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Historiques et

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Title: Chapitre 1 Author: Fran ois Lemieux Last modified by: uqac Created Date: 8/28/2002 11:07:32 PM Document presentation format: Format US (216 x 279 mm) – PowerPoint PPT presentation

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Title: Historiques et


1
Historiques et évolution des ordinateurs
2
Repères historiques
  • Les premiers registres
  • - Abaque première tablette à calculer en
    Mésopotamie
  • - Boulier vers 3500 av. J.C en Chine
  • Pas damélioration jusquau 17ème siècle.
  • 1614 John Napier (Écosse) découvre les
    logarithmes multiplications et la division
    transformées en une successions dadditions.

3
  • 1620 mise en œuvre de cette invention au moyen
    de la règle à calcul.
  • Les machines à calculer
  • 1623 machine de Schickard (Allemagne)
    fonctionnement mécanique basé sur le principe de
    tiges proportionnelles aux logarithmes des
    nombres impliqués dans
  • ces opérations.

4
  • 1643 Pascaline de
  • Pascal (France)
  • fonctionnement
  • mécanique à système de roues
  • à ergot.
  • Additions soustractions
  • et faisait aussi des reports

5
                                
  • 1673 amélioration de la
  • Pascaline par Leibniz
  • (Allemagne). Effectue les
  • quatre opérations de base
  • extraction de racines carrées.
  • Non construite faute
  • de moyens financiers.

6
  • Machines à cartes perforées
  • 1801 industrie de textile (France) Jacquard et
    Falcon

7
  • 1887 Hollerith (USA) machine à lire des cartes
    (CENSUS MACHINE).

8
Ordinateur primitif 1830 Charles Babbage
machine à différences- utilise les principes de
report de la Pascaline combinés avec les cartes
perforées de Jacquard
9
  • 1834 Charles Babbage- machine analytique-
    système de numération décimal accepte des
    nombres de 50 chiffres en résultat, un nombre de
    100 chiffres (imprimé cartes perforées courbe)-
    projet non finalisé.
  • Cette machine réunissait déjà des fonctions
    automatiques essentielles mémoire- dispositifs
    de calcul- fonction de commande et
    dentrée-sortie

10
La machine analytique de C. Babbage
11
  • 1930 L'Enigma et les Bombes Composée d'un
    clavier, de 26 lampes pour représenter l'alphabet
    et généralement de 3 rotors, l'énigma était
    destinée à l'origine à crypter des documents
    d'affaires.
  • 1939 ABC par J. ATANASHOFF et Clifford BERRY. Ce
    calculateur, a été le premier à utiliser le
    système binaire et était capable de résoudre des
    équations à 29 variables.

12
  • 1943 Harvard MARK 1 par H. AIKEN. Cette machine,
    construite en collaboration avec IBM, utilise un
    principe inspiré par les travaux de C. BABBAGE.
    Composée de 765 299 éléments, elle pesait 5
    tonnes et avait besoin de plusieurs tonnes de
    glace par jour pour la refroidir. Ses
    performances et sa fiabilité étaient remarquables
    mais elle ne pouvait effectuer aucun saut
    conditionnel.

13
  • 1946 ENIAC, par J. ECKERT et J. MAUCHLY
  • (Electronic Numerical Integrator and Computer)
    Commandé par l'armée par l'armée des États-Unis
    en 1943 pour effectuer les calculs de balistique,
    il remplaçait 200 personnes chargées auparavant
    de calculer les tables de tir.

14
ENIAC pesait 30 tonnes
15
Disposé en une sorte de U de 6 mètres de largeur
par 12 mètres de longueur
16
  • 1948 Manchester Mark 1 (ou Ferranti Mark I) ce
    prototype est le premier à disposer d'une unité
    de commande interne et à suivre un programme
    enregistré. C'est sur cette machine de 1300 tubes
    qu'est utilisée pour la première fois la mémoire
    à tubes Williams.

17
  • 1949 EDSAC, par Maurice WILKES (Electronic
    Delay Storage Automatic Computer) Cet ordinateur
    numérique et électronique est basé sur
    l'architecture de J. Von NEUMANN. Composé de 3000
    tubes et consommant 30KW, il utilise une mémoire
    de type "lignes de retard à mercure". Il s'agit
    d'une machine parfaitement opérationnelle qui a
    été construite dans un laboratoire de
    l'Université de Cambridge en Angleterre.

18
  • 1959 IBM 1401 Utilisant des transistors et des
    mémoire à tores de ferrite, fourni avec un
    générateur d'applications (RPG) destiné à en
    faciliter l'utilisation, cet ordinateur a marqué
    une étape dans l'ère de la comptabilité.
    L'imprimante (1403) associée était d'une rapidité
    exceptionnelle (600 lignes par minutes !). IBM
    avait tablé sur un millier de ventes... plus de
    12 000 exemplaires seront vendus

19
  • 1964 IBM System/360 Alors que tous ses
    ordinateurs utilisaient des architectures et
    logiciels incompatibles entre eux, IBM décida
    d'investir plusieurs millions de dollars et de
    développer une gamme entièrement nouvelle 6
    ordinateurs et 44 périphériques, ayant des
    capacités différentes mais tous compatibles entre
    eux. La technologie utilisée, loin d'être
    innovante, était transistors et mémoire à tores.

20
  • 1965 Premier mini-ordinateur diffusé
    massivement PDP-8 de DEC
  • 1973 Micral-N de R2E
  • C'est le premier micro-ordinateur du monde, il a
    été inventé par A. TRUONG, fondateur de R2E, une
    petite société Française

21
  • 1973 l'Alto (renommé Xerox Star en 1981) de
    XEROX
  • Ce prototype, pensé pour devenir le bureau du
    futur, est un condensé des idées proposées par
    les chercheurs réunis par XEROX au Palo-Alto
    Research Center (PARC). Il est le premier à
    introduire l'idée de fenêtres et d'icônes que
    l'on peut gérer grâce à une souris.
    Principalement, en raison de son coût, cet
    ordinateur ne connaîtra qu'un succès d'estime

22
  • 1975 Altair 8800 de ED. ROBERTS (MITS) Il est
    considéré par les Américains comme le premier
    micro-ordinateur du monde, bien que ce soit le
    Micral-N. Cependant, c'est pour l'Altair que sera
    le premier BASIC Microsoft.
  • 1976 CRAY I Créé par Saymour CRAY, c'est le
    premier ordinateur à architecture vectorielle
    (parallèle).

23
  • 1978 DEC VAX 11/780 (Virtual Address eXtension)
    Premier modèle de "supermini", cet ordinateur 32
    bits pouvait exécuter des programmes écrits pour
    le PDP-11. Il avait aussi suffisamment de
    ressources pour supporter des applications qui
    étaient jusqu'ici réservées aux gros ordinateurs.
    Il reste aussi célèbre pour son système
    d'exploitation VMS

24
  •   1981 IBM-PC (Personnal Computer) Cet
    ordinateur, qui n'apporte aucune idée
    révolutionnaire est la réaction du n1 mondial
    face à la micro-informatique Il était fait
    d'une accumulation de composants standards et de
    logiciels sous-traités (principalement auprès de
    Microsoft) dans le but de minimiser le temps
    nécessaire pour sa mise au point.

25
  • 1984 Amiga Utilisant un microprocesseur Motorola
    680x0, ce micro-ordinateur reste parmi les
    leaders pour ce qui est du graphisme et de la
    musique.
  • 1984 Macintosh d'APPLE Basé sur le projet LISA,
    c'est l'ordinateur convivial par excellence Son
    utilisation est très simple grâce à la souris et
    à la qualité de ses graphismes. Il devient au fil
    des années et des version, l'autre grand standard
    (avec le PC d'IBM) du monde de la
    micro-informatique.

26
  • 1985 Cray II Miniaturisé, il est 10 fois plus
    puissant que son prédécesseur, le Cray I.
  • 1986 The Connection Machine Premier ordinateur
    "massivement parallèle" composé de 16 000
    processeurs.
  • 1994 Paragon d'Intel Coûtant 20 Millions de
    dollars, occupant un volume de 48m3, il est
    composé de 2000 processeurs et de 64 Giga-octets
    de mémoire. Il peut effectuer

27
  • 150 milliards d'opérations en virgule flottante
    par seconde
  • 1994 PowerMac d'APPLE
  • Basé sur le microprocesseur POWER-PC réalisé par
    Motorola en collaboration avec IBM, il était
    présenté comme le successeur commun du PC et du
    MAC. Cependant, malgré de très bonnes
    performances, il tarde à s'imposer.

28
Ordinateur et changements technologiques
  • Première génération Tubes électroniques (lampes
    à vide)
  • Deuxième génération transistors
  • Troisième génération circuits intégrés
  • Quatrième génération microprocesseurs.
  • Cinquième génération intelligence artificielle.

29
Première génération1949-1957
  • Ordinateur à cartes perforées et à bandes
    magnétiques
  • Programmation physique en langage machine
  • Appareils immenses, lourds, énergie élevée
  • Utilisation de tubes à vide et mémoires à tambour
    magnétique
  • Prix élevé / capacité et performance.

30
Deuxième génération1958 - 1964
  • Utilisation de transistors et des mémoires à
    ferrite.
  • Utilisation de mémoires de masse pour le stockage
    périphériques.
  • Temps daccès moyen (de lordre de la
    micro-seconde).
  • Fonctionnement séquentiel des systèmes de
    programation (langages évoluées).

31
Troisième génération1965-1971
  • Miniaturisation des composants (circuits
    intégrés)
  • Apparition des systèmes dexploitation
  • Concepts de temps partagés
  • Machines polyvalentes et de capacité variée
  • Appareils modulaires et extensibles
  • Multitraitement (ieurs programmes à la fois)
  • Télétraitement (accès par téléphone)

32
Quatrième génération1971-1982
  • Miniaturisation extrêmes des composants
  • Apparition des micro-proceseurs
  • Diversification des champs dapplication
  • Apparition de la micro-informatique

33
Cinquième génération
  • Miniaturisation des composants poussée à
    lextrême
  • Vitesse proche de celle de la lumière.
  • Nouvelle architecture physique
  • Vitesse de traitement augmentée jusquau gigalips
    (Logical Inference de 100 à 1000 instructions)

34
  • Processeurs en parallèle
  • Ajout du traitement de laspect sémantique

35
Structure des ordinateurs
  • John Von Neumann est à l'origine (1946) d'un
    modèle de machine universelle (non spécialisée)
    qui caractérise les machines possédant les
    éléments suivants
  • une mémoire contenant programme (instructions) et
    données,
  • une unité arithmétique et logique (UAL ou ALU en
    anglais),
  • une unité de commande (UC).

36
  • une unité permettant l'échange d'information avec
    les périphériques l'unité d'entrée/sortie (E/S
    ou I/O),
  • ( clavier, lecteur de cartes perforées, ruban,
    ...
  • écran, imprimante, cartes perforées, ....)

37
Schéma dun ordinateur
  • UAL unité arithmétique et logique

38
Caractéristiques dun ordinateur
  • Machine contrôlée par programme
  • Programme enregistré en mémoire
  • Instruction du programme codée sous forme binaire
  • Le programme peut modifier ses instructions
  • Exécution des instructions en séquence
  • Existence dinstructions de rupture de séquence.

39
  • Unité de Commande
  • 1. extrait une instruction de la mémoire,
  • 2. analyse l'instruction,
  • 3. recherche dans la mémoire les données
    concernées par l'instruction,
  • 4. déclenche l'opération adéquate sur lUAL ou
    sur lunité d'E/S
  • 5. range au besoin le résultat dans la mémoire.

40
  • Unité arithmétique et logique
  • Exécute des opérations artihmétiques (comme
    laddition, la soustraction), des décalages de
    bits, des comapraisons, des opérations logiques
    (booléennes) telles que ET, OU, ...,

41
  • Mémoires
  • Dispositif capable de stocker des informations
    (instructions et données) en 0 et 1 de telle
    sorte que lorgane qui les utilise puisse, à
    nimporte quel instant, accéder à linformations
    quil demande.
  • Les informations peuvent être écrites ou lues.

42
  • Écriture quand on enregistres des informations en
    mémoire.
  • Lecture quand on sort des informations
    précédemment lues en mémoire.
  • Temps daccès temps qui sécoule entre
    linstant où une opération de lecture en mémoire
    a été lancée et linstant où cette information
    est disponible.

43
  • Une mémoire est formée d'un certain nombre de
    cellules, ou cases, contenant chacune une
    information.
  • Chaque case est constituée dun ensemble de bits
    (BInary digiT)
  • Un bit est la plus petite unité de stockage en
    informatique.
  • Un bit peut coder deux états (l'état vrai ou
    l'état faux). Huit bits constituent un octet
    (soit 256 états possibles 28).

44
  • Symbole Préfixe Décimal Binaire
  • 1 k (kilo) 103
    210 1024
  • 1 M (méga) 106
    220 1048576
  • 1 G (giga) 109
    230 1073741824
  • 1 T (tera) 1012
    240 1099511627776

45
Quelques mots sur la mémoire
  • Carte perforée à 80 colonnes d'IBM
  • Ce système qui deviendra un standard est la
    généralisation de la carte perforée qui est à
    l'origine de la compagnie.
  • Mémoires à tubes Williams
  • Développée par F. C. Williams, ce type de mémoire
    utilise les charges résiduelles laissées sur
    l'écran d'un tube cathodique après qu'il ait été
    frappé par le faisceau d'électron.

46
  • Bande magnétique
  • Mémoires vives à tores de ferrite
  • Pendant une petite vingtaine d'année, ce
    principe de mémoire sera le plus utilisé avant
    d'être remplacé par la mémoire à
    semi-conducteurs.
  • Tambour magnétique
  • Disque magnétique
  • Aussi appelé disque dur, ce type de support
    deviendra incontournable lorsqu'il prendra sa
    forme actuelle en 1974 Le disque Winchester.

47
  • Mémoires à semi-conducteurs
  • Disques souples
  • Mémoire magnétique à bulles (Intel) Mise au
    point par Intel Magnetics , c'est une technologie
    qui offrait une très grande fiabilité même dans
    des conditions de fonctionnement extrêmes.
  • Disque Opto-Numérique (aussi appelé Compact Disc
    ou Disque Optique Compact)Disque de plastique de
    12 cm de diamètre et 1,2 mm d'épaisseur lu par un
    faisceau laser

48
  • CD-ROM (Sony et Philips) (Compact Disc Read Only
    Memory) - Cédérom en françaisVersion
    informatique du CD permettant de stocker à la
    fois du texte, des images, des sons... Sa
    capacité était exceptionnelle pour l'époque 680
    Mo.

49
  • DVD-ROM (Sony et Philips) Successeur annoncé du
    CD-ROM dont il reprend exactement le format
    physique. Sa capacité est par contre multipliée
    par 12 et passe à environ 8,5 Go.

50
Différents niveaux de mémoire
51
  • On trouve d'abord des mémoires très rapides (les
    plus chères), en petit nombre, accessibles
    immédiatement par le processeur. Ce sont les
    registres. On trouve ensuite le cache ou
    anté-mémoire. Accessible en quelques cycles
    d'horloge (1 ou 2 en général) il contient
    quelques dizaines de milliers de mots. On a
    ensuite la mémoire principale ou mémoire
    centrale. On dispose parfois d'une mémoire
    d'appui ou d'arrière-plan, intermédiaire entre la
    mémoire centrale

52
  • et les mémoires auxiliaires. Elle est constituée
    de circuits semi-conducteurs de faible prix, dont
    la vitesse est faible pour des circuits de
    mémoire mais cent fois plus élevée que celle des
    disques magnétiques. Toutes ces mémoires sont
    volatiles.
  • Les disques magnétiques forment le niveau suivant
    (mémoires auxiliaires ou mémoires de masse) et
    constituent une mémoire permanente dont les
    données restent valides quand on coupe
    l'alimentation électrique. Le dernier niveau
    correspond à l'archivage des données.

53
  • Jusqu'à présent ce domaine était l'exclusivité
    des bandes magnétiques. Ces dernières années ont
    vu apparaître un nouveau produit qui peut dans
    certains cas fournir une alternative pour
    l'archivage. Il s'agit du disque optique
    numérique. Celui-ci a des densités de stockage de
    102 à 104 fois supérieures à celles des supports
    magnétiques, pour des temps d'accès cinq à dix
    fois plus grand.

54
Évolution de la programmation
  • Ada Byron (1816-1852) première programmatrice
    pour la machine de Babbage
  • Adèle Goldstine programme pour lENIAC en 1946.
  • Les premiers programmes en Langage machine (0 et
    1)
  • Langage symboliques les assembleurs

55
  • Fortran (Formula Translator) vers 1950 par J.
    Backus.
  • Apparurent aussi des langages spécialisés comme
    le GPSS (simulation) et APT (commande de machines
    à outils)
  • Vers la fin de 1950
  • - Algol notion de blocs

56
  • Cobol applications de gestion.
  • PL/1 dans le but de traiter plusieurs genres
    dapplications (universels). Apparurent ensuite
    les langages Pascal, Modula, C, ...
  • La micro-informatique a répandu le Basic
  • Langages fonctionnels (Lisp) utilisé dans le
    traitement des expressions symboliques
  • Langages Logiques (Prolog) intelligence
    artificielle pouvoir dinférence.

57
Récapitulatif
  • Fortran 1954 Applications scientifiques
  • Cobol 1959 Gestion
  • Algol 1960 structure de blocs
  • Lisp 1960 Intelligence artificielle
  • PL1 1965 scientifique et gestion
  • Basic 1965 Pour débutant (interprété)
  • Pascal 1971 Pour l'enseignement
  • C 1972 Développement de UNIX
  • Ada 1979 Défense américaine
  • C 1985 C orienté objet
  • Java 1994 Basé sur C et C pour
    Internet

58
  • Définition Un langage de programmation est un
    symbolisme permettant une communication avec
    lordinateur.
  • Le langage naturel ne peut pas servir de langage
    commun (syntaxe très complexe -multiplicité de
    règles de grammaire et des exceptions sa
    sémantique aussi)

59
  • Un langage de programmation est donc plus
    restrictif. Il est défini en fournissant à
    lutilisateur le vocabulaire autorisé, sa syntaxe
    et sa sémantique.
  • Pour ces langages, une phrase sappelle une
    INSTRUCTION et correspond à la description dune
    ou plusieurs opérations elémentaires.

60
  • Les opérations élémentaires pour une machine
    sont
  • Transfert dinformation
  • affectation (assignation)
  • Entree-sortie
  • 2. Opérations arithmétiques et logiques
  • 3. Rupture de séquence

61
Les différents niveaux de langages de
programmation
  • - Langage machines binaire (0 et 1)
  • Seul langage compris par la machine
  • Langage machines assembleur
  • Ces deux langages dépendent de la machine
  • Langage évolué

62
Quelques mots sur les systèmes dexploitation
  • Définition
  • Un système d'exploitation (SE en anglais OS
    operating system) est un ensemble de programmes
    de gestion du système qui permet de gérer les
    éléments fondamentaux de l'ordinateur
  • le matériel - les logiciels - la mémoire -
    les données les réseaux.
  •  

63
Fonctions dun S.E
  • Gestion de la mémoire
  • Gestion des systèmes de fichiers
  • Gestion des processus
  • Mécanismes de synchronisation
  • Gestion des périphériques
  • Gestion du réseau
  • Gestion de la sécurité.

64
Un exemple
  • Soit la commande suivante emacs monfichier.txt
  • Juste après avoir tapé le ltentréegt fatidique, le
    système d'exploitation est mis à contribution. A
    savoir qu'il doit
  • 1) aller chercher sur le disque dur un fichier
    qui s'appelle emacs et qui doit être
    impérativement un fichier d'instruction à
    exécuter (fichier exécutable ou "binaire").
  • 2) aller chercher sur le disque dur un fichier
    qui s'appelle monfichier.txt et rattacher ledit
    fichier à l'exécutable emacs en tant que fichier
    de données.

65
  • 3) trouver une place en mémoire centrale (RAM)
    pour y placer tout ou une partie de emacs de tel
    manière qu'il soit effectivement exécutable et
    une place en RAM pour y placer tout ou partie du
    fichier monfichier.txt. Trouver une place en RAM
    pour y mettre une zone de communication avec
    emacs. Le SE et emacs doivent communiquer entre
    eux afin de s'informer (entre autres choses) du
    bon déroulement des opérations.

66
  • 4) Si les fichiers emacs et monfichier.txt sont
    trop gros pour la place disponible en RAM , le
    S.E se charge de ne mettre en mémoire vive que la
    partie des fichiers effectivement utile à
    l'instant t pour le processeur. Dès qu'une autre
    partie du fichier devient utile la partie
    précédente est effacée de la RAM, et la zone
    "utile" est recopiée à sa place. Cette technique
    s'appelle le "swapping".

67
  • Il existe actuellement plus de 193 systèmes
    dexploitation dans 27 langues
  • Quelques  exemples
  • UNIX
  • VMS
  • MS-DOS (sur les PC)
  • Win 9X désigne les Windows 95-98-Me, héritiers
    de MS-DOS et Win 3.1. Il n'a aura plus de
    nouvelles versions. Cette gamme est remplacée par
    Win XP home.

68
  • Windows NT est le système dexploitation
    Microsoft conçu pour se passer de MS-DOS, tout en
    gardant une grande compatibilité avec les
    logiciels écrits pour MS-DOS, Win 3 et plus tard
    Win 9X ( Win 4.0).
  • Windows 2000 est le nom commercial de Win NT 5.0,
    et Win XP celui de NT 5.1
  • Pour ceux qui confondent Win 2000, n'est pas le
    successeur technique de Win 98
  • Win 98 a besoin de MS-DOS pour démarrer.
  • Win NT-2000-XP l'émule dans une machine
    virtuelle. 
  •  

69
Quelques domaines dapplications
  • Calculs scientifiques nombre faible dopérations
    mais se répétant de nombreuses fois tels ceux
    dalgèbre numérique et non numérique
  • Traitement de données pbmes de gesion
    classique tels facturation gestion de stocks
    paie du personnel éditions de rapports détats,
    de statistique, ...

70
  • Analyse projets tracé dautoroutes
    visualisation de ce que le conducteur verra au
    volant, ...
  • Contrôle de processus surveillances et commander
    le fonctionnement de divers dispositifs
  • Gestion mathématique emploi de temps
    ordonnamcement, ....

71
  • Systèmes dinformation réservation de places
    davion, interrogation dune banque (volumineuse)
    de données, ..., etc.
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