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La Gestion des Ressources Humaines:

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Title: La Gestion des Ressources Humaines Author: Berth l my Last modified by: utilisateur Created Date: 1/2/2003 8:34:42 AM Document presentation format – PowerPoint PPT presentation

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Title: La Gestion des Ressources Humaines:


1
La Gestion des Ressources Humaines éléments pour
comprendre les organisations
  • CAFDES
  • Février 2009

2
Préambule
  • La GRH, cest dabord trouver des clés de lecture
    et des leviers daction sur le comportement des
    individus au travail.
  • On ne peut réduire ce champ de travail à un
    ensemble doutils techniques ou mécaniques on a
    besoin de convictions.
  • Nous ne sommes évidemment pas dans le champ dune
    science dure

3
Introduction
  • Nous sommes tous inscrits dans des ORGANISATIONS
    de travail.
  • Elles ont une personnalité, une singularité, mais
    aussi des traits communs.
  • Trois parties
  • Sociologie des organisations
  • Économie des organisations
  • Évolutions repérables dans la réalité des
    associations aujourdhui

4
Première partie
  • Sociologie des organisations

5
Comprendre pour agir
  • Une entreprise a besoin de la mobilisation de
    chacun de ses salariés pour atteindre ses
    objectifs.
  • Dans un contexte difficile, la capacité de
    changer et de sadapter sont des conditions de la
    survie dune entreprise.
  • Lentreprise, lemploi, sont aujourdhui des
    lieux forts de structuration des identités
    personnelles et collectives.
  • Depuis le 19ème siècle de nombreux chercheurs, de
    nombreuses écoles travaillent la question.

6
Taylor et lO.S.T
  • La vision de lingénieur rationnel, tout entier
    tourné vers lefficacité.
  • Les tâches accomplies doivent être réparties et
    exécutées de façon scientifique.
  • Le salaire au rendement est considéré comme la
    base de la motivation.
  • La standardisation est poussée au maximum

7
Fayol et ladministration
  • Prend en compte lorganisation des services, des
    bureaux et pas seulement de la production
    industrielle.
  • Définit les 5 fonctions de la direction
  • Planifier, organiser, commander, coordonner,
    contrôler.
  • Max Weber introduit la notion de pouvoir,
    construit sur la légalité de la fonction du chef
    et sa capacité à décider rationnellement

8
Lécole des relations humaines
  • A partir des années 30 et des travaux réalisés
    sur la motivation.
  • Elton Mayo et leffet Hawthorne ce nest pas
    tant lamélioration des conditions objectives de
    travail que lattention aux relations humaines
    qui permet laccroissement de la productivité.
  • Commence alors à naître le sentiment que les
    intérêts de lentreprise et ceux des salariés ne
    sont pas forcément toujours différents.

9
Crozier et lanalyse stratégique
  • Le fonctionnement de tout système peut être
    décrypté à partir des stratégies de ses
    différents acteurs.
  • Chaque acteur élabore une stratégie dont le but
    est daccroître son influence dans le système.
  • Les relations de pouvoir ont là un rôle central.

10
Aujourdhui
  • La période de modernisation structurelle des
    années 80 modifie la perspective.
  • Cest bien par lentreprise et le travail que se
    construit lidentité sociale.
  • Et en même temps, la montée du chômage fragilise
    le lien à lentreprise.
  • Les entreprises doivent donc identifier les
    nouvelles formes dattachement et de dynamiques
    sociales qui leur permettront de développer leur
    performance.

11
La réalité culturelle de lentreprise
  • Toute entreprise a sa personnalité ,
    manifestée dans sa culture
  • Non pas ce que les gens disent, mais comment ils
    font.
  • Cinq catégories dinformations permettent de lire
    la culture dune entreprise
  • Les fondateurs et la fondation
  • Lhistoire
  • Le métier
  • Les valeurs
  • Les rites et les symboles

12
Les mondes sociaux de lentreprise
  • Un ensemble construit sur une observation lourde
    et longue de Renaud SAINSAULIEU et son équipe.
  • Générée par les changements profonds survenus
    dans les années 80 qui marquent la fin de
    lentreprise traditionnelle.
  • Adapté à la réalité des associations par
    Jean-Louis LAVILLE à la fin des années 90.
  • Qui est dabord un outil de réflexion, comme un
    miroir.

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Lentreprise BUREAUCRATIQUE
  • Modèle stabilisé, fondé sur le rôle prépondérant
    de la règle, dont la légitimité est partagée.
  • Modèle marqué par sa volonté de passer dune
    identité dorganisation à une identité
    dentreprise.
  • Marquée par une morale de service public, par une
    relation à lusager et pas au client.
  • Marquée par une distance entre la pratique de
    terrain et le projet de la hiérarchie supérieure.
  • Encore quelquefois un monde de production de
    masse, anonyme, où les agent sont
    interchangeables.
  • La stabilité de lemploi est une réalité forte.

14
Lentreprise COMMUNAUTE
  • Petite taille, histoire forte, fondateur devenu
    une figure mythique.
  • Souvent inscrite dans une stratégie de
    développement.
  • Organisation flexible, ouverte, marquée par la
    volonté de libérer lespace productif de toute
    prescription.
  • La relation au client est laffaire de tous.
  • Formation, promotion, évaluation sont des
    concepts forts.
  • Milieu humain solidaire, contrat fort entre
    salarié et entreprise.

15
Lentreprise MODERNISEE
  • A vécu une véritable transformation, imposée par
    lhistoire et lenvironnement, dont le but était
    de permettre la survie de lentreprise.
  • Allégement des lignes hiérarchiques,
    responsabilisation maximale à tous niveaux.
  • Permanence de traditions anciennes et émergence
    de nouvelles valeurs.
  • Un monde marqué par la recherche de nouvelles
    règles de fonctionnement, adaptées aux
    contraintes nouvelles.

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Lentreprise DUALE
  • Sest adaptée aux contraintes nouvelles dans un
    processus de modernisation qui ne concerne pas
    tous les services.
  • Des îlots de flexibilité cohabitent avec des
    services qui restent comme avant .
  • On tend vers une distinction forte entre acteurs
    émergents et acteurs traditionnels.
  • La culture est écartelée entre les valeurs
    communes dune époque révolue et des valeurs plus
    individuelles, qui menacent de rupture le lien
    social.

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Lentreprise EN CRISE
  • Processus de désintégration dun monde ancien.
  • Linsécurité est partout, le futur napparaît pas
    clairement.
  • Les savoir-faire anciens apparaissent
    disqualifiés, une population nouvelle modifie
    les règles du jeu.
  • Le pouvoir appartient à ceux qui maîtrisent
    lavenir.
  • La crise peut devenir un mode de vie

18
La relation Individu - Organisation
  • Quest ce qui transforme un rassemblement
    hétéroclite dindividus travaillant ensemble en
    une organisation durable et performante?
  • Trois mécanismes tissent, développent,
    maintiennent la relation entre individu et
    organisation
  • Le sentiment dappartenance
  • Limplication au travail
  • La soumission librement consentie

19
Le sentiment dappartenance
  • Il mesure linvestissement dans le collectif
  • Il se développe dans une organisation qui affiche
    une identité forte
  • La manière dintégrer un nouveau salarié va
    déterminer la suite
  • Renforcé par une communication interne active
  • Nécessite reconnaissance à la fois de la personne
    et du métier quelle exerce

20
Limplication au travail
  • Mesure linvestissement dans le travail
  • Génère auto - contrôle, propositions
    damélioration, renforcement des compétences
  • Nécessite de fournir du sens au travail, pour que
    son utilité soit évidente
  • Se construit sur la base dobjectifs clairs

21
La soumission librement consentie
  • Mesure linvestissement en soi-même
  • Cest la contrainte acceptée, la volonté de
    sadapter aux changements nécessaires,
    lacceptation dune certaine flexibilité
  • Suppose que lacteur dispose d infos sur les
    buts poursuivis par lentreprise
  • Particulièrement nécessaire dans les périodes de
    changement ou de mutation au sein de lentreprise

22
Deuxième partie
  • Économie des organisations

23
Contexte de la réflexion
  • Identifier les différents acteurs économiques du
    champ concerné.
  • Identifier ce qui se joue dans la détermination
    des coûts de production de laction sociale.
  • Identifier les meilleures formes de relations
    pour atteindre les objectifs posés
  • Étant que nous raisonnons dans le cadre dun
    fonctionnement démocratique

24
Les acteurs
  • LÉtat et les collectivités territoriales au
    niveau tutelles et tarification
  • Les agences publiques ARS
  • Les gestionnaires détablissements ou de
    structures associations, fondations,
    établissements publics
  • Les syndicats de salariés et demployeurs
  • Les associations dusagers

25
Des intérêts souvent divergents
26
Troisième partie
  • La réalité associative

27
Le contre exemple anglo-saxon
  • Tocqueville (1805-1859) Lorsquil se produit
    une innovation importante, cest en France le
    fait du Roi, en Angleterre dun grand seigneur et
    aux Etats-Unis dAmérique dune association.
  • Aujourdhui, un américain moyen consacre à la vie
    associative 10 fois plus de temps et dargent
    quun français en 1990, les français donnent 10
    milliards aux œuvres et 52 milliards au loto,
    courses et autres
  • Selon Max Weber, le dieu du calvinisme réclame
    non point des bonnes œuvres isolées, mais une vie
    tout entière de bonnes œuvres érigées en système.
    Le bénévolat est lusage idéal des loisirs .
  • Là où en France la subvention triomphe, le
    financement associatif est en Angleterre et aux
    Etats-Unis affaire de mécénat populaire.
  • La législation fiscale explique largement cette
    situation, mais nest-elle pas elle-même reflet
    dune culture ?

28
La fragilité associative française
  • En 1901, la loi sur les associations est plus une
    étape de la querelle religieuse quun progrès
    démocratique.
  • Pour le député Viviani, la loi sur les
    associations nest que le prélude à lassaut
    définitif contre lEglise il sagira de savoir
    qui lemportera de la société fondée sur la
    volonté de lhomme ou de la société fondée sur la
    volonté de Dieu .
  • Aujourdhui, cest une interprétation laxiste de
    la liberté associative qui frappe lobservateur
    un nombre croissant dintervenants
    administratifs, marchands, politiques,
    corporatistes, religieux théocratiques, ont
    détourné le statut associatif.
  • La culture associative française, fragile, a du
    mal à sopposer à ces dérives il y a la un enjeu
    considérable à prendre en compte.

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Quelle évolution historique?
  • Trois grandes étapes entre 1901 et 1975
  • Les bonnes œuvres limmense appareil créé par
    lEglise au fil des siècles pour aider les
    pauvres utilise massivement la loi 1901.
  • Le Front Populaire ouvriers, enseignants,
    syndicats vont multiplier les associations
    déducation populaire.
  • A partir de 1945 à la fois le baby boom, lEtat
    providence, lurbanisation, la scolarisation
    associations sportives et scolaires, MJC,
    mouvements de locataires et de consommateurs.

30
Evolution historique (suite)
  • En 1975, cest à la fois lexplosion et le
    changement de nature
  • Rupture quantitative entre 1901 et 1975, se
    créent entre 7000 et 15000 associations par an.
    On passe à 70000 en 1992.
  • Les nouvelles associations manifestent les
    attentes des nouvelles générations (nature et
    patrimoine) et la prise en compte de nouveaux
    fléaux sociaux (toxicomanie, sida, xénophobie)
  • Ce ne sont plus les régions traditionnellement
    civiques qui abritent le plus de créations
    nouvelles.

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Evolution historique (suite)
  • Quatre nouveaux secteurs en expansion
  • Le caritatif médiatique
  • cest la charité spectacle, le triomphe de
    limage (idole). G. Lipovetsky parle de
    gadgétisation de léthique
  • Lactivité marchande beaucoup dassociations
    sont des SARL déguisées.
  • La nébuleuse du développement personnel
  • Léconomie mixte, conséquence de la
    décentralisation.

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Un nouveau tableau apparaît
  • Il accompagne la crise chômage, déchirure
    sociale, crise financière.
  • La légitimité de lassociation se fonde de moins
    en moins sur la liberté personnelle,
    contractuelle, gratuite, offerte à des individus
    poursuivant des buts non marchands.
  • Elle se fonde de plus en plus sur les services
    rendus, la création demplois, la lutte contre
    lexclusion, lintérêt général, la participation
    au service public, lutilité sociale
  • Tous éléments habituellement constitutifs de la
    légitimité des pouvoirs publics dans une
    démocratie reposant sur le suffrage universel
  • La qualité des intentions des dirigeants et des
    salariés qualifie plus lauthenticité et la
    réalité de lassociation que la liberté et le
    désintéressement des bénévoles et volontaires.

33
Mutations de la militance
  • Notre société est profondément marquée par un
    processus dindividuation qui tend à dissoudre
    les collectifs au sein desquels lindividu se
    trouvait défini.
  • Cest quand la société se pense plus comme une
    somme dindividus que comme un assemblage
    organisé dentités collectives que la question du
    lien social devient cruciale.
  • On voit néanmoins apparaître de nouveaux
    mouvements sociaux, construits hors travail,
    marqués par les sans ou les alter .

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Trois remarques
  • Il sagirait aujourdhui moins de lutter pour des
    lendemains meilleurs, sous lauspice du progrès,
    que sengager pour éviter que demain soit pire
    quaujourdhui
  • Lidée de risque apparaît comme un facteur
    important de mobilisation, quasi comme une
    idéologie capable de donner sens à laction.
  • Peut-être faut-il établir une distinction de
    nature entre
  • Les associations dintérêt général et celles qui
    sont lexpression dintérêts particuliers.
  • Les associations qui vivent principalement de
    fonds publics et les autres.

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Sortir de lentre - soi
  • Les milieux dorigine, familiaux, géographiques
    ou religieux, apparaissent de moins en moins
    déterminants dans le déroulement de la carrière
    militante dun individu.
  • Ladhésion, quelle soit syndicale ou
    associative, ne sinscrit plus dans le cours
    habituel de lhistoire des groupes de vie.
  • La dimension de sociabilité se trouve de moins en
    moins essentielle dans le fonctionnement de la
    vie associative.

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Sortir des affiliations fédératives
  • Le modèle associatif français se caractérise par
    un double réseau vertical
  • Celui de la fédération qui relie les associations
    locales dans une chaîne montante.
  • Celui, plus informel, des constellations
    idéopolitiques, autour des partis ou des Eglises
    qui ont longtemps structuré le débat politique.
  • Les groupes naissants sont de moins en moins
    insérés dans des réseaux verticaux, et les
    anciens tendent à distendre leurs liens avec les
    niveaux supérieurs.
  • Mobilisables localement sur des objectifs précis,
    les militants le sont beaucoup moins pour assurer
    la pérennité des structures.
  • En saffranchissant des appartenances sociales et
    des affiliations fédératives, les engagements
    court-circuitent les affiliations héritées
    zapping et engagement ponctuel sont rois.

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Parler en nom propre
  • Ladhésion perd de sa force. Certains groupements
    fonctionnent sans structuration juridique,comme
    des réseaux dindividus à géométrie variable.
  • Les effectifs varient suivant les temps et les
    causes de lactions, des personnalités
    charismatiques, expertes ou célèbres assurent la
    représentation ponctuelle.

38
Une crise de la démocratie représentative
  • Un double mouvement samorce dès les années 60
  • Une prise de distance avec la sphère politique
  • Une contestation des mécanismes de délégation et
    la revendication dun rôle de contre-pouvoir pour
    la démocratie participative.
  • Le fait même de déléguer se voit mis en
    discussion
  • Affaiblissement de la parole collective
  • Témoigner, en nom propre, est valorisant
  • Cest lexpérience qui donne la parole, plus que
    lexpertise

39
La masse ne fait plus poids
  • Pendant longtemps, la légitimité et linfluence
    des associations se sont construites sur le
    nombre de leurs membres.
  • Aujourdhui, cest le témoignage, comme porteur
    de lempreinte dune personne singulière, qui
    devient source de légitimité.

40
Quelques hypothèses
  • Il existe une véritable rupture entre les
    rapports à léconomie non marchande qui sétaient
    constitués pendant la période dexpansion
    (1945-1975) et ceux qui prévalent au cours de la
    période de mutations engagées depuis.
  • Lhistoire des associations est étroitement liée
    à celle de linstitutionnalisation de professions
    sociales et culturelles.
  • La teneur des jeux stratégiques est influencée
    par le mode de formation de lassociation, cest
    à dire la position des promoteurs au regard de
    laction engagée.
  • Les associations ont du mal à sadapter aux
    perturbations induites par les modifications
    extérieures parce quelles apportent un démenti
    au caractère unifiant de limaginaire collectif.

41
Une double compétence salariée et bénévole
confrontée au processus de professionnalisation.
  • Lassociation combine 2 sources de
    professionnalisation lengagement bénévole de
    ses membres et la spécialisation des salariés en
    réponse aux problèmes sociaux quelle veut
    traiter.
  • Il en résulte une double capacité créative de
    ressources humaines dont lagencement des
    rapports est essentielle à la dynamique
    associative.

42
Des phénomènes de pouvoir complexes et contrastés
  • Lassociation est confrontée en même temps à un
    problème de créativité et de pérennité.
  • Lassociation conférant à chacun de ses membres
    une position dacteur stratégique, les
    différences de pouvoir peuvent se trouver déniées
    et les mécanismes décisionnels recouverts par la
    multiplicité des circuits dinformation et de
    décision.
  • Quand elle offre des services à des
    bénéficiaires, lassociation est marquée par la
    distance sociale qui les sépare des promoteurs et
    les écarts de pouvoir deviennent une question qui
    conditionne lavenir de laction commune.

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Conclusion Et demain ?
  • Vers la fin de lassociation au sens traditionnel
    du terme ?
  • Vers le développement de lentreprise privée
    comme prestataire de service ?
  • Vers le développement de lAGENCE comme
    successeur non commercial de lassociation?
  • Laltruisme comme moteur capable de redonner sens
    et force à laction humaine ?
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