Title: Historiques et
1Historiques et évolution des ordinateurs
2Repères historiques
- Les premiers registres
- - Abaque première tablette à calculer en
Mésopotamie - - Boulier vers 3500 av. J.C en Chine
- Pas damélioration jusquau 17ème siècle.
- 1614 John Napier (Écosse) découvre les
logarithmes multiplications et la division
transformées en une successions dadditions.
3- 1620 mise en œuvre de cette invention au moyen
de la règle à calcul. - Les machines à calculer
- 1623 machine de Schickard (Allemagne)
fonctionnement mécanique basé sur le principe de
tiges proportionnelles aux logarithmes des
nombres impliqués dans - ces opérations.
4- 1643 Pascaline de
- Pascal (France)
- fonctionnement
- mécanique à système de roues
- à ergot.
- Additions soustractions
- et faisait aussi des reports
5 - 1673 amélioration de la
- Pascaline par Leibniz
- (Allemagne). Effectue les
- quatre opérations de base
- extraction de racines carrées.
- Non construite faute
- de moyens financiers.
6- Machines à cartes perforées
- 1801 industrie de textile (France) Jacquard et
Falcon
7- 1887 Hollerith (USA) machine à lire des cartes
(CENSUS MACHINE).
8Ordinateur primitif 1830 Charles Babbage
machine à différences- utilise les principes de
report de la Pascaline combinés avec les cartes
perforées de Jacquard
9- 1834 Charles Babbage- machine analytique-
système de numération décimal accepte des
nombres de 50 chiffres en résultat, un nombre de
100 chiffres (imprimé cartes perforées courbe)-
projet non finalisé. - Cette machine réunissait déjà des fonctions
automatiques essentielles mémoire- dispositifs
de calcul- fonction de commande et
dentrée-sortie
10La machine analytique de C. Babbage
11- 1930 L'Enigma et les Bombes Composée d'un
clavier, de 26 lampes pour représenter l'alphabet
et généralement de 3 rotors, l'énigma était
destinée à l'origine à crypter des documents
d'affaires. - 1939 ABC par J. ATANASHOFF et Clifford BERRY. Ce
calculateur, a été le premier à utiliser le
système binaire et était capable de résoudre des
équations à 29 variables.
12- 1943 Harvard MARK 1 par H. AIKEN. Cette machine,
construite en collaboration avec IBM, utilise un
principe inspiré par les travaux de C. BABBAGE.
Composée de 765 299 éléments, elle pesait 5
tonnes et avait besoin de plusieurs tonnes de
glace par jour pour la refroidir. Ses
performances et sa fiabilité étaient remarquables
mais elle ne pouvait effectuer aucun saut
conditionnel.
13- 1946 ENIAC, par J. ECKERT et J. MAUCHLY
- (Electronic Numerical Integrator and Computer)
Commandé par l'armée par l'armée des États-Unis
en 1943 pour effectuer les calculs de balistique,
il remplaçait 200 personnes chargées auparavant
de calculer les tables de tir.
14ENIAC pesait 30 tonnes
15Disposé en une sorte de U de 6 mètres de largeur
par 12 mètres de longueur
16- 1948 Manchester Mark 1 (ou Ferranti Mark I) ce
prototype est le premier à disposer d'une unité
de commande interne et à suivre un programme
enregistré. C'est sur cette machine de 1300 tubes
qu'est utilisée pour la première fois la mémoire
à tubes Williams.
17- 1949 EDSAC, par Maurice WILKES (Electronic
Delay Storage Automatic Computer) Cet ordinateur
numérique et électronique est basé sur
l'architecture de J. Von NEUMANN. Composé de 3000
tubes et consommant 30KW, il utilise une mémoire
de type "lignes de retard à mercure". Il s'agit
d'une machine parfaitement opérationnelle qui a
été construite dans un laboratoire de
l'Université de Cambridge en Angleterre.
18- 1959 IBM 1401 Utilisant des transistors et des
mémoire à tores de ferrite, fourni avec un
générateur d'applications (RPG) destiné à en
faciliter l'utilisation, cet ordinateur a marqué
une étape dans l'ère de la comptabilité.
L'imprimante (1403) associée était d'une rapidité
exceptionnelle (600 lignes par minutes !). IBM
avait tablé sur un millier de ventes... plus de
12 000 exemplaires seront vendus -
19- 1964 IBM System/360 Alors que tous ses
ordinateurs utilisaient des architectures et
logiciels incompatibles entre eux, IBM décida
d'investir plusieurs millions de dollars et de
développer une gamme entièrement nouvelle 6
ordinateurs et 44 périphériques, ayant des
capacités différentes mais tous compatibles entre
eux. La technologie utilisée, loin d'être
innovante, était transistors et mémoire à tores.
20- 1965 Premier mini-ordinateur diffusé
massivement PDP-8 de DEC - 1973 Micral-N de R2E
- C'est le premier micro-ordinateur du monde, il a
été inventé par A. TRUONG, fondateur de R2E, une
petite société Française
21- 1973 l'Alto (renommé Xerox Star en 1981) de
XEROX - Ce prototype, pensé pour devenir le bureau du
futur, est un condensé des idées proposées par
les chercheurs réunis par XEROX au Palo-Alto
Research Center (PARC). Il est le premier à
introduire l'idée de fenêtres et d'icônes que
l'on peut gérer grâce à une souris.
Principalement, en raison de son coût, cet
ordinateur ne connaîtra qu'un succès d'estime
22- 1975 Altair 8800 de ED. ROBERTS (MITS) Il est
considéré par les Américains comme le premier
micro-ordinateur du monde, bien que ce soit le
Micral-N. Cependant, c'est pour l'Altair que sera
le premier BASIC Microsoft. - 1976 CRAY I Créé par Saymour CRAY, c'est le
premier ordinateur à architecture vectorielle
(parallèle).
23- 1978 DEC VAX 11/780 (Virtual Address eXtension)
Premier modèle de "supermini", cet ordinateur 32
bits pouvait exécuter des programmes écrits pour
le PDP-11. Il avait aussi suffisamment de
ressources pour supporter des applications qui
étaient jusqu'ici réservées aux gros ordinateurs.
Il reste aussi célèbre pour son système
d'exploitation VMS
24- 1981 IBM-PC (Personnal Computer) Cet
ordinateur, qui n'apporte aucune idée
révolutionnaire est la réaction du n1 mondial
face à la micro-informatique Il était fait
d'une accumulation de composants standards et de
logiciels sous-traités (principalement auprès de
Microsoft) dans le but de minimiser le temps
nécessaire pour sa mise au point.
25- 1984 Amiga Utilisant un microprocesseur Motorola
680x0, ce micro-ordinateur reste parmi les
leaders pour ce qui est du graphisme et de la
musique. - 1984 Macintosh d'APPLE Basé sur le projet LISA,
c'est l'ordinateur convivial par excellence Son
utilisation est très simple grâce à la souris et
à la qualité de ses graphismes. Il devient au fil
des années et des version, l'autre grand standard
(avec le PC d'IBM) du monde de la
micro-informatique.
26- 1985 Cray II Miniaturisé, il est 10 fois plus
puissant que son prédécesseur, le Cray I. - 1986 The Connection Machine Premier ordinateur
"massivement parallèle" composé de 16 000
processeurs. - 1994 Paragon d'Intel Coûtant 20 Millions de
dollars, occupant un volume de 48m3, il est
composé de 2000 processeurs et de 64 Giga-octets
de mémoire. Il peut effectuer
27- 150 milliards d'opérations en virgule flottante
par seconde - 1994 PowerMac d'APPLE
- Basé sur le microprocesseur POWER-PC réalisé par
Motorola en collaboration avec IBM, il était
présenté comme le successeur commun du PC et du
MAC. Cependant, malgré de très bonnes
performances, il tarde à s'imposer.
28Ordinateur et changements technologiques
- Première génération Tubes électroniques (lampes
à vide) - Deuxième génération transistors
- Troisième génération circuits intégrés
- Quatrième génération microprocesseurs.
- Cinquième génération intelligence artificielle.
29Première génération1949-1957
- Ordinateur à cartes perforées et à bandes
magnétiques - Programmation physique en langage machine
- Appareils immenses, lourds, énergie élevée
- Utilisation de tubes à vide et mémoires à tambour
magnétique - Prix élevé / capacité et performance.
30Deuxième génération1958 - 1964
- Utilisation de transistors et des mémoires à
ferrite. - Utilisation de mémoires de masse pour le stockage
périphériques. - Temps daccès moyen (de lordre de la
micro-seconde). - Fonctionnement séquentiel des systèmes de
programation (langages évoluées).
31Troisième génération1965-1971
- Miniaturisation des composants (circuits
intégrés) - Apparition des systèmes dexploitation
- Concepts de temps partagés
- Machines polyvalentes et de capacité variée
- Appareils modulaires et extensibles
- Multitraitement (ieurs programmes à la fois)
- Télétraitement (accès par téléphone)
32Quatrième génération1971-1982
- Miniaturisation extrêmes des composants
- Apparition des micro-proceseurs
- Diversification des champs dapplication
- Apparition de la micro-informatique
33Cinquième génération
- Miniaturisation des composants poussée à
lextrême - Vitesse proche de celle de la lumière.
- Nouvelle architecture physique
- Vitesse de traitement augmentée jusquau gigalips
(Logical Inference de 100 à 1000 instructions)
34- Processeurs en parallèle
- Ajout du traitement de laspect sémantique
35Structure des ordinateurs
- John Von Neumann est à l'origine (1946) d'un
modèle de machine universelle (non spécialisée)
qui caractérise les machines possédant les
éléments suivants - une mémoire contenant programme (instructions) et
données, - une unité arithmétique et logique (UAL ou ALU en
anglais), - une unité de commande (UC).
36- une unité permettant l'échange d'information avec
les périphériques l'unité d'entrée/sortie (E/S
ou I/O), - ( clavier, lecteur de cartes perforées, ruban,
... - écran, imprimante, cartes perforées, ....)
37Schéma dun ordinateur
- UAL unité arithmétique et logique
38Caractéristiques dun ordinateur
- Machine contrôlée par programme
- Programme enregistré en mémoire
- Instruction du programme codée sous forme binaire
- Le programme peut modifier ses instructions
- Exécution des instructions en séquence
- Existence dinstructions de rupture de séquence.
39- Unité de Commande
- 1. extrait une instruction de la mémoire,
- 2. analyse l'instruction,
- 3. recherche dans la mémoire les données
concernées par l'instruction, - 4. déclenche l'opération adéquate sur lUAL ou
sur lunité d'E/S - 5. range au besoin le résultat dans la mémoire.
40- Unité arithmétique et logique
- Exécute des opérations artihmétiques (comme
laddition, la soustraction), des décalages de
bits, des comapraisons, des opérations logiques
(booléennes) telles que ET, OU, ...,
41- Mémoires
- Dispositif capable de stocker des informations
(instructions et données) en 0 et 1 de telle
sorte que lorgane qui les utilise puisse, à
nimporte quel instant, accéder à linformations
quil demande. - Les informations peuvent être écrites ou lues.
42- Écriture quand on enregistres des informations en
mémoire. - Lecture quand on sort des informations
précédemment lues en mémoire. - Temps daccès temps qui sécoule entre
linstant où une opération de lecture en mémoire
a été lancée et linstant où cette information
est disponible.
43- Une mémoire est formée d'un certain nombre de
cellules, ou cases, contenant chacune une
information. - Chaque case est constituée dun ensemble de bits
(BInary digiT) - Un bit est la plus petite unité de stockage en
informatique. - Un bit peut coder deux états (l'état vrai ou
l'état faux). Huit bits constituent un octet
(soit 256 états possibles 28).
44- Symbole Préfixe Décimal Binaire
- 1 k (kilo) 103
210 1024 - 1 M (méga) 106
220 1048576 - 1 G (giga) 109
230 1073741824 - 1 T (tera) 1012
240 1099511627776
45Quelques mots sur la mémoire
- Carte perforée à 80 colonnes d'IBM
- Ce système qui deviendra un standard est la
généralisation de la carte perforée qui est à
l'origine de la compagnie. - Mémoires à tubes Williams
- Développée par F. C. Williams, ce type de mémoire
utilise les charges résiduelles laissées sur
l'écran d'un tube cathodique après qu'il ait été
frappé par le faisceau d'électron. -
46 - Bande magnétique
- Mémoires vives à tores de ferrite
- Pendant une petite vingtaine d'année, ce
principe de mémoire sera le plus utilisé avant
d'être remplacé par la mémoire à
semi-conducteurs. - Tambour magnétique
- Disque magnétique
- Aussi appelé disque dur, ce type de support
deviendra incontournable lorsqu'il prendra sa
forme actuelle en 1974 Le disque Winchester.
47- Mémoires à semi-conducteurs
- Disques souples
- Mémoire magnétique à bulles (Intel) Mise au
point par Intel Magnetics , c'est une technologie
qui offrait une très grande fiabilité même dans
des conditions de fonctionnement extrêmes. - Disque Opto-Numérique (aussi appelé Compact Disc
ou Disque Optique Compact)Disque de plastique de
12 cm de diamètre et 1,2 mm d'épaisseur lu par un
faisceau laser
48- CD-ROM (Sony et Philips) (Compact Disc Read Only
Memory) - Cédérom en françaisVersion
informatique du CD permettant de stocker à la
fois du texte, des images, des sons... Sa
capacité était exceptionnelle pour l'époque 680
Mo.
49-
- DVD-ROM (Sony et Philips) Successeur annoncé du
CD-ROM dont il reprend exactement le format
physique. Sa capacité est par contre multipliée
par 12 et passe à environ 8,5 Go.
50Différents niveaux de mémoire
51- On trouve d'abord des mémoires très rapides (les
plus chères), en petit nombre, accessibles
immédiatement par le processeur. Ce sont les
registres. On trouve ensuite le cache ou
anté-mémoire. Accessible en quelques cycles
d'horloge (1 ou 2 en général) il contient
quelques dizaines de milliers de mots. On a
ensuite la mémoire principale ou mémoire
centrale. On dispose parfois d'une mémoire
d'appui ou d'arrière-plan, intermédiaire entre la
mémoire centrale
52- et les mémoires auxiliaires. Elle est constituée
de circuits semi-conducteurs de faible prix, dont
la vitesse est faible pour des circuits de
mémoire mais cent fois plus élevée que celle des
disques magnétiques. Toutes ces mémoires sont
volatiles. - Les disques magnétiques forment le niveau suivant
(mémoires auxiliaires ou mémoires de masse) et
constituent une mémoire permanente dont les
données restent valides quand on coupe
l'alimentation électrique. Le dernier niveau
correspond à l'archivage des données.
53- Jusqu'à présent ce domaine était l'exclusivité
des bandes magnétiques. Ces dernières années ont
vu apparaître un nouveau produit qui peut dans
certains cas fournir une alternative pour
l'archivage. Il s'agit du disque optique
numérique. Celui-ci a des densités de stockage de
102 à 104 fois supérieures à celles des supports
magnétiques, pour des temps d'accès cinq à dix
fois plus grand.
54Évolution de la programmation
- Ada Byron (1816-1852) première programmatrice
pour la machine de Babbage - Adèle Goldstine programme pour lENIAC en 1946.
- Les premiers programmes en Langage machine (0 et
1) - Langage symboliques les assembleurs
55- Fortran (Formula Translator) vers 1950 par J.
Backus. - Apparurent aussi des langages spécialisés comme
le GPSS (simulation) et APT (commande de machines
à outils) - Vers la fin de 1950
- - Algol notion de blocs
56- Cobol applications de gestion.
- PL/1 dans le but de traiter plusieurs genres
dapplications (universels). Apparurent ensuite
les langages Pascal, Modula, C, ... - La micro-informatique a répandu le Basic
- Langages fonctionnels (Lisp) utilisé dans le
traitement des expressions symboliques - Langages Logiques (Prolog) intelligence
artificielle pouvoir dinférence.
57Récapitulatif
- Fortran 1954 Applications scientifiques
- Cobol 1959 Gestion
- Algol 1960 structure de blocs
- Lisp 1960 Intelligence artificielle
- PL1 1965 scientifique et gestion
- Basic 1965 Pour débutant (interprété)
- Pascal 1971 Pour l'enseignement
- C 1972 Développement de UNIX
- Ada 1979 Défense américaine
- C 1985 C orienté objet
- Java 1994 Basé sur C et C pour
Internet
58- Définition Un langage de programmation est un
symbolisme permettant une communication avec
lordinateur. - Le langage naturel ne peut pas servir de langage
commun (syntaxe très complexe -multiplicité de
règles de grammaire et des exceptions sa
sémantique aussi)
59- Un langage de programmation est donc plus
restrictif. Il est défini en fournissant à
lutilisateur le vocabulaire autorisé, sa syntaxe
et sa sémantique. - Pour ces langages, une phrase sappelle une
INSTRUCTION et correspond à la description dune
ou plusieurs opérations elémentaires.
60- Les opérations élémentaires pour une machine
sont - Transfert dinformation
- affectation (assignation)
- Entree-sortie
- 2. Opérations arithmétiques et logiques
- 3. Rupture de séquence
61Les différents niveaux de langages de
programmation
- - Langage machines binaire (0 et 1)
- Seul langage compris par la machine
- Langage machines assembleur
- Ces deux langages dépendent de la machine
- Langage évolué
62Quelques mots sur les systèmes dexploitation
- Définition
- Un système d'exploitation (SE en anglais OS
operating system) est un ensemble de programmes
de gestion du système qui permet de gérer les
éléments fondamentaux de l'ordinateur - le matériel - les logiciels - la mémoire -
les données les réseaux. -
63Fonctions dun S.E
- Gestion de la mémoire
- Gestion des systèmes de fichiers
- Gestion des processus
- Mécanismes de synchronisation
- Gestion des périphériques
- Gestion du réseau
- Gestion de la sécurité.
64Un exemple
- Soit la commande suivante emacs monfichier.txt
- Juste après avoir tapé le ltentréegt fatidique, le
système d'exploitation est mis à contribution. A
savoir qu'il doit - 1) aller chercher sur le disque dur un fichier
qui s'appelle emacs et qui doit être
impérativement un fichier d'instruction à
exécuter (fichier exécutable ou "binaire"). - 2) aller chercher sur le disque dur un fichier
qui s'appelle monfichier.txt et rattacher ledit
fichier à l'exécutable emacs en tant que fichier
de données.
65- 3) trouver une place en mémoire centrale (RAM)
pour y placer tout ou une partie de emacs de tel
manière qu'il soit effectivement exécutable et
une place en RAM pour y placer tout ou partie du
fichier monfichier.txt. Trouver une place en RAM
pour y mettre une zone de communication avec
emacs. Le SE et emacs doivent communiquer entre
eux afin de s'informer (entre autres choses) du
bon déroulement des opérations.
66- 4) Si les fichiers emacs et monfichier.txt sont
trop gros pour la place disponible en RAM , le
S.E se charge de ne mettre en mémoire vive que la
partie des fichiers effectivement utile à
l'instant t pour le processeur. Dès qu'une autre
partie du fichier devient utile la partie
précédente est effacée de la RAM, et la zone
"utile" est recopiée à sa place. Cette technique
s'appelle le "swapping".
67- Il existe actuellement plus de 193 systèmes
dexploitation dans 27 langues - Quelques exemples
- UNIX
- VMS
- MS-DOS (sur les PC)
- Win 9X désigne les Windows 95-98-Me, héritiers
de MS-DOS et Win 3.1. Il n'a aura plus de
nouvelles versions. Cette gamme est remplacée par
Win XP home.
68- Windows NT est le système dexploitation
Microsoft conçu pour se passer de MS-DOS, tout en
gardant une grande compatibilité avec les
logiciels écrits pour MS-DOS, Win 3 et plus tard
Win 9X ( Win 4.0). - Windows 2000 est le nom commercial de Win NT 5.0,
et Win XP celui de NT 5.1 - Pour ceux qui confondent Win 2000, n'est pas le
successeur technique de Win 98 - Win 98 a besoin de MS-DOS pour démarrer.
- Win NT-2000-XP l'émule dans une machine
virtuelle. -
69Quelques domaines dapplications
- Calculs scientifiques nombre faible dopérations
mais se répétant de nombreuses fois tels ceux
dalgèbre numérique et non numérique - Traitement de données pbmes de gesion
classique tels facturation gestion de stocks
paie du personnel éditions de rapports détats,
de statistique, ...
70- Analyse projets tracé dautoroutes
visualisation de ce que le conducteur verra au
volant, ... - Contrôle de processus surveillances et commander
le fonctionnement de divers dispositifs - Gestion mathématique emploi de temps
ordonnamcement, ....
71- Systèmes dinformation réservation de places
davion, interrogation dune banque (volumineuse)
de données, ..., etc.