Crabe  A pulsar-driven supernova
remnant 
Radio
IR proche
Optique
30
 Crab-like or plerionic type 
  • Source radio dans le centre gt ici pulsar
  • Il y a une accélération de particules causée par
    linteraction du rémanent avec lémission de la
    source centrale.
  • Fig- Crab Neb. Rayons-X

Chandra
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Crab Nebula (M1, NGC 1952, Taurus A)
  •  Pulsar wind nebula  dans la constellation du
    Taurus.
  • Été observée la première fois en 1731 par John
    Bevis
  • Distance denviron 6,500 a.l. (2 kpc) de la Terre
    et a un diamètre de 3.4 pc
  • Il sétend à un taux de 1,500 km/s.
  • Il y a un pulsar au centre, donc une étoile à
    neutron en rotation qui émet des pulsations de
    radiation des rayons gammas jusquaux ondes
    radios à un taux de 30.2 fois par seconde.
  • Premier objet identifié historiquement avec une
    explosion de supernova.

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Composite Remnants
  • Mélange entre les  shell-types  et les
     crab-like  remnants. On les voit sous l'une ou
    l'autre des formes selon la partie du spectre
    électromagnétique dans laquelle on les observe.
  • Définition exacte dépend de si  radio
    astronomer  ou si  x-ray astronomer 
  • Radio astronomer émission dans le centre et
    dans coquille en radio et en rayon-X
  • X-ray astronomer Coquille gtradio et émission
    plerionique au centre dans les Rayons-X.

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Kes 75
  • Diamètre 13 pc
  • Distance 9-20 kpc.
  • Âge 700 ans.
  • Radio Shell et un corps central (pulsar).
    Coquille remplie démission diffuse avec un
    spectre  flat 
  • Rayons-X Possède un pulsar émettant dans les
    rayons-X (période 0.3 seconds) et une  
    pulsar-wind nebula  (Chandra).

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Partie de Vela SNR
  • Distance 0.25-0.3 kpc.
  • Dimension angulaire dici 255 minutes darc.
  • Optique filaments
  • Radio Grande coquille (Vela X).

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Vela
  • (Grand champ )
  • Rayons-X Coquille partielle avec des extensions,
    une nébuleuse centrale et un pulsar avec un jet
    dun côté seulement

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G292.01.8  Oxygen-Rich  et
 Composite 
  • Oxygen-rich SNR
  • massive star progenitor
  • - dynamical age 2000 yr
  • - O Ne dominate Fe-L, as expected

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 Mixed-morphology SNRs 
  • Types  shell-type  dans le Radio
  • morphologie qui présente un pic dintensité
    central produit par les rayons-X.
  • Le mécanisme démissions dominantes de rayons-X
    est thermique , (même si similaires au
     crab-type ) nous informant donc qu'il
    proviennent du milieu interstellaire et non de la
    matière éjectée de lexplosion d'une étoile
    formant le reste de supernovae.
  • On peut facilement croire que lénergie qui
    produit ces rayons-X au centre proviendrait dun
    pulsar ou dune  nébuleuse synchrotron  produit
    par un pulsar, mais le spectre thermique indique
    que cest plutôt un autre mécanisme qui serait
    responsable de cette émission centrale en
    rayons-X.
  • 2 hypothèses (modèles) proposées pour expliqué
    ceci.

38
Ex W28
  • Assez récent, donc pas pu trouver dimage mais
    rien de super particulier.
  • 19 objets avait été étudiés en 1997

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ÉVOLUTION DES SNRs
  •  Free Expansion 
  •  Sedov or Adiabatic Phase .
  •  Snowplough ou Radiative phase .
  •  Dispersal Phase .
  • Il y a des limites aux modèles classiques
  • Ce modèle de 4 phases est très théorique.
  • On a trouvé en réalité que la plupart des SNRs ne
    semblent pas suivre exactement ce modèle.
  • Certaines raisons proposées
  • Manque duniformité du MIS

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 Free Expansion 
  • Elle peut durer entre 90 et 300 ans.
  • Le début ou le  front  de cette expansion est
    formé par l'interaction de l'onde de choc avec la
    matière interstellaire quelle rencontre.
  • Caractérisée par une température constante
    partout dans le vestige. 
  • (températures de 107 à 108 K). gt Assez pour
    générer une radiation thermique de rayons-X.
  • Cette phase est aussi caractérisée par une
    vitesse constante dexpansion de la  coquille ,
    puisque la matière  balayée  du MIS est
    présente en beaucoup moins grande quantité que la
    grande masse de matière éjectée par létoile (de
    lordre de 10000 km/s).
  • Les restes de la supernova émettent de la
    radiation thermique et de la radiation
    synchrotron du radio jusquaux rayons-X, mais
    lénergie initiale de londe de choc diminuera
    quand même très peu durant cette phase.

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  • Gaz en expansion beaucoup plus dense que le
    milieu externe (sa dynamique nest pas affectée)
  • Il y a une expansion adiabatique du gaz chaud
    suivant r t (expansion constante de la
    coquille) et T r3-3?.
  • Expansion uniforme avec v r jusquà ce que la
    masse de la matière balayée deviennent assez
    importante
  • Il y a deux surfaces importantes
  •  discontinuité de contact  Entre le gaz de la
    SN et le MIS  choqués 
  •  front de choc séparant la matière qui à été
     choquée  de celle qui ne la pas encore été.
  • Quand par exemple, le MIS (gaz froid) est
    réchauffé à T1010 K (lionisation)gt Il y a
    radiation  bremsstrahlung thermique .

42
 Sedov or Adiabatic Phase .
  • Peut durer entre 100 et 100000 ans.
  • La matière des vestiges commencent à rencontrer
    un milieu environnant de masse de plus en plus
    égale à sa propre masse.
  • gtEffet sur la dynamique de la matière en
    expansion.
  • La coquille principale devient instable gtla
    matière sur le bord du rémanent se mélange
    énormément ou plutôt très activement avec le gaz
    qui vient tout juste dentrer en collision avec
    l'onde de choc initiale. Instabilité de
    Rayleigh-Taylor
  • ?Ce mélange augmente aussi le champ magnétique
    dans la coquille
  • ?Dure en moyenne entre 10 000 et 20000 ans
  • Lénergie interne du choc continue dêtre très
    grand comparativement aux pertes de la radiation
    thermique et de la radiation synchrotron. gt Donc
    lénergie totale demeure à peu près constante
    quand même.

43
Modèle ST
  • Quand la masse balayée (gt 1-5 Mej), on peut
    décrire lexpansion par la solution de
    (Sedov-Taylor)
  • gtUn modèle de base de lévolution des supernovas
  • Commence avec explosion de symétrie sphérique
  • Milieu uniforme ambiant dindex adiabatique
    ?5/3 (Suppose gaz idéal monoatomique, expansion
    adiabatique)
  • Seul le MIS choqué est considéré dans le modèle
    (Mgt Méj)
  • Paramètres qui gouvernent cette phase Énergie
    initiale de lexplosion, E, la densité du milieu
    ambiant ?o et le temps to depuis lexplosion.
    Ces 3 paramètres décrivent complètement la
    dynamiques du modèle de Sedov.
  • On peut facilement  arranger  ces paramètres
    pour former une unité de longueur au rayon du
    choc
  • On connait aussi que
  • Pars les conditions de Rankine-Hugoniot des chocs
    quon a vu en classe gt Peut aussi trouver les
    valeurs  avant le choc  de pression, de densité
    et de vitesse

44
  • On sait que
  • Ex ME 0.25 Mo ? 106 particules/m3 gtgt r
    1.4 pc
  • Les variables dynamiques sont le rayon et le
    temps.
  • Les dimensions de E/?0 sont L5T-2, alors, la
    quantité sans dimension suivante (E/?0 ) t2/r5 ,
    doit contrôler lexpansion.
  • Le taux dexpansion peut être estimé par
  • La matière du SNR commence à se refroidir
    lentement suivant 1/r3 et à désaccélérer suivant
    1/r3/2
  • Mais les couches plus internes ne savent pas ça!

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  • La densité augmente donc sur le bord externe
  • La température diminue à lintérieur de la sphère
    (Expansion Adiabatique)
  • Le flux du gaz dans les couches internes devient
    supersonique
  • Formation dun  Reverse shock  interne qui
    réchauffe à nouveau la matière dans la coquille
    externe et se propage vers lintérieur, donc vers
    lorigine.

Émission rayons-X
46
The Evolution of Shocks
  • before phase I shock moving with a Lorentz
    Factor ?
  • phase I reverse shock starts penetrating the
    ejecta, slowing the shocked ejecta but does not
    slow down the unshocked ejecta ejecta begins
    sweeping up materials
  • phase II reverse shock is penetrating the
    ejecta, sweeping more materials
  • phase III reverse shock penetrates the ejecta,
    swept material reaching a fraction of 1/? of the
    mass of ejecta

47
Rayleigh-Taylor instabilities
  • Se produit quand un fluide plus dense
    poussé/comprimé sur/contre un fluide moins
    dense. Le fluide dense est accéléré par celui
    moins dense.
  • Les 2 fluides changent de place part des  
    sticking fingers  qui entre lun dans lautre.
  • Cest  doigts  peuvent apporter les lignes
    champ magnétique avec eux

48
(No Transcript)
49
 Snowplough ou Radiative phase .
  • Débute lorsque la coquille s'est refroidit à
    environ 1,000,000 K. , quand la vitesse
    dexpansion 250 km/s
  • Puisque londe de choc se refroidit encore plus
    gt devient plus efficace pour émettre de
    lénergie sous forme de radiation Lorsquelle
    chute sous environ 20000K, les électrons sont
    capables de se recombiner avec, par exemple, les
    ions de carbones et doxygènes. gt production de
    raies démission dans lUltraviolet.
  • Cette émission de rayons UV est un mécanisme de
    radiation beaucoup plus efficace que les
    radiations thermiques de rayons-X et de radiation
    synchrotron. En conséquence, la coquille (le
     contour ) est refroidit plus rapidement, ce
    qui la fait rapetisser. Elle devient ainsi plus
    dense.
  • Toute la massegtdans ce  rim  derrière le front
    du choc
  • La vitesse décroît donc très rapidement
  • Cette phase peut durer des centaines et des
    milliers d'années

50
  • La température post-choc décroît très rapidement
    comme t -6/5
  • gtça prend donc 104 -105 ans.

51
 Dispersal Phase .
  • On croit que la coquille se brise lorsque la
    vitesse dexpansion devient subsonique. La
    vitesse de propagation étant comparable à celle
    du son de la matière externe gt Il ny a plus de
    choc.
  • La radiation sous forme de rayons-X devient
    toujours beaucoup moins apparentes
  • Ce qui reste des SNRs se refroidit et se disperse
    dans le milieu environnent, doù  Dispersal
    Phase .
  • Cest donc la  mort   du SNR.
  • (dispersion 10000ans)
  • Mais leffet du SNR sur le MIS est beaucoup plus
    long puisquil y a accélération de particules
    (émission dans le radio à grande échelle dans la
    Galaxie) et production de rayons cosmiques.

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Accélération Relativiste dans les SNRs
  • Cas A Énergie synchrotron minimale 2 x 1041 J
  • Comparé lénergie cinétique totale de lexplosion
    2 x 1044 J.
  • Donc énergétiquement, cest possible daccélérer
    les particules!
  • Les accélérations de Fermi du premier ordre dans
    les chocs de SNRs peuvent accélérer les
    particules à des énergies ultra-relativistes.
  • La durée maximale de lexpansion du SNR (105
    ans) fixe une énergie maximale de 1014 - 1015 eV
    pour laccélération des particules. gt Alors, les
    SNRs ne peuvent pas produire les rayons cosmiques
    de plus hautes énergies
  • -Rayons cosmiques les plus énergétiques peuvent
    avoir une énergie au-dessus de 1020 eV

53
Fermi acceleration (1er ordre)
  • On lappel souvent  diffusive shock
    acceleration  (une sous classe daccélération de
    Fermi).
  • 2 types daccélération de Fermi Premier ordre
    (dans les chocs) et 2e ordre (dans
    lenvironnement des nuages gazeux magnétiques en
    mouvement).
  • gtLaccélération que subissent les particules
    chargées quand elles sont réfléchies par un
     miroir magnétique .
  • (Miroir magnétique Configuration de champ
    magnétique où le champ change sur le long de la
    ligne de champ.  Leffet miroir  tendance
    quon les particules chargées dêtre
     réfléchies  (bounce back) par les régions de
    champ élevées.
  • gt Multiples réflexions augmentent beaucoup son
    énergie
  • On croît que cest le premier mécanisme par
    lequel les particules gagnent de lénergie (après
    le gain en énergie thermique dans les ondes de
    choques)
  • Donc rôle très important dans les modèles
    astrophysiques, surtout des chocs

       .
54
  • Les spectres dénergie résultant de plusieurs
    particules subissant ce processus (en supposant
    quil ninfluence pas la structure du choc)
    devient une loi de puissance exprimée par
  • Bien sûr gt cause la production de radiation
    non-thermique (certains modèles développés
    là-dessus aussi.)

55
Particle Acceleration dans SN 1006
  • Spectrum of limb dominated by
  • nonthermal emission (Koyama et al. 96)
  • Chandra Montre structure de
  • choc dans la coquille

ASCA
56
Importance des Supernovas?
  • Les SNRs ont une grande impacte sur la Voie
    Lactée. Sans eux , il ny aurait pas de Soleil ni
    de Terre!
  • Tous les éléments plus lourds que le  Bore 
    sont fais soit dans une étoile ou dans une
    explosion de supernova.
  • Comment ces éléments lourds se sont rendus sur la
    Terre?gt Par laction des restes de Supernovas!
  • Composition chimique du MIS devient celle de la
    prochaine génération détoiles gtCar MIS
    influencé par SNRs
  • Si ce nétait pas des SNRs, notre système solaire
    avec ces planètes rocheuses naurait jamais pu se
    former

57
Quest-ce que les SNRs font dans la Voie Lactée?
  • Enrichissent notre Galaxie déléments lourds
  • Ajoutent beaucoup dénergie au MIS (1028
    mega-tones par supernova)
  • Londe de choc qui avance dans le MIS affecte
    celui-ci de deux façons particulières
  • Londe de choc réchauffe le gaz quil rencontre
    Augmente la Température du MIS gt Certaines
    parties de la galaxie sont plus chaudes que
    dautres. Ces ?T garde la galaxiegt endroit
    dynamique et intéressant.
  • Londe de choc accélère les électrons, les
    protons et les ions ( via laccélération de
    Fermi) à des vitesses très proches de la vitesse
    de la lumière. gt Phénomène très important gt
    Lorigine des rayons cosmiques est encore lun
    des plus grand problème en astrophysique.

58
MODÉLISATION des SNRs
  • Modélisation Une technique pour comprendre les
    SNRs.
  • Développement de modèles, qui sont simplifiés
    mais contiennent dimportantes caractéristiques
    communes à tous les SNRs
  • LÉnergie initiale de lexplosion, par exemple.
  • Ces modèles analytiques (ex équation de la
    dimension du vestige en fonction du temps) ou
    numériques (simulations) peuvent prédire
    lémission en rayons-X et les autres émissions
    auxquelles on sattend.
  • On peut ensuite les comparer avec les SNRs
    observés pour voir si les modèles fit bien.
  • Il y a peu de modèles analytiques, puisque les
    équations qui gouvernent les mouvements du gaz du
    SNR sont très complexes et ne peuvent pas
    vraiment être résolues, sauf pour certains cas
    simplifiés (géométrie sphérique, Énergie
    constante)
  • Dans un modèle numérique, lévolution de la
    matière éjectée et du gaz MIS,  fitté  à une
    grille de modèle, est suivit dans le temps, en
    utilisant les équations de conservations de la
    masse, de la quantité de mouvement et de
    lénergie par exemple.
  • Les modèles numériques sont contraints par les
    limites sur le temps et lespace que ça prend
    pour  runner  les simulations et pour ensuite
    les stocker.
  • Pas compliqué de faire simulations qui ont des
    symétries sphériques ou cylindriques (1D et 2D
    respectivement). Mais beaucoup de structures
    compliquées trouvées dans de vraies SNRs sont
    détruites par limposition de ces symétries.

59
  • Les simulations en 3D sont très dispendieuses
     computationnellement , surtout sils ont des
     résolutions  suffisantes (small enough
    numerical grid size) pour que les petites
    particularités, comme les turbulences à petites
    échelles, ne se fassent pas  moyenner .
  • Même avec ces difficultés, il y a beaucoup de
    très bons modèles qui ont été développés qui
    augmente notre compréhension de lévolution des
    SNRs et leur interaction avec le MIS environnent
  • EX
  • Lyerly et al. (1997 ) (abstract for a Bulletin of
    the American Astronomical Society article
    entitled Nonequilibrium-Ionization X-ray Spectra
    from a Sedov-Taylor Blast Wave Model for a
    Supernova Remnant ) (pas accès)
  • Truelove McKee (abstract for a Bulletin of the
    American Astronomical Society article entitled
    Evolution of Nonradiative Supernova Remnants )
  • Reynolds, S. P. (abstract for a Bulletin of the
    American Astronomical Society article entitled
    Theoretical Calculations of Synchrotron X-rays
    from Supernova Remnants Images and Spectra)

60
FIN
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