Title: Quels bilans pour quelles pathologies ?
1Quels bilans pour quelles pathologies ?
- La lithiase
- ASP
- Écho rénale
- TDM sans injection, uroscanner
- Analyse SPIR
- Bilan métabolique a minima
- BU
- Évaluation de la fonction rénale
Quels bilans pour quelles pathologies ?
2Quels bilans pour quelles pathologies ?
- Les symptômes du bas appareil urinaire
- IPSS
- BU
- RVPM échographie de lappareil urinaire
- En cas dIPSS pathologique ou délément de
gravité consultation durologie
3HBP
- Problème de santé publique
- Conduit à un nombre dhospitalisation accrue
- Problème de prise en charge
- Tardive parfois trop
- Problème masculin
- Tendance à minimiser
4HBP
- Rôle des généralistes dans cette prise en charge
- Quelles questions posées pour dépister/débrouiller
les troubles mictionnels - Quels examens à prévoir pour préciser
limportance du trouble
5HBP
- Quelle prise en charge en première intention
- Quand référer le patient au spécialiste
- Que peut on lui proposer
6Quels bilans pour quelles pathologies ?
- Les symptômes du bas appareil urinaire
- IPSS
- BU
- RVPM échographie de lappareil urinaire
- En cas dIPSS pathologique ou délément de
gravité ttt médical puis consultation durologie
7HBP
- Nouveautés dans la prise en charge chirurgicale
de ladénome - Résection bipolaire
- Vaporisation
- Laser
8Quels bilans pour quelles pathologies ?
- Pathologie tumorale rénale
- Léchographie est lexamen de dépistage du
cancer du rein (70-80 de découverte fortuite) - Peut-être dans la majorité des cas complétée par
un scanner complément dimagerie loco-régionale
bilan à distance - TDM TAP
9Quels bilans pour quelles pathologies ?
- Tumeur du testicule
- Marqueurs AFP, HCG avec ss unité béta libre,
LDH - Échographie scrotale
- TDM TAP si tumeur confirmée
10Quels bilans pour quelles pathologies ?
- Pathologie vésicale hématurie macro
- ECBU
- Échographie de lappareil urinaire
- Uroscanner si lésion responsable dune
urétérohydronéphrose - Cytologie urinaire
- La fibroscopie CS
11Quels bilans pour quelles pathologies ?
- Détection précoce du cancer de la prostate
- IPSS
- BU
- PSA (avec modération, pas en période de troubles
mictionnels exacerbés, plus après un certain âge,
pas sans TR,) - Échographie de lappareil urinaire
- Pas dIRM en première intention
12Quels bilans pour quelles pathologies ?
- Infection urinaire
- Chez la femme
- En cas dinfection urinaires récidivantes
échographie réno-vésicale - Chez lhomme
- Nécessite une évaluation du bas appareil urinaire
par interrogatoire et échographie de lappareil
urinaire - Nécessité en deuxième intention un avis
spécialisé débitmétrie, fibroscopie, cytologie
urinaire
13SOIREE du 25 MARS 2011
- Quoi de neuf docteur ?
-
-
- M GORIS JG LOPEZ CH VALENCE
14.
- URETERO-RENOSCOPIE SOUPLE
- MALE-SLING
- TOXINE BOTULIQUE
- Et bien dautres ...
15Lithiase urinaire
- Quel examen radiologique permet de voir tous
types de lithiases urinaires, quelle que soit la
localisation ? - ASP
- Echo
- UIV
- TDM
- IRM
- Pet-scan
- Tous
- Aucun
16- Un patient présente un calcul enclavé dans le bas
uretère pelvien et son traitement comporte AINS
et AA. Que peut-on ajouter pour optimiser le ttt
? - Diurétique
- Ca vit D
- Antibiotique
- Alpha-bloquant
- Inhibiteur de la 5 alpha réductase
17- Un patient présente un calcul caliciel inférieur
du rein droit de 5 mm de nature oxalo-calcique.
Une LEC a été réalisé avec échec au contrôle
radiologique. Que peut-on lui proposer ? - Abstention surveillance
- Endoscopie rénale par voie per cutanée
- Lombotomie
- Alcalinisation des urines
- Endoscopie rénale par voie rétrograde
18- Lurétérorénoscopie souple est utilisée pour
- Explorer la voie excrétrice
- Traiter des lithiases urinaires
- Traiter des tumeurs de la voie excrétrice
- Traiter des sténoses urétérales
- Traiter des sd de la JPU
19Uretero-renoscopie souple
- Principes techniques
- Présentation du matériel
- Indications
20VOIE EXCRETRICE SUPERIEURE
21LITHIASES URINAIRES
URETEROSCOPIE RIGIDE Uretère iliaque ou
pelvien sinon
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26(No Transcript)
27Indications
- Calcul rénal
- Tumeur urothéliale
- Sténose urétérale
28(No Transcript)
29lithiase dormia
30lésion voie excrétrice
31sténose secondaire JPU
32- Vous adressez votre patient à lurologue pour un
calcul rénal. Il lui demande un psa , lui détecte
un cancer de la prostate et lopère en réalisant
une prostatectomie radicale par voie périnéale.
Le patient a toujours son calcul. Est-ce
possible ? - Oui
- Non
33- Après 6 mois le patient présente des fuites
urinaires invalidantes et vous ladressez alors
dans le service du Pr A Ruffion. - Afin dévaluer au mieux les fuites il est
demandé - De compter le nombre de slip utilisé par jour
- De compter le nombre de gouttes au sol à la toux
- De peser ses couches après un effort
- De réaliser un parcours physique dévaluation
- Deffectuer une spirodébitmétrie
34- Si lexploration confirme le problème quelles
solutions peut-on être amené à lui proposer ? - Greffe de prostate
- Greffe de sphincter
- Sphincter artificiel
- Implantation de ballonnet péri-urétral
- Injection de pâte type macroplastik
- Bandelette TOT
35MALE-SLINGla bandelette pour nous les hommes
- Principes
- Matériels
- Indications
- Résultats
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52Indications
- Incontinence urinaire d'effort modérée
- 1-5 protections par jour
- Pad-test lt200g /1h
- Post-opératoire PVT ou REUP
- Persistance d'une activité sphinctérienne
53Résultats
- 40 secs
- 40 améliorés
- 20 échecs
54TOXINE BOTULIQUE(info ou intox)
- Neurotoxine produite par Clostridium Botulinum
- Blocage de la neurotransmission au niveau de la
plaque motrice par fixation aux récepteurs
pré-synaptiques des terminaisons nerveuses
cholinergiques
55Indications
- Dysynergie vésico-sphinctérienne
- Incontinence
56DVS
- Déf. absence de relaxation ou renforcement de
la contraction du sphincter strié lors de la
contraction du detrusor - presque 100 des blessés médullaires
- 70 des SEP hyperactives
- Indications limitées
- tétraplégique
- SEP
- auto-sondage impossible
57- Injection par voie périnéale si possible sous
contrôle électromyographique - durée d efficacité 3 mois
- principale critère d efficacité RVPM
58Toxine botulique et incontinence
- hyperactivité détrusorienne
- échec des traitements anti-cholinergiques
- injection dans la paroi vésicale sous contrôle
cystoscopique - délai d action 5-20j
- durée d action 9 mois
- ré-injections régulières nécessaires
- pas d apparition de résistance après injections
répétées
59Toxine botulique et incontinence
- Effets indésirables pas de complications
sévères - Quelques cas de faiblesse musculaire transitoire
- Risque de rétention nécessitant pratique des
auto-sondages
60Toxine botulique et incontinence résultats
- Efficacité clinique par diminution des épisodes
de fuites - Amélioration des paramètres urodynamiques
- Amélioration de la qualité de vie