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CORBA vs COM

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CORBA vs COM Urbanisation des SI NFE107 Fiche de lecture Y. Durand-Poudret Plan CORBA, COM ? CORBA D finition Introduction L ORB : Le bus CORBA et protocole de ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: CORBA vs COM


1
CORBA vs COM
  • Urbanisation des SI NFE107
  • Fiche de lecture
  • Y. Durand-Poudret

2
Plan
  • CORBA, COM ?
  • CORBA
  • Définition
  • Introduction
  • LORB Le bus CORBA et protocole de
    communication IIOP
  • ORBIX
  • COSS I
  • COM
  • Définition
  • Introduction
  • RPC/DCE
  • CORBA vs COM
  • Architecture CORBA vs Architecture COM
  • Résumé
  • FAQ
  • Inconvénients

3
CORBA COM ? Intergiciels (Middleware)
  • Wikipedia En informatique, un intergiciel (en
    anglais middleware) est un logiciel servant
    d'intermédiaire de communication entre plusieurs
    applications, généralement complexes ou
    distribuées sur un réseau informatique.
  • Middleware et Internet de Daniel Serain Le
    middleware est une Couche de logiciels située
    entre le système d'exploitation et les
    applications, permettant l'échange d'informations
    entre celles-ci.

4
CORBA Définition
  • OMG (92) CORBA est lacronyme de Common Object
    Request Broker Architecture, ce fournisseur
    indépendant offre une architecture et une
    infrastructure permettant aux applications
    informatiques de travailler ensemble au travers
    du réseau. CORBA utilise le protocol standard
    IIOP qui permet linteropérabilité de composants
    pouvant provenir de serveurs, de systèmes
    dexploitation, de réseaux ou de langages de
    programmation similaires ou différents.
  • L interopérabilité est la capacité que possède
    un produit ou un système, dont les interfaces
    sont intégralement connues, à fonctionner avec
    d'autres produits ou systèmes existants ou futurs
    et ce sans restriction d'accès ou de mise en
    Å“uvre. Il convient de distinguer
    interopérabilité et compatibilité . Pour
    être simple, on peut dire qu'il y a compatibilité
    quand deux produits ou systèmes peuvent
    fonctionner ensemble et interopérabilité quand on
    sait pourquoi et comment ils peuvent fonctionner
    ensemble. Autrement dit, on ne peut parler
    d'interopérabilité d'un produit ou d'un système
    que si on en connaît intégralement toutes ses
    interfaces.
  • Wikipedia CORBA, acronyme de Common Object
    Request Broker Architecture, est une architecture
    logicielle, pour le développement de composants
    et d'Object Request Broker ou ORB. Ces
    composants, qui sont assemblés afin de construire
    des applications complètes, peuvent être écrits
    dans des langages de programmation distincts,
    être exécutés dans des processus séparés, voire
    être déployés sur des machines distinctes. Corba
    est un standard maintenu par l'Object Management
    Group.

5
CORBA Introduction
  • L'OMG a défini un modèle de référence pour des
    applications distribuées utilisant des techniques
    orientées objet. Ce modèle comprend quatre points
    de standardisation
  • Object Model c'est un modèle générique pour
    assurer la communication avec des systèmes
    orientés objet conformes au modèle de l'OMG
  • Object Request Broker (ORB) c'est l'élément clé
    de communication, il assure la distribution des
    messages (Il sappui sur le protocole IIOP
    (Internet Inter-ORB Procotol)
  • ObjectServices (ou encore CORBAServices) ces
    services fournissent les principales fonctions de
    base nécessaires à la gestion des objets
    (nommage, persistance,gestion d'évènements...)
  • CommonFacilities (ou encore CORBAFacilities) ce
    sont des utilitaires destinés aux applications
  • L'OMG a donc défini CORBA (Common Object Request
    Broker Architecture), une architecture respectant
    la standardisation ci-dessus. Les principes de
    CORBA sont
  • Une séparation stricte Interface/Implémentation
  • La transparence de la localisation des objets
  • La transparence de l'accès aux objets
  • Le typage des Object References par les
    interfaces
  • L'héritage multiple d'interfaces

6
CORBA LORB 1
  • L'ORB fournit les mécanismes par lesquels des
    objets font des requêtes et reçoivent des
    réponses, et ce de manière transparente.
  • Il fournit également l'interopérabilité entre des
    applications sur différentes machines dans des
    environnements distribués hétérogènes et il
    interconnecte sans coutures de multiples systèmes
    objets.
  • L'ORB est défini plutôt par ses interfaces que
    comme un unique composant.
  • Il comprend les composants suivants
  • ORB Core/ORB interface
  • Interface Definition Language (IDL)
  • Dynamic Invocation Interface (DII)
  • Interface Repository (IR)
  • Basic Object Adapter (BOA)
  • L'ORB est responsable de tous les mécanismes
    nécessaires pour
  • Trouver l'implémentation de l'objet pour la
    requête
  • Préparer cette implémentation à recevoir la
    requête
  • Communiquer les données constituant la requête

7
CORBA LORB 2 IDL
  • IDL (Interface Definition Language)
  • Développer des applications distribuées flexibles
    sur des plateformes hétérogènes nécessite une
    séparation stricte interface/implémentation(s).
    IDL aide à accomplir cette séparation.
  • En effet, IDL est un langage de définition
    d'interface orienté objet. Il définit les types
    des objets en spécifiant leurs interfaces. Une
    interface consiste en un jeu d'opérations et de
    paramètres pour ces opérations.
  • IDL est le moyen par lequel une implémentation
    d'un objet indique à ses clients potentiels
    quelles opérations sont disponibles et comment
    elles doivent être invoquées.
  • IDL a été conçu pour assurer la correspondance
    avec des langages de programmation.
  • Un compilateur IDL génère des stubs client et des
    skeletons serveur. Ceux-ci automatisent les
    actions suivantes (en conjonction avec l'ORB)
  • Les factories client (un factory est un objet
    créant un autre)
  • Le codage/décodage des paramètres
  • La génération des implémentations des classes
    d'interfaces
  • L'enregistrement et l'activation des objets
  • La localisation et les liens des objets

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CORBA LORB 3 IDL Exemple
  • IDL d'un service minimal de gestion du compte
    d'un client
  • // CompteClient.idl
  • interface CompteClient
  • void credit ( in unsigned long montantFRF )
  • void debit ( in unsigned long montantFRF )
  • long solde ( )

9
CORBA LORB 4 DII
  • DII (Dynamic Invocation Interface)
  • L'interface d'invocation dynamique d'un ORB
    autorise la création et l'invocation dynamique de
    requêtes. Un client utilisant cette interface
    pour envoyer une requête à un objet obtient la
    même sémantique qu'un client utilisant
    l'opération stub générée à partir de la
    spécification de type IDL.
  • Pour invoquer une opération sur un objet, un
    client doit faire appel, et être lié
    statiquement, au stub correspondant. Puisque le
    développeur détermine, à l'écriture du code, les
    stubs qu'un client contient, l'invocation
    statique ne peut pas accéder à de nouveaux objets
    qui ont été ajoutés au système plus tard. La DII
    fournit cette capacité. Cette interface permet à
    un client, à l'exécution, de
  • Découvrir de nouveaux objets
  • Découvrir leurs interfaces
  • Retrouver les définitions d'interfaces
  • Construire et distribuer des invocations
  • Recevoir les réponses
  • Et ceci de la part d'objets dont les stubs du
    client ne sont pas liés dans son module.
  • La DII est donc une interface de l'ORB qui
    comprend des routines autorisant le client et
    l'ORB, travaillant ensemble, à construire et
    invoquer des opérations sur tout objet disponible
    à l'exécution.
  • En essence, la DII est un stub générique côté
    client capable de faire suivre toute requête vers
    tout objet, cela en interprétant, à l'exécution,
    les paramètres des requêtes et les identifiants
    des opérations. Cependant, la flexibilité à
    l'exécution fournie par la DII peut se révéler
    coûteuse. Par exemple, Une requête à distance
    faite à travers une paire stub/skeleton générée
    par un compilateur peut être accomplie en une
    seule RPC mais le même appel via la DII
    nécessite des appels à
  • Objectgetinterface pour obtenir l'objet
    InterfaceDef
  • InterfaceDefdescribe pour obtenir
    l'information sur les opérations supportées par
    l'objet
  • Objectcreaterequest pour créer la requête
  • Requestaddarg pour chaque argument de la
    requête
  • Requestinvoke pour invoquer effectivement la
    requête

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CORBA LORB 5 IR
  • IR (Interface Repository)
  • L'IR est le composant de l'ORB qui fournit un
    stockage persistant des définitions d'interfaces,
    il gère et permet l'accès à une collection de
    définitions d'objets spécifiés en IDL.
  • L'ORB peut utiliser les définitions d'objets
    contenues dans l'IR pour interpréter/manipuler
    les valeurs fournies lors d'une requête
  • Pour permettre la vérification du type des
    signatures des requêtes
  • Pour aider à fournir l'interopérabilité entre
    différentes implémentations d'ORB
  • Comme l'interface vers les définitions d'objets
    maintenue dans une IR est publique, l'information
    maintenue dans l'IR peut aussi être utilisée par
    des clients et des services. Par exemple, l'IR
    peut être utilisé
  • Pour gérer l'installation et la distribution des
    définitions d'interfaces
  • Pour fournir des composants dans un environnement
    CASE (browser d'interface)
  • Pour fournir l'information interface aux
    compilateurs
  • Pour fournir des composants dans des
    environnements utilisateurs finaux (un
    constructeur de menus)
  • L'IR utilise des modules pour grouper des
    interfaces et pour naviguer à travers ces groupes
    au moyen de leurs noms. Un module peut contenir
  • Des constantes
  • Des définitions de types
  • Des exceptions
  • Des définitions d'interfaces

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CORBA LORB 6 BOA
  • BOA (Basic Object Adapter)
  • Un Object Adapter est l'interface principale pour
    une implémentation objet pour accéder aux
    services fournis par un ORB. On s'attend à ce
    qu'il y ait peu d'OA disponibles, avec des
    interfaces appropriées à des types spécifiques
    d'objets.
  • L'éventail important des granularités, temps de
    vie, politiques et styles d'implémentations d'un
    objet rend difficile pour l'ORB Core la
    fourniture d'une seule interface pratique et
    efficace pour tous les objets. Ainsi, à travers
    les OA, il est possible pour l'ORB de cibler des
    groupes particuliers d'implémentations objet qui
    ont des besoins similaires.
  • Le BOA est une interface visant à supporter un
    large éventail d'implémentations objet. Il
    fournit les fonctions suivantes
  • Génération et interprétation des ObjRef
  • Authentification du principal effectuant l'appel
  • Activation/désactivation des objets individuels
  • Activation/désactivation de l'implémentation
  • Invocation des méthodes à travers des skeletons
  • Le BOA supporte des implémentations objet
    construites d'un ou plusieurs programmes. Il
    communique avec ces programmes en utilisant les
    facilités du système d'exploitation. Il nécessite
    donc des informations qui sont, de façon
    inhérente, non-portables. Bien qu'il ne définisse
    pas cette information, le BOA définit le concept
    d'une Implementation Repository qui peut détenir
    cette information, autorisant chaque système à
    installer et démarrer des implémentations de
    manière appropriée à chaque système.

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CORBA LORB 7 BOA
  • BOA (Basic Object Adapter)
  • Le BOA est donc l'interface qui permet aux
    implémentations objet de pouvoir communiquer avec
    l'ORB et d'accéder à ses services (cf. Fig 2
    Structure et scénario d'un BOA)
  1. Le BOA démarre un programme pour fournir
    l'implémentation objet
  2. L'implémentation objet notifie le BOA que son
    initialisation est terminée et qu'elle est prête
    à manipuler des requêtes.
  3. Quand la première requête pour un objet
    particulier arrive, l'implémentation est avertie
    qu'elle doit activer l'objet.
  4. Dans les requêtes suivantes, le BOA appelle la
    méthode appropriée en utilisant les skeletons.
  5. A certains moments, l'implémentation objet peut
    accéder aux services du BOA tels que création
    d'un objet, désactivation...

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CORBA COSS I 1
  • Avant de détailler les services du COSS I (Common
    Object Service Specification I) à proprement dit,
    décrivons l'architecture générale d'un
    ObjectService. Un service est caractérisé par les
    interfaces qu'il fournit et par les objets qui
    fournissent ces interfaces. Un service peut
    impliquer un seul objet (par exemple un timer),
    plusieurs objets qui fournissent le même type
    d'interface (par exemple des objets threads) ou
    plusieurs objets qui fournissent des types
    d'interfaces distincts qui héritent d'un type
    d'interface de service (par exemple tout objet
    fournissant le service Cycle de Vie).
  • Chaque ObjectService fournit son service à un jeu
    d'utilisateurs qui sont typiquement des
    applications ou des Common Facilities, mais qui
    peuvent aussi être d'autres ObjectServices (cf.
    Fig 3).

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CORBA COSS I 2 Naming Service
  • Le service de nommage fournit le principal
    mécanisme à travers lequel la plupart des objets
    d'un système basé-ORB situent les objets qu'ils
    veulent utiliser. Pour cela, il utilise des noms.
    Un nom est une séquence ordonnée de composants.
    Chaque composant sauf le dernier nomme un
    contexte, le dernier dénote les objets liés par
    le nom. Un composant est composé de deux
    attributs
  • Attribut identifier identifiant
  • Attribut kind type du composant
  • Un contexte est un jeu de liens noms-objets dans
    lequel chaque nom est unique.
  • Le service de nommage permet
  • De lier un nom à un objet, ceci dans un contexte
    de nommage
  • De résoudre un nom, i.e., déterminer l'objet
    associé au nom dans un contexte donné
  • Les implémentations de ce service peuvent être
    spécifiques à une application ou bien basées sur
    une variété de systèmes de nommage actuellement
    disponibles, ceci grâce à la généralité du modèle
    utilisé et car les noms sont traités dans leur
    forme structurelle. Puisque les valeurs des
    attributs des noms ne sont ni assignées ni
    interprétée par ce service, les logiciels de plus
    haut niveau n'ont pas de contraintes en terme de
    politique sur l'utilisation ou la gestion de ces
    valeurs.
  • Par l'utilisation de bibliothèques de noms, la
    manipulation des noms est simplifiée, et les noms
    peuvent être indépendants de la représentation,
    permettant ainsi à cette représentation d'évoluer
    sans requérir de changements du côté client.
  • La localisation d'applications est facilitée par
    l'indépendance des noms au niveau syntaxique et
    par la présence de l'attribut kind.

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CORBA COSS I 3 Event Service
  • Dans CORBA, l'invocation standard d'une méthode
    consiste en une exécution synchrone d'une
    opération fournie par un objet. Or, pour la
    plupart des applications, un modèle de
    communication plus découplé entre objets est
    nécessaire. L'OMG a donc défini un jeu
    d'interfaces event service qui permet la
    communication asynchrone entre objets. Le modèle
    de l'OMG est basé sur le paradigme
    publish/subscribe.
  • Le service évènement définit deux rôles pour les
    objets producteur et consommateur. Les
    producteurs fournissent les données évènement,
    les consommateurs consomment ces données. La
    communication de ces données entre producteurs et
    consommateurs se fait par les requêtes CORBA
    standards. Les producteurs peuvent générer des
    évènements sans connaitre les identités des
    consommateurs. De même, les consommateurs peuvent
    recevoir des évènements sans connaitre les
    identités des producteurs.
  • Il existe deux approches pour initier la
    communication d'évènements
  • Le modèle push il permet à un producteur
    d'initier le transfert des données évènements
    vers le consommateur. Le producteur a donc
    l'initiative.
  • Le modèle pull il permet à un consommateur de
    solliciter des données évènements d'un
    producteur. Le consommateur a donc l'initiative.
  • La communication elle-même peut être soit
    générique soit typée
  • Communication générique toute communication se
    fait au moyen d'opérations push et pull
    génériques qui prennent un seul paramètre
    englobant toutes les données évènements.
  • Communication typée toute communication se fait
    via des opérations définies en IDL.
  • Ce service définit également des objets event
    channel. Un event channel est un objet qui permet
    à de multiples producteurs de communiquer avec de
    multiples consommateurs, et ce de manière
    asynchrone. Un event channel est à la fois un
    producteur et un consommateur d'évènements
    c'est un objet CORBA standard et donc la
    communication avec un event channel se fait par
    les requêtes CORBA standards. De plus,
    l'interface event channel peut être sous-typée
    pour supporter des facultés étendues. Les
    interfaces producteur et consommateur étant
    symétriques, on peut chainer des event channel
    (pour supporter par exemple divers modèles de
    filtrage des évènements).
  • Ce service fournit des capacités basiques qui
    peuvent être configurées ensemble de façon
    flexible et puissante, il supporte
  • Evènements asynchrones (découplés en producteurs
    et consommateurs)
  • Evènements fan-in
  • Evènements fan-out
  • Acheminement fiable d'évènements (par des
    implémentations appropriées d'event channel).

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CORBA COSS I 4 LifeCycle Service
  • Le service cycle de vie définit les services et
    les conventions nécessaires à la création, la
    destruction, la copie et au déplacement des
    objets. Puisque les environnements basés sur
    CORBA supportent des objets distribués, ce
    service autorise les clients à exécuter ces
    opérations sur des objets situés dans différents
    endroits.
  • Le modèle client pour la création d'objets est
    défini en termes d'objets factory. Un factory est
    un objet qui crée un autre objet. Ce n'est pas un
    objet spécial, il a des interfaces IDL bien
    définies et des implémentations dans un langage
    de programmation. Il n'y a pas d'interface
    standard pour un factory, cependant ce service
    définit également une interface pour un factory
    générique, ceci permet la définition de services
    de création standard. Les opérations remove, copy
    et move sont définies dans une interface
    LifeCycleObject.
  • Creation La plupart des paramètres fournis à un
    opérateur create seront dépendants de
    l'implémentation, une signature IDL standardisée
    et universelle pour la création n'est donc pas
    possible. Les signatures IDL pour la création
    seront définies pour différentes sortes d'objets
    factory mais elles seront spécifiques au type, à
    l'implémentation et au mécanisme de stockage
    persistant de l'objet devant être crée.
  • Deletion Un opérateur remove est défini pour
    tout objet supportant l'interface
    LifeCycleObject. Ce modèle pour la suppression
    supporte tout paradigme pour garantir l'intégrité
    référentielle. Le service décrit un support pour
    les deux paradigmes les plus communs, basés sur
    les relations de référence et de contenu. Un seul
    type de suppression est autorisé, une opération
    différente devra être utilisée pour archiver un
    objet.

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CORBA ORBIX 1
  • ORBIX est un produit commercial phare produit par
    la société IONA basé sur larchitecture CORBA 2
  • Comment ORBIX implémente CORBA ?
  • Orbix est un ORB basé sur les spécifications de
    larchitecture logicielle CORBA 2, tous les
    composants Orbix et les applications communique
    en utilisation le protocole standard CORBA basé
    sur IIOP
  • Les composants de lORBIX sont les suivants
  • Le compilateur IDL compile les  IDL
    definitions  et produit du code C qui permet
    de développer les  clients stub  et les
     server skeleton 
  • La library ORBIX met en Å“uvre plusieurs
    composants of lORB, incluant le DII, le DSI et
    lORB core
  • Le démon ORBIX est un processus exécuté sur
    chaque serveur et implémente plusieurs ORB
    components, incluant l Implementation
    Repository 
  • L  ORBIX Interface Repository server étant le
    processus qui implémente l Interface
    Repository 
  • ORBIX inclus aussi plusieurs programmes qui
    étendent les capacités de lORB
  • De plus ORBIX est un ORB qui combine les
    fonctionnalités standard de CORBA et intègre une
    suite dautres services comme OrbixNames,
    OrbixEvents, OrbixOTS, and OrbixSSL.

18
CORBA ORBIX 2
  • ORBIX Architecture
  • Larchitecture Orbix nous montre dans la partie
    basse, un nombre de serveurs et clients CORBA
    étant relié à lintranet et un serveur seul
    rattaché au système via Internet. Nous avons
    cette représentation parce quOrbix est
    intrinsèquement un système distribué.
    Larchitecture Orbix est basé sur une collection
    de composants coopérant ensemble au travers du
    réseau.
  • Les services standards de CORBA comme le Naming
    Service et Event Service (OrbixEvents) sont
    implémenté et clairement identifié comme
    processus avec des exécutables associés. Ils
    peuvent être éxécutés sur une ou plusieurs
    machines
  • Le schéma nous montre aussi que Orbix est ouvert,
    il peut être étendu avec dautres solution basé
    sur CORBA ou autres

19
CORBA ORBIX 3
20
COM Définition
  • Microsoft La technologie COM (Component Object
    Model) dans la famille Microsoft Windows des
    systèmes dexploitation permet à des composants
    logiciels de communiquer. COM est utilisé, par
    les développeurs, pour créer des composants
    logiciels ré-utilisables, pour créer des
    applications réparties à partir de composants
    liés entre eux, et de tirer profit des services
    Windows. La famille des technologies COM comprend
    COM, COM, Distributed COM (DCOM) et des
    contrôles ActiveX.
  • Wikipedia Component Object Model (COM) est une
    interface standard pour les composants logiciels
    mis en place par Microsoft en 1993. Il est
    utilisé pour permettre la communication interne
    et la dynamique de création de l'objet dans un
    large éventail de langages de programmation. Le
    terme COM est souvent utilisé dans les industrie
    du développement logiciel comme un terme général
    qui englobe la OLE, OLE Automation, ActiveX, COM
    et DCOM technologies.
  • L'essence de COM est limplémentation dobjets
    qui peuvent être utilisés dans des environnements
    différents de celui sur lequel ils ont été créés.
    COM permet de réutiliser ces objets sans
    connaissance de leur implémentation, comme il
    force lutilisation des composants au travers de
    leur interface, celle-ci étant distincte de son
    implémentation.

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COM Introduction
  • OLE ? OLE est l'abréviation de Object Linking and
    Embedding, ce qui signifie Intégration d'objets
    et Lien sur des objets. OLE est une technologie
    qui a été développée par Microsoft, initialement
    dans le but de permettre la programmation
    d'objets capables d'être insérés dans des
    applications réceptacles soit par intégration
    complète, soit par référence (ce que l'on appelle
    une liaison). Ce but a été atteint pour la
    plupart des applications et apparaît à présent
    dans le menu Coller Collage spécial. Les objets
    intégrés ou liés sont capables de s'afficher dans
    l'application qui les contient. Ils sont
    également capables de fournir un certain nombre
    de services standards permettant leur
    manipulation (ces services peuvent être la
    sauvegarde de leur état, la capacité à être
    édité, etc...). OLE est donc un remplacement
    efficace des liaisons DDE.
  • COM ? Pour réaliser cet objectif, Microsoft a dû
    fournir un standard de communication entre les
    différentes applications qui voulaient être OLE.
    Ce standard de communication, définit la méthode
    à employer pour accéder aux fonctionnalités des
    objets OLE, ainsi que les principaux services qui
    peuvent être nécessaires lors de l'intégration
    d'objets. Les programmeurs désirant réaliser une
    application OLE devaient se conformer au
    protocole d'appel du standard et fournir un
    certain nombre des services définis dans OLE. Ce
    standard a été conçu de manière ouverte, c'est à
    dire qu'il n'est pas nécessaire de fournir tous
    les services définis dans OLE pour être
    fonctionnel. Cependant, plus un objet OLE offre
    de services, meilleure son intégration est. De
    même, plus une application est capable d'utiliser
    des services, plus elle est fonctionnelle avec
    les objets qui fournissent ces services. Par
    ailleurs, il est possible de définir des services
    différents de ceux définis dans OLE, le système
    est donc également extensible. Le standard de
    communication qui a été défini se nomme COM, ce
    qui signifie Component Object Model, ou Modèle
    Objet de Composants. La plupart des services sont
    définis dans OLE, cependant, COM lui-même utilise
    un certain nombre de services. La limite entre ce
    qui est défini par COM et ce qui est défini par
    OLE est donc floue, mais en principe, les
    services COM sont tous des services systèmes.
    Comme on l'a dit, initialement, OLE devait
    permettre l'intégration des objets entre
    applications. En fait, il s'est avéré qu'OLE
    faisait beaucoup plus que cela grâce à COM, il
    permettait l'écriture de composants logiciels
    réutilisables par différentes applications. Il
    s'agit donc bien d'une technologie à composants.
  • DCOM ? Microsoft a ensuite complété la
    technologie COM afin de permettre la répartition
    des composants sur un réseau. L'aspect distribué
    des composants COM ainsi répartis a donné le nom
    à cette extension de COM, que l'on appelle
    simplement DCOM (pour Distributed COM). Dans la
    suite du document, on considérera que COM est
    distribué, on utilisera donc systématiquement le
    terme DCOM.

22
COM DCE/RPC 1
  • DCE (Distributed Computing Environment, de lOSF
    (Open Software Foundation) consortium de
    fabricants dordinateur (IBM, DEC, HP, ).
  • DCE est un ensemble doutils, qui tournent sur un
    OS, servant à la création et au déroulement
    dapplications distribuées.
  • Lun de ces composants est RPC (Remote Procedure
    Call) basé sur le protocole ORPC (Object RPC).
    RPC est la base de toute communication dans DCE.
  • RPC-DCE utilisent la génération automatique de
    stubs

23
COM DCE/RPC 2 Coté Client
  • Le  Stub  client
  • Call request
  • Reçoit un  call request  du client,
  • Forme un message (pack) avec les spécifications
    de la procédure distante et les paramètres,
  • Demande au RPCRuntime de les transmettre au stub
    serveur (Dans larchitecture COM cest le runtime
    de COM qui est utilisé).
  • Result
  • Reçoit le résultat de lexécution de la procédure
    du RPCRuntime (Dans larchitecture COM cest le
    runtime de COM qui est utilisé),
  • Décode le message (unpack),
  • Transmet les données au client

24
COM DCE/RPC 3 Coté Serveur
  • Le  Stub  serveur
  • Call request
  • Reçoit un  call request  du RPCRuntime (Dans
    larchitecture COM cest le runtime de COM qui
    est utilisé),
  • Décode le message (unpack),
  • Exécute lappel de procédure locale (normalement)
    dans le serveur.
  • Result
  • Reçoit le résultat de lexécution de la procédure
    du serveur,
  • Forme un message (pack) avec les résultats,
  • Transmet les données au RPCRuntime (Dans
    larchitecture COM cest le runtime de COM qui
    est utilisé),

25
CORBA vs COMArchitecture CORBA
26
CORBA vs COMArchitecture DCOM
27
CORBA vs COMDifférences darchitecture
  • On note des différences au niveau de
  • La couche  basic programming architecture ,
    cest en fait ce qui est visible par les
    programmeurs.
  • DCOM La Class factory permet de créer de façon
    standard des objets
  • La couche intermédiaire est la  remoting
    architecture  qui rend transparente linterface
    des pointeurs ou des références significatives
    objet.
  • DCOM On parle parfois de proxy pour le  client
    stub 
  • CORBA Le serveur stub est appelé le skeleton
  • La couche inférieure représente le protocole de
    communication utilisé, qui étend la  remoting
    architecture .
  • DCOM protocole ORPC
  • CORBA protocole IIOP

28
CORBA vs COMRésumé
  • CORBA et DCOM sont fondamentalement similaires
    puisquils fournissent tous une infrastructure
    objet distribué qui par transparence permet
    dinvoquer et daccéder à des objets distants.
  • Architecte permettant la réutilisation de code et
    de services sur Internet
  • DCOM supporte les objets avec des interfaces
    multiples alors que CORBA permet à une interface
    dhériter de plusieurs interfaces.
  • Toutes interfaces CORBA héritent de CORBAObject
    étant le constructeur qui effectue les taches
    denregistrements, de génération de référence
    dobjet, dintanciation de  skeleton , etc
    Dans DCOM ces taches sont effectuées soit
    explicitement par le serveur soit dynamiquement
    par le run-time DCOM
  • Les spécifications DCOM contiennent de nombreux
    détails qui traitent des problèmes de mise en
    oeuvre que ne spécifie pas CORBA

29
CORBA vs COMFAQ
  • Que Choisir entre CORBA et DCOM ?
  • Jutilise les produits Microsoft Pourquoi
    devrais-je choisir CORBA plutôt que DCOM ?
  • DCOM est une solution spécifique de distribution
    Microsoft.
  • Les produits CORBA sont disponibles auprès de
    plus de 20 fournisseurs différents.
  • Les produits CORBA supportent Microsoft mais pas
    lOS Windows.
  • CORBA est un excellent mécanisme de ponts entre
    les  Windows Desktops  et les serveurs Unix.
  • Dois-je chosir entre DCOM et CORBA ?
  • Non. Les applications distribuées peuvent être
    développées en utilisant CORBA ou DCOM. Par
    exemple des objets COM peuvent accéder à des
    objets CORBA en cours dexécution sur un serveur
    Unix. LOMG a défini une sorte de  passerelle 
    qui standardise les échanges entre COM et CORBA.
  • Est-ce que CORBA est plus mature que DCOM ?
  • CORBA existe depuis 1990. Des solutions
    commerciales sont disponibles depuis 1992.
  • DCOM était disponible en beta version en 1996.
  • CORBA a eu plus de temps pour mûrir et il y a un
    grande nombre de compagnies qui ont développé en
    CORBA ORB. Dans lensemble cest cette
    concurrence qui a certainement contribué à rendre
    CORBA plus robuste.
  • Quels avantages a DCOM de plus que CORBA ?
  • DCOM est bien adapté à des développements
    dapplication de type  front-end .
  • Si toutes les applications distribuées
    fonctionnent sous les plateformes Microsoft, DCOM
    peut être le bon choix.

30
CORBA vs COMInconvénients
  • Difficultés pour les faire marcher à travers des
    firewalls et sur des machines inconnues et non
    sécurisées.
  • Plus difficile à mettre en Å“uvre que dautres
    solutions comme les web services par exemple.

31
CORBA vs COMFutur 1
Web Service RMI CORBA DCOM
Transport Protocol Http JRMP IIOP ORPC
Data Binding XML schema (allow customized data type) Primitive, Serialized objects IDL (primitive and structure) MS IDL
Compliant prog. Langs. Any (with XML parser, SOAP composition) java Any (with IDL mapping standards) Many (C, Java, VB, etc.)
32
CORBA vs COMFutur 2
Web Services RMI CORBA DCOM
Interface Description WSDL Interface of server objects IDL MS IDL
Remote Call By SOAP message Get references of server objects Get reference of server object Get Pointer of server objects
Routine Stub Proxy DII Client stub or proxy Server skeleton Client stub or proxy Server skeleton Client proxy Server stub
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Bibliographie
  • CORBA, COM et les autres
  • Middleware et Internet de Daniel Serain
  • http//research.microsoft.com/en-us/um/people/ymwa
    ng/papers/html/dcomncorba/s.html
  • http//www.flydragontech.com/ebcourseWinter2008/9_
    comparison.ppt
  • COM
  • http//www.microsoft.com/COM/
  • http//windows.developpez.com/faq/dcom/
  • CORBA
  • http//www.omg.org/gettingstarted/corbafaq.htm
  • http//www.wikipedia.com
  • http//corba.developpez.com
  • http//www.sylbarth.com/corba/corba.html
  • http//www.iona.com/support/docs/orbix/gen3/33/htm
    l/orbix33cxx_intro/Chapter_01.html

34
Questions
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