Title: GESTION%20BUDGETAIRE
1GESTION BUDGETAIRE
2PLANIFICATION ET ORGANISATION
- LES FONCTIONS DUN SYSTEME DE PLANIFICATION
- ARTICULATION DES DIFFERENTS BUDGETS
- LE CONTRÔLE BUDGETAIRE
- ORGANISATION INTERNE DE LA GESTION BUDGETAIRE
3LES FONCTIONS DUN SYSTEME DE PLANIFICATION-CONTRO
LE
- LES SYSTEMES DE PLANIFICATION-CONTRÔLE ONT POUR
- ROLE SPECIFIQUE DAIDER LENTREPRISE DANS SA
VOLONTE - DE MAITRISER SON FUTUR.
- CE SYSTEME NECESSITE
- UN PROCESSUS DE PLANIFICATION
- LA COORDINATION DES ACTIVITES
- LA CIRCULATION DE LINFORMATION
- LA PRISE DE DECISION
- LACTION CORRECTIVE.
4ORGANISATION DU SYSTEME DE PLANIFICATION
- TROIS NIVEAUX PRINCIPAUX
- LE PLAN STRATEGIQUE
- LE PLAN OPERATIONNEL
- LE PROCESSUS DE MESURE ET DE CONTRÔLE DES
RESULTATS (ECART ENTRE PREVU ET REALISE) - (LES PLANS OPERATIONNELS
- CORRESPONDENT A LA PROGRAMMATION
- DES MOYENS NECESSAIRES A LA
- REALISATION DES OBJECTIFS
- STRATEGIQUES)
5(No Transcript)
6(No Transcript)
7- DEFINITIONS
- FINALITE, BUTS, OBJECTIFS
- Finalité
- On entend par finalité dune organisation, le
système de valeurs quelle sest donné. Toute
organisation cherche à réaliser sa ou ses
finalités. - Pour lentreprise, plusieurs conceptions de la
finalité sont possibles. On peut estimer - soit que lentreprise poursuit uniquement des
fins qui lui sont propres - soit, au contraire, que les fins de lentreprise
lui sont assignées par le système économique. - On peut également admettre une définition plus
large la finalité première de toute entreprise
est de créer des richesses en harmonie avec ses
désirs et avec ceux de la société qui lentoure. - Buts
- La mise en évidence de la finalité va se traduire
concrètement par la définition de buts généraux.
Les buts sont exprimés en termes qualitatifs. - Exemple être leader sur son marché.
- Ils sont par nature arbitraires et discutables.
- Objectifs
- Le caractère qualitatif des buts ne les rend pas
directement propres à la prise de décision. On
est donc amené à trouver une expression
quantifiée des buts, ce sont les objectifs. - Exemple la maîtrise du marché sera atteinte si
lentreprise en détient plus de x.
8- STRATEGIE
- H. TABOULET
- La stratégie globale de lentreprise est le
choix réfléchi des grandes options fondamentales
prises par la direction et concernent
linsertion optimale de lentreprise dans le
milieu économique, ces options devant assurées sa
survie, son développement et sa propriété - PLANIFICATION OPERATIONNELLE
- Cest la phase quantitative qui consiste en la
préparation du plan à moyen et long terme. Cette
préparation implique - la programmation des actions et des moyens
nécessaires dont la réalisation dépasse le cadre
annuel pour chacun des secteurs, ainsi que
lélaboration de plan daction (ex plan
dinvestissement, de financement, plan des
effectifs) - la mesure des grands équilibres de lentreprise
année par année, ce qui permet de vérifier la
validité des stratégies retenues - BUDGET
- Le budget consiste en la mise au point détaillée
de la première année du plan et sert de contrôle
de son exécution. - TABLEAU DE BORD
- Le tableau de bord représente un instrument de
synthèse permettant de connaître en permanence et
avec une mise à jour la plus rapide possible les
données nécessaires à laction de court terme et
au contrôle des responsabilités déléguées.
9(No Transcript)
10LARTICULATION DES DIFFERENTS BUDGETS
11(No Transcript)
12(No Transcript)
13LE CONTROLE BUDGETAIRE
14(No Transcript)
15ORGANISATION INTERNE DE LA GESTION BUDGETAIRE
16(No Transcript)
17(No Transcript)
18LA PREVISION DES VENTES
- BUDGET DES VENTES GENERALITES
- PREVISION DES VENTES AJUSTEMENT LINEAIRE
- PROBABLITES PAR LA LOI NORMALE
- CONTRÔLE BUDGETAIRE GENERALITES
19BUDGET DES VENTES
20BUDGET
- DEFINITION
- UN BUDGET EST UNE AFFECTATION PREVISIONNELLE
QUANTIFIEE, - AUX CENTRES DE RESPONSABILITE, DOBJECTIFS ET/OU
DE MOYENS - POUR UNE PERIODE DETERMINEE LIMITEE COURT TERME.
- LE BUDGET DECOULE (VOIR DIAPOS PRECEDENTES) DUNE
- DEMARCHE PREVISIONNELLE QUI CONSISTE A DECLINER
LA - STRATEGIE EN PLAN STRATEGIQUE POUR LE LONG TERME
ET EN - PLAN OPERATIONNEL POUR LE MOYEN TERME.
- LES BUDGETS SONT DES INSTRUMENTS DE COHESION ET
DE - COORDINATION ENTRE LES DIFFERENTS CENTRES DE
- RESPONSABILITE ET INTRODUISENT LA NOTION
DENGAGEMENT. - EN CONFRONTANT LES REALISATIONS AUX PREVISIONS,
LE - CONTRÔLE BUDGETAIRE EVALUE LA PERFORMANCE DES
CENTRES - DE RESPONSABILITE.
21LE BUDGET DES VENTES
- LE BUDGET DES VENTES CONSISTE A EVALUER LES
VENTES - FUTURES TANT EN QUANTITE QUEN VALEUR.
- IL EST LE PIVOT DE LA GESTION BUDGETAIRE.
- 3 ETAPES
- PREVISION DES VENTES, EVALUEE TRES SOUVENT A
LAIDE DOUTILS STATISTIQUES. - ELABORATION DU BUDGET DES VENTES ET DU BUDGET DES
COUTS DE DISTRIBUTION DAPRES LES OBJECTIFS
FIXES, LES MOYENS ET LES VENTILATIONS RETENUES. - LE CONTRÔLE DES VENTES EFFECTUEES A PARTIR DE
LANALYSE DES ECARTS ENTRE LES REALISATIONS ET
LES PREVISIONS.
22PREVISION DES VENTES- CORRELATION
- AJUSTEMENT LINEAIRE
23BUDGET DES VENTES BASE SUR LA CORRELATION
- ON CONSTATE PARFOIS UNE RELATION DE DEPENDANCE
(OU - CORRELATION) ENTRE LE VOLUME DES VENTES y QUE
LON - CHERCHE A PREVOIR ET UNE AUTRE VARIABLE x QUI EST
DEJA - CONNUE. CETTE RELATION EST SOUVENT LINEAIRE
CESTA DIRE - PROCHE DUNE FONCTION y ax b
24BUDGET DES VENTES METHODES QUANTITATIVES BASEES
SUR UNE EXTRAPOLATION DES TENDANCES PASSEES
- IL SAGIT DANALYSER LEVOLUTION DES VENTES EN
FONCTION DU - TEMPS (SERIE CHRONOLOGIQUE) POUR DEGAGER UNE
TENDANCE. - LA TENDANCE EST EXPRIMEE PAR UNE FONCTION QUI
DOIT ETRE - AJUSTEE. IL CONVIENT ALORS DE CALCULER LEQUATION
DE LA - DROITE DAJUSTEMENT. LA METHODE LA PLUS UTILISEE
EST CELLE - DES MOINDRES CARRES.
- LES CAS LES PLUS COURANTS
- LA TENDANCE LINEAIRE
- LA TENDANCE EXPONENTIELLE
25METHODE QUANTITATIVE LA TENDANCE LINEAIRE
- EQUATION DE LA DROITE
- Y ax b
- Formulation dajustement linéaire
- a (S(XI - moyX) (YI moyY))
- S(XI moy X)2
- b moy Y a moyX
- LES VENTES AUGMENTENT DUN
- NOMBRE SENSIBLEMENT EGAL PAR
- PERIODE.
- LEQUATION TROVEE SERVIRA A
- PREVOIR LES VENTES POUR LES
- VENTES FUTURES A CONDITION QUE
- LA TENDANCE LINEAIRE SE
- POURSUIVE.
26METHODE QUANTITATIVE TENDANCE EXPONENTIELLE
- LA RELATION ENTRE Y et X EST DONNEE
- PAR LEQUATION SUIVANTE
- y B AX
- LE RANG DE LA PERIODE FIGURE EN
- EXPOSANT. LA FORMULE PRECEDENTE
- SECRIT EN PASSANT AUX LOGARITHMES
- Logy logB xlogA
- SI ON POSE b logB, alogA, on obtient
- log y ax b
- ON EST RAMENE A UN AJUSTEMENT
- LINEAIRE
- a ((Sxilogyi n moy x moy log y))
- Sxi2 n moy x2
- b moy log y a moy x
27METHODE QUANTITATIVE
- LARBITRAGE ENTRE LES DEUX METHODES
- IL FAUDRA RETENIR LAJUSTEMENT EXPONENTIEL
LORSQUE LES - VALEURS NUMERIQUES ET/OU LOBSERVATION GRAPHIQUE
METTENT - SUR CHAQUE PERIODE UNE MULTIPLICATION PAR UN
COEFFICIENT - SENSIBLEMENT CONSTANT (PROGRESSION GEOMETRIQUE).
- LAJUSTEMENT LINEAIRE SERA PREFERE LORSQUE CE
SONT LES - VARIATIONS EN VALEUR ABSOLUE QUI PRESENTERONT UNE
- CERTAINE CONSTANCE.
- INDEPENDAMMENT DE CES OBSERVATIONS, LE CHOIX PEUT
SE - FONDER SUR LE CYCLE DE VIE DU PRODUIT
- PHASE DEMARRAGE FONCTION EXPONENTIELLE
- PHASE CROISSANCE FONCTION LINEAIRE
28LES VARIATIONS SAISONNIERES
- DANS LES METHODES PRECEDENTES ON SEST ATTACHE A
PREVOIR - DES VENTES ANNULLES A PARTIR DE LEXPLOITATION
DUNE - TENDANCE PASSEE ANNEE.
- MAIS LA GESTION DUNE ENTREPRISE IMPLIQUE QUE
LON PRENNE - EN COMPTE DES PERIODES PLUS COURTES (LE MOIS, LE
TRIMESTRE - PAR EXEMPLE). LE SIMPLE AJUSTEMENT DUNE TENDANCE
PASSEE - EST ALORS RAREMENT PERTINENT DANS LA MESURE OU UN
AUTRE - FACTEUR EST DETERMINANT LES VARIATIONS
SAISONNIERES. - 2 POINTS VONT ETRE ETUDIES
- LA MOYENNE MOBILE
- LES VARIATIONS SAISONNIERES.
29LES MOYENNES MOBILES MISE EN EVIDENCE DES
VARIATIONS SAISONNIERES
30VARIATIONS SAISONNIERES
31AJUSTEMENT PAR LA MOYENNE MOBILE
- LES MOYENNES MOBILES PERMETTENT DE GOMMER LEFFET
DES VARIATIONS - SAISONNIERES ET DONC DE LISSER LA SERIE DES
EVNTES PREALABLEMENT A - LA DETERMINATION DE LA TENDANCE. LAJUSTEMENT EST
EFFECTUE A - PARTIR DE LA SERIE DES MOYENNES MOBILES DAPRES
LA METHODE DES - MOINDRES CARRES.
- LE CALCUL DES MOYENNES MOBILES REVIENT A
REMPLACER PLUSIEURS - DONNEES CONSECUTIVES DUN GROUPE PAR LEUR MOYENNE
SUR UN - NOMBRE DE PERIODES QUI CORRESPOND GENERALEMENT A
1 AN (12 - PERIODES POUR LES DONNEES MENSUELLES, 4 PERIODES
POUR LES - DONNEES TRIMESTRIELLES) EN GLISSANT DUNE PERIODE
A CHAQUE ETAPE - DE CALCUL.
- METHODOLOGIE EN DEUX ETAPES
- ETAPE 1 CALCUL DES MOYENNES MOBILES NON
CENTREES m DE 12 MOIS - CONSECUTIFS
- ETAPE 2 CALCUL DES MOYENNES MOBILES CENTREES M
DE DEUX - MOYENNES NON CENTREES m CONSECUTIVES
32LES VARIATIONS SAISONNIERES GENERALITES
33VARIATIONS SAISONNIERES MODE DE CALCUL
- Lamplitude des variations saisonnières est
généralement proportionnelle à la tendance. - La composante saisonnière de la série
chronologique est alors mesurée par des
coefficients saisonniers multiplicatifs . - Il existe deux méthodes de calculs des
coefficients saisonniers, nous présenterons la
plus utilisée la méthode des rapports au trend. - Cette méthode permettra détablir des prévisions
des ventes - Etape 1 calcul des coefficients saisonniers
- Etape 2 calcul des prévisions
34(No Transcript)
35PREVISION DES VENTES - APPLICATION
36CALCUL DE PROBABILITES PAR LA LOI NORMALE
- PRINCIPE
- LENTREPRISE PEUT CALCULER
- LA PROBABILITE P(Xltx) POURCENTAGE DE CHANCE-
DATTEINDRE SES PREVISIONS DE VENTES, - LES PREVISIONS DE VENTES CORRESPONDANT A DES
PROBABILITES PRECISES. - A CONDITION QUE LES INFORMATIONS RECUEILLIES
CONFIRMENT - LES PROPRIETES DE LA LOI NORMALE.
- LES DEUX ELEMENTS CARACTERISTIQUES DE LA LOI
NORMALE SONT - LA MOYENNE m
- LECART TYPE ? (DISPERSION PAR RAPPORT A LA
MOYENNE) - POUR SIMPLIFIER LES CALCULS DE PROBABILITES, ON
UTILISE LA LOI - NORMALE CENTREE REDUITE.
- LA VARIABLE ALEATOIRE X EST REMPLACEE PAR LA
VARIABLE - ALEATOIRE T DONT m 0 et ? 1
37CALCUL DES PROBABILITES PAR LA LOI NORMALE
- LA FORMULE EST LA SUIVANTE
- T (X- m) /? DOÙ X m T?
- LE GRAPHIQUE REPRESENTANT LA
- LOI CENTREE REDUITE EST LA
- SUIVANTE
- PROPRIETES DE LA COURBE
- SURFACE TOTALE EGALE A 1
- SYMETRIQUE PAR RAPPORT A LAXE DES ORDONNES
- LA TABLE NE FOURNIT QUE LES
- VALEURS DE PTlt t POUR t gt 0
38LINTEGRATION DES AUTRES VARIABLES DANS LA
PREVISION
- LAPPLICATION DE LA DEMARCHE PRECEDENTE DE
PREVISION - REPOSE IMPLICITEMENT SUR DEUX HYPOTHESES
- LE TEMPS PAR SA COMPOSANTE TENDANCIELLE ET PAR SA
COMPOSANTE SAISONNIERE SERAIT LA SEULE VARIABLE
EXPLICATIVE DE LEVOLUTION DES VENTES. OR DE
NOMBREUX PHENOMENES EXTERNES SONT SUSCEPTIBLES DE
CONTRARIER CETTE EVOLUTION (FACTEURS
MACROECONOMIQUES, EVOLUTION DE LA CONCURRENCE,
INNOVATIONS TECHNOLOGIQUES) - LENTREPRISE NE SERAIT PAS EN MESURE, PAR SON
ACTION PROPRE, DINFLECHIR CETTE EVOLUTION
NATURELLE DU MARCHE
39LINTEGRATION DAUTRES VARIABLES
- LA PRISE EN COMPTE DE DONNEES EXTERNES
- LES VENTES DE LENTREPRISE SONT LARGEMENT
DEPENDANTES DE - LA SITUATION DE SON ENVIRONNEMENT. CERTAINES
VARIABLES - MACROECONOMIQUES ONT UN IMPACT DIRECT SUR
LACTIVITE DE - LENTREPRISE EVOLUTION DU POUVOIR DACHAT,
SITUATION DE - LEMPLOI, INVESTSSEMENTS DES ENTREPRISESLINSEE
DANS CE - DOMAINE EST LE PRINCIPAL FOURNISSEUR
DINFORMATIONS. - EVENTUELLEMENT, DES ETUDES DE CORRELATION ENTRE
LES - VENTES ET LUNE OU LAUTRE DE CES VARIABLES
SERVIRONT DE - BASE A CETTE PREVISION.
- LA CONNAISSANCE DE LA CONCURRENCE EST EGALEMENT
- INDISPENSABLE (ETUDE DE MARCHE, VEILLE
INFORMATIONNELLE)
40LINTEGRATION DAUTRES VARIABLES
- LA PRISE EN COMPTE DE DONNEES INTERNES
- LEVOLUTION DES VENTES DE LENTREPRISE EST AVANT
TOUT LIEE A - SA PROPRE ACTION COMMERCIALE. LES CHOIX QUELLE
EST AMENEE - A FAIRE EN MATIERE DE PRIX, DE BUDGET
PUBLICITAIRE, DE RESEAU - DE DISTRIBUTION ONT UNE INCIDENCE DIRECTE SUR SES
VENTES - ACTUELLES ET FUTURES.
- LACTION SUR LE PRIX
- LINCIDENCE DU PRIX DE VENTE SUR LE CA EST LA
FOIS - DIRECTE PUISQUE LE PRIX EST AVEC LES QUANTITES
VENDUES EST LUN DES DEUX FACTEURS CONSTITUTIFS
DU CA - INDIRECTE DANS LA MESURE OU LE NIVEAU DE PRIX
RETENU EST SUSCEPTIBLE DINFLUER SUR LES
QUANTITES VENDUES. - CETTE RELATION PRIX-QUANTITE EST APPROCHEE PAR
LA NOTION - DELASTICITE.
41LINTEGRATION DAUTRES VARIABLES
- MAIS LAPPROCHE DU PRIX DE VENTE PEUT ETRE
DIFFERENTE EN - FONCTION DU MARCHE ET DU MANAGEMENT DE
LENTREPRISE - DANS UN CERTAIN NOMBRE DE CAS LE PRIX EST IMPOSE
PAR LE MARCHE - SOUVENT LENTREPRISE FIXE SON PRIX DE VENTE EN
FONCTION DE SON COUT DE REVIENT COMPLET ET DUN
TAUX DE RENTABILITE ATTENDU
42LINTEGRATION DAUTRES VARIABLES
- LES AUTRES VARIABLES DE LACTION COMMERCIALE
- LA CONCURRENCE SEXERCE AUJOURDHUI NON SEULEMENT
SUR LE - PRIX MAIS AUSSI SUR DAUTRES VARIABLES
PROMOTION, - PUBLICITE, RESEAU DE DISTRIBUTION. LES MOYENS
QUELLE A - DECIDE DE CONSACRER A CES DIFFERENTES ACTIONS.
DES ETUDES - DE CORRELATION POURRONT ETRE MENEES
43BUDGETISATION DES VENTES-SYNTHESE
- LA BUDGETISATION DES VENTES PERMET AUX DIFFERENTS
- RESPONSABLES DE LA FONCTION COMMERCIALE DE
CHIFFRER LES - OBJECTIFS A COURT TERME DES VENTES (QUANTITE,
PRIX, - STRUCTURE DES VENTES) ET LES MOYENS A METTRE EN
ŒUVRE. - ELLE COMPREND
- LE BUDGET DES VENTES
- LE BUDGET DES COUTS DE DISTRIBUTION
44BUDGETISATION DES VENTES-SYNTHESE
- LE BUDGET DES VENTES EST DETERMINANT POUR
LELABORATION - DES AUTRES BUDGETS MAIS AUSSI POUR DETERMINER LES
BESOINS - OU LES EXCEDENTS FUTURS DE TRESORERIE.
- CE BUDGET EST TRES SOUVENT VENTILE
- PAR RESPONSABLE COMMERCIAL
- PAR PERIODE
- PAR SECTEUR GEOGRAPHIQUE
- PAR PRODUIT, PAR CANAL DE DISTRIBUTION, PAR
CLIENTELE - LE BUDGET DES COUTS DE DISTRIBUTION EST
ETROITEMENT LIE AU - BUDGET DES VENTES, IL COMPRENDE LENSEMBLE DES
CHARGES - RELATIVES
- A LETUDE DE MARCHE
- A LA PROMOTION DES VENTES
- A LA PUBLICITE
- A LADMINISTRATION DES VENTES
- AU CONDITIONNEMENT ET A LEXPEDITION DES PRODUITS
- AUX SERVICES APRES-VENTE
45CONTRÔLE BUDGETAIRE GENERALITES
- LE CONTRÔLE BUDGETAIRE DES VENTES ET DES COUTS DE
- DISTRIBUTION CONSISTE A CONFRONTER
- LES REALISATIONS PROVENANT DE LA COMPTABILITE
GENERALE - (CA REALISE) ET DE LA COMPTABILITE DE GESTION
(COUT DE - DISTRIBUTION, COUT DE LACTIVITE DE
CONDITIONNEMENT). - AUX PREVISIONS ISSUES DES DEUX BUDGETS
- LE CONTRÔLE BUDGETAIRE SERA EN GENERAL MENE DE LA
- MANIERE SUIVANTE
46(No Transcript)
47LA PREVISION DE LA PRODUCTION
- GENERALITES
- LE PROGRAMME DE PRODUCTION
- OPTIMISATION DU PROGRAMME DE PRODUCTION
- ORGANISATION DE LA PRODUCTION DANS LE TEMPS
48PREVISION DE LA PRODUCTION - GENERALITES
- LES PREVISIONS DES VENTES ELABOREES EN GENERAL
PAR LES - SERVICES COMMERCIAUX EXPRIMENT UNE DEMANDE
POTENTIELLE - DE LA FONCTION COMMERCIALE A LA FONCTION
PRODUCTION DANS - LE CADRE DUNE RELATION CLIENT-FOURNISSEUR.
- PLUSIEURS CONTRAINTES SONT EVIDENTES
- Les quantités à produire (ou programme de
production) doivent être bien entendu harmonisées
avec le programme de ventes. - Les capacités à produire sont cependant limitées
par la capacité de production. - En outre, les ventes, nous lavons vu sont
sujettes à des variations saisonnières alors que
la production exige plus de régularité. Il y aura
donc lieu de prévoir une certaine harmonisation
dans le temps. - ..
- CES DERNIERES POSENT LE PROBLEME DE LA PRISE DE
DECISION EN - MATIERE DE PRODUCTION.
49PREVISION DE PRODUCTION - GENERALITES
- TOUTE DÉCISION RELATIVE À LA CAPACITÉ DE
PRODUCTION COMPREND AU MOINS SIX PHASES. - PHASE 1 METTRE AU POINT UN INSTRUMENT DE MESURE
DE CAPACITÉ - SI CELLE-CI EST DÉFINIE COMME LA PRODUCTION
MAXIMUM DUNE ENTITÉ DONNÉE (USINE, ATELIER)
ELLE DOIT TOUJOURS ÊTRE MESURÉE EN UNITÉS DE
PRODUCTION PAR PÉRIODE DE TEMPS, PAR EXEMPLE
QUANTITÉS DE PRODUITS PAR JOUR. - PHASE 2 PRÉVOIR LA DEMANDE
- LE RÔLE DU MARKETING EST ICI PRIMORDIALE.
- PHASE 3 ÉTABLIR LES BESOINS DE CAPACITÉ DANS LE
TEMPS - LE BESOIN EST CORRÉLÉ À LÉCART ENTRE LA
CAPACITÉ DEMANDÉE DU FAIT DE LA PRÉVISION DES
VENTES ET DE LA CAPACITÉ DISPONIBLE. LA CAPACITÉ
DEMANDÉE EST ELLE-MÊME FONCTION DE LA FIABILITÉ
DE LA PRÉVISION DE LA DEMANDE. - PHASE 4 RECHERCHER LES DIVERSES SOLUTIONS
- PHASE 5 ÉVALUER LES DIFFÉRENTES SOLUTIONS
- LE POINT LE PLUS DÉLICAT EST CELUI DE LA
SÉLECTION DU CRITÈRE DE DÉCISION. DEUX TYPES DE
FACTEURS SERONT EN GÉNÉRAL PRIS EN COMPTE - A) LES FACTEURS ÉCONOMIQUES
- IL SAGIT DÉLÉMENTS QUANTITATIFS
SAPPUYANT LE PLUS SOUVENT SUR LES COÛTS, SUR LES
ÉCONOMIES RÉALISABLES, SUR LES FLUX DE FONDS
GÉNÉRÉS, SUR LA RENTABILITÉ. - B) LES FACTEURS NON QUANTIFIABLES
- TRÈS SOUVENT LIÉ À LENVIRONNEMENT DE
LENTREPRISE ET À SA STRUCTURE. - PHASE 6 DECIDER
50(No Transcript)
51PREVISION DE PRODUCTION - GENERALITES
- UNE ORGANISATION PERFORMANTE DE LA GESTION DE LA
- PRODUCTION DOIT DONC REPONDRE A PLUSIEURS
OBJECTIFS - MAITRISER LES FLUX DES MATIERES, DES COMPOSANTS
ENTRANT DANS LE PROCESSUS DE PRODUCTION ET DES
PRODUITS, - OPTIMISER LES CAPACITES DE PRODUCTION
- ORGANISER LE TRAVAIL SELON LES CHOIX STRATEGIQUES
ADOPTES (INTEGRATION, SOUS-TRAITANCE,
EXTERNALISATION) - AMELIORER LA QUALITE DES PRODUITS
- MINIMISER LES COUTS
- REDUIRE LES DELAIS (APPROVISIONNEMENTS,
PRODUCTION, STOCKAGE), - SATISFAIRE LA CLIENTELE EN ADAPTANT RAPIDEMENT
LES CAPACITES DE PRODUCTION A LEVOLUTION DE LA
DEMANDE. - LENTREPRISE DOIT DONC RECHERCHER EN UNIVERS
CERTAIN LE - MEILLEUR PROGRAMME DE PRODUCTION POSSIBLE
PERMETTANT - DE SATISFAIRE LA DEMANDE EN QUANTITE, EN QUALITE
ET EN TEMPS - DUTILISER PLEINEMENT LES CPACITES DE PRODUCTION
- DOPTIMISER LE RESULTAT.
52LE PROGRAMME DE PRODUCTION
- LA PRODUCTION RESULTE DE LA COMBINAISON DUN
CERTAIN - NOMBRE DE FACTEURS (MACHINES, MAIN-DŒUVRE,
MATIERES). - CES FACTEURS PEUVENT NETRE DISPONIBLES QUEN
QUANTITE - LIMITEES
- LA CAPACITE DE PRODUCTION DES FOURNISSEURS OU DES
SOUS- - TRAITANTS PEUT LIMITER LEURS POSSIBILITES DE
MATIERES OU - FOURNITURES.
- LE NOMBRE DE POSTES DE TRAVAIL DETERMINE LE
NOMBRE - MAXIMAL DHEURES DE MAIN DŒUVRE ET/OU DHEURES
MACHINES - DISPONIBLES POUR LA PRODUCTION.
- AUSSI CONVIENT-IL DEXPRIMER CES CONTRAINTES DE
CAPACITE EN - FONCTION DES QUANTITES PRODUITES.
53OPTIMISATION DU PROGRAMME DE PRODUCTION
- LOPTIMISATION CONSISTE A RECHERCHER UN PROGRAMME
DE - PRODUCTION QUI SATISFASSE AU MIEUX LES OBJECTIFS
FINANCIERS - (EN GENERAL LE RESULTAT) DE LENTREPRISE TOUT EN
PRENANT EN - COMPTE LES CONTRAINTES TECHNIQUES ET COMMERCIALES.
54OPTIMISATION DE LA PRODUCTION METHODE EMPIRIQUE
LES GOULETS DETRANGLEMENT
- LES MÉTHODES DE CHARGEMENT ET LES GOULETS
- DÉTRANGLEMENT
- LÉTABLISSEMENT DU PROGRAMME DE PRODUCTION
- COMPORTE LES ÉTAPES SUIVANTES
- DÉTERMINATION DE LA CAPACITÉ DISPONIBLE DES
DIFFÉRENTES RESSOURCES EN HOMMES ET EN
ÉQUIPEMENTS - DÉTERMINATION DES GOULETS DÉTRANGLEMENT,
C'EST-À-DIRE DE LA RESSOURCE DONT LA CAPACITÉ
INSUFFISANTE LIMITE LA PRODUCTION - DÉTERMINATION DU PROGRAMME QUI UTILISE DE FAÇON
LA PLUS RENTABLE CETTE RESSOURCE RARE. - LA MÉTHODE SERA DÉCRITE À PARTIR DUNE
APPLICATION
55OPTIMISATION DE LA PRODUCTION PROGRAMMATION
LINEAIRE
- DEFINITION DE LA PROGRAMMATION LINEAIRE
- LA PROGRAMMATION LINEAIRE EST UNE TECHNIQUE QUI
PERMET - DESTIMER LE PROGRAMME DE PRODUCTION OPTIMAL.
- LE CRITERE DOPTIMISATION
- LA RENTABILITE EST LOBJECTIF PREMIER DE TOUTE
ENTREPRISE, - ON RETIENT COMME CRITERE DE LOPTIMISATION UN
INDICATEUR LIE - A LA RENTABILITE.
- DANS UNE OPTIQUE DE COURT TERME, UNE MODIFICATION
DES - CAPACITES DE PRODUCTION NEST PAS ENVISAGEE
(CHARGES FIXES - CONSTANTES).
- LES CHARGES FIXES NE VARIANT PAS LA MAXIMISATION
DE LA - MARGE SUR COUT VARIABLE CONDUIT A LA MAXIMISATION
DU - RESULTAT.
56PROGRAMMATION LINEAIRE
- UN PROGRAMME LINEAIRE EST COMPOSE
- DE VARIABLES POSITIVES OU NULLES QUI SONT LES
INCONNUES - DUNE FONCTION ECONOMIQUE A OPTIMISER REPRESENTEE
PAR UNE EQUATION CORRESPONDANT SOIT A UN RESULTAT
A MAXIMISER (MARGE SUR COUT VARIABLE) SOIT UN
COUT A MINIMISER - DE CONTRAINTES TRADUITES PAR DES INEQUATIONS
LINEAIRES QUI EXPRIMENT / - LE NOMBRE DE PRODUITS MAXIMAL OU MINIMAL A
FABRIQUER OU A VENDRE - LA CONSOMMATION DE FACTEURS RARES DE PRODUCTION
(MATIERES, HEURES MACHINES) DES VARIABLES EN
TENAT COMPTE DES LIMITATIONS - LA RESOLUTION DU PROGRAMME LINEAIRE CONSISTE A
CALCULER - LA VALEUR DES VARIABLES QUI OPTIMISE LA FONCTION
- ECONOMIQUE.
57ORGANISATION DE LA PRODUCTION DANS LE TEMPS
- LA DEMARCHE PRECEDENTE SUPPOSE QUE LA TOTALITE DE
LA - PRODUCTION PREVUE EST ECOULEE SUR LE MARCHE AU
COURS DE - LA MEME PERIODE.
- CETTE HYPOTHESE EST RAREMENT CONFORME A LA
REALITE - DUNE PART LA DEMANDE CONNAÎT DES FLUCTUATIONS
SAISONNIERES - DAUTRE PART, ELLE NEST PAS CONNUE DE FACON
CERTAINE ET LA PRODUCTION DOIT PRENDRE EN COMPTE
CE CARACTERE ALEATOIRE. - FACE A CE CARACTERE IRREGULIER ET INCERTAIN DE LA
DEMANDE - DIVERS MODES DE GESTION SONT POSSIBLES
- PRODUCTION A RYTHME CONSTANT
- PRODUCTION A RYTHME VARIABLE
- PRODUCTION A FLUX TENDUS
58PRODUCTION A RYTHME CONSTANT
- SUR CHAQUE PERIODE ON PRODUIT DES QUANTITES
CONSTANTES - CORRESPONDANT A LA MOYENNE DE LA DEMANDE SUR
LENSEMBLE - DE LHORIZON ENVISAGE. LAJUSTEMENT ENTRE
PRODUCTION ET - VENTES SE FAIT PAR LINTERMEDIAIRE DES PRODUITS
FINIS. - AVANTAGES
- LA PRODUCTION ETANT REGULIERE LOUTIL DE
PRODUCTION PEUT - ETRE OPTIMISE.
- INCONVENIENTS
- COUTS LIES AU STOCKAGE
- COUTS LIES AU FINANCEMENT DU STOCK (BFR)
- RISQUE DOBSOLESCENCE
59PRODUCTION A RYTHME VARIABLE
- LE RYTHME DE PRODUCTION EST ADPATE AUX
FLUCTUATIONS DE - LA DEMANDE COMPTE TENU DES CAPACITES DE
PRODUCTION. CE - MODE DE GESTION PEUT IMPLQIUER LE RECOURS A
DIVERS - ELEMENTS DE FLEXIBILITE RECOURS A DES HEURES
- SUPPLEMENTAIRES, SOUS-TRAITANCE, INTERIMAIRES
- AVANTAGES
- SYSTEME PERMETTANT DE REDUIRE LE COUT DE
STOCKAGE, DE - REAGIR AUX VARIATIONS CONJONCTURELLES DE LA
DEMANDE. - INCONVENIENTS
- LINTRODUCTION DELEMENTS DE FLEXIBILITE PEUT
GREVER LE - COUT DE REVIENT DES PRODUITS.
- SI LA CAPACITE DE PRODUCTION EST ADAPTEE AUX
POINTES DE LA - DEMANDE, ELLE EST ALORS SOUS-UTILISEE EN
CERTAINES - PERIODES ET GENERE UN COUT DE SOUS-ACTIVITE
60GESTION A FLUX TENDUS
- MODE DE GESTION VISANT UN OBJECTIF DE ZERO
STOCK TANT - POUR LES APPROVISIONNEMENTS QUE POUR LES PRODUITS
FINIS. - LES ORDRES DE FABRICATION SONT LANCES EN REPONSE
A UNE - DEMANDE ET LES PRODUITS SONT LIVRES IMEDIATEMENT
AU CLIENT - EN LIMITANT AU MAXIMUM TOUT STOCKAGE
INTERMEDIAIRE. - CE PROCEDE PEUT SAVERER COUTEUX DANS LA MESURE
OU IL - IMPOSE DE TRAVAILLER SUR DES PETITES SERIES.
- LA SOLUTION DE LA DIFFERENCIATION RETARDEE EST
PARFOIS - ADOPTEE ELLE EPRMET DE PRODUIRE LES ENSEMBLES
COMMUNS A - LENSEMBLE DES PRODUITS, SUR STOCK ET EN GRANDE
SERIE, ETA - INTRODUIRE QUEN FIN DE PROCESSUS DE FABRICATION
LES - ELEMENTS QUI LES DIFFERENCIENT.
61BUDGET DES APPROVISIONNEMENTS
- GENERALITES
- APPROCHE STATISTQIUE DE LA GESTION DES STOCKS
- BUDGETISATION DES APPROVISIONNEMENTS
- CONTRÔLE BUDGETAIRE
62BUDGET DES APPROVISIONNEMENTS - GENERALITES
- LES PREVISIONS DE PRODUCTION
- PERMETTENT DE DETERMINER LES
- BESOINS DE LENTREPRISE EN
- MATIERES PREMIERES A PARTIR DES
- NOMENCLATURE DES PRODUITS.
- MAIS LE STOCKAGE DE MP OU DE PF
- INDUITS DES COUTS ET DES
- ARBITRAGES DEVRONT ETRE
- EFFECTUES ENTRE DES OBJECTIFS
- CONTRADICTOIRE
- REPONDRE AU MIEUX AUX BESOINS DE LA PRODUCTION
- REDUIRE LES COUTS DE STOCKAGE
63GESTION DES APPROVISIONNEMENTSGENERALITES
- LE PROGRAMME DE PRODUCTION ETANT ETABLI,
LENTREPRISE DOIT PLANIFIER LES
APPROVISIONNEMENTS AFIN DE DISPOSER DES MATIERES
ET DES COMPOSANTS NECESSAIRES AU MOMENT VOULU ET
AU MOINDRE COUT. - TROIS ETAPES SONT A DINSTINGUER
- LA PREVISION DES APPROVISIONNEMENTS EN FONCTION
DE LA POLITIQUE DE STOCKAGE DE LENTREPRISE - LELABORATION DU BUDGET DES APPROVISIONNEMENTS
CONSISTANT A ECHELONNER SUR LANNEE LES
PREVISIONS DES COMMANDES, DES LIVRAISONS, DES
CONSOMMATIONS, DES NIVEAUX DE STOCKS
SOUHAITABLES. - LE CONTRÔLE DES APPROVISIONNEMENTS A PARTIR DE LA
MESURE DECART
64GESTION DES STOCKSGENERALITES
- DEUX METHODES DE GESTION
- GESTION TRADITIONNELLE PAR LAMONT
- REGULATION DES FLUX DENTREE ET DE SORTIE PAR LA
CONSTITUTION DE STOCKS. - LOBJECTIF EST DE MINIMISER LE COUT DE STOCKAGE
- GESTION JUSTE A TEMPS PAR LAVAL
- GESTION EN FLUX TENDUS. LES MATIERES SONT LIVREES
JUSTE A TEMPS POUR LA PRODUCTION. CE MODE
NECESSITE UNE GESTION PRECISE DES DELAIS, UNE
ETROITE COLLABORATION AVEC LES FOURNISSEURS,
AINSI QUUNE GRANDE FLEXIBILITE DE LORGANISATION
DE LA PRODUCTION - LOBJECTIF EST LA RECHARCHE DUN STOCK ZERO.
65GENERALITES POLITIQUE DAPPROVISIONNEMENT
- COMPOSANTES DU COUT DAPPROVISIONNEMENT
- APPROCHE STATISTIQUE DE GESTION DES STOCKS
- 3. TERMINOLOGIE
66LES COMPOSANTES DU COUT DAPPROVISIONNEMENT
67COMPOSANTES DU COUT DAPPROVISIONNEMENT
- LE COUT DACHAT
- LE COUT DACHAT COMPREND LE PRIX DACHAT ET LES
FRAIS - ACCESSOIRES DACHAT
- 2. LE COUT DE POSSESSION OU DE STOCKAGE
- IL COMPREND
- -LE COUT DU FINANCEMENT DU STOCK
- -LES PRIMES DASSURANCE RELATIVES AU STOCK CONTRE
LES - RISQUES DIVERS
- -LE COUT DES MOYENS DE STOCKAGE (LOCAUX,
PERSONNEL) - -LE COUT DE LA DEPRECIATION DU STOCK AVEC LE
TEMPS. - CES COUTS SONT PROPORTIONNELS POUR LESSENTIEL A
LA DUREE - DE POSSESSION ET A LA VALEUR DU STOCK.
- 3. LE COUT DE LANCEMENT (OU COUT ADMINISTRATIF
DES - COMMANDES).
- 4. LE COUT DE PENURIE
68COUT DE POSSESSION
- FORMULE DE CALCUL
- EN DESIGNANT PAR
- -S LE STOCK DE SECURITE (DESTINE A PALLIER LES
ALEAS - CONCERNANT LA CONSOMMATION ET LES DELAIS DE
LIVRAISON) - -Q LA QUANTITE COMMANDEE ET LIVREE
PERIODIQUEMENT - CE COUT UNITAIRE VA SAPPLIQUER A DES QUANTITES
QUI VARIENT - ENTRE DEUX LIVRAISONS ENTRE UN MAXIMUM SQ ET
UN MINIMUM - S.
- LE STOCK MOYEN EST DONC EGAL A SM S Q/2
- CP TAUX DE POSSESSION ( S Q/2)
- (LE COUT EST PROPORTIONNEL A LA AVLEUR DU STOCK
ET A LA - DUREE DU STOCKAGE).
- CE COUT COMPREND NOTAMMENT
69COUT DE POSSESSION
- LE COUT DES CAPITAUX INVESTIS INTERETS
PROPORTIONNELS AUX CAPITAUX INVESTIS. - LE COUT DE DEPRECIATION EN RELATION AVEC LA
VALEUR DU STOCK ET LA DUREE DE SA POSSESSSION. - LE COUT DES ASSURANCES
- LE COUT DE MAGASINAGE LE MONTANT DES LOYERS OU
LE MONTANT DES AMORTISSEMENTS DE LA PERIODE
CONSIDEREE. - LE COUT DE POSSESSION DES STOKS EST BIEN ENTENDU
CALCULE - POUR CHAQUE CATEGORIE DE PRODUITS STOCKES.
70COUT DE LANCEMENT OU COUT ADMINISTRATIF DES
COMMANDES
- LE COUT DE LANCEMENT CORRESPOND AUX FRAIS
ADMINISTRATIFS - ( CREATION ET CIRCULATION DES DOCUMENTS INTERNES,
MISE A - JOUR DES FICHES DE STOCKS.)DE LA FONCTION
- APPROVISIONNEMENT, CEST DONC UN COUT
OPERATIONNEL - CE COUT EST FONCTION DU NOMBRE DE COMMANDES.
- COUT DE LANCEMENT CL NOMBRE DE COMMANDES Q/q
- AVEC
- CL COUT DE LANCEMENT PAR COMMANDE
- Q LA CONSOMMATION PENDANT LUNITE DE TEMPS
- q LA QUANTITE COMMANDEE ET LIVREE
PERIODIQUEMENT
71COUT DE PENURIE
- LE COUT DE PENURIE REPRESENTE UN ENSEMBLE DE
COUTS - APPARENTS OU CACHES QUI SONT LA CONSEQUENCE DUNE
- RUPTURE DE STOCK.
- ON DISTINGUE
- DES COUTS PROPORTIONNELS AU NOMBRE DE RUPTURES-
EX - COUT DE REMISE EN ROUTE DE LAPPAREIL PRODUCTIF.
- DES COUTS PROPORTIONNELS AUX UNITES MANQUANTES
EX - PRIX MAJORES, COUTS DE TRANSPORT PLUS ELEVES
- DES COUTS PROPORTIONNELS AUX UNITES MANQUANTES ET
A LA - DUREE DE LA PENURIE- EX PENALITES DE RETARD
72(No Transcript)
73COUT DE PENURIE
- LE MODELE DE COMPORTEMENT DE CHARGES PEUVENT ETRE
- ANALYSEES A PARTIR DE DEUX CRITERES
- LA RELATION A LA QUANTITE EN PENURIE
INDEPENDANCE, DEPENDANCE PROPORTIONNELLE. - LA RELATION A LA DUREE DE LA PENURIE
INDEPENDANCE, DEPENDANCE PROPORTIONNELLE. - CES DEUX CRITERES CARACTERISERONT LES MODELES DE
- COMPORTEMENT DE CHARGES RESULTANT DE LA PENURIE
EN - FONCTION DES SITUATIONS DECRITES DANS LE SCHEMA
PRECEDENT
74(No Transcript)
75APPROCHE STATISTIQUE DE LA GESTION DES STOCKS
- LORSQUUNE ENTREPRISE GERE BEAUCOUP DARTICLES,
ELLE NE - PEUT ACCORDERA CHACUN DE CES ARTICLES LA MEME
PRIORITE - DANS SA GESTION. LA GESTION EST DONC UNE GESTION
SELECTIVE. - (ON NE GERE PAS DE LA MEME MANIERE LES
FOURNITURES DE - BUREAU ET LES ARTICLES GERES POUR LA PRODUCTION).
- METHODE ABC
- FORMULE DE WILSON
- MODELE DOTIMISATION EN AVENIR ALEATOIRE
76APPROCHE STATISTIQUE METHODE ABC
- LE CLASSEMENT ABC DES ARTICLES CONSISTE A
DIFFERENCIER LES - ARTICLES EN FONCTION DE LA VALEUR DE SORTIES
ANNUELLES DES - STOCKS QUILS REPRESENTENT.
- LE MODE DE CLASSEMENT REPREND LA DISTRIBUTION DE
PARETTO - (REGLE DES 20-80 20 DES ARTICLES REPRESENTENT
80 DE LA - VALEUR TOTALE ET LES 80 REPRESENTENT 20 DE LA
VALEUR - TOTALE).
- DANS LA METHODE ABC, ON CONSTATE EN GENERAL QUE
- 10 DES ARTICLES FONT ENVIRON 75 DES
CONSOMMATIONS (TRANCHE A) - 25 SUIVANTS FONT ENVIRON 20 DES CONSOMMATIONS
(TRANCHE B) - 65 FONT 5 DU MONTANT TOTAL DES CONSOMMATIONS
(TRANCHE C)
77METHODE ABC
- LA METHODE ABC DEMONTRE QUIL FAUT EXAMINER
SOUVENT LES - ARTICLES DE LA CLASSE A, MOINS FREQUEMMENT CEUX
DE LA - CLASSE B ET ENCORE MOINS CEUX DE LA CLASSE C.
- IL APPARAÎT DONC LA NOTION DE GESTION SELECTIVE
DES STOCKS - EN FONCTION DE LA VALEUR DE CONSOMMATION DE
CHAQUE - ARTICLE. MAIS CETTE REPARTITION EN TROIS TRANCHES
NEST PAS - SUFFISANTE POUR RESOUDRE COMPLETEMENT LE PROBLEME
QUI - SE POSE AU GESTIONNAIRE, DEUX QUESTIONS RESTENT A
- RESOUDRE
- COMBIEN FAUT-IL COMMANDER ?
- QUAND FAUT-IL COMMANDER ?
78(No Transcript)
79METHODES DOPTIMISATION POUR LES ARTICLES
JUSTIFIABLES
- POUR UN PODUIT DETERMINE, LES PREVISIONS
BUDGETAIRES EN - MATIERE DAPPROVISIONNEMENT PORTENT SUR 4
ASPECTS, DONT - CHACUN FERA LOBJET DUN BUDGET
- LA CONSOMMATION (CEST-À-DIRE LES BESOINS PREVUS)
- LE NIVEAU DES STOCKS
- LES COMMANDES
- LES LIVRAISONS
- ON REMARQUE IMMEDIATEMENT LES RELATIONS EVIDENTES
EBTRE - CES DIFFERENTS ASPECTS PREVISIONNELS LES
COMMANDES - DETERMINENT LES LIVRAISONS (VOLUMES, DATES..),
LES LIVRAISONS - ET LES CONSOMMATIONS DETERMINENT LE NIVEAU DES
STOCKS - LORSQUE LA CONSOMMATION EST REGULIERE, LA
BUDGETISATION - DES APPROVISIONNEMENTS RESULTE DE LAPPLICATION
DES - REGLES FIXEES SANS QUE SOIT RENDUE NECESSAIRE UNE
- ADAPTATION A DES SITUATIONS PARTICULIERES.
80OPTIMISATION DE LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS
- EN EFFET, LA REGULARITE DES SORTIES PREVUES
REPRODUIT - SYSTEMATIQUEMENT UNE SITUATION PREVISIONNELLE
IDENTIQUE A - LAQUELLE PEUT ETRE APPLIQUE UN MODELE DE DECISION
UNIQUE. - DANS LE CAS OU LE NIVEAU DE COMMANDES EST
IRREGULIER, IL FAUT TOUT DABORD OPERER UN CHOIX
FONDAMENTAL - SOIT DES REAPPROVISIONNEMENTS SERONT PROGRAMMES
POUR DES QUANTITES CONSTANTES, AVEC UNE CADENCE
VARIABLE, - SOIT ILS LE SERONT A DES INTERVALLES CONSTANTS
DE TEMPS ET PORTERONT SUR DES QUANTITES VARIABLES.
81MODELE DETERMINISTE OU AUCUNE PENURIE NEST
PERMISE MODELE DE WILSON
- LE COUT DE GESTION DES COMMANDES ET LE COUT DE
POSSESSION - STOCK EVOLUENT EN SENS INVERSES. DE CE FAIT IL
EST POSSIBLE - DE DEFINIR UNE TAILLE DE COMMANDE QUI MINIMISE LA
SOMME DES - DEUX COUTS.
- LE MODELE DE WILSON PROPOSE UNE GENERALISATION DE
CETTE - APPROCHE.
- LES HYPOTHESES DU MODELE
- LES CONSOMMATIONS SONT CONNUES DE FACON CERTAINE
- LE DELAI DE LIVRAISON DES FOURNISSEURS EST
EGALEMENT CONNU DE MANIERE CERTAINE (AUCUN RISQUE
DE RUPTURE DE STOCK) - LES COUTS DE POSSESSION DU STOCK SONT
PROPORTIONNELS AUX QUANTITES STOCKEES ET AUX
DUREES DE STOCKAGE - LE COUT DE GESTION DUNE COMMANDE EST FIXE,
QUELLE QUE SOIT LA TAILLE DE LA COMMANDE.
82MODELE DE WILSON-DETERMINATION DE LA TAILLE
OPTIMALE DE LA COMMANDE
- ON DESIGNE PAR
- m LA CONSOMMATION EN QUANTITES SUR UNE PERIODE
(EN GENERAL LANNEE) - p LE COUT DACHAT DUNE UNITE
- CL LE COUT DE GESTION DUNE COMMANDE
- CS LE COUT DE POSESSION DUNE UNITE PENDANT 1
PERIODE - Q LA TAILLE DUNE COMMANDE.
- LE NOMBRE DE REAPPROVISIONNEMENTS PAR PERIODE EST
EGAL A - m / Q
83MODELE DE WILSON
- COUT DE GESTION DES COMMANDES CL m / Q
- (IL DIMINUE LORSQUE Q AUGMENTE)
- STOCKS MOYENS EN QUNTITE Q/2
- COUT DE POSSESSION DES STOCKS Q/2 CS
- (IL AUGMENTE AVEC Q)
- LE COUT TOTAL EST DONC UNE FONCTION DE Q QUI PEUT
SECRIRE - f(Q) CL m/Q CS Q/2
- CETTE FONCTION EST DECROISSANTE PUIS CROISSANTE.
ELLE - PASSE PAR UN MINIMUM LORSQUE SA DERIVEE SANNULE
- f(Q) -CL m/Q2CS/2
- f(Q) 0 CLm/Q2 CS/2
- SOIT
- Q v2mCL /CS
- CETTE QUANTITE OPTIMALE EST APPELEE LOT
ECONOMIQUE - LE NOMBRE DE REAPPROVISIONNEMENTS CORRESPONDANT
EST - N m /Q DONC
- N vMcs/2CL
84MODELE DE WILSON (CONSOMMATION REGULIERE) AVEC
PRISE EN COMPTE DUN STOCK DE SECURITE
- LE COUT DUNE RUPTURE DE STOCK EST SOUVENT ELEVE,
- NEAMMOINS VOULOIR SE GARANTIR CONTRE TOUT RISQUE
DE - RUPTURE DE STOCK PEUT ENTRAINER UN GONFLEMENT DES
STOCKS - ENCORE PLUS ONEREUX.
- LAPPLICATION SUIVANTE INTRODUIRA LA NOTION DE
STOCK - DALERTE.
85MODELE DE WILSON - SYNTHESE
- LA FORMULE DE WILSON EST UN OUTIL COMMODE POUR
EVALUER - LORDRE DE GRANDEUR DES COMMANDES
DAPPROVISIONNEMENTS - A PASSER AFIN DE TROUVER UN ARBITRAGE
SATISFAISANT ENTRE - COUT DE GESTION DES COMMANDES ET COUT DE
POSSESSION DU - STOCK.
- MAIS CERTAINES HYPOTHESES SOUS-JACENTES EN
LIMITENT LA - PORTEE
- IL SUPPOSE UNE CONSOMMATION REGULIERE PENDANT
LANNEE, SI LA PRODUCTION A UN CARACTERE
SAISONNIER MARQUE, LES RESULTATS QUILS DONNENT
SONT TRES APPROXIMATIFS. - FONDE SUR LHYPOTHESE DUNE DEMANDE ET DUN DELAI
DAPPROVISIONNEMENT DE FACON CERTAINE, IL NE
PREND PAS EN COMPTE LES COUTS DE PENURIE.
86MODELE DETERMINISTE ADMETTANT LA PENURIE
- ON GENERALISE LE MODELE DE WILSON, MAIS LA
PENURIE EST - ADMISE ET LA DEMANDE NON SATISFAITE NEST QUE
DIFFEREE. LE - MODELE RESTE DETERMINISTE ET LA CONNAISSANCE DE
LAVENIR - DISPENSE LEXISTENCE DUN STOCK DE SECURITE.
- LOBJECTIF RESTE LA MINIMISATION DU COUT
- DAPPROVISIONNEMENT MAIS EN Y INCLUANT LE COUT DE
PENURIE
87MODELE DOPTIMISATION EN AVENIR ALEATOIRE
- EN GENERAL LENTREPRISE VA FIXER UN CERTAIN
NIVEAU DE STOCK - (STOCK DE SECURITE) POUR FAIRE FACE ENTRE DEUX
- REAPPROVISIONNEMENTS A DES CONSOMMATIONS
EXCEDENTAIRES - OU A UN ALLONGEMENT DU DELAI DE LIVRAISON.
- LENTREPRISE FIXE UN NIVEAU S DE STOCK A
ATTEINDRE APRES - CHAQUE APPROVISIONNEMENT
- LA CONSOMMATION Q EST ALEATOIRE ENTRE DEUX
- REAPPROVISIONNEMENTS, ELLE SUIT UNE LOI DE
PROBABILITE - MOYENNE E(Q)
- LE STOCK DE SECURITE EST EGAL A LA DIFFERENCE S
E(Q). - SELON LA VALEUR DE LA CONSOMMATION REELLE ENTRE
DEUX - REAPPROVISIONNEMENTS, ON POURRA AVOIR LE SCHEMA
SUIVANT
88AVENIR ALEATOIRE
- PENDANT T1 LA CONSOMMATION REELLE
- A ETE INFERIEURE A E(Q). LE STOCK FINAL
- EST SUPERIRUR AU STOCK DE SECURITE.
- PENDANT T2,LA DEMANDE A ETE EGALE A
- E(Q). LE STOCK EST EGAL AU STOCK DE
- SECURITE.
- PENDANT T3, LA DEMANDE A ETE
- SUPERIEURE A E(Q), LE STOCK DE
- SECURITE A PERMIS DE COUVRIR CET
- EXCES DE DEMANDE.
89BUDGETISATION DES APPROVISIONNEMENTS
- BUDGETISATION A QUANTITES COMMANDEES CONSTANTES
- BUDGETISATION A INTERVALLES CONSTANTS ENTRE LES
COMMANDES
90BUDGETISATION DES APPROVISIONNEMENTS
- A PARTIR DES RESULTATS DU CALCUL DOPTIMISATION
UN CHOIX DOIT ETRE FAIT ENTRE - APPROVISIONNEMENT DUNE QUANTITE CONSTANTE Q AVEC
UN CADENCEMENT VARIABLE - APPROVISIONNEMENT A CADENCE FIXE DUNE QUANTITE
VARIABLE
91BUDGETISATION A QUANTITES COMMANDEES CONSTANTES
- LEXEMPLE SUPPORT, POUR LES DEUX SITUATIONS,
PREND EN - COMPTE UNE CONSOMMATION IRREGULIERE.
92BUDGETISATION PAR PERIODES CONSTANTES
- ON FIXE A PRIORI LES DATES DE REAPPROVISIONNEMENT.
PUISQUE - N6, ON AURA UN REAPPROVISIONNEMENT TOUS LES 2
MOIS A - COMPTER PAR EXEMPLE DU 01/02.
- LES QUANTITES LIVREES SERONT ALORS VARIABLES ET
DEVRONT - ETRE TELLES QUELLES PERMETTENT DE NE PAS
DESCENDR EN - DESSOUS DU STOCK DE SECURITE AVANT LA LIVRAISON
SUIVANTE. - PREMIERE LIVRAISON
- LE STOCK DE FIN JANVIER EST DE 250. Q DESIGNANT
LA LIVRAISON - DE DEBUT FEVRIER, ON DOIT AVOIR
- 250 (SI)Q(LIVRAISON)-150(CONSOMMATION
02)-250(CONSOMMATION - DE MARS) 200(STOCK DE SECURITE)
- SOIT Q 350
- LIVRAISON DAVRIL LE STOCK INITIAL ETANT EGAL
AU STOCK DE - SECURITE, IL SUFFIT QUE LA LIVRAISON Q COUVRE LES
DEUX MOIS 04 - ET 05 SOIT 450
- LE MEME RAISONNEMENT SERA APPLIQUE AUX LIVRAISONS
- SUIVANTES
93CONTRÔLE BUDGETAIRE DES APPROVISIONNEMENTS
- CONTROLES QUANTITATIFS
- CONTROLES DES COUTS
94CONTRÔLE BUDGETAIRE DES APPROVISIONNEMENTS
- LE CONTRÔLE BUDGETAIRE DES APPROVIONNEMENT VA
PORTER SUR DIFFERENTS NIVEAUX DE PREVISIONS - LES QUANTITES REELLEMENT APPROVISIONNEES PAR
RAPPORT AU BUDGET POUR LES CATEGORIES DARTICLES
DETERMINES PAR LA METHODE ABC. CE CONTRÔLE A
ESSENTIELLEMENTPOUR OBJET DE PERMETTRE LA
REVISION DES PREVISIONS ET LA VALIDATION DES
PROCEDURES DE GESTION PREVISIONNELLE. - LES COUTS CONSTATES PAR RAPPORT AUX COUTS PREVUS
QUIL SAGISSE DES COUTS DES APPROVISIONNEMENTS
EUX-MEMES OU BIEN DES COUTS RELATIFS A LA GESTION
DES APPROVISIONNEMENTS.
95LES CONTROLES QUANTITATIFS
- ILS SONT EN GENERAL ORGANISES AU NIVEAU DES
MAGASINS. - LENREGISTREMENT DES ENTREES ET DES SORTIES DE
STOCK - CONSTATEES EST COMPARE AUX PREVISIONS
CORRESPONDANTES. - LES ECARTS MIS EN EVIDENCE PEUVENT REMETTRE EN
CAUSE LA - POLITIQUE DAPPROVISIONNEMENT
- CALENDRIER DES APPROVISIONNEMENTS
- CHOIX DES FOURNISSEURS
96CONTRÔLE DES COUTS- CONTRÔLE BUDGETAIRE GLOBAL
- LES RATIOS DE STRUCTURE
- LA VALEUR DES STOCKS EST UNE COMPOSANTE DU BFR,
SA - VARIATION PEUT ENTRAINER DES DESEQUILIBRES
BILANTIELS. - POUR LE CONTRÔLE ON UTILISERA DES RATIOS COMME
PAR - EXEMPLE
- VALEUR BRUTE DES STOCKS / ACTIF CIRCULANT
- VALEUR BRUTE DES STOCKS / TOTAL DU BILAN
- UN DEPASSEMENT DES SEUILS PREVUS DOIT CONSTITUER
UN SIGNAL - DECLENCHANT UNE PROCEDURE DANALYSE ET DE
DECISION - RECHERCHE DES CAUSES
- MESURES CORRECTRICES OU REVISION DES NORMES
97BUDGET DES INVESTISSEMENTS
- TYPOLOGIE DES INVESTISSEMENTS
- LA DECISIONS DINVESTISSEMENT
- LES PROCEDURES DE SELECTION
- LE PLAN DINVESTISSEMENT ET LE PLAN DE
FINANCEMENT
98TYPOLOGIE DES INVESTISSEMENTS
99LA DECISION DINVESTIR SE TRADUIT PRESQUE
TOUJOURS PAR UNE SORTIE ET UNE IMMOBILISATION DE
FONDS IMPORTANTS DONT LENTREPRISE ESPERE, A
TERME, UNE RENTABILITE QUI SUPPOSE UNE PRISE DE
RISQUE.LA RECHERCHE DU MOINDRE RISQUE NE PEUT
ETRE OBTENUE QUE PAR LA REALISATION DETUDES
PREALABLES A TOUTE DECISION.
100TYPOLOGIE SUIVANT LOBJECTIF
- TROIS CATEGORIES
- LES INVESTISSEMENTS PRODUCTIFS
- ILS ONT POUR OBJECTIF DACCROITRE LA CAPACITE
PRODUCTIVE OU - DE DIMINUER LES COUTS.
- LES INVESTISSEMENTS OBLIGATOIRES
- IL SAGIT DE TOUS LES INVESTISSEMENTS QUI SONT
IMPOSES PAR LA - REGLEMENTATION (ENVIRONNEMENT, SECURITE...)
- LES INVESTISSEMENTS IMPRODUCTIFS
- CE SONT TOUS LES INVESTISSEMENTS QUI, SANS ETRE
INDISPENSABLE - SUR LE PLAN DE LA RENTABILITE, PEUVENT PRESENTER
UN INTERET AU - NIVEAU DU PERSONNEL, DE LIMAGE DE MARQUE.
- POUR LES DEUX DERNIERES CATEGORIES, LES CHOIX
CONSTITUENT - UNE REPONSE A DES IMPERATIFS. LES CRITERES DE
CHOIX NE SONT - PAS FINANCIERS, SEULS LEUR COUTS ET LEUR MODE DE
FINANCEMENT - ONT BESOIN DETRE ANALYSES.
101TYPOLOGIE SUIVANT LEUR NATURE
- 3 CATEGORIES
- LES INVESTISSEMENTS EN IMMOBILISATIONS
- ILS SONT LIES AU REMPLACEMENT OU A
LACCROISSEMENT DU VOLUME - DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES OU INCORPORELLES
DE - LENTREPRISE.
- b) LES INVESTISSEMENTS INTELLECTUELS
- 4 TYPES RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT/INVESTISSEMEN
TS HUMAINS/ - LES INVESTISSEMENTS COMMERCIAUX/ INVESTISSEMENTS
EN LOGICIELS. - LIMPORTANCE DE CES DEPENSES, DONT LE MONTANT
DEPASSE TRES - SOUVENT LA PARTIE PUREMENT MATERIELLE FAIT
QU4IL EST - INDISPENSABLE DE LES BUDGETISER AFIN DESSAYER
DEN CONTROLER - LUTILISATION ET LES CONSEQUENCES.
- c) LES INVESTISSEMENTS FINANCIERS
- LES OPPORTUNITES DE CROISSANCE EXTERNE POSENT A
LENTREPRISE - DES PROBLEMES TELS QUE CEUX DU CHOIX DUNE PRISE
DE - PARTICIPATION. DANS CETTE CATEGORIE, LES
CONSIDERATIONS - STRATEGIQUES PRIMERONT TRES SOUVENT LES APPROCHES
- FINANCIERES.
102TYPOLOGIE SUIVANT LE BESOIN SATISFAIT
- LES INVESTISSEMENTS DE REMPLACEMENT
- LEUR OBJECTIF EST LE MAINTIEN DE LA CAPACITE DE
PRODUCTION - LES INVESTISSEMENTS DE PRODUCTIVITE
- ILS SONT DIRECTEMENT LIES A LA RECHERCHE DE
LAUGMENTATION DU - VOLUME DE PRODUCTION SANS AUGMENTATION
CORRELATIVE DES - FACTEURS DE PRODUCTION ET/OU LA REDUCTION DES
COUTS. A - REMARQUER QUE DU FAIT DE LEVOLUTION DE LA
TECHONOLOGIE LES - INVESTISSENTS DE REMPLACEMENT CONDUISENT A UNE
AMELIORATION - DE LA PRODUCTIVITE.
- LES INVESTISSEMENTS DE CROISSANCE
- ILS CHANGENT LA STRUCTURE DU COMPTE DE RESULTAT,
EN EFFET LE - NIVEAU DU CA ET SA COMPOSITION PEUT AVOIR COMME
CONSEQUENCES - SUR LES PRODUITS MAIS AUSSI LES CHARGES
103LA DECISION DINVESTISSEMENT
104GENERALITES
- LE CONCEPT DINVESTISSEMENT REPOSE SUR LIDEE
QUA UNE - DEPENSE INITIALE DOIVENT CORRESPONDRE DES
RECETTES - FUTURES DUN MONTANT SUPERIEUR.
- LE PROJET OU LOPPORTUNITE DINVESTISSEMENT DOIT
FAIRE - LOBJET DETUDES
- ETUDES COMMERCIALES (ETUDE DE MARCHE, DE
DISTRIBUTION) - ETUDES TECHNIQUES CARACTERISTIQUES, DELAI, DUREE
DE VIE - ETUDES ECONOMIQUES COUT DE LINVESTISSEMENT,
CAPACITE DE PRODUCTION, INVESTISSEMENTS INDUITS. - ETUDES DE FINANCEMENT MONTANT MAXIMAL QUE PEUT
SUPPORTER LENTREPRISE - ETUDES RELATIVES A LORGANISATION ET AUX
CONSEQUENCES DE LINVESTISSEMENT - ETUDES JURIDICO-FISCALES
- CES DIFFERENTES ETUDES PERMETTRONT LELABORATION
DU PLAN - DE FINANCEMENT.
105LE DOSSIER DINVESTISSEMENT
- LES PREALABLES A TOUTE DECISION SONT EN GENERAL
PRESENTES - DANS UN DOSSIER DINVESTISSEMENT QUI POURRA
CONTENIR PAR - EXEMPLE
- LA FINALITE DE LOPERATION A PARTIR DES
OBJECTIFS RECHERCHES - LA DEFINITION ET LE CHIFFRAGE DU PROJET MONTANT
TOTAL DE LINVESTISSEMENT, BESOINS NOUVEAUX
GENERES EN PARTICULIER DU BFR - LES RECETTES ESCOMPTES DETERMINATION DES
RECETTES SUPPLEMENTAIRES OU DES ECONOMIES
ESCOMPTEES ET LEUR ECHEANCIER PREVISIBLE - LE TEMPS A CONSIDERER LA DUREE COMPTABLE, LA
DUREE TECHNIQUE, LA DUREE COMMERCIALE(LIEE A LA
VIE DU PRODUIT) - LE MODE DE FINANCEMENT PRECONISE EN PRINCIPE LES
INVESTISSEMENTS DE REMPLACEMENT DEVRAIENT ETRE
FINANCES PAR AUTOFINANCEMENT.
106LES CHOIX POSSIBLES
- TOUTE DECISION IMPLIQUE PLUSIEURS POSSIBILITES
- REALISER OU NE PAS REALISER
- FAIRE OU FAIRE FAIRE
- LENTREPRISE PEUT TROUVER UN INTERET A NE PAS
INVESTIR - DIRECTEMENT SI ELLE ESTIME QUE LE PROJET EST TRES
RISQUE. IL EST - POSSIBLE DE QUITTER UN SOUS-TRAITANT QUE DE
FERMER UNE USINE. - ELLE PEUT CONSERVER, GRACE AU PRINCIPE DU FAIRE
FAIRE, SA - CAPACITE DE FINANCEMENT POUR DAUTRES PROJETS.
- FRACTIONNER OU NON LE PROJET REALISATION EN
PLUSIEURS PHASES - CHOISIR LES MODALITES DE FINANCEMENT EMPRUNT,
CREDIT BAIL, LOCATION
107INVESTISSEMENT ET RESPONSABILITE
- LA DECISION DINVESTIR EST SOUVENT CONSIDERE
COMME LA PLUS - IMPORTANTE DE CELLES QUE PEUT PRENDRE UN
DIRIGEANT. - LA NOTION DE DELEGATION, EN LA MATIERE, EST
FONDAMENTALE.
108LES PROCEDURES DE SELECTION
109LA DECISION DINVESTIR EST CONDITIONNEE PAR LES
DEUX IMPERATIFS DE LIMITATION DU RISQUE ET DE
MAXIMISATION DE LA RENTABILITE.
110(No Transcript)
111LA SELECTION LA NOTION DE RISQUE
- LA MESURE DU RISQUE PEUT ETRE REALISEE A PARTIR
DE DEUX - CONCEPTIONS DIFFERENTES
- CHOISIR UNE MESURE DIRECTE DU RISQUE ESPERANCE
- MATHEMATIQUE, VARIANCETAUX INTERNE DE
RENTABILITE OU UN - MIX DE CES DIFFERENTS OUTILS.
- DEFINIR UN TAUX DACTUALISATION EN INCLUANT LA
PERCEPTION - DU RISQUE. PLUS LE TAUX DACTUALISATION EST ELEVE
PLUS - SERONT DEPRECIEES LES SOMMES FUTURES GENEREES PAR
- LINVESTISSEMENT, IL FAVORISERA DE CE FAIT LES
- INVESTISSEMENTS A RETOUR RAPIDE.
112MESURE DE RENTABILITE ECONOMIQUE DE
LINVESTISSEMENT
- LA MESURE DE LA RENTABILITE ECONOMIQUE DUN
INVESTISSEMENT - PEUT ETRE REALISEE SELON DEUX METHODES APPEL OU
NON AUX - METHODES DACTUALISATION.
- CES METHODES SONT FONDEES SUR UNE OPTIQUE
FINANCIERE ET - METTENT EN RAPPORT LA MISE DE FONDS DE
LINVESTISSEMENT - AVEC LES RECETTES FUTURES ATTENDUES DE
LINVESTISSEMENT. - IL Y AURA LIEU ENFIN DE DISTINGUER DEUX
SITUATIONS DU FUTUR - AVENIR INCERTAIN
- AVENIR ALEATOIRE (probabilisable)
113FLUX PREVISIONNELS GENERES PAR UN INVESTISSEMENT
- LETUDE DOPPORTUNITE DUN INVESTISSEMENT IMPOSE
LA MESURE - DES FLUX QUE L INVESTISSEMENT DEVRAIT DEGAGER AU
COURS DE - LA PERIODE A VENIR CORRESPONDANT A SA DUREE DE
VIE - ECONOMIQUE.
- CE SONT LES FLUX PREVISIONNELS DE
LINVESTISSEMENT QUI - SERONT MIS EN REGARD DE LINVESTISSEMENT DE
DEPART POUR EN - MESURER LA RENTABILITE ECONOMIQUE.
- LES ELEMENTS CONSTITUTIFS DES FLUX ET DES
RESULTATS - DEGAGES PAR UN INVESTISSEMENT SONT
- LA DEPENSE DINVESTISSEMENT LE CAPITAL INVESTI
(TOUTES LES DEPENSES TELLES - QUELLES ONT ETE PREVUES DANS LE DOSSIER)
- - LES RECETTES NETTES DEXPLOITATION PREVUES
(FLUX NET DE TRESORERIE APRES IMPOTS)
114LE CAPITAL INVESTI
- DANS SA PÉRIODE INITIALE, LA DÉMARCHE
DÉCISIONNELLE - REPOSERA SUR LA DÉTERMINATION DU CAPITAL INVESTI.
- SERONT DONC RECENSÉS TOUS LES FLUX CORRESPONDANT
À - LINVESTISSEMENT INITIAL, C'EST-À-DIRE
- LES FONDS INVESTIS DANS LACQUISITION DES
IMMOBILISATIONS INCORPORELLES, CORPORELLES OU
FINANCIÈRES, - DÉPENSES ET RECETTES CONTRACTÉES À LOCCASION DE
LA MISE EN PLACE DE LINVESTISSEMENT (FRAIS DE
FORMATION DU PERSONNEL, SUBVENTION.) - EFFETS INDUITS SUR DAUTRES PROJETS, PAR EXEMPLE
SI LE PROJET ENTRAÎNE LA CESSION DE MATÉRIELS
OBSOLÈTES, LE PRODUIT DE LA CESSION VIENDRA
DIMINUER LE MONTANT INVESTI EN PÉRIODE INITIAL - LES VARIATIONS DU BFR LIÉES AU PROJET LUI-MÊME
115LES FLUX NETS DE TRESORERIEPERIODES
INTERMEDIAIRES
116FIN DE VIE DE LINVESTISSEMENT
- Cette étape consiste à calculer
- le flux provenant de la revente de
limmobilisation corrigée éventuellement des
éventuelles conséquences fiscales - le flux provenant de la récupération du BFR, on
considère en effet que ce dernier disparaît sous
la forme dun dégagement de ressources lorsque
linvestissement prend fin.
117LA DECISION DINVESTISSEMENT
- TROIS SITUATIONS SERONT À CONSIDÉRER DÉCISION
DINVESTISSEMENT EN - AVENIR CERTAIN, DÉCISION DINVESTISSEMENT EN
AVENIR ALÉATOIRE, - DÉCISION DINVESTISSEMENT EN AVENIR ALÉATOIRE.
- RAPPEL
- UN INVESTISSEMENT EST LENGAGEMENT DE RESSOURCES
(CAPITAUX - PROPRES, EMPRUNT) DANS DES PROJETS COMMERCIAUX OU
INDUSTRIELS - DONT ON ATTEND DES PROFITS FUTURS.
- UN PROJET DINVESTISSEMENT NEST DONC ACCEPTABLE
QUE SIL EST - RENTABLE.
- LA RENTABILITÉ REPOSE SUR UNE COMPARAISON DES
PROFITS QUE LON ESPÈRE OBTENIR DE
LINVESTISSEMENT AVEC LES REVENUS DUN PLACEMENT
FINANCIER DE MÊME MONTANT ET DE MÊME RISQUE. - LÉTUDE DUN PROJET PEUT ASSIMILER LES RECETTES
ET LES DÉPENSES LES PLUS PROBABLES À DES RECETTES
ET À DES DÉPENSES CERTAINES CEST UNE ÉTUDE EN
AVENIR CERTAIN. - CETTE MÉTHODE PEUT ÊTRE AMÉLIORÉE EN AFFECTANT
UNE PROBABILITÉ À CHACUN DES NIVEAUX POSSIBLES DE
RECETTES ET DE DÉPENSES CEST UNE ÉTUDE EN
AVENIR ALÉATOIRE. - IL PEUT ÉGALEMENT EXISTER DES CRITÈRES POUR LES
CAS OÙ LON NE CONNAÎT PAS LA PROBABILITÉ DES
RECETTES ET DES DÉPENSES CE SONT DES CRITÈRES
DE DÉCISION EN AVENIR INCERTAIN.
118LA DECISION DINVESTISSEMENT EN AVENIR INCERTAIN
- LES METHODES FONDEES SUR LACTUALISATION
- LES MÉTHODES FONDÉES SUR LACTUALISATION PRENNENT
- EN COMPTE
- LE FAIT QUE LES DÉPENSES ET LES RECETTES SONT
VERSÉES OU DÉPENSÉES SELON UNE CERTAINE
RÉPARTITION SUR LA DURÉE DE VIE DE
LINVESTISSEMENT, - LE FAIT QUUNE SOMME ENCAISSÉE OU DÉCAISSÉE DANS
N ANNÉES NA PAS LA MÊME VALEUR QUE LA MÊME SOMME
ENCAISSÉE OU DÉCAISSÉE AU MOMENT PRÉSENT, ET CE,
NON SEULEMENT À CAUSE DUNE DÉPRÉCIATION
OBJECTIVE, MAIS AUSSI À CAUSE DE LINCERTITUDE
INSÉPARABLE DE TOUTE PROJECTION DANS LAVENIR. - LA TECHNIQUE DACTUALISATION PERMET DÉVALUER LE
- FUTUR PAR RAPPORT AU PRÉSENT, SELON UN TAUX DIT
- DACTUALISATION QUI EST LA CONTREPARTIE DE
- RENTABILITÉ QUE LON EXIGE DE LA DÉPRÉCIATION ET
DU - RISQUE ENCOURU.
119DECISION EN AVENIR INCERTAIN
- 3 METHODES
- LA VAN
- LE TIR
- LA METHODE EMPIRIQUE
120INVESTISSEMENT AVENIR INCERTAIN - VAN
- LA MÉTHODE DE LA VALEUR ACTUELLE NETTE (VAN)
- DÉFINITION CRITÈRE DE DÉCISION CONSISTANT À
COMPARER LA DÉPENSE INITIALE ENGENDRÉE PAR
LINVESTISSEMENT À LA VALEUR ACTUELLE DES FLUX
NETS DE TRÉSORERIE ATTENDUS DE LINVESTISSEMENT
SUR SA DURÉE DE VIE - DUNE MANIÈRE GÉNÉRALE LE CALCUL DE LA VAN
CONSISTE - À DÉTERMINER POUR CHAQUE ANNÉE DE PRÉVISION LA
SOMME ALGÉBRIQUE DES ENCAISSEMENTS ET DES
DÉCAISSEMENTS - À ACTUALISER LE MONTANT OBTENU POUR CHAQUE ANNÉE
EN LE PONDÉRANT DUN COEFFICIENT (1T)-N, T ÉTANT
LE TAUX DACTUALISATION RETENU ET N LE RANG DE
LANNÉE.
121VAN
- VAN - C R1(1T)-1R2(1i)-2Rn(1i)-nV(1i)-
n - LE CALCUL DE LA VAN POSE LE PRINCIPE DE
LACTUALISATION - LE TAUX DACTUALISATION UTILISÉ DANS LE CRITÈRE
DE LA - VAN EST LE TAUX DE RENTABILITÉ MINIMUM EXIGÉ PAR
- LENTREPRISE. IL REPRÉSENTE LE COÛT DES CAPITAUX
- UTILISÉS DANS LENTREPRISE ET DÉPEND DE CE FAIT
DE SA - STRUCTURE FINANCIÈRE.
- CEST DONC LE COÛT MOYEN PONDÉRÉ DES SOURCES DE
- FINANCEMENT (ON PARLE DE COÛT DU CAPITAL). IL
TIENT - COMPTE DE DEUX COÛTS
- LE COÛT DES FONDS PROPRES QUI REPRÉSENTE LE TAUX
DE RENTABILITÉ EXIGÉ PAR LES ACTIONNAIRES, - LE COÛT DES CAPITAUX EMPRUNTÉS (APRÈS IMPÔT) QUI
REPRÉSENTE LE TAUX DE RENTABILITÉ REQUIS PAR LES
CRÉANCIERS FINANCIERS. CEST UN TAUX APRÈS IS CAR
DIMINUÉ DES ÉCONOMIES DIMPÔT INDUITES PAR LA
CHARGE FINANCIÈRE.
122VAN
- PRINCIPE
- ON INVESTISSERA QUE DANS LE CAS DUNE VAN
POSITIVE (TOUT - PROJET QUI PRESENTE UNE VAN NEGATIVE SERA REJETE)
- SI, LE DECIDEUR A LE CHOIX ENTRE PLUSIEURS
PROJETS IL - CHOISIRA LE PROJET QUI PRESENTE LA PLUS FORTE VAN
(RETOUR - SUR INVESTISSEMENT PLUS RAPIDE).
- DEUX SITUATIONS POSSIBLES
- CHOIX ENTRE DES PROJETS MUTUELLEMENT EXCLUSIFS
- CHOIX ENTRE PLUSIEURS PROJETS NON EXCLUSIFS EN
CAS DE RATIONNEMENT DU CAPITAL
123CHOIX ENTRE DES PROJETS MUTUELLEMENT EXCLUSIFS
- 1. PROJETS DE MEME DUREE
- IL SAGIT DE CHOISIR ENTRE DES PROJETS QUIL
NEST PAS - POSSIBLE DE REALISER ENSEMBLE (EX CONSTRUIRE
UNE - CENTRALE ELECTRIQUE ALIMENTEE AU FIOUL OU UNE
CENTRALE - ALIMENTEE AU CHARBON).
- LE CRITERE DE LA VAN CONDUIT A CHOISIR CELUI DES
PROJETS - DONT LA VAN EST LA PLUS GRANDE
124PROJETS MUTUELLEMENT EXCLUSIFS
- 2. PROJETS DE DUREES DIFFERENTES
125CHOIX ENTRE PLUSIEURS PROJETS NON EXCLUSIFS ET
RATIONNEMENT DU CAPITAL
- DANS CE CAS TOUS LES PROJETS DONT LA VAN EST gt0
POURRAIENT - ETRE ACCEPTES SI LENTREPRISE DISPOSAIT DU
CAPITAL SUFFISANT - POUR LES FINANCER EN MEME TEMPS, SITUATION
DIFFICILEMENT - ENVISAGEABLE.
- LA METHODE
126TAUX INTERNE DE RENTABILITE (TIR)
- LE TIR EST LE TAUX DACTUALISATION POUR LEQUEL LA
VAN EST - EGALE A 0.
- LES DEUX CRITERES DE RENTABILITE DUN PROJET
- VANgt0 OU TIR gt COUT