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Centre Hospitalier de Charleville-M

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Title: Centre Hospitalier de Charleville-M


1
PRECAUTIONS STANDARD
Centre Hospitalier de Charleville-Mézières Unité
dHygiène Hospitalière

Centre Hospitalier de Charleville-Mézières Unité
dhygiène hospitalière Mars 2010
PRECAUTIONS COMPLEMENTAIRES
2
Terminologie
  • Les précautions dhygiène regroupées sous le
    terme de précautions standard ont pour objectif
    dassurer une protection systématique du
    personnel et des patients vis à vis des risques
    infectieux liés au contact avec le sang, les
    liquides biologiques, tout produit dorigine
    humaine, la peau lésée et les muqueuses.
  • Les précautions complémentaires sont des
     mesures barrières  supplémentaires à associer
    aux P.S. pour éviter la transmission croisée des
    micro-organismes.

3
Historique
  • Pendant de nombreuses années, les mesures dites
    disolement, ont été définies par le réservoir de
    lagent infectieux isolement entérique ,
    cutané, respiratoire
  • Les recommandations françaises de 1998 (isolement
    septique, CTINILS), ont décliné les mesures
    disolement selon les modes de transmission de
    micro-organismes.

4
  • En 2007, le concept a évolué vers la notion de
     précautions complémentaires  aux précautions
    standard. Les PC sappuient sur le mode de
    diffusion de lagent, sa persistance dans
    lenvironnement, sa résistance aux antiseptiques
    et aux antibiotiques la localisation et la
    gravité potentielle de linfection létat
    immunitaire (inné ou acquis) des personnes à
    protéger.

5
Les précautions  standard 
  • Applicables pour tous les soignants vis-à-vis de
    tous les patients.

6
Chaîne épidémiologique
Agents infectieux
Bactériens, fongiques
Viraux, parasitaires
Exogène - Le personnel, les visiteurs -
L'environnement
Endogène Le patient
Réservoirs
Par contact -manuporté -matériel contaminé
Transmission
Aéroportée
Favorisée par -une altération de la flore
normale du patient -la présence de portes
d'entrée -les techniques invasives
Contamination - Inoculation
Colonisation
Influencée par -la virulence et l'importance de
l'inoculum -l'état immunitaire du patient
Infection
Signes cliniques et/ou biologiques (fièvre, pus,
rougeur)
7
7 principes à respecter
  • Ils concernent tous les patients et sont
    applicables par tous les professionnels de santé
    et les prestataires internes et externes des
    structures dhospitalisation ou dhébergement.

8
1 / Hygiène des mains
9
  • Favoriser une désinfection des mains avec une
    solution hydro-alcoolique en remplacement du
    lavage des mains et en labsence de souillure
    visible, IMMEDIATEMENT AVANT TOUT CONTACT AVEC UN
    PATIENT OU SON ENVIRONNEMENT PROCHE.

10
Respecter les préalables
  • Manches courtes
  • Ongles courts, sans vernis, sans résine ni objet
    collant
  • Port de bijoux INTERDIT pour les mains et les
    poignets (alliance comprise).

11
2 / Port de gants
12
  • Toujours utiliser des gants non poudrés et à
    usage unique.
  • 1PAIRE 1 PATIENT 1 SOIN
  • A utiliser si risque de contact avec du sang ou
    un liquide biologique ou les muqueuses ou la peau
    lésée, ou si les mains du soignants sont lésées.

13
  • Effectuer un geste dhygiène des mains à chaque
    retrait de gants.
  • Ne jamais se frictionner ou se laver les mains
    avec des gants.

14
3 / Equipement de protection individuel
15
  • Tablier à usage unique, sur-blouse à usage
    unique, masque de soins et lunettes de protection
    A ADAPTER EN FONCTION DES SOINS REALISES.
  • Masque de soin et lunettes de protection en cas
    de risque de projection de sang ou de liquide
    biologique.

16
4 / Gestion du materiel souillé
17
  • Eliminer les déchets ayant été en contact avec du
    sang ou un liquide biologique dans les sacs à
    DASRI.
  • Eliminer les déchets piquants coupants ou
    tranchants dans un conteneur adapté et à portée
    de main.
  • Manipuler avec précaution le matériel
    réutilisable souillé et lentretenir selon la
    procédure appropriée.

18
5 / Nettoyage de lenvironnement
19
  • Le nettoyage de lenvironnement proche du patient
    est un soin.
  • Effectuer le bionettoyage des surfaces hautes et
    des sols en respectant les protocoles
    dutilisation des produits.

20
6/ Transports divers
21
  • Les prélèvements, le linge, le matériel souillé
    et les déchets doivent être évacués du service
    dans un emballage étanche et fermé pour protéger
    les prestataires effectuant le traitement.
  • Respecter la procédure de tri du linge.

22
7/ Prévention des Accidents par Exposition au
Sang et aux liquides biologiques.
23
  • En cas daccident par exposition au sang ou à un
    liquide biologique
  • Effectuer immédiatement un lavage simple (ou un
    rinçage abondant si projection sur les muqueuses)
  • Effectuer lantisepsie.
  • Consulter un médecin référent dans les 4 heures
    suivant le contact.
  • Effectuer la déclaration daccident de travail
    dans les 24 heures.

24
Les précautions  complémentaires 
25
  • Elles sont mises en place lorsque le patient est
    porteur dun microbe transmissible.
  • Il existe 3 types de précautions complémentaires
     contact ,  goutellettes  et  air .
  • On les met en place en fonction de la voie de
    diffusion du micro-organisme.

26
1/ Prévention complémentaire de type  contact 
  • Lorsque la voie de diffusion est manuportée.

27
2/ Prévention complémentaire de type
 gouttelettes 
  • Lorsque la diffusion se fait par les sécretions
    respiratoires.

28
3/ Prévention complémentaire de type  air 
  • Lorsque la diffusion est aéroportée.

29
 
30
(No Transcript)
31
(No Transcript)
32
(No Transcript)
33
STRATEGIE DE PREVENTION DE LA TRANSMISSION
CROISEE DE MICRO-ORGANISMES BACTERIES
MULTI-RESISTANTES (BMR)
34
La stratégie de prévention comprend
  • Une politique de dépistage définie par le CLIN en
    accord avec les recommandations nationales (avril
    2009)
  • Surveillance épidémiologique des agents
    infectieux  à haut potentiel de transmission
    croisée  dont BMR
  • Cibles microbiologiques justifiant lapplication
    des PC de type contact (SARM, E. BLSE,
    Pseudomonas aeruginosa, Acinetobacter baumannii,
    )

35
  • Lapplication des PS renforcées par les PC
     contact  jusquau retour des résultats et
    durant tout le séjour si dépistage positif.

36
La politique de dépistage au CH de Charleville
  • QUI ET QUAND ?
  • À ladmission dans les premières 24 heures
  • Les patients connus porteurs de BMR, signalés par
    le médecin traitant lors de ladmission
  • Tous les patients venant dun service de
    réanimation ou dun ES extérieur
  • Tous les patients venant de SSR et USLD
  • En Réanimation répétition du dépistage 1 fois
    par semaine

37
La politique de dépistage au CH de Charleville
  • COMMENT ?
  • Par écouvillonnage
  • Des fosses nasales introduire à lentrée des
    deux narines un écouvillon humidifié à laide de
    sérum physiologique stérile (1 écouvillon pour
    les 2) à la recherche de SARM
  • Du rectum même principe dans le but de ramener
    des selles à la recherche dE. BLSE
  • /- des aisselles 1 écouvillon pour les 2
    aisselles à la recherche de SARM

38
Lapplication des précautions standard et
précautions complémentaires
  • QUAND ?
  • Identification de la souche
  • Le laboratoire appel téléphonique dès
    lidentification dans lunité de soins
  • Envoi des résultats avec commentaires et planche
    détiquettes
  • Les unités de soins mise en œuvre des PC   c 
    dès la transmission de linfo

39
COMMENT ?
  • Étiquettes de format différent à poser
  • Sur la porte de la chambre (intérieur, extérieur)
  • Sur le dossier de soins paramédical
  • Sur le planning mural
  • Sur le dossier médical
  • Sur les bons dexamen (sauf biologie) et sur la
    pochette radio

40
Mesures  barrière 
  • 1) Isolement géographique
  • Chambre individuelle ou regroupements des
    patients
  • 2) Isolement technique
  • Hygiène des mains, ports de gants, protection de
    la tenue, port dun masque ( PS)
  • Organiser les soins entre les patients en tenant
    compte du risque infectieux

41
Mesures  barrière 
  • Gestion des dispositifs médicaux et autres
    équipements
  • Privilégier lindividualisation du matériel
    réutilisable
  • Pas dentretien particulier de la vaisselle, du
    linge et autres instruments ou ustensiles
  • Tri des déchets DAOM ou DASRI

42
  • Texte accompagnant le résultat
  •  Cette bactérie est multiresistante aux
    antibiotiques. Toutes les précautions doivent
    être prises pour éviter la dissémination de cette
    souche.
  • La maîtrise de la diffusion des BMR repose sur 3
    principes essentiels
  • lidentification des patients infectés ou
    colonisés avec notification au personnel soignant
    et signalisation.
  • Les mesures disolement technique en insistant
    sur le lavage des mains.
  • Le traitement éventuel de linfection ou de la
    colonisation.
  • Reportez vous aux documents de lUHH. 

43
3) Transmission de linformation
  • Informations
  • Au patient ou à sa famille
  • Lors dun transfert ambulancier, service
    receveur.
  • Lors de la sortie lettre au médecin traitant,
    informations aux paramédicaux (IDE, kiné )

44
4) Éléments de surveillance
  • Surveillance épidémiologique

45
4) Éléments de surveillance
  • Évaluation de lisolement technique

46
5) Supports dinformation
  • Plaquettes dinformation  vous êtes porteur
    dune bactérie multi-résistante aux
    antibiotiques ,  linfection nosocomiale 
  • Le livret daccueil
  • Les documents qualité de lIntranet du CH

47
Cas particuliers
  • Des recommandations particulières existent en cas
    de Clostridium Difficile Toxine (Avis HCSP du
    20/06/2008), ERG (DGS.DHOS du 6/12/2006) et
    ectoparasites (poux, puces, gales).

48
Service QHSE, Unité dHygiène
Cohorte et cohorting
Cohors division de la légion romaine (3
manipules de 2 centuries), unité militaire
composée dun seul type de soldats ( Auguste
cohors praetoria, cohors urbana, cohors
vigilum) Cohorte regroupement de personnes
vivant ou ayant vécu le même événement au cours
dune période de temps, enquête de cohorte en
épidémiologie
Cohorting anglicisme préféré au terme
cohortage, regroupement de patients ayant la même
pathologie, en général transmissible
49
Mise en œuvre dun cohorting Objectif  ne
générer aucun  sujet contact  Conditions du
choix entre lune ou lautre des modalités
décrites  Le cohorting pourra être un service
complètement dédié ou un secteur aménagé dans une
unité de lieu adaptée. La combinaison de
limportance du nombre de cas et de lintensité
de la charge en soins est à la base du choix le
plus adapté au fonctionnement de létablissement
permettant doptimiser sécurité des patients et
moindre coût. Un établissement réparti sur
plusieurs entités géographiques pourra également
opter pour cette dernière modalité. Le respect
des précautions standard au sein du secteur
suffit  sauf situation spécifique, les
précautions complémentaires sont inutiles 
lutilisation de dispositifs à usage unique est
privilégiée.
50
  • Epidémie importante et/ou charge en soin des
    patients lourde  service ou unité complètement
    dédié 
  • Personnel dédié pendant toute la durée du poste
    horaire dans un service, une unité ou un secteur
    dédié  secteur des porteurs, secteur des
    contacts, secteur des  indemnes .
  • 2) Présence de un à quelques patients et/ou
    charge en soins moins importante  secteur
    aménagé dans une unité de lieu adaptée
  • Personnel dédié sur le temps du soin, secteur
    installé dans un espace favorable dun service ou
    dune unité. Les professionnels changent
    complètement de tenue en quittant le secteur

51
Exemple de zone de cohorting dans une unité de
soins
  • localisation de préférence en extrémité
    dunité  une chambre technique  propre-sale 
    et la (les) chambre(s) patient(s)
  • chambre technique de préférence avant les
    chambres patient
  • chambre technique équipée dun cabinet de
    toilette (zone sale). Le reste de la chambre
    (zone propre) est divisé en 2  zone de
    préparation des soins et zone dhabillage en
    tenue propre
  • Les chambres patient ont de préférence un
    cabinet de toilette et un WC privatif

52
  • Entrée des professionnels dans le secteur et
    réalisation des soins
  • - tenue professionnelle (tenue de base) ayant
    déjà servi dans le reste de lunité
  • préparation des actes dans la zone propre de
    chambre technique
  • Fin de lensemble des soins et sortie du secteur
  • sortie de la chambre patient et passage en zone
    sale de la chambre technique
  • - Evacuation des déchets et du linge souillé dans
    les contenants appropriés. Les contenants
    suivent le circuit normal
  • - Evacuation des eaux usées dans les toilettes
  • - Bionettoyage de la zone sale et des matériels
  • - Déshabillage complet de la tenue sale avec
    évacuation immédiate
  • Friction hydroalcoolique des mains
  • Passage en zone propre
  • - Habillage en tenue entièrement propre
  • - Friction hydroalcoolique des mains

53
Dans la vraie vie..
Exemple de lorganisation dun cohorting dans le
service de médecine interne et maladies
infectieuses, en août septembre 2011
Patient ardennais rapatrié sanitaire porteur de
deux souches de bactéries secrétant une
carbapénèmase - Klebsiella pneumoniae BLSE
oxa 48 - Acinetobacter baumanii oxa 23
54
Enterobactéries résistantes aux carbapénèmes
disolats de K. pneumoniae résistants aux
carbapénèmes, 2008
Episodes à enterobactéries productrices de
carbapénémases signalés en France de 2004 - 2010
lt1
(Bilan au 14.09.2010)
Source European Antimicrobial Resistance
Surveillance System (EARSS). http//www.rivm.nl/ea
rss/
Source InVS, signalement des infections
nosocomiales.
54
55
Zone de cohorting
Zone habillage propre
Ancien bâtiment extrémité ouest
Zone de préparation des soins
stockage
Zone déshabillage sale
Retour sale
Cage descalier
Chambre 14
sanitaires
Août 2011
56
1 Penser à préparer tout le matériel nécessaire
à la réalisation des soins (avant de rentrer dans
la chambre, ou regarder ce dont vous avez besoin
en entrant dans la chambre SANS rien toucher)
2 Préparation des soins
3 Lorsque tout est prêt, enfiler les
équipements de protection nécessaires (cf
précautions complémentaires contact). Se
frictionner les mains avec de la SHA
4 Evacuation des déchets et linge souillés,
sacs fermés dans la chambre
5 Déshabillage et friction des mains avec de la
SHA.
6 Habillage tenue propre
7 pour lévacuation des déchets et linge,
enfiler une surblouse et une paire de gants,
sortir de la zone de cohorting sans toucher les
murs, chariots ou autres objets.
8 Après évacuation des sacs, ôter la surblouse
et les gants et se frictionner les mains à la SHA.
Organisation des soins en zone de cohorting
Service Médecine infectieuse
V UHH- VP- 08/2011
57
1 Préparer le chariot de ménage sans le
surcharger. Ne déposer que le matériel utile pour
le bionettoyage de la journée.
2 Revêtir un tablier plastique, effectuer une
friction avec la SHA et mettre une paire de gants
de ménage
3 Nettoyage de la zone de préparation des soins
et dhabillage.
4 Nettoyage du couloir, des poignées de porte,
des interrupteurs et mains courantes.
5 Nettoyage de la salle dutilité sale.
6 Nettoyage de la chambre du patient (surfaces
hautes, sol, sanitaires).
7 Vidange du seau, nettoyage du lavabo,
nettoyage du chariot.
8 Rangement du chariot ménage propre
Attention lensemble du chariot de bionettoyage
et tout le matériel nécessaire (gants compris)
est exclusivement réservé à la zone de cohorting.
Après le rangement du chariot de ménage nettoyé
et désinfecté, suivre les étapes 5 à 8 de la
procédure  organisation des soins .
Organisation du bionettoyage en zone de cohorting
V UHH- VP- 08/2011
58
Le patient a déménagé sans problème, dans une
zone de cohorting préparée
Nouveau bâtiment 37 extrémité nord
59
Lingerie zones propre et sale
Trieur de linge sale
Paravent fixe
Table de préparation de soins
Armoire pour tenues propres
VP UHH 09/2011 ZONE DE COHORTING EN MEDECINE
INFECTEUSE
60
Conclusion
  • Un cohorting se prépare, délai minimum 48heures.
    Parfois avec laide des structures officielles de
    la LIN (Cclin-Est Resclin CA)
  • Informations de la Direction car impact sur
    organisation et sur DF (fermeture de quelques
    lits), DRH-DS (aide ponctuelle au début), DSET
    (petit matériel, petites interventions
    techniques)
  • Mise en œuvre avec la présence de léquipe
    dHygiène en appui à léquipe de soins (exemple
    précédent IDE Hygiéniste tous les jours 1er
    week-end et quelques nuits, formation des
    intervenants Kinés, ECEM, brancardiers,
    ouvriers)

Remerciements aux soignants paramédicaux et
médicaux du service de médecine Interne et
pathologies infectieuse pour leur organisation,
leur compétence et leur sérénité....ils ont même
déménagé le patient et son cohorting
61
  • Références
  • - ARS Champagne-Ardenne, CVGAS. Courrier relatif
    à la circulaire NDGS/RI/DGOS/PF/2010/413 du 6
    décembre 2010 à Mmes et M. les directeurs des
    établissements de santé de la région
    Champagne-Ardenne. 05 janvier 2011
  • - Circulaire NDGS/RI/DGOS/PF/2010/413 du 6
    décembre 2010 relative à la mise en œuvre de
    mesures de contrôles des cas importés
    dentérobactéries productrices de carbapénémases
    (EPC)
  • - HCSP. Rapport relatif à la maîtrise de
    lémergence et de la diffusion des entérocoques
    résistants aux glycopeptides (ERG) dans les
    établissements de santé. 19 février 2009
  • - SF2H. Surveiller et prévenir les infections
    associées aux soins. Société Française dHygiène
    Hospitalière. Septembre 2010.
  • - SF2H. Recommandations nationales. Prévention de
    la transmission croisée  précautions
    complémentaires contact. Consensus formalisé
    dexperts, Société française dhygiène
    hospitalière. Avril 2009. www.sfhh.fr.
  • - Synthèse des procédures de prise en charge des
    patients ERG et/ou contacts (mission dappui
    Lorraine) document validé le 25 mars 2008
  • - Guide des bonnes pratiques lors des situations
    épidémiques. Centre hospitalier de
    lagglomération de Nevers. 2010.
  • - Resclin-Champagne-Ardenne. Plan BMR 2008.
  • Site internet du CClin-Est  http//www.cclin-est
    .org/
  • - SFHH  Infections associées aux soins, Guide
    daide à la communication , juin 2002
  • - Resclin Champagne-Ardenne et ARS
    Champagne-Ardenne. Repères pour établir un plan
    local de gestion dune épidémie. Mars 2011.
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