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* Anglais : leucocyte, am

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Hemocytom tre Les techniques de r partitions des leucocytes: automatique et manuelle R partition automatique Les analyseurs modernes d'h matologie sont quip s ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: * Anglais : leucocyte, am


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Anglais leucocyte, américain leukocyte.
Terme issu du Grec leukos blanc et
kutos cellule. Terme issu du Latin
globulus petite boule.
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Définition Cellule du sang humain contenant un
noyau, appelée également leucocyte et jouant
essentiellement un rôle dans la défense de
l'organisme contre les agents étrangers. On
distingue les mononucléaires (lymphocytes et
monocytes) des polynucléaires. Le terme globule
désigne une boule de forme sphérique et de petite
taille.Ce terme est utilisé pour désigner les
globules rouges (hématies), les globules blancs
(leucocytes), les globules polaires de Robin qui
sont des petites cellules constituées lors de la
division des ovocytes (œuf provenant de l'ovaire)
au moment de l'ovogenèse (fabrication de l'ovule
dans l'ovaire) qui dégénéreront ensuite. Les
leucocytes ont été étudiés par Charles Robin au
19e siècle.
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Classification On distingue 1. Les leucocytes
polynucléaires (ou granulocytes) comprenant Les
polynucléaires neutrophiles, de forme
généralement sphérique, constituant la moitié de
la population totale des globules blancs. Ils ont
un volume double de celui des globules rouges.
Les granulocytes neutrophiles possèdent un
mélange de protéines ayant les caractéristiques
de celles des antibiotiques on les appelle à
juste titre les défensines. Leur noyau est
composé de 3 à 6 lobes, d'où leur nom de
polynucléaires. Grâce à des enzymes, ils
possèdent une activité de phagocytose,
c'est-à-dire de digestion des corps étrangers et
plus particulièrement des bactéries.
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Les neutrophiles phagocytent très activement les
bactéries et sont présents en nombre élevé dans
le pus des plaies. Malheureusement, ces cellules
sont incapables de renouveler les lysosomes
utilisés dans la digestion des microbes et
meurent après en avoir phagocyté quelques-uns.
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Les polynucléaires éosinophiles représentent 2 à
4 de la totalité des globules blancs. Leur
noyau comprend généralement 2 lobes. Leur rôle
consiste à assurer la défense contre certains
parasites (ténia, oxyures, douve, schistosome,
etc.) trop gros pour être phagocytés (digérés).
Ces parasites pénètrent dans l'organisme par
l'intermédiaire du tube digestif (poisson cru,
viande de porc) ou à travers la peau, et vont se
loger le plus souvent dans la muqueuse du tube
digestif (intestins) ou des poumons. C'est là que
les polynucléaires éosinophiles se chargent de
leur destruction en libérant des enzymes qui vont
permettre leur digestion. Les polynucléaires
éosinophiles interviennent également dans les
réactions d'allergie en détruisant les protéines
étrangères (allergènes) et les complexes
(associations) antigène-anticorps à l'origine des
allergies.
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Les polynucléaires basophiles sont les moins
nombreux des globules blancs (0,5 de la
population totale de leucocytes). Cette variété
de globules blancs contient de l'histamine, qui
est un médiateur (messager) sécrété pendant la
réaction inflammatoire et au cours de l'allergie.
L'histamine entraîne la vasodilatation
(augmentation du calibre des vaisseaux) et attire
les autres globules blancs dans la région
concernée par l'inflammation (chimiotactisme)
Les basophiles sécrètent des substances
anticoagulantes et vasodilatatrices comme les
histamines et la sérotonine. Malgré leur capacité
phagocytaire, leur principale fonction est de
sécréter les substances qui servent à la
médiation de la réaction d'hypersensibilité.
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2. Les leucocytes mononucléaires (ou
agranulocytes) comprenant Les lymphocytes,
relativement nombreux mais peu abondants dans la
circulation sanguine. On les trouve
essentiellement dans les ganglions lymphatiques,
la rate, etc. où ils jouent un rôle important
dans l'immunité. Il existe 2 types de lymphocytes
les lymphocytes T. appelés également
lymphocytes T. tueurs ou lymphocytes T.
suppresseurs. Ils participent à la réaction
immunitaire en combattant spécifiquement les
cellules infectées par un virus ainsi que les
cellules cancéreuses les lymphocytes B. qui
donnent naissance aux mastocytes fabricants les
anticorps (immunoglobulines) qui sont libérés
dans le sang. les monocytes sont les plus gros
des leucocytes. Ils sont capables de se
transformer en macrophagocytes ayant un potentiel
de phagocytose extraordinaire mais également une
mobilité très élevée.
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Les lymphocytes sont des cellules qui, outre leur
présence dans le sang, peuplent aussi les tissus
lymphoïdes et les organes de même que la lymphe
circulant dans les vaisseaux lymphatiques. Les
organes lymphoïdes comprennent le thymus, la
moelle osseuse (dans la bourse séreuse des
oiseaux), la rate, les nodules lymphoïdes, les
amygdales palatines, les plaques de Peyer et les
tissus lymphoïdes du système respiratoire et du
tube digestif. La plupart des lymphocytes qui
circulent dans le sang se trouve en état de
repos. Ils ressemblent à de petites cellules
ayant un noyau circulaire compact qui occupe la
quasi totalité du volume cellulaire. Par
conséquent, le cytoplasme est beaucoup réduit.
Les lymphocytes des organes et des tissus
lymphoïdes peuvent être activés de différente
manières par suite d'une stimulation antigénique.
Dans le sang, les lymphocytes comptent pour de 20
à 40 de tous les leucocytes et sont un peu plus
gros que les globules rouges. Les lymphocytes
sont les principaux éléments du système
immunitaire, qui assure la défense contre les
attaques de micro-organismes pathogènes comme les
virus, bactéries, champignons et protistes. Les
lymphocytes produisent aussi des anticorps et les
disposent sur leur membrane. L'anticorps est une
molécule capable de se lier à d'autres molécules
de forme complémentaire appelés antigènes, et de
les reconnaître. Les anticorps sont codifiés par
des gènes, comme le sont toutes les protéines. En
fonction du mécanisme de recombinaison de
certains de ces gènes, chaque lymphocyte produit
des anticorps d'une forme particulière.
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Ainsi, les lymphocytes exécutent une action dite
spécifique dans la mesure où chacun d'entre eux
reconnaît uniquement l'antigène complémentaire.
Même si chacun des lymphocytes est si sélectif
qu'il ne reconnaît qu'une seule molécule, le
nombre de lymphocytes en circulation est si élevé
qu'ensemble ils peuvent reconnaître la quasi
totalité des substances présentes dans
l'organisme, qu'il s'agisse des siennes ou de
substances étrangères. On parle ici de la
reconnaissance de centaines de millions de
molécules différentes. Les cellules du système
immunitaire, principalement les lymphocytes,
collaborent entre eux pour activer, amplifier ou
préciser la réaction immunitaire. Pour ce faire,
il existe divers types de lymphocytes ayant des
fonctions différentes les lymphocytes T et B.
Lorsque les cellules B sont activées, elles se
reproduisent rapidement (sélection clonale) et
deviennent des plasmacellules sécrétant un nombre
élevé d'anticorps dans le flux sanguin (réponse
humorale). Lorsque des anticorps libres
rencontrent des micro-organismes ayant une forme
complémentaire (épitopes), ils se lient à ces
derniers pour constituer des complexes qui
immobilisent ces micro-organismes.
Ultérieurement, d'autres cellules qui ne sont pas
spécifiques, mais qui peuvent reconnaître les
anticorps, phagocytent ces complexes. À leur
tour, les cellules T se divisent en trois
catégories cytotoxiques (Tc), auxiliaires (Th)
et suppresseurs (Ts). Même les lymphocytes
cytotoxiques se reproduisent rapidement quand ils
sont activés. Ils ne libèrent pas d'anticorps
dans le flux sanguin, mais les retiennent sur
leur membrane et s'en servent pour reconnaître
les cellules principalement de leur propre
organisme qui sont infectés par un virus ou des
cellules tumorales. Les lymphocytes cytotoxiques
tuent les cellules en libérant des perforines,
des substances qui causent des lésions dans la
membrane de la cellule cible et provoquent sa
mort par lyse osmotique (réponse à médiation
cellulaire). Des lymphocytes auxiliaires sont
nécessaires pour activer les lymphocytes B et Tc
qui, même s'ils reconnaissent les agents
étrangers, s'engagent rarement dans une action
directe. Les lymphocytes suppresseurs réduisent
l'intensité de la réaction immunitaire.
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Toutefois, le système immunitaire ne doit pas
attaquer les cellules de son corps car la réponse
auto-immune peut endommager l'organisme et
entraîner sa mort. Comment le système immunitaire
arrive-t-il à faire la distinction entre ses
propres composantes et un corps étranger ? Les
lymphocytes B et Tc ayant reconnu un antigène ne
passent pas à l'action, mais qu'ils doivent
plutôt être activés par un lymphocyte auxiliaire.
Peu de temps après avoir été produits, une partie
des nouveaux lymphocytes passe par le thymus où
ils deviennent des lymphocytes T. Ces cellules se
comparent alors à tous les antigènes de
l'organisme (autoantigènes). Il semble que les
lymphocytes Th qui reconnaissent un antigène
meurent, car ils sont encore immatures. Ainsi, vu
que les lymphocytes T auxiliaires auto-réactifs
sont éliminés, seuls les lymphocytes B et Tc
ayant reconnus des antigènes étrangers peuvent
être activés. Le système de cytotoxicité
cellulaire dont les cellules T auxiliaires
servent à la médiation a évolué comme mécanisme
de défense contre leurs propres cellules
infectées, modifiées ou aberrantes. En fait, les
lymphocytes B et Tc peuvent s'activer eux-mêmes
contre les bactéries, même sans la participation
des auxiliaires.
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En plus de produire des anticorps et tuer les
cellules étrangères, les lymphocytes B et Tc
activés se reproduisent rapidement. Au cours de
la division cellulaire, des redéploiements se
produisent souvent dans la séquence des gènes qui
codifient les anticorps. Ainsi, les anticorps de
la nouvelle cellule prennent une forme légèrement
différente de celle de son "parent mitotique". Si
cette nouvelle forme convient mieux à l'antigène,
la cellule est amenée à se réproduire davantage.
La nouvelle génération de clones est donc plus
efficace et, à son tour, peut générer des
variétés encore plus sélectives. Ce processus,
tout comme celui de la sélection clonale, rendent
la réaction immunitaire de plus en plus efficace.
Enfin, le système immunitaire produit des
cellules mémoire, c'est-à-dire des lymphocytes
désactivés, mais prêts à se réactiver lors d'une
nouvelle rencontre avec le même antigène. Outre
les cellules Th et B, une troisième population de
lymphocytes dans le sang périphérique et les
organes lymphoïdes n'est pas pourvue de
récepteurs d'antigènes. Ces lymphocytes assurent
une fonction de défense non spécifique qui n'est
pas activée par les lymphocytes Th. Ils
constituent la composante la plus ancienne du
système immunitaire et sont caractérisés par leur
activité cytotoxique. Pour ces raisons, on les
nomme NK (pour natural killers , ou tueurs
naturels). En plus de tuer les virus, les
bactéries et les cellules infectées et
néoplasiques, ces lymphocytes règlent la
production d'autres cellules sanguines comme les
érythrocytes et les granulocytes.
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Les monocytes se multiplient et s'activent en cas
d'infection chronique (durant dans le temps)
comme la tuberculose entre autres. Ils
interviennent très efficacement dans la lutte
contre les virus et contre certains parasites et
bactéries situés à l'intérieur des cellules. Ils
participent, avec les lymphocytes, à la défense
de l'organisme par l'intermédiaire du système
immunitaire en lançant ceux-ci.
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Les monocytes sont les précurseurs des
macrophages. Ce sont des cellules sanguines plus
grosses qui, après avoir atteint leur maturité
dans la moelle osseuse, entrent dans le flux
sanguin où elles demeurent pendant de 24 à 36
heures. Elles migrent ensuite vers les tissus
conjonctifs, où elles deviennent des macrophages
et se déplacent dans les tissus. S'ils
parviennent au site d'une inflammation, les
monocytes migrent rapidement à partir du vaisseau
sanguin et se lancent dans une intense activité
phagocytaire. La phagocytose n'est pas le rôle
exclusif de ces cellules car elles ont aussi une
activité de sécrétion intense. Elles produisent
des substances exerçant des fonctions de défense
comme les lysozymes, les interférons et des
substances qui modulent la fonctionnalité
d'autres cellules. Les macrophages participent à
la défense immunitaire. Ils exposent les
molécules de corps digérés sur leur membrane et
les présentent à des cellules plus spécialisées,
comme les lymphocytes B et T auxiliaires.
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Chaque type de leucocyte est présent dans le sang
en proportions différentes Neutrophiles, de 50
à 70 Eosinophiles, de 2 à 4 Basophiles, de
0,5 à 1 Lymphocytes, de 20 à 40 Monocytes, de
3 à 8
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Hemocytomètre
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Les techniques de répartitions des leucocytes
automatique et manuelle Répartition
automatique Les analyseurs modernes d'hématologie
sont équipés d'un cytomètre de flux qui
différencie et ainsi compte les différentes
familles de leucocytes. Les graphes ci-dessous
montrent des nuages de points dont chaque point
correspond à un leucocyte compté et la couleur
correspond à la famille identifiée (par exemple,
en jaune les neutrophiles, en bleu les
lymphocytes, en rose les monocytes, etc) Les
chiffres à gauche de l'écran sont les résultats
chiffrés des mesures et des différents calculs.
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L'hémostase est un processus physiologique qui
regroupe l'ensemble des phénomènes (1)
déclenchés par une lésion vasculaire et (2)
destinés à limiter les pertes sanguines au niveau
de la brèche vasculaire
a) Dans un vaisseau intact, le sang reste fluide.
Les plaquettes ne sont pas activées par
l'endothélium. b) Un traumatisme crée une brèche
vasculaire qui rompt la continuité de la mono
couche de cellules endothéliales et expose les
structures sous endothéliales au contact du
sang. c) Ce contact entraîne l'adhésion et
l'activation des plaquettes au site de la lésion
ainsi que l'activation de la coagulation
conduisant à la formation de fibrine le
thrombus fait de plaquettes agrégées et de
fibrine comble la brèche vasculaire et arrête le
saignement, et permet la cicatrisation. Le
processus de fibrinolyse permettra la
redissolution du caillot et la reperméabilisation
du vaisseau. Lorsqu'une lésion entraîne la
rupture de la continuité de la couche
endothéliale, le sang vient au contact du sous
endothélium et le processus d'hémostase est
déclenché. C'est un phénomène localisé, rapide
grâce à une amplification locale, et régulé de
façon à ne pas obstruer tout le vaisseau. Il fait
intervenir les plaquettes, le vaisseau et les
protéines de la coagulation.
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Schématiquement on distingue hémostase primaire
(adhésion/activation/agrégation des plaquettes)
et activation de la coagulation plasmatique, mais
les 2 phénomènes sont simultanés et
interdépendants.
47
http//imagerie-cv.univ-lyon1.fr/WEB_CARDIO/docum
ents/Documents_references/poly-biomeca/biomec15.ht
m
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La cellule endothéliale est non thrombogène
elle protège de l'activation des plaquettes, elle
régule négativement la coagulation et synthétise
des protéines du système fibrinolytique. Le sous
endothélium est thrombogène il va permettre
l'adhésion des plaquettes et l'activation de la
coagulation. Il est composé de macromolécules
synthétisées par la cellule endothéliale sus
jacente collagènes, microfibrilles,
fibronectine, thrombospondine, facteur
Willebrand, glycosaminoglycanes.
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2) LES PLAQUETTES( les trombocytes) Formées dans
la moëlle osseuse à partir du mégacaryocyte, ce
sont des structures discoïdes, anucléées (150 à
400 G/l). Leur durée de vie est de 8 à 10 jours.
Après leur mort, elles sont phagocytées par les
macrophages essentiellement de la rate, du foie,
de la moëlle osseuse. Valeurs normales200000-4000
00/mmc sang lt200000 /mmc sang - trombocytopénie
-----des hémorragies gt 400000/mmc sang
-trombocytose Des granules sont présents dans
le cytoplasme des plaquettes - Les granules
alpha contiennent de nombreuses protéines.
Certaines sont spécifiques de la plaquette
(facteur 4 plaquettaire, b thromboglobuline) ou
non (fibronectine, thrombospondine, fibrinogène,
facteur Willebrand et autres facteurs de la
coagulation, des facteurs de croissance, des
inhibiteurs de la fibrinolyse, des
immunoglobulines). - Les granules denses
contiennent de l'ADP, du calcium et de la
sérotonine. Le contenu des granules sera sécrété
via le système canaliculaire ouvert lors de
l'activation. La membrane des plaquettes est
formée d'une bicouche de phospholipides dans
laquelle sont insérés des récepteurs pour un
certain nombre de molécules (ADP, collagène,
thrombine ...). Certains de ces récepteurs
deviennent fonctionnels uniquement après
activation des plaquettes (ex GPIIb IIIa).
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3) LE FACTEUR WILLEBRAND (FW) Sécrété par la
cellule endothéliale, Il est relargué a la fois
dans le sous endothélium et le plasma. Le FW du
sang circulant n'a pas la conformation requise
pour se fixer à la plaquette, il circule lié au
facteur VIII qu'il stabilise. Le FW est également
présent dans les granules alpha des plaquettes.
Le degré de polymérisation du FW est fonction de
sa localisation les multimères de grande taille
sont présents dans le sous endothélium où ils ont
la conformation nécessaire à leur fixation sur la
plaquette, le FW des plaquettes qui est aussi
sous forme de multimères n'intervient qu'apres
l'activation plaquettaire.
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4) LE FIBRINOGENE Synthétisé par le foie, il est
présent dans le plasma et les granules a des
plaquettes. Il est à la fois indispensable pour
l'hémostase primaire où il conditionne
l'agrégation des plaquettes, et pour la
coagulation où la thrombine, enzyme produite lors
de l'activation de la coagulation, le transforme
de protéine soluble en un réseau insoluble.
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L'hémostase est le mécanisme amenant à l'arrêt
du saignement lorsqu'un vaisseau a été blessé.
L'hémostase comporte 3 temps Le temps
pariétal composé du temps vasculaire et du
temps plaquettaire. Le temps plasmatique.
Le temps thrombodynamique.
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http//www.authorstream.com/Presentation/Sciencedz
aguet-166811-physiologie-de-hemostase-1-physiologi
ehemostase-entertainment-ppt-powerpoint/
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Résistance globulaire
Cet examen consiste à mélanger les globules
rouges dun sujet dans des solutions salées de
concentration croissante (dite de " tonicité "
croissante) et à observer à partir de quelle
concentration les globules rouges sont détruits
(hémolyse). Ce test permet dapprécier le degré
de fragilité des globules rouges.
Normalement, lhémolyse commence vers 4,4 pour
mille de chlorure de sodium (NaCl) et est
complète à 3,4 pour mille de NaCl.
Une diminution de la résistance dite " résistance
osmotique " est observée au cours de certaines
anémies hémolytiques dites auto-immunes (les
globules rouges sont détruits par des anticorps
que le sujet fabrique lui-même). La résistance
osmotique est en revanche augmentée au cours
dautres anémies héréditaires appelées
thalassémies.
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