Title: L
1LUnivers Thermonucléaire
Jean-Pierre CHIEZE DSM/DAPNIA/SAp Journées de
Prospective DSM/DAPNIA-IN2P3 10-15 octobre 2004
2De lUnivers calme à lUnivers violent vers le
stade pré-supernovaintroduction de la dynamique
interne
Développement de calculs hydrodynamiques et
magnétohydrodynamiques Meilleures prédictions
des abondances de surface (observable)
Effet de la métallicité
3De lUnivers calme à lUnivers violent Contraintes
observationnelles spatiales
De la sismologie solaire et stellaire à lanalyse
des raies nucléaires
COROT 2006?
SDO 2009 ? GOLFNG 2010 ?
SoHO ? 2009
MAX vol en formation après 2010 ?
4Introduction des effets de rotation et champ
magnétique
Déformation de létoile, Géométrie complexe,
meilleure représentation de la convection Importan
t pour les conditions initiales de lexplosion
Le Soleil est la seule étoile où les processus
dynamiques peuvent être étudiés en détail il
faut continuer leffort...
Renfort de la modélisation 1D, 2D et 3D au cours
des prochains 5 ans et retour aux étoiles
massives collaboration DAPNIA, Bruxelles, Suisse
Profil de rotation interne du Soleil
5Estimation des incertitudes sur les taux de
réactions (a,g)T 2.5 109 K
Daprès S. Goriely (IAA, ULB)
6Estimation des incertitudes sur les taux de
réactions (p,g)T 2.5 109 K
Daprès S. Goriely (IAA, ULB)
7Impact des incertitudes dorigine nucléaire sur
la nucléosynthèse par processus p dans les SNIa
Daprès S. Goriely (IAA, ULB)
8Impact sur la nucléosynthèse par processus p de
deux modèles différents de SNIa
Daprès S. Goriely (IAA, ULB)
9Le reste de SN1572, distant de 7 500 a.l. Image
en rayons X prise par le satellite Chandra
Onde de chocT 2 107 K
20 a.l.
Pas de source centrale SN Ia !
10Chandelles Standard?
La relation de Phillips est approchée. De
nombreuses supernovae sécartent du comportement
moyen cest une cause importantedincertitude
dans la détermination des paramètres
cosmologiques. Comprendre le(s) mécanisme(s) de
lexplosion pour comprendre la diversité des
supernovae.
SNLS a Hawai acquiert des données a plus grandes
distances mais de moins bonnes info
spectroscopiques.
SNAP, delais importants, budget
SN factory Collecte depuis le sol des SN proches
en spectro-photometrie precise donc une mine de
comparaisons / modèles
DUNE, projet de mesure de cisaillement , devrait
inclure des SN (alerte photométrique photométrie)
11DétonationCombustion supersonique propagation
dun choc fort
- Combustion complète
- Corrélation brighter-slower
- ? Synthèse de 1,4 Msol FeENS
- ? Pas déléments de masses intermédiaires Mg,
Si, S, Ar, Ca
12DéflagrationCombustion subsonique conduction
thermique, turbulence, convection, ...
- Nucléosynthèse couches internes Fe -
intermédiaires Mg-Ca externes Ø - ? Corrélation brighter-faster
- ? Faible vitesse des couches productrices
déléments intermédiaires 10 000 km/s vs. 25
000 km/s obs. - ? Surproduction déléments riches en neutrons
54Fe - ? Faible hétérogénéité
13Détonation RetardéeTransition dune déflagration
centrale vers une détonation
- Combustion totale synthèse de Fe et des
éléments intermédiaires Mg, Si, S, Ca - Pas de surproduction d éléments riches en
neutrons - Hétérogénéité, uexp 12 000 - 25 000 km/s
- ? Transition ad hoc déflagration / détonation
- ? Propagation ad hoc de la chaleur (1.6 109K) ...
14SNIa, Combustion Thermonucléaire, Fusion par
Confinement Inertiel
- Lobjectif du Laser Mégajoule est de parvenir à
lignition thermonucléaire - et à la combustion.
- Cela entraîne un effort important concernant la
modélisation physique et lexpérimentation dans
le domaine de la combustion thermonucléaire. - Thème transverse de la FR 2707, au sein de
lInstitut Lasers et Plasmas - Groupe Combustion et Supernovae
multidisciplinaire - Astrophysique DAPNIA, IAA (ULB), CRAL
- Combustion théorie/expériences LCD, IRPHE,
IUSTI - Thermique LET
- Mathématiques appliquées MAB
-
15 16Visualisations latérale et frontale dune
détonation naturelle cellulaire
17Détonations cellulaires
Audit, Chièze, Vidal
18Une évolution multicellulaire
19Trois échelles emboîtées
20 21Flammes en gravité
Forte gravité
Faible gravité
Gravité moyenne
22- Un Modèle de Déflagration
- Lexplosion débute comme une déflagration au
centre naine blanche (WD) de carbone et doxygène
dune masse de Chandrasekhar - Composition initiale .............................
............ 0.5 C 0.5 O - Densité centrale .................................
............. 2.0 x 109 g cm-3 - Rayon initial ...................................
................. 2.1 x 108 cm - Modèle numérique 3D fondé sur les équations d
Euler de la dynamique des fluides, - Équation détat de la matière dégénérée,
- Débit dénergie simplifié.
- Le modèle de la combustion turbulente aux
échelles non résolues suppose que la combustion
aux petites échelles est dominée par
linstabilité de Rayleigh-Taylor. - Taille minimum dune cellule AMR
............... 2.6 105 cm, - 108 cellules de calcul.
- Les grandes structures sélèvent, les matériaux
non brûlés senfoncent La combustion atteint
la surface r 5-6 x 108 cm. - Environ 50 est brûlée, et libère 1.3 x 1051
ergs dénergie nucléaire. - La vitesse dexpansion atteint 1.2 109 cm s-1
- ....
Gamezo, Khokhlov, Oran, Chtchelkanova, Rosenberg
23Gamezo, Khokhlov, Oran, Chtchelkanova, Rosenberg
24Le reste de SN G292.01.8, vieux de 1 600
ans Image en rayons X prise par le satellite
Chandra
Filaments richesen O, Ne, Mg
Pulsar ! SN II