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FMC Haute vall

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Title: FMC Haute vall


1
FMC Haute vallée de l'AudeMédecine, santé et
environnement
  • Dr Johanna Lévy
  • 10 mai 2010

2
Objectifs pédagogiques
  • Pouvoir rechercher les FdR environnementaux
    devant des situations fréquentes de consultation
  • Pouvoir informer le patient et prévenir les
    principales expositions toxiques
    environnementales intérieures et extérieures
  • Mener un interrogatoire minutieux chez un patient
    asthmatique ou tousseur, en cas de cephalées, de
    rhinites chroniques, de vertiges, chez une femme
    en désir/ en cours de grossesse
  • Pouvoir alerter les autorités en cas de suspicion
    de toxicité environnementale
  • Connaître lexistence des conseillers medicaux en
    environnement intérieur, ainsi que leurs rôles

3
PRE TEST
4
Contexte
  • , 30 000 décès / an sont liés à la pollution
    atmosphérique urbaine (OMS)?Respiratoire et
    Cardiovasculaire
  • En France, les enfants vivants en zone polluée 2
    fois dasthme, 3 fois eczéma
  • Environ 25 de la population française est
    allergique, contre 4 il y a 40ans
  • 14 des couples consultent pour difficulté à
    concevoir (PNSE)?
  • 7 à 20 des cancers seraient liés à des facteurs
    environnementaux (PNSE)?
  • Certains irritants de l'air intérieur ont été
    reconnu cancerigène d'autres sont des
    perturbateurs endocriniens
  • Beaucoup de solvants sont neurotoxiques et
    passent la barrière placentaire
  • Lien entre exposition professionnelle aux
    pesticides tb de la fertilité, certains cancers,
    parkinson,,,

Juin 2007, revue Respiratory Medicine
5
Contexte
  • Le MG voit les patients aux diverses étapes de la
    vie les questions simples permettent dévaluer
    son environnement
  • Il peut faire des recommandations appropriées se
    basant sur le principe de précaution, les dangers
    et les risques
  • Liste des substances CMR cancérigènes, mutagènes
    ou toxiques pour la reproduction ( INRS, INERIS
    )?
  • REACH

6
Présentation rapide des principaux polluants
  • Pollution extérieure
  • ville
  • NOx, ozone?, SO2?
  • Particules, pollens,
  • COV (benz, autres), CO
  • campagne
  • Ozone
  • Pesticides
  • Pollens
  • Pollution intérieure
  • Moisissures
  • COV (formaldéhydes..)?
  • Nox, CO
  • Particules, allergènes
  • Pesticides
  • CEM
  • Bruit

7
Les NOx
  • Source par combustion
  • Pollution exterieure (citepa 2007) Trafic
    routier (53?),
  • industries manufacturières (14),
  • transformation dénergie (9), agriculture (11)?
  • Pollution intérieure gaz, chaudières
  • Effet sur la santé
  • Respiratoires
  • Evts infectieux
  • Solution
  • Pot catalytique
  • Entretien chaudière, Hotte

8
Les micro particules (PM 10, PM 2,5)?
  • Source
  • Extérieures Diesel (60), industries, eruption
    volcanique
  • Intérieures Tabac, combustion bois, travaux
  • Respiratoire
  • Maladie cardiovasculaire
  • Cancer du poumon
  • Solution extérieure Essence (mais CO2 , et de
    Nox)?gt FAP, électriques..
  • Solutions intérieures Hotte, masques FFP2!,
    amélioration tirage, nettoyage humide
  • Cohorte de Harvard, sur 6 villes, pendant 8 ans

9
Lozone troposphérique O3
  • Sources
  • Exterieures polluant 2re UV NOx ou CO ou
  • COVnm(residentiel 32 route15), CH4
  • Intérieures photocopieurs, imprimantes,
    purificateurs dair..
  • Respiratoire irritatif/ inflammatoire
  • Augmente effet allergènes
  • Céphalées
  • Réduire NOx
  • Relation changement climatique?

10
Les COV
11
Les COV
  • Sources intérieures travaux
  • emmenagement logement neuf (cumule travaux
    et matériaux)?
  • Certaines professions (artistes,
    garagistes,estheticiennes,ouvriers,
    infirmières..)?
  • Respiratoire irritatif, obstructif
  • Troubles de la fertilité
  • Cancérigène
  • Céphalées, vertiges, PC, nausées
  • Psychosd organiques aux solvants
  • MCS
  • Ne pas stocker
  • Ne pas utiliser de façon intensive pesticides,
    parfums d'ambiance, bougies, encens, ...
  • 3. Aérer le plus possible pendant et après
    l'utilisation de produits chimiques, masques
    cartouches, ventilation, aspiration efficace

12
Humidité-moisissures
50
1. Aérer quotidiennement 2. VMC 3. TTT spécifique
(toits, fissure mur, ClCa)?
13
Moisissures et santé
  • Le principal mode d'exposition aux moisissures
    est linhalation de leurs spores, de leurs
    métabolites (COV, mycotoxines) ou d'autres
    composants nocifs (paroi cellulaire contenant des
    glycanes). Les principales conséquences sur la
    santé sont les suivantes
  • Effets irritatifs non-spécifiques (yeux, nez,
    gorge),
  • Symptômes respiratoires non-spécifiques (toux,
    difficultés respiratoires, ...etc). Exacerbation
    de l'asthme chez les personnes souffrant de cette
    maladie.
  • Certaines études récentes suggèrent la
    possibilité que les mycotoxines produites par
    certaines espèces de moisissures sont à l'origine
    d'effets systémiques tels que des maux de tête,
    effets neurotoxiques et de la fatigue Agence de
    la santé - Québec 2002.

14
Les pesticides
  • La France, 1er consommateur de pesticides de lUE
  • 48 des aliments, 65,7 des fruits en 2004
    (raisins, pommes..)?
  • Des effets aigus bien connus
  • Les principales données concernant les effets
    aigus des pesticides sont issues dobservations
    rapportées en milieu professionnel et des cas
    dintoxications documentés par les centres
    antipoison. On observe des irritations de la peau
    et des muqueuses, des réactions allergiques
    cutanées ou oculaires, des vomissements, de la
    toux, une gène respiratoire, des atteintes dun
    ou plusieurs organes ou système, tels que le
    foie, les reins ou le système nerveux central.
  • Des effets chroniques difficiles à mettre en
    évidence
  • principalement étudiés dans des populations
    professionnellement exposées
  • Atteintes dermatologiques, neurologiques
    (parkinson costello, msa) troubles du système
    hématopoïétique (LMNH prix de recherche 2009
    T18-14), cancers (meta analyse canadienne
    leucemie de lenfant), , atteintes du système
    respiratoire,malformations (inserm rennes),
    atteintes des fonctions sexuelles comme
    reprotoxique ou perturbateur endocrinien

15
Effets chroniques (www.travailler-mieux.gouv.fr)?
  • Des contaminations légères ou passagères répétées
    gt risque réel daccumulation dans lorganisme
    gt effets graves répertoriés cancers,
    leucémies, altérations génétiques, maladies
    neuro- dégénératives
  • Les effets à long terme sont soit avérés et
    identifiés par des phrases de risques soit
    supposés par des études épidémiologiques.
  • La population agricole pas de cancers, mais
    les études épidémiologiques montrent que certains
    cancers sont fréquents en milieu agricole
    (prostate, cerveau, estomac, hémopathies
    malignes, peau).
  • Nb autres pathologies chroniques sont fréquentes
    affections hépatiques, respiratoires (asthme),
    neurologiques (maladie de Parkinson) ainsi que
    des troubles de la fertilité
  • Le ministère de lAgriculture vise à éliminer les
    produits Cancerogènes Mutagènes et Reprotoxiques
    et les substances préoccupantes du marché
    français PIRPP 2006-2009, Plan Ecophyto 2018
  • (Grenelle de lenvironnement).
  • Des pathologies chroniques sont reconnues en
    maladies professionnelles (une vingtaine reconnue
    à ce jour).

16
Modes d'entrées
  • Contact avec la peau, les yeux, le nez direct
    avec le produit lors de projection ou contact
    avec les aérosols de pulvérisation ou indirect
    avec des vêtements ou des objets ou du matériel
    souillés ( buses, cuve de traitement non nettoyée
    ), ou du contact avec des cultures traitées.
    Cest la voie principale de pénétration des
    produits, surtout sils sont liposolubles ou
    sils contiennent des solvants.Le contact avec
    les mains, notamment lors de la phase de
    préparation de la bouillie où le produit manipulé
    est non dilué, représente le mode de
    contamination quantitativement le plus
    important.
  • Respiration, inhalation de vapeurs surtout
    daérosols à la préparation et lors de
    lapplication. Le risque de pénétration des
    produits phytopharmaceutiques par inhalation est
    possible et dépend notamment de la taille des
    aérosols liquides ou solides et de la présence de
    vapeurs ou de gaz.La diffusion dans le sang à
    partir des alvéoles est très rapide pour les gaz,
    les vapeurs et les aérosols de taille inférieure
    à 5µm. Les aérosols inhalés de plus gros diamètre
    sont quant à eux déglutis.
  • Ingestion, voie digestive cette voie nest pas
    négligeable et survient en portant les mains ou
    des objets souillés à la bouche et par
    déglutition de particules inhalées. Lingestion
    accidentelle est possible lorsque le produit est
    déconditionné.

17
Tb de la reproduction
  • Des expositions professionnelles à certains
    pesticides ont entraîné des effets délétères sur
    la fertilité masculine qui sont aujourdhui bien
    documentés. (DBPC, chlordécone, carbaryl).
  • Les études ont montré que certains pesticides
    peuvent traverser la barrière placentaire et être
    ainsi transférés au foetus durant la grossesse.
  • Des présomptions existent concernant un effet de
    lexposition maternelle aux pesticides sur le
    risque de mortalité intra-utérine, sur la
    diminution de la croissance foetale ou sur
    certaines malformations.
  • Le lait maternel peut également être une source
    dexposition potentielle à certains pesticides
    (notamment organochlorés) pour les nourrissons.
  • Une augmentation du risque de cancer chez
    lenfant exposé avant la naissance ou pendant
    lenfance à aussi été constatées sur diverses
    etudes (ORS idf)?

18
Biomarqueurs urinaires dexposition aux
pesticides des femmes enceintes de la cohorte
Pélagie réalisée en Bretagne, France (2002-2006)
Des traces de pesticides dans les urines de
femmes enceintesInVS sept 2009 un exemple
d'impregnation en population générale
  • Des traces de pesticides ont été décelées dans
    les urines de femmes enceintes, dans certains cas
    longtemps après leur exposition, l'Inserm de
    Rennes a étudié un échantillon de plus de 500
    femmes en début de grossesse suivie en Bretagne
    entre 2002 et 2006.Les chercheurs se sont
    particulièrement intéressés aux herbicides de la
    famille des triazines et aux insecticides
    organophosphorés, "potentiellement toxiques pour
    la reproduction et le neurodéveloppement".L'atra
    zine et la simazine, de la classe des triazines,
    sont des herbicides interdits en France depuis
    fin 2003, mais "leurs produits de dégradation se
    déplacent dans les eaux et sont encore trés
    présents dans l'environnement"
  • . Dans le monde, l'atrazine est "un des
    herbicides les plus utilisés", et des effets
    toxiques voire mortels sur l'embryon animal ont
    été rapportés, suite à une exposition prénatale.
  • Quant aux insecticides organophosphorés, d'usage
    agricole et non agricole, des effets
    neurotoxiques ont été observés pour des niveaux
    d'exposition modérés, voire faibles.Selon les
    résultats de l'étude, des traces d'exposition à
    l'atrazine et à la simazine sont observées chez
    une minorité des femmes, mais chez une bonne
    partie d'entre elles pour certains métabolites.
    Les traces des insecticides organophosphorés, et
    notamment de certains métabolites communs à
    nombre d'entre eux, sont plus fréquentes et de
    niveaux plus élevés.Pour en savoir plus le
    résumé de l'étude sur le site de l'INVS
    http//www.invs.sante.fr/beh/2009/hs160609/versio
    n_francaise.htm6

19
La pollution des sols
  • La pollution des sols est provoquée par des
    agents très variés, quil sagisse
    déléments-traces, constitués de métaux, de
    métalloïdes ou de micropolluants organiques, ou
    bien de produits phytosanitaires, dhydrocarbures
    ou de produits radioactifs. La présence de
    polluants dans les sols provoque des dommages à
    la végétation et une concentration déléments
    toxiques dans les végétaux  cest la
    bioaccumulation, redoutable pour lhomme.
  • Phénomène similaire dans la chaine alimentaire

20
  • Les régions minières, les régions dagriculture
    intensive, les prés et les terres labourées
    proches des autoroutes, ainsi que les terrains
    dépandage des effluents agro-industriels ou des
    composts urbains figurent parmi les sites les
    plus touchés. Les grandes régions industrielles,
    notamment le Nord-Pas-de-Calais, lIle-de-France
    et Rhône- Alpes, recensent la majeure partie des
    espaces concernés. Les sites pollués par des
    activités industrielles ont donné lieu au
    développement de procédés spécifiques de
    dépollution.

21
  • Base de données BASOL sur les sites et sols
    pollués(ou potentiellement pollués) appelantune
    action des pouvoirs publics, à titre préventif ou
    curatif
  • http//basol.ecologie.gouv.fr/recherche.php
  • 11 - QUILLAN - ANCIENS ETABLISSEMENTS BOILLETOT
    Il s'agit d'un ancien atelier de traitement de
    surface abandonné sur lequel il y a présence de
    cuves et de sol pollué. 11 - QUILLAN - HUNTSMAN
    SAS Le site est dans la zone industrielle
    "Quillan Plaine" sur la rive droite de lAude,
    sans habitations à proximité immédiate, mais des
    habitations du hameau du Brezilhou se situent en
    bordure de lautre rive en aval immédiat du site.
    L'activité industrielle ...

22
Plomb
  • les niveaux dexposition actuels au plomb via
    lalimentation présentent un risque sanitaire
    faible, voire négligeable, pour les adultes mais
    il existe des inquiétudes concernant déventuels
    effets sur le développement neurologique pour les
    fœtus, les nourrissons et les enfants. (EFSA
    2010)?
  • Les céréales, les légumes et l'eau du robinet
    sont les principales sources d'exposition au
    plomb en Europe. Lexposition non alimentaire via
    la poussière et la terre est également une source
    importante pour les enfants.

23
  • Le plomb incorporé par voie digestive,
    respiratoire ou sanguine (mère-foetus) se
    distribue dans le sang, les tissus mous et
    surtout le squelette (94), dans lequel il
    saccumule progressivement et reste stocké très
    longtemps (demi-vie gt 10 ans).
  • La plombémie (taux de plomb dans le sang) mesurée
    sur sang veineux est lindicateur retenu pour
    évaluer limprégnation par le plomb. En fait, la
    plombémie reflète un état ponctuel d'équilibre
    entre un processus de contamination
    éventuellement en cours, le stockage ou le
    déstockage du plomb osseux, et lélimination
    (excrétion, phanères, sueur).Après arrêt dun
    processus dintoxication, la plombémie diminue
    avec une demi-vie de 20 à 30 jours jusquà un
    nouvel équilibre dont le niveau est fonction du
    stock osseux.
  • Inserm) estimait en 1999 à 84 000 le nombre
    denfants de 1 à 6 ans ayant une plombémie gt 100
    µg/L 1. En 2002, les Directions départementales
    des affaires sanitaires et sociales (Ddass) ont
    reçu 492 déclarations de saturnisme infantile,
    dont 353 concernaient des enfants habitant en
    Ile-de-France. Le nombre de déclarations était de
    459 en 2003.

24
Les effets du plomb sur la santé
  • sont fonction de limportance de lintoxication,
    mais on considère quils apparaissent sans seuil
  • Aux faibles niveaux dintoxication, leffet le
    plus préoccupant du plomb est la diminution des
    performances cognitives et sensorimotrices. De
    nombreuses études épidémiologiques ont montré
    lexistence dune association entre les niveaux
    de plombémie de la petite enfance et les
    performances de la petite enfance à lâge
    scolaire. Les méta-analyses donnent une
    fourchette de 1 à 3 points de baisse de QI pour
    une augmentation de la plombémie de 100 µg/L.

25
Diagnostic et repérage des cas
  • signes cliniques, lorsquils sont présents, en
    général peu spécifiques
  • troubles digestifs vagues anorexie, douleurs
    abdominales récurrentes, constipation,
    vomissements,- troubles du comportement (apathie
    ou irritabilité, hyperactivité), troubles de
    l'attention et du sommeil, mauvais développement
    psychomoteur,- pâleur en rapport avec l'anémie.
  • Le diagnostic ne peut alors être établi que par
    le dosage de la plombémie demandé chez un enfant
    à risque, notamment - âge compris entre 12 mois
    et 6 ans et - résidant dans un logement ancien
    dégradé ou rénové récemment,- et/ou présentant
    un pica (consommation habituelle de substances
    non alimentaires) ou un portage oral important,-
    et/ou fréquentant un logement ou une zone connus
    pour être contaminés,- et/ou vivant auprès d'un
    sujet intoxiqué.

26
Fdr dexposition au plomb
  • la recherche de facteurs de risque dexposition
    au plomb doit être systématique en particulier
    avant 7 ans (période des comportements à risque,
    susceptibilité physiologique accrue (grade B)
  • - séjour régulier dans un logement construit
    avant 1949 ? Si oui, y a-t-il de la peinture
    écaillée accessible à lenfant ?      - habitat
    dans une zone proche dune source dexposition
    industrielle ?      - occupation professionnelle
    ou activités de loisirs des parents (apport de
    poussières par les chaussures, les vêtements de
    travail) ?      - tendance de lenfant au
    comportement de pica ?      - connaissance dun
    frère, dune soeur ou dun camarade intoxiqué par
    le Pb ?- certains facteurs individuels associés
    à des composantes environnementales dune
    exposition au Pb doivent être recherchés et faire
    doser la plombémie       - familles en
    situation de précarité (niveau de revenus,
    bénéficiaires daides sociales),      -
    populations itinérantes (gens du voyage terrain
    pollué, maniement de matériels pollués),      -
    travaux de rénovation dans le lieu de vie de
    lenfant, en cas dhabitat construit avant
    1949,      - immigration récente.

27
Conduite à tenir par le médecin en fonction de la
plombémie
  • Plombémie Recommandation pour le suivi de la
    plombémie de lenfant 2
  • lt 100 mg/L Absence dintoxication Suivi de la
    plombémie tous les 6 mois à 1 an, jusquà lâge
    de 6 ans sil appartient à un groupe à risque et
    suppression des sources dintoxication
  • 100 249 mg/L Déclaration obligatoire-
    Contrôler la plombémie tous les 3 à 6 mois
    Suppression des sources dintoxication
  • 250 449 mg/L DO Contrôler la plombémie tous
    les 3 à 6 mois Adresser lenfant à une structure
    capable dévaluer lintoxication et de discuter
    lindication dun traitement chélateur .
    Suppression des sources dintoxication.
  • 450 mg/L DO Il est urgent dadresser lenfant à
    une structure capable dévaluer lintoxication et
    de la traiter. Suppression des sources
  • 2 Anaes

28
Champs électromagnétiques
  • gtgt Radon
  • 2ème cause de cancer du poumon aux EU après le
    tabac (15 000 décès)?
  • En France, 31 départements à risque
  • CIRC 1
  • Solution Aérer, ventiler
  • gtgt Portables, réseau WIFI, plaques
    induction,,,
  • Effets calorifiques locaux
  • Effets cancérigènes en cours détudes
  • Solutions Résister à lenvie de téléphoner dans
    endroits lt2barres, Indice DAS téléphone bas,
    oreillettes
  • gtgt Reseau electrique (CEM BF lignes HT,
    domicile) classé Cancerigène
  • gtgt Solutions éloignement des sources

29
(No Transcript)
30
(No Transcript)
31
(No Transcript)
32
(No Transcript)
33
Seveso et installations à risques
  • La directive Seveso concerne près de 1 250
    établissements en France"Seveso seuil bas"
    (risque important - 543 éts)
  • "Seveso seuil haut" (risque majeur 670 éts,
    dont 23 de stockage souterrain de gaz)?
  • utilisant des substances dangereuses telles que
    les liquides ou gaz inflammables, les produits
    chimiques, les explosifs et les artifices ou
    assurant élimination de déchets dangereux comme
    les dechets nucléaires.
  • Ces établissements présentent potentiellement un
    risque élevé pour la population et
    lenvironnement en cas daccident

34
  • Dans le langage courant, un site classé Seveso
    signifie qu'il est classé Seveso seuil haut. Dans
    les deux cas, les sites sont soumis à
    autorisation préfectorale et font l'objet d'une
    enquête publique avec étude d'impact et de
    danger.
  • Les sites seuil haut doivent faire en outre
    l'objet de "Plans de prévention des risques
    technologiques", permettant si nécessaire
    d'exproprier les habitants dans les zones les
    plus dangereuses et obligeant les industriels à
    réduire les risques à la source dans les
    entreprises.
  • En décembre 2006, les industriels de la chimie
    sengageaient dans une démarche volontaire de
    communication à chaud. Désormais, tout
    incident, même mineur, survenu sur un site
    chimique classé Seveso et susceptible de générer
    linterrogation dun riverain odeur, bruit de
    sirène ou machine, rejet dans lair ou dans
    leau, torchère ou feu devrait faire lobjet
    dun communiqué envoyé à la presse locale, doublé
    dun appel téléphonique pour suivre le traitement
    de linformation. Le tout afin détablir une
    relation de confiance avec le riverain, selon
    lUnion des industries chimiques (UIC).

35
(No Transcript)
36
Se renseigner sur les installations classées
  • http//installationsclassees.ecologie.gouv.fr/accu
    eil.php
  • Rechercher une installation classée soumise à
    autorisation 
  • Date de la dernière mise à jour de la base de
    données   12/04/2010 Région  
    Nord-pas-de-calais
  • Département   Commune   Douai
  • Nom de l'établissement  
  • Activité principale  
  • Installations classées  
  • Priorité nationale  
  • Régime Seveso(1)  
  • IPPC(2)  
  • Déclaration annuelle émissions    
  • (1) Régime SevesoAS Autorisation avec
    servitudesSB Seveso seuil bas(2) IPPC
    Intergrated Prevention and Pollution Control
    (directive n96/61/CE du 24/09/1996) 
  •             

37
Se renseigner sur les émissions polluantes des
industries de proximitéRegistre français des
émissions polluantes
  • http//www.irep.ecologie.gouv.fr/IREP/index.php
  • Recherche par établissement par polluant par
    déchet par cartographie 

38
Il y a t il un SPPPI dans votre région?
  • Les secrétariats permanents pour la prévention
    des pollutions et des risques industriels peuvent
    être composés notamment de représentants des
    services de l'Etat, des collectivités
    territoriales, d'entreprises ou organismes à
    caractère industriel ou d'associations de
    protection de l'environnement et de personnalités
    qualifiées. Peuvent également en faire partie des
    personnes physiques travaillant ou résidant dans
    la zone. décret du 22 août 2008
  • Art.D. 125-36.-Les secrétariats permanents
    pour la prévention des pollutions et des risques
    industriels constituent des structures de
    réflexion et d'études sur des thèmes liés à la
    prévention des pollutions et des risques
    industriels dans leur zone de compétence, y
    compris sur la question des transports de
    matières dangereuses. (...)?
  • Le premier dentre eux avait été créé en 1971 à
    Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône), en lien avec la
    pollution de létang de Berre. Puis 13 autres ont
    suivi, disséminés sur le territoire français

39
  • Signalement de cancers dans une entreprise de
    lAude
  • Note Invs actualisée du 5 avril 2007

40
  • Tout commence par 3 cas de cancers des voies
    urinaires parmis les anciens salariés d'une
    petite usine fabricant des isolants en
    polyuréthane.. venant de fermer ... quizz du rôle
    du généraliste quand il n'y a plus de medecin du
    travail?? Démarche à suivre...INVS ALERTE  0820
    42 67 15 qui donne 24h/24 les conseils et peut
    éventuelement declencher une enquête.
  • ou passer par l'inspecteur du travail
  • ou la cellule interrégionale d'epidemiologie
    (cire)de la DRASS... 

41
Conduite à tenir devant une suspicion de K ou
Maladies professionnelles
  • un site très utile celui crée par l'ORS de la
    région PACA http//www.sistepaca.org/01e-cancers.
    htm
  • Beaucoup de patients échappent au suivi des
    médecins du travail ...
  • Vous êtes médecin généraliste ou spécialiste et
    vous vous interrogez sur
  • lorigine professionnelle possible dune maladie,
    sur les risques dun métier.
  • Le site propose
  • - des fiches répertoriant la conduite à tenir par
    maladie ou par risque
  • - permet de connaître les aides à proposer à
    votre patient en cas de problème lié au travail
    - aider dans la déclaration de maladies
    professionnelles (formulaires, contacts).- favori
    ser un dépistage précoce des maladies
    professionnelles.

42
Des domaines dactions essentiels pour le Médecin
  • Lair intérieur
  • Lasthme, la toux
  • Les cephalées
  • La grossesse

43
Motifs de consultation ( non exhaustifs)?
potentiellement en lien avec une pollution de
lair intérieur
  • Toux persistante, asthme
  • Rhinite, obstruction nasale, sinusite
  • Céphalées, vertiges, nausées, voire PC, asthénie,
    tb de concentration
  • Irritation ophtalmique
  • Lésions cutanées

44
Quelques questions dorientation   m-o-t-s 
  • Métier ?
  • Traces dhumidité, dégâts des eaux?
  • Travaux récents ? Et surtout logement neuf
  • Activité de loisir/ bricolage ?
  • Utilisation quotidienne de désodorisants, laques,
    sprays cosmétiques ?
  • Produits ménagers ?

45
Asthme et environnement un enjeu fondamental
  • Asthme 1ère maladie chronique de lenfant!
  • Relation avec la pollution largement prouvée
    survenue, aggravation
  • Pollution aérienne extérieure Émanations
    automobiles, pesticides,  pic de pollution 
  • Pollution de lair intérieur sprays, produits
    dentretien, mobilier neuf, peinture, colle,
    pesticide

Numéro Vert ASTHME et ALLERGIES INFOS SERVICE
0800 19 20 21 (appel gratuit)?
46
Asthme et environnement un enjeu fondamental
  • Mécanismes en jeux irritation, pro inflammation,
    synergie
  • ! La prescription dun ß majore la penetration
    des polluants par bronchodilatation
  • doit saccompagner de 2 recommandations simples

1. AERER 2. EVITER POLLUANTS RESPIRATOIRES Fumée
s, Sprays, Odeurs chimiques
47
Grossesse
  • Exemple dramatique Talidomide Distilbène et
    pourtant il y avait des études avant AMM!
  • Risques importants pour le fœtus Tératogenèse
    à lâge adulte cancers, hypofertilité, troubles
    du comportement
  • Pollution de lair intérieur produits
    dentretien, mobilier neuf, peinture, colle,
    pesticide
  • Pollution aérienne extérieure Pesticides

1. PAS COSMETIQUES SUR LA PEAU, NI SPRAYS 2.
EVITER TRAVAUX 3. EVITER PRODUITS MENAGERS
48
  • A VOUS DE JOUER

49
CAS CLINIQUE 1
  • Le 12/01/2006 Mme Z.L, 40 ans, cantinière
    vous consulte pour lumbago. Elle en profite pour
    signaler sa rhinite et sa toux chronique pour
    laquelle elle avait été adressée à une
    allergologue qui dépista une allergie aux
     fleurs jaunes ... Bien que Mme Z.L ait
    éliminé lensemble de ces fleurs de son jardin
    ses problèmes loin de saméliorer saggravaient
    la réveillant même la nuit !!
  • 1. Quelles questions doit on poser à cette
    patiente ?

50
CAS CLINIQUE 1
  • Mme Z.L avait refait elle-même lensemble de la
    tapisserie de sa chambre lété dernier... Depuis
    lhiver et vu les recommandations de
    lallergologue elle fermait bien ses fenêtres
    pour éviter toute pénétration de pollens  cela
    tombe bien car elle est frileuse !  Elle vous
    précise quelle proscrit tout fumeur de son
    entourage !!
  • 2. Quelles solutions lui apporter ?

51
CAS CLINIQUE 1
  • Vous revoyez Mme Z.L 1 mois plus tard contente
    de vos conseils qui lui permirent de dormir enfin
    sans tousser !
  • Elle vous amène sa voisine dont le fils
    asthmatique  sévère  et allergique aux
    acariens, fait régulièrement des séjours à
     Castel roc  (Font Romeu) dans les  P.O .
    Lors de ces séjours ses symptômes disparaissent
    presque totalement mais dès son retour en région
    parisienne  cest reparti !  pourtant  je fais
    tous ce que lon ma dit docteur plus de
    peluches, aspirateur spécial tous les jours... De
    toute manière jaime que ce soit propre et que ça
    sente bon ! ..  La pollution ça doit jouer ? 
  • 3. Quelle question importante poser sur les
    loisirs de julien ?
  •  
  • 4. Quelle remarque vous met la puce à loreille ?
  • 5. Quelles solutions lui apporter ?

52
CAS CLINIQUE 2
  • Mme S.P-R, âgée de 28 ans, vient vous consulter
    car elle souhaite avoir un enfant avec son
    partenaire
  • Cela fait presque 1 an et toujours rien 
  • Vous linterrogez sur ses ATCD et Facteurs de
    Risque (FDR)
  • - 2 FC 1mois et 3mois (avec son ancien
    partenaire) ses examens complémentaires étaient
    normaux (prise de sang, examen Bactériologiques,
    imageries..)!
  • - Elle présente une rhinite chronique et fait des
     bronchites asthmatiformes  fréquentes.
  • - Elle ne fume pas car elle a été marquée par le
    décès précoce de sa maman grosse fumeuse,
    dailleurs aucun de ses amis ne fume ! Elle ne
    consomme pas dalcool.
  • - Elle a arrêté la pilule depuis très longtemps 
  • 1. A ce stade quelle question complémentaire
    essentielle concernant ses FDR doit on lui
    poser ?

53
CAS CLINIQUE 2
  • Vous apprenez que Mme S.P-R est femme de ménage
    dans diverses entreprises depuis lâge de 18 ans
    où elle utilise de  puissants détergents , elle
    nettoie aussi des entrepôts,,,
  • 2. Lister ses FDR potentiels dinfertilité 
  •  
  • 3. Quelle action pensez-vous mettre en œuvre au
    cours de votre consultation pour aider cette
    patiente ?

54
CAS CLINIQUE 2
  • M. B.O son ami, arrive en cours de
    consultation,  sexcuse   il y avait des
    embouteillages Docteur ! . Ce jeune homme de 30
    ans très coquet est visiteur médical, il na
    jamais eu denfant, na jamais été exposé au
    tabac (sa maman ne fumait pas non plus durant sa
    grossesse) Il vous signale cependant un problème
    de thyroïde récent maintenant réglé... Il est
    sous lévothyrox et on lui surveille régulièrement
    sa thyroïde.
  • 4. Quelles questions allez-vous lui
    poser concernant ses FDR?

55
CAS CLINIQUE 2
  • M. B.O avait lu un article qui lavait alerté,
    depuis il avait changé ses habitudes en salle
    dattente ! Cependant il est un grand utilisateur
    de crèmes corporelles de grandes marques depuis
    longtemps. Il vous précise quil applique
    également son parfum à même la peau, il consomme
    du soda light 1.5l/j depuis lâge de 20ans et
    boit facilement 6 tasses de café par jour
  • 5. CAT concernant lexamen de M. B.O et examens
    complémentaires à prescrire ?
  • 6. Quels conseils pouvez-vous déjà-lui donner en
    appliquant le principe de précaution?

56
Cas clinique 3
  • Vous voyez Mme XL 65a fermière en visite à
    domicile car elle présente depuis 1an maintenant
    des signes de BPCO pourtant elle n'a aucune
    exposition aux solvants, ni au tabac, mais vous
    venez de comprendre dans son mode de vie
    l'habitude qui à pu générer sa pathologie en la
    voyant faire à votre arrivée... cela sera
    confirmé par son entourage
  • De quelle exposition pluri quotidienne s'agit il?

57
Atelier grossesse et prévention des pollutions
environnementales
  • Vous remplacez le Dr X et vous voyez Mlle L.A
    suivie pour  migraines , elle vient renouveler
    son traitement et vous demande conseils car elle
    désire préparer sa grossesse...
  • (Son examen est normal)?
  •  
  • Quels conseils pourriez vous lui donner
    concernant la prévention dexpositions
    environnementales problématiques?
  • (En dehors des risques infectieux, médicamenteux,
    tabagique, de consommation dalcool, de surmenage
    physique, de stress quil faudra aussi prendre en
    compte)

58
CAS CLINIQUE 1 Corrigé
  • 1. Quelles questions doit on poser à cette
    patiente ?
  • ?       lister les principaux facteurs
    irritants à lintérieur des locaux
  •  
  • -          tabac actif/passif, métier?
  •  
  • -          si négatif envisager les autres
    polluants 
  •  
  • ?         chauffage, humidité ?
  • ?         travaux récents ?
  • ?         ventilation ?
  • ?         utilisation importante de produits
    ménagers et lieu de stockage/chambre ?
  • ?         utilisation dinsecticide, antimite,
    prise anti-moustiques ?
  • ?         utilisation de parfums dintérieurs,
    encens, bougies parfumées..?
  • ?         achat récent de mobiliers ou tissus ou
    tapis ?
  • ?         utilisation personnelle de parfums,
    laques, vernis ? ()?
  •  
  • ?       lister les principaux facteurs irritants
    extérieurs
  •  

59
CAS CLINIQUE 1 Corrigé
  • Mme Z.L avait refait elle-même lensemble de la
    tapisserie de sa chambre lété dernier Depuis
    les recommandations de lallergologue elle
    fermait bien ses fenêtres pour éviter toute
    pénétration de pollens puis en hiver elle est
    frileuse donc limite aussi les ouvertures de
    fenetres! elle vous précise quelle proscrit
    tout fumeur de son entourage !!
  •  
  • 2. Quelles solutions lui apporter ?
  •  
  • Aérer, ventiler, humidifier latmosphère (idéal
    dhumidité 40à60, ne pas surchauffer (t idéale
    19-20 maxi)?
  • Voir si cela est possible dormir quelques temps
    dans une autre chambre

60
CAS CLINIQUE 1 Corrigé
  • 4. Quelle remarque vous met  la puce à
    loreille  ?
  •  et que ça sente bon ! ..   en effet elle
    vous précise quavant le retour de lécole de
    julien elle ferme les fenêtres de sa chambre, et
    parfume pour quil ait envie de travailler dans
    une chambre bien propre et qui  sent bon le
    propre.. 
  • 5. Quelles solutions lui apporter ?
  •  
  • Ne plus utiliser de parfums dintérieur !
  • Aérer
  • Utiliser des produits ménagers présentant le
    moins de substances irritantes (éviter les
    produits avec une  croix Xi, Xn et bien sûr
    aussi ceux avec tête de mort), aérer après le
    nettoyage

61
CAS CLINIQUE 2 Corrigé
  • CAS CLINIQUE N 2 (éléments de réponse et de
    discussion)?
  • Mme S.P-R 28a vient vous consulter car elle
    souhaite avoir un enfant avec son partenaire
  • Cela fait presque 1an et toujours rien !
  • 1. À ce stade quelle question complémentaire
    essentielle concernant ses FDR doit on lui
    poser ?
  • - Quelle est sa profession ?
  • - , il y a-t-il des fumeurs autour delle ?

62
CAS CLINIQUE 2 Corrigé
  • 2. Lister ses FDR potentiels dinfertilité 
  •  
  • ?       tabagisme passif  mère
  • ?       , solvants ménagers et detergents ( signe
    d'exposition potentiels a des irritants son
    asthme), expositions dans les entrepôts (poser la
    question si elle sent des odeurs de colle ou
    autre?)?
  • ATCD de FC
  • 3. Quelle action pensez-vous mettre en œuvre au
    cours de votre consultation pour aider cette
    patiente ?
  • -          lettre au médecin du travail
    concernant lexposition au solvants irritants
  • -          préciser ses ATCD de FC, ses
    bronchites  asthmatiformes 
  • le désir actuel de grossesse

63
CAS CLINIQUE 2 Corrigé
  • M. B.O son ami, arrive en cours de consultation, 
    sexcuse   il y avait des embouteillages
    Docteur ! . Ce jeune homme de 30ans très coquet
    est visiteur médical, il na jamais eu denfant,
    na jamais été exposé au tabac (sa maman ne
    fumait pas non plus durant sa grossesse)... Il
    vous signale cependant un problème de thyroïde
    récent maintenant réglé... Il est sous lévothyrox
    et on lui surveille régulièrement sa thyroïde.
  • 4. Quelles questions allez-vous-lui
    poser concernant ses FDR?
  • -          ordinateur portable sur les cuisses ?
  • -          utilisation abondante de pesticides et
    produits ménagers... actuellement ou durant
    lenfance ? (métier des parents)?
  • -          utilisation de cosmétiques ?
  • sport ?

64
CAS CLINIQUE 2 Corrigé
  • M. B.O avait lu un article qui lavait alerté
    depuis il avait changé ses habitudes en salle
    dattente ! Cependant il est un grand utilisateur
    de crèmes corporelles de grandes marques depuis
    longtemps. Il vous précise quil applique
    également son parfum à même la peau
  • 5. CAT concernant lexamen de M. B.O et examens
    complémentaires à prescrire ?
  • - Examen des o.g.e
  • - Spermogramme, dosage de testostérone
  •  
  • 6. Quels conseils pouvez-vous déjà-lui donner en
    appliquant le principe de précaution?
  • -          utiliser les parfums sur les vêtements
  • changer de marques pour des crèmes corporelles
    nusant pas de produits réputés toxiques 
    notamment les parabens (conservateurs  œstrogène
    like ) 2

65
ATELIER GROSSESSE Corrigé
  •  
  • ?       Senquérir de lexposition
    professionnelle et des protections
  •  
  • Professions exposées à des substances
    problématiques (Liste non exhaustive !)?
  • ?        Infirmières (solvants  nettoyants sans
    rinçage, chimiothérapie)?
  • ?        Femmes de ménage et utilisatrices de
    produits nettoyants (symbole X ou Toxique)?
  • ?        Peintre en bâtiment (en général
    protection)?
  • ?        Laveur de vitre
  • ?        Artistes  peintres  solvants de
    nettoyage, peintures, fixateurs, vernis) 
    graveurs (bains dacides), collages
  • ?        Travail en contact des émanations
    automobiles (péages, parking, garages,)?
  • ?        Commerces  librairie-papeteries,
    équipements auto (pneus, tapis neufs, bombes
    nettoyantes, ), meubles neufs, rayons produits
    de nettoyage, désinfectants et parfums,
    parfumeries.
  • ?        Coiffeuse
  • ?        Esthéticienne
  • ?        Blanchisserie, Pressing, Teinturerie
  • ?        Imprimerie (amélioration !)?
  • ?        Usines (selon les produits utilisés 
    sauf cas exceptionnels bonne prévention mais dans
    certains cas le produit nest pas suffisamment
    évalué  éther de glycol !) dont Industrie petro
    chimique et Industrie alimentaire
  • ?        Cosmétiques (nano particules, cov)?
  • ?        Agriculteurs
  • ?        Laborantins

66
ATELIER GROSSESSE Corrigé
  • ?       Prévenir les expositions possibles 
  •  
  • Femmes  gt produits cosmétiques (2 voies
    dentrées  respiratoire et cutanée)?
  • Femmes  au foyer   gt nettoyants ménagers,
    désinfectants,  sent-bons  dintérieur,
    insecticides divers
  •  
  • Conseils  rester simple sur les cosmétiques et
    produits ménager  limiter lexposition aux
    produits odorants, désinfectants  sur
    puissants , préférer le nettoyage humide des
    surfaces, si pas dalternatives aérer lors
    dune utilisation de ces produits.
  •  
  • Alimentation 
  • -         Limiter les additifs alimentaires (dont
    aspartame  mais aussi sucres et sels !!), les
    aliments industriels (chips, sodas, conserves en
    métal).
  • -         Les récipients plastiques chauffés à
    haute t (micro ondes, bouilloire), les
    revêtements téflon ou alu chauffés à haute tou
    dégradés.
  • -         Bien laver ou tremper les légumes,
    prendre des fruits de saison, ôter la peau quand
    cela est possible ! (les raisins sont parmi les
    imprégnés en pesticides).
  • -         Eviter de boire la 1ère eau du robinet
    après stagnation dans les canalisations.
  • -         Concernant les fritures  faire
    fonctionner la hotte, ou aérer.
  • -         Limiter sa consommation de thon.
  • -         Bien rincer le produit
    vaisselle
  •  
  • Soins dentaires ne pas se faire poser ou déposer
    des amalgames pendant la grossesse. Utilisation
    de dentifrices sans  triclosan  si possible.
  •  
  • Ne pas sexposer aux travaux de rénovations ni
    changer une grande partie du mobilier juste
    avant, pendant et après (pour lenfant), ne pas
    sinstaller dans un logement  tout neuf .

67
(No Transcript)
68
Conclusion
  • Les polluants environnementaux ont des atteintes
    connues respiratoires, cardiovasculaires,
    cancéreuses, reprotoxiques
  • Importance du métier
     m  
  • Importance des polluants intérieurs
  • Humidité et moisissures
     o
  • Travaux récents ou logement neuf   t
  • Tabagisme oui mais si oui ou?
  • Meubles,
  • Entretien
  • Cosmétiques
     s
  • Aliments
  • Beaucoup dincertitudes demeurent

Principe de précaution en médecine ALARA As Low
As Reasonably Possible
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