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Title: R


1
Réunion APEFEL , 03/03/2004Agadir
  • L impact de la nouvelle rĂ©glementation
    européenne
  • sur les exportations de produits horticoles
  • vers lUnion EuropĂ©enne
  • Application du Programme Initiative Pesticides
  • Roland M. Levy RĂ©glementation et RĂ©sidus
    Programme Initiative Pesticides

2
  • Actualisation de la lĂ©gislation UE
  • en relation avec
  • les limites maximales de rĂ©sidus
  • -----------------
  • StratĂ©gie du programme COLEACP/PIP

3
(No Transcript)
4

Contrôle des résidus de pesticides dans les
fruits tropicaux France (DGCCRF) 2000 (contd)
  •  

Conclusions? Nombre danalyses? Sens des
LMRs? Dépassements? Existe t-il un problème
santé consommateur? Quels sont les objectifs du
monitoring et des contrĂ´les OĂą est la
légalité? Ces résultats affectent-ils les
exportations?
5
Contexte Réglementaire Normes plus élevées
pour la protection du consommateur
  • Fait nouveau crĂ©ation de lAESA
  • lAutoritĂ© EuropĂ©enne de la SĂ©curitĂ©
    Alimentaire
  • Nouveaux outils lĂ©gislatifs pour les rĂ©sidus des
    Produits de protection des Plantes

6
Fait nouveau création de lAESA
  • Pour assurer un niveau uniforme et plus Ă©levĂ© de
    protection de la santé du consommateur et
    accorder plus de confiance à ce nouveau système
    après les nombreuses crises alimentaires
    auquelles lUnion a du faire face
  • Impact plus de contrĂ´le, lĂ©valuation des
    produits pour la Protection des Plantessera
    transférée à cette nouvelle organisation donc une
    plus grande transparence
  • La ResponsabilitĂ© de la sĂ©curitĂ© alimentaire est
    ainsi conférée aux différents acteurs impliqués
    dans la production daliments
  • Les Etats Membres pratiqueront des vĂ©rifications
    de surveillance et la CE assurera lefficacité
    du système au travers daudits et de mesures de
    contrĂ´le.

7
Nouvelle législation EU en relation avec
les Résidus annoncée par D.Byrne, March 2003
Commissaire UE pour la Santé et la protection du
consommateur
  • 4 Directives UE sur les LMRs remplacĂ©es
  • par un seul rĂ©glement CONSOLIDATION
  • Les nouvelles procĂ©dures sont mises en oeuvre
  • par des rĂ©glements plutĂ´t que par des Directives
    SIMPLIFICATION
  • Les procĂ©dures dĂ©valuation des risques
  • et les propositions de LMRs sont transfĂ©rĂ©es
  • Ă  lAESA EFFICACITE
  • Les problèmes de LMRs non harmonisĂ©es sont
  • rĂ©solus par des mesures --- PRATIQUES

8
LMRs - Définitions
  • DĂ©finitions LMR
  • Le niveau maximum de rĂ©sidus (LMR) rĂ©flète
    lusage de la quantité minimale de pesticide
    nécessaire à la protection effective de la
    plante, appliquée de telle manière que la
    quantité de résidu est pratiquement et
    toxicologiquement la plus petite acceptable
  • Les LMRs reprĂ©sentent la quantitĂ© maximale de
    résidus dans la commodité dorigine végétale ou
    animale (parfois après transformation) après une
    application de pesticide conforme Ă  la Bonne
    Pratique Agricole (BPA)

9
LMRs - Définitions
  • En dautres termes, les LMRs sont strictement
    basées sur la Bonne Pratique Agricole (BPA)
  • Les BPA sont des pratiques agricoles autorisĂ©es
    pour le
  • contrĂ´le des nuisances et sont dĂ©finies, pour une
    culture
  • donnĂ©e, comme suit
  • formulation type,
  • processus dapplication,
  • dose appliquĂ©e,
  • nombre dapplications,
  • dĂ©lai avant rĂ©colte (DAR)
  • Si la BPA est diffĂ©rente, la LMR peut ĂŞtre
    différente

10
Comment fixe-t-on les LMRs UE
  • 1 DĂ©finition des rĂ©sidus appropriĂ©s (parent
    et/ou métabolites)
  • 2 Compilation de rĂ©sultats de rĂ©sidus
    existants ou lancement de nouvelles études de
    résidus, conformément aux BPA autorisées en
    Europe. Association de cultures de base ou
    extrapolation
  • 3 SĂ©lectionner les donnĂ©es appropriĂ©es
    correspondant Ă  la BPA CRITIQUE
  • 4 Evaluation statistique des donnĂ©es
  • 5 Estimer le potentiel dingestion par le
    consommateur et comparer avec les éléments de
    toxicité chronique et aigüe si nécessaire. Agir
    de mĂŞme pour les populations de consommateurs
    potentiellement à risque comme les bébés et les
    enfants
  • 6 Soumettre aux autoritĂ©s rĂ©glementaires
    compétentes, nationales ou aux Etats Membres ou
    Ă  la Commission.
  • 7 Attendre, attendre, attendre

11
UE LMRs exemple pratique
  • Base pour la fixation des LMRs UE
  • DĂ©finitions classification des cultures en
    majeures/mineures
  • cultures majeures consommation 7.5 g/jour
    (adulte)
  • gt 10000 ha
  • gt 200 000 t/an
  • cultures mineures par liste
  • Les Ă©tudes doivent ĂŞtre rĂ©alisĂ©es dans
    différentes zones géographiques afin de
    représenter limpact de conditions variables
    selon selon les aires dapplication Nord de
    lUnion, Sud de lUnion, serres si nécessaire.
  • Pour la procĂ©dure de fixation de la LMR, le
    choix de la culture sélectionnée doit tenir
    compte des groupes de cultures semblables et de
    la possibilité dextrapolation

12
MRLs EU Crop grouping (minor/major)
13
MRLs Example of Extrapolation Application
close to harvest
14
LMRs
  • Conclusion
  •  Les LMRs sont des donnĂ©es quantitatives
    permettant dassurer que les pesticides ont été
    appliqués conformément aux usages homologués . Il
    est évident que limportation ou la
    commercialisation de produits contenant un niveau
    de résidus supérieur à la LMR considérée est
    absolument illégal.
  • Les LMRs sont
  • Des limites rĂ©glementaires lĂ©gales pour une
    certaine teneur en résidus dans les commodités
    traitées.
  • Directement liĂ©es aux BPA, donc aux usages
    homologués des pesticides.
  • Aussi basses que possible pour protĂ©ger le
    consommateur

15
  • Impact de la Directive 91/414/EEC
  • sur les LMRs
  • RĂ©vision
  • Nouvelles Substances Actives (AS)

16
UE Révision des substances actives existantes
  • Phase 1 90 substances actives RĂ©glement
    3600/92/CE
  • Soumission dossiers en 1994
  • Phase 2 149 substances actives RĂ©glement
    451/2000/CE
  • Soumission dossiers 2002
  • Phase 3 399 substances actives RĂ©glement
    451/2000/CE
  • Soumission dossiers 2003 and 2004
  • Phase 4 277 substances actives RĂ©glement
    1112/2002
  • Soumission dossiers ?
  • TOTAL 838 substances actives sur le marchĂ© UE
    après juillet 1993

17
UE Révision des substances actives existantes
selon la Directive 91/414/EEC
  • Quelle est la situation en 2004?

18
Directive UE 91/414/EC Situation Dec.2003
  • s.a Existantes
  • Liste Nb s.a. Annexe 1 RetirĂ©es En
    cours Date de terminaison
  • 1 90 AS 34
    25 31 2005
  • 2 147 AS -
    96 51 2005
  • 3 404 AS -
    238 166 2008
  • 4 273 AS -
    87 186 2008

  • _____
  • Total 34
    446
  • Nouvelles s.a. (chemiquesmicroorg)
  • Annexe 1 RetirĂ©es En cours
    Total
  • 49 7 44
    100
  • A ce jour (Dec. 2003) Annexe I 75 s.a., 476
    retirées (incl. 19 non PPP)

19
Directive UE 91/414/EC Situation Dec. 2003
  • Situation des LMRs (sans µorg.)
  • Annexe 1 soutenues HarmonisĂ©es Non
    harmonisées
  • s.a.existantes 34 417
    94 323
  • nouvelles s.a. 49 100
    23 77
  • Total 83 517 117
    ca. 400

  • RetirĂ©es HarmonisĂ©es Non harmonisĂ©es
  • s.a.existantes 446 63
    376
  • nouvelles s.a. 7
    21(provis.) 0
  • bannies (79/117/EEC) 17 17
    0
  • Total 470
    101 ca. 376
  • Grand Total 218 ca. 776

20
Problèmes commerciaux un exemple
  • Exemple du Prochloraz sur la Mangue (fongicide
    post-récolte)
  • Jusquen 08/2003 pas de LMR UE harmonisĂ©e pour le
    prochloraz.
  • En France pas de LMR,
  • Allemagne 2 mg/kg,
  • Belgique 3 mg/kg,
  • Espagne 5 mg/kg.
  • En 1997, lAllemagne importe avec un rĂ©sidu de
    0,7 mg/kg donc conforme à la législation
    nationale. Les mangues son revendues en France,
    doù marchandise bloquée et amende pour le
    négociant français.
  • Aujourdhui, la LMR est harmonisĂ©e Ă  5mg/kg
    (Directive 2002/79) du
  • 2 octobre 2002, entrĂ©e en application au 1er
    août 2003 dans tous les états membres.

21
Difficultés de lHarmonisation
  • Actuellement, chaque EM peut fixer ses propres
    LMRs
  • Pour un mĂŞme couple s.a./culture la LMR peut
    varier dun EM Ă  lautre
  • Il ny a pas vraiment de  libre circulation des
    marchandises .
  • La Directive 97/41 amendant Dir.90/642 doit
    permettre larbitrage mais elle nest jamais
    sollicitée, la procvédure étant longue et
    compliquée
  • Il ny a pas ,au niveau de la CE une action
    commune des importateurs.
  • Si le Parlement EuropĂ©en nĂ©lève aucune objection
    au rapport Sturdy sur la nouvelle proposition du
    14/03/03, dans le plus optimiste des cas, le
    nouveau réglement nentrera en vigueur quen
    2006.
  • Actuellement, la DG SANCO Ă©tablit une base de
    données rassemblant toutes les LMRs nationales
    avec lintention de les harmoniser avant
    lapplication du nouveau règlement.
    Malheureusement, chaque EM tient Ă  prouver Ă  sa
    population sa rigueur dans le domaine de la
    protection du consommateur, se montrant
    particulièrement réticent à modifier ses LMRs
    nationales.

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UE Révision des substances actives existantes
Liste 4
  • RĂ©glement 1112/2002
  • 277 substances actives
  • Notification Ă  soumettre avant le 30/10/2002
  • Comporte
  • Microorganismes
  • Substances autorisĂ©es dans les aliments pour
    animaux
  • Extraits de plantes
  • Pheromones, attractifs, repulsifs..
  • Produits industriels (acide sulfurique )
  • Rodenticides
  • Autres comme lethanol, nicotine, rotenone
  • Les dĂ©rivĂ©s du soufre et lĂ©thylène
  • (Par manque dintĂ©rĂŞt des fabricants dĂ©thylène,
    le COLEACP a notifié pour les bananiers,
    agrumiers...)

23
UE Nouvelles substances actives
  • Nouvelles substances actives
  • Substances Actives pour lesquelles, 1ère
    autorisation de mise sur marché après juillet
    1993
  • Autorisation temporaire (APV) conduit Ă  une LMR
    temporaire pour faciliter les échanges commerciaux

24
LMRs UE- changement de procedure
Proposition (applic. 2006?)
  • Si pas de LMR harmonisĂ©e, actuellement les EM
    peuvent fixer des LMRs nationales conduisant
    souvent à des problèmes commerciaux intra UE.
  • Nouvelle proposition EM ne fixent plus de LMRs
  • AESA propose les LMRs Ă  la Commission EuropĂ©enne
  • Dates pivot 91/414/EEC 2003 and 2008
  • Date pivot lĂ©gislation sur les rĂ©sidus en
    2004
  • ca. 476 substances retirĂ©es
  • ca. 400 sur le marchĂ© sans LMRs
    harmonisées

25
LMR- changement de procedure Propositions
(suite)
  • Les LMRs seront supprimĂ©es si
  • Usages non autorisĂ©s,
  • DonnĂ©es scientifiques insuffisantes (voir 2,4-D
    sur agrumes),
  • Pas sures pour le consommateur..substituĂ©es par
    LMR de 0.01 mg/kg (pourrait être inférieure,
    surtout pour les s.a. à très basse DJA). Cette
    valeur simpose quand il ny a pas détude de
    résidus ou de méthode analytique éprouvée.
  • Pourquoi 0.01 mg/kg? DĂ©cidĂ© par lAllemagne ?
    expérience practique, protection du consommateur,
    détection par les méthodes analytiques
    multi-residus

26
LMR- changement de procedure Propositions
(suite)
  • Proposition 2 types de LMRs
  • Fixes rassemblement de toutes les LMRs
    harmonisées independamment de leur inscription
    ou non Ă  lAnnexe 1
  • Temporaires toutes substances actives nayant
    pas de LMRs harmonisées(ca.770 substances).
  • Pour les 476 retirĂ©es, la politique du LOQ
    (limite de quantification) par défaut
    prévaudra ( probablement jusque fin 2004),
    avant de passer Ă  des LMRs fixes.

27
LMR- changement de procedure Propositions
(suite)
  • Des Tolerances Import (TI) seront requises si
  • 1. S.a. autorisĂ©e dans lUE, mais lapplication
    se fait sur une culture hors UE (okra)
  • Culture traitĂ©e avec une substance active non
    autorisée ou retirée en UE, mais homologuée dans
    le pays dorigine.
  • - Si le niveau de rĂ©sidus est ? 0,01mg/kg, pas
    de restriction
  • - Si le niveau gt 0,01mg/kg, nĂ©cessite un
    dossier complet
  • - Si problème toxicologique, la TI ne sera
    pas accordée
  • 3. RĂ©sidu plus Ă©levĂ© que la LMR harmonisĂ©e

28
Dossier de Tolérance Import (Contenu)
  • Ce dossier comprend
  • DĂ©finition du rĂ©sidu appropriĂ© et MĂ©thode
    dAnalyse
  • Certificat national dhomologation
  • Description de la BPA et de sa justification
    biologique
  • Etude de RĂ©sidus en principe 8 pour culture
    majeure et 4 pour une mineure (sur décision des
    experts de la CE)
  • DonnĂ©es liĂ©es au comportement des rĂ©sidus
    (métabolisme dans la plante, bétail et animaux de
    basse-cour, études sur lalimentation animale,
    transformation, métabolisme animal, procédés
    industriels..)
  • Proposition dune LMR
  • DonnĂ©es toxicologiques pour Ă©tablir la DJA et/ou
    la dose de référence aiguë si justifiée
  • Estimation de rĂ©gime alimentaire (WHO diet 2003
    ou Euro modèle en préparation)
  • Autres donnĂ©es (CODEX, homologations...)
  • DonnĂ©es supplĂ©mentaires si nĂ©cessaire

29
Procédure pour lintroduction de la demande de
Tolérance Import
  • Quand le dossier de demande est prĂŞt , la
    procédure actuelle est la suivante
  • Introduction du dossier Ă  la DG SANCO Ă  Bruxelles
  • VĂ©rifier que le dossier est complet
  • Dossier soumis pour Ă©valuation Ă  lEtat Membre
    Rapporteur (EMR)
  • EMR fait ses recommandations et renvoie le
    dossier Ă  la DG SANCO
  • DG SANCO organise une rĂ©union du groupe de
    travail  résidus  européen pour obtenir une
    opinion indicative sur les recommandations de
    lEMR
  • Si approbation, DG SANCO notifie au groupe de
    travail SPS de lOMC
  • Après les 2 mois de prĂ©avis, nouvelle rĂ©union
    avec le groupe de travail  Résidus  pour
    opinion définitive à transmettre à la Commission.
  • La Commission adopte and publie par
    lintermédiaire dune  Directive 
  • Meilleur des cas 15 mois
  • Pire des cas 24-36 mois

30
COLEACP/PIP objectifs
  •  

Aider à renforcer la compétitivité des sociétés
privées ACP du secteur horticole en prouvant la
conformité aux exigences de qualité sanitaire de
leurs exporatations vers lUE
31
Exigence de conformité
  • .

1.200.000 T
UE (2002)
ACP
.
Légumes 110.000T
Banane 730.000 T.
Autres Fruits 365.000 T.
Avocat 12.000 T.
Ananas 200.000 T
32
Les 4 composantes du PIP
  • Bonnes Pratiques en Entreprise
  • RĂ©glementation et RĂ©sidus
  • Renforcement des CapacitĂ©s
  • Information et communication

Solutions Durables
33
A. Bonnes Pratiques en Entreprise
  • Audit des entreprise pour Ă©tablir un diagnostic
  • ContrĂ´le des cultures et des usages
  • DĂ©finir les besoins de mise en conformitĂ©
  • VĂ©rifier lexistence dune cellule  qualitĂ©
    sanitaire 
  • Initier les demandes dintervention du PIP
  • Installer des systèmes de traçabilitĂ© et de
    formation Ă  laide de modules et de sessions
    en entreprise ou en commun
  • PrĂ©parer, si nĂ©cessaire, Ă  la certification
    (EUREPGAP ou autres)
  • Actuellement, 100 demandes dintervention ont Ă©tĂ©
    enrégistrées couvrant 12,500 planteurs avec un
    flux dexportation de 240,000 T/an.

34
B. Réglementation et Résidus
  • SĂ©lection des prioritĂ©s pesticide/culture
    conforme à la Directive 91/414. Révision
    avec le CE, les fabricants et les institutions
    de recherche.
  • Des experts culture associĂ©s visitent des
    entreprises pour établir des protocoles
    culture de base intégrant agriculture
    raisonnée et lutte intégrée.
  • 5 protocoles sont prĂŞts et ont Ă©tĂ© discutĂ©s
    en atelier
  • Liste des nuisances par culture
  • SĂ©lection des cultures
  • Fruits Ananas, mangues, papaye, avocat,
    passiflore Légumes Haricots et pois,
    tomates cerise, okra

35
B. Réglementation et Résidus
(suite)
  • Contact Ă©troit avec la DG SANCO et accords de
    partenariat signés avec Crop Life International
    et les fabricants de pesticides.
  • Après sĂ©lection finale des prioritĂ©s
    pesticides/culture, définir un itinéraire
    technique de référence tenant compte de toutes
    les exigences réglementaires européennes
  • Programmer des essais en champ avec les experts
    culture , les fabricants et les prestataires de
    services locaux pour valider nos itinéraires
    techniques de référence (ITR). Début au Sénégal
    sur HV en 11/2003.
  • Cas Ă©tudiĂ©s ananas, papaye et haricot vert
  • Monitoring et dĂ©termination des demandes de
    Tolérance Import (TI)
  • PrĂ©parer, avec les fabricants, les demandes de
    LMRs ou TI via
  • - expĂ©rimentation (ananas, papaye et
    haricot vert )
  • - extrapolation (ignames)
    (Doc.7525/VI/95-rev 7)

36
Procédé de sélection des S.A. (LMR/TI)
Kenya
CĂ´te dIvoire
Sénégal
Autres
Priorités (liste exhaustive)
NON
Retitrée
Alternatives?
Alternatives?
OUI
NON
NON
Liste retenue
37
Itinéraire technique Ananas(Cycle 13 - 15 mois )
  • Avant plantation herbicidenĂ©maticide
  • 0 Ă  8 mois plantation / traitement
    dinduction florale pas de résidues attendus
  • 8 Ă  12 mois pas de traitement avec pesticides
  • 13e mois insecticide (1 Ă  3 sem.avant
    récolte) déverdissage
     éthéphon 
  • (1 semaine avant rĂ©colte)
  • Post-rĂ©colte fongicide (triadimefon)

38
Itinéraire technique papaye(Cycle 36 mois)
  • Avant plantation herbicide
  • 6 - 8 mois premiers fruits fruits
  • 8 Ă  36 mois rĂ©colte toutes les semaines avec
    traitements intermédiaires avec
    fongicides et insecticides Quen est-il
    des DAR et des résidus?
  • Post-rĂ©colte fongicide (prochloraz)

39
Itinéraire technique Haricot vert(Afrique de
lOuest)(55 Ă  75 jours)
  • Semences traitement fongicide
    (thirame)
  • Avant plantation nĂ©maticides
  • Durant la croissance traitement avec divers
    fongicides,
    insecticides
  • RĂ©colte manuellement tous les
    deux jours
  • (problème potentiel avec les DAR et les rĂ©sidus)
  • Post-rĂ©colte pas de traitement

40
B. Réglementation et Résidus (suite)
  • NĂ©gocier avec les autoritĂ©s locales lobtention
    dAMM (papaye). Les fabricants entament la
    procédure dhomologation avec lappui des
    autorités ACP qui devraient reconnaître la
    spécificité du réseau horticole
    dexportation)
  • ContrĂ´ler les mĂ©thodes analytiques pour
    lanalyse des résidus
  • PrĂ©ciser les besoins des exportateurs en
    contrôle des résidus
  • SuggĂ©rer des alternatives bio, autres
  • VĂ©rifier et renforcer les capacitĂ©s analytiques
    locales
  • Aider Ă  lajustement des rĂ©glementations ACP
    nationales
  • Organiser des ateliers techniques pour la
    restitution des ITR. Kenya(09/03,
    11/03),Senegal (09/03), Ghana (10/03), 5
    prévus en 2004

41
C. Renforcement des capacités
  • Cest la composante horizontale du PIP devant
    améliorer la qualité des services dappui
    offerts Ă  lindustrie horticole dexportation
  • Organiser et soutenir les  Task forces 
    nationales attirer lattention sur les
    problèmes spécifiques de la filière, identifier
    les priorités pourf un renforcement des
    capacités,coordonner laction des donneurs de
    fonds, promouvoir lintégration régionale
  • Renforcer les structures intermĂ©diaires et
    leur permettre de devenir de véritables
    centres de sources dinformation, de structures
    de formation pour la qualité sanitaire
  • Monter et mettre en Ĺ“uvre les programmes de
    renforcement des capacités pour les
    prestataires de services du public et du privé,
    des laboratoires danalyses locaux.

42
D. Information and communication
  • web site www.coleacp.org
  • Info PIP lettre mensuelle, PIP Magazine
    trimestriel
  • Accès aux sites web CE, EPA, australien,
    canadien
  • Service Questions/RĂ©ponses (Q/R) qui sera utilisĂ©
    ultérieurement pour la formation à distance
  • Preparation et distribution des Ă©tudes ,
    pamphlets et tous documents liés à lactivité du
    PIP
  • Media Management

43
CONCLUSION
  • Que nous rĂ©serve le futur?
  • La Directive 178/2002 (Art.18), nous impose une
    traçabilité totale  du champ à la table  à
    partir du 1er janvier 2005.
  • De nombreux supermarchĂ©s, surtout aux pays-Bas et
    au Royaume Uni vont exiger de leurs fournisseurs
    une certification EUREPGAP.
  • Les supermarchĂ©s Français Ă©tablissent leurs
    propres spécifications intégrant très strictement
    les nouvelles exigences réglementaires
    européennes
  • Certains supermarchĂ©s sont encore plus exigeants
    le niveau de résidu ne doit pas dépasser 50 de
    la LMR ou parfois encore moins. Surenchère
    publicitaire qui na plus aucun sens
    scientifique.
  • Quen est-il si la LMR est fixĂ©e Ă  la LOD
    (limite de détermination)?

44
CONCLUSION(suite)
  • Avec lappui de la composante  RĂ©glementation 
    du PIP,
  • En adaptant les protocoles culture pour les
    mettre en concordance avec les exigences
    réglementaires, les producteurs garantissent
    et/ou améliorent leurs parts des marchés
    européens , donc augmentant de ce fait les
    rentrées de devises étrangères
  • En renforçant, au travers du PIP, les capacitĂ©s
    analytiques, les ACP deviennent autonomes dans le
    contrôle de la qualité sanitaire, tant pour les
    marchés locaux quà lexportation
  • En ajustant les procĂ©dures dhomologation, le
    Ministère de lAgriculture établit des règles
    rigoureuses pour lusage des pesticides et leur
    libre circulation.
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