LE LANGAGE EN MATERNELLE - PowerPoint PPT Presentation

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LE LANGAGE EN MATERNELLE

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... c est signe qu il a acquis de la distance avec l usage de la langue et du langage. ... dont moins de 1 % d ficience s v re. Retard de parole : ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: LE LANGAGE EN MATERNELLE


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LE LANGAGE EN MATERNELLE
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  • La langue  définition 
  • Produit social et culturel. On naît dans une
    langue.
  • Construction humaine qui évolue dans le temps.
  • Système complexe régi par des régularités que
    lon peut observer, objectiver.
  • Système dassociation et de coordination de
    signes  ces signes sont approximativement des
    mots qui ont une double facette puisquils
    réalisent lunion dun contenu sémantique
    (signifié) et dune image acoustique et visuelle
    (signifiant).
  • La langue se réalise dans des signes
    phonétiques par la parole et
  • dans des signes graphiques par lécriture.
  • Tout locuteur dune langue a une
    connaissance intuitive de ses règles en dehors de
    tout apprentissage explicite de la grammaire.
  • Les régularités dune langue sont acquises par
    imprégnation au cours des interactions.

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Le langage 
  • Définition  fonction humaine, produit dune
    activité dun sujet sexprimant au moyen dune
    langue.
  • Essentiel au développement de lenfant et pour
    ses apprentissages, permanent, sacquiert en
    situation.
  • 2 dimensions essentielles
  • Instrument de communication (dimension
    psychologique, sociale) sert à gérer les
    interactions qui doivent respecter des usages
    culturels (pas de leçons de communication).
  • A lécole, lenfant découvre des modalités
    nouvelles dinteractions sociales, notamment dans
    les groupes.

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Instrument de représentation du monde
  • (dimension cognitive) ? mobilise la fonction
    référentielle (lexique) et la fonction narrative
    (le récit) par les mots, on transmet les
    connaissances objectives
  • Puissant moyen dexplication du monde, de
    symbolisation

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  • 2 formes de langage 
  • langage intérieur  quand on écoute, quand on lit
    réfléchit. Il permet les représentations.
  • - langage extériorisé  discours adressé à
    quelquun (celui quon va développer à lécole)

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  • 2 registres
  • Objet dapprentissage abstrait (comme la
    lecture ), demande du temps, des moments
    structurés, petits groupes, pas de leçons, sous
    forme ludique
  • Outil pour apprendre
  • - aide à la formation des concepts.
  • - donne forme à du  pensé 
  • - aide à mettre en perspective les expériences
    vécues, intégré dans la vie de classe (EPS,
    sciences

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ORAL un des fondements des autres apprentissages
  • Cest le cas pour la lecture, lécriture, la
    grammaire
  • Si pas de bon niveau oral on est lésé sur le
    plan social
  • Importance dun vrai temps de travail sur loral,
    un temps où lon rend les élèves conscients que
    ce ne sont pas de simples conversations mais des
    moments où ils apprennent quelque chose.
  • Dire aux enfants ce que lon attend deux.

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Le langage en situation scolaire 
  • Correspond
  • ? aux activités de réception et de compréhension
    (écouter, lire)
  • ? aux activités de production (parler, écrire).
  • Peut être affecté par des perturbations.
  • Repérer très tôt un objectif prioritaire de
    lécole (BO n 6 du 07.02.2002 mise en œuvre
    dun plan daction pour les enfants atteints dun
    trouble spécifique du langage oral ou écrit
    (repérer, dépister, diagnostiquer, prendre en
    charge).
  • Outils Chevrier - Muller ANAE (PS) et
    BSEDS (GS)
  • Rappel pas de réponse orthophonique
    systématique
  • Réponse orthophonique pour les enfants de 3 / 4
    ans sil existe des critères de sévérité
    (inintelligible, agrammatique, troubles de la
    compréhension)
  • Agrammatique ne fait aucune phrase en
    février par exemple.
  • Troubles sans critères de sévérité
    accompagnement pédagogique, accompagnement
    familial mais suivi médical (médecin qui teste le
    langage).
  • Rappel 4 à 6 des enfants sont concernés par
    des troubles dont moins de 1 déficience sévère.
  • Retard de parole mise en séquence des phonèmes
    perturbée gâteau est prononcé tato .
  • Retard de langage difficulté à associer les
    mots en phrases, maladresses syntaxiques,
    omissions des mots outils, déficits phonologique
    et syntaxique, non utilisation de je au-delà
    de 36 mois.

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Le langage oral
  • Le langage en situation 
  • Premier niveau de langage (inégalement maîtrisé
    par tous)
  • Accompagne une situation vécue par les
    interlocuteurs qui échangent.
  • Mobilise de façon naturelle les différentes
    fonctions du langage.
  • Langage daction langage de l ici-maintenant
    , dans le contexte de laction
  • accompagné de gestes pour désigner

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Le langage en situation
  • Lenfant napprend pas seul, ce nest pas naturel
    dapprendre à compter, à raconter, cela
    sapprend.
  • Cest le langage de ladulte qui permet aux
    élèves de construire des appuis cognitifs.
  • ? Une organisation propice au langage pour la
    mise en œuvre du langage en situation
  • ? Activités conjointes  conforter, par des
    réponses, le recours aux mots, parler de ce qui
    est en train de se faire, commenter ce quil
    fait, ce que fait lenfant, préciser, faire
    répéter sans insister, se placer physiquement en
    position dinterlocuteur, face à lenfant, à son
    regard, à sa hauteur, laisser le temps, accepter
    les silences, encourager la prise de parole, les
    échanges entre élèves, attirer lattention de
    lun sur ce que fait lautre, amener à demander
  • ? Attention conjointe  lenseignant
    manifeste lintérêt quil porte lui-même à la
    tâche, canalise lattention.
  • ? Langage propre  qualité du parler
    professionnel, articulation, mots justes,
    accentuer les intonations, faire des gestes.

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? Avant la section des moyens
  • Produit des phrases simples (S V avec 200
    mots), tout se met en place, maîtrise implicite
    de la grammaire.
  • Acquièrent le langage dans laction qui les
    accompagne
  • privilégier linteraction duelle, échanges
    personnalisés
  • Grand groupe nest pas le lieu privilégié
    dacquisition du langage,
  • réserver le grand groupe pour chanter, lire une
    histoire, comptines.
  • Le grand groupe est dans ce cas-là une force pour
    le petit qui sy fond, une aide pour les timides
  • Utiliser des objets comme médiateurs
    marionnettes
  • Le je nest pas toujours intégré à lentrée à
    lécole maternelle
  • Cest parce quil ose parler que lenfant va
    apprendre à parler. La parole est une conquête
    qui suppose une prise de risque.
  • Nécessité à faire la différence entre les
    échanges langagiers libres (dans la cour) et le
     parler pour travailler .

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  • Section des moyens
  • Lenfant apprend son métier décolier, se
    constitue des référents, prend conscience de son
    affiliation à un groupe. Il va comprendre ce
    quon attend de lui.
  • Dépasser les échanges spontanés pour se
    décentrer, parler avec il .
  • Catégorisation classer des choses qui vont
    ensemble, faire des collections.
  • En établissant des catégorisations, on entre dans
    le grammaticalement différent (ex ma voiture et
    la voiture de la classe)

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  • ? GS  la réflexion anticipe et accompagne
    laction.
  • Elargissent lexploration des fonctions
    langagières jusquà mettre en œuvre la fonction
    métalinguistique (on utilise la langue pour
    parler de la langue).
  • Ex  un élève dit   on dit pas jai pas
    prendu , cest signe quil a acquis de la
    distance avec lusage de la langue et du langage.

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Bilinguisme
  • Une attention particulière aux enfants de milieux
    non francophones pour qui le langage en situation
    nest pas assuré (mots peu précis, échanges très
    courts).
  • Pb si bilinguisme et milieu socio-culturel
    défavorisé
  • nexplique pas tout mais peut aggraver le
    trouble.
  • 3 conclusions
  • Enrichir le vocabulaire
  • Repérer les troubles de la conscience
    phonologique
  • Liens entre lexique et conscience phonologique
    à creuser

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Lacquisition du lexique
  • Période dexplosion lexicale
  • Acquérir des mots, cest mettre en correspondance
    des unités du langage avec des objets, des
    personnes, des actions, des propriétés ou
    qualités des objets et des actions.
  • Lacquisition est facilitée par la fréquence des
    mots, par leur caractère saillant (le maître met
    en relief les mots nouveaux).
  • Elle est facilitée et enrichie si les mots sont
    associés à des schémas dévénements assez
    prototypiques, à des représentations organisées
    de séquences dactions répétitives (conservation
    du mot).
  • Ex  la séance à la piscine, lemprunt des livres
    à la bibliothèque.. 
  • Enrichir régulièrement limagier des mots de la
    classe (noms des jeux, des ustensiles)
  • En section des grands, lactivité de tris et de
    classements des mots peut trouver un prolongement
    dans la copie et lencodage des mots.

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Langage de récit
  • Remplace le terme de langage dévocation dans les
    programmes 2008.
  • Une forme de langage explicite et structurée qui
    contraste avec le langage daction, langage hors
    situation qui nécessite de construire son langage
    pour se faire comprendre.

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Le langage dévocation
  • Par imprégnation en PS, un objectif très fort en
    MS et GS.
  • Avec le langage dévocation, lenfant accède à la
    langue du  raconté , proche de notre écrit,
    éloigné du langage oral.
  • Donne accès aux événements, à une
    compréhension du monde uniquement par les mots.
  • Lactivité dévocation commence bien avant que le
    rappel dun événement ou la conduite dun récit
    soient possibles. Elle en est la condition.
  • Renvoie pour lessentiel à la mise en récit.
  • le récit est une forme particulière du langage
    dévocation, dune certaine manière sa forme de
    référence.
  • Le récit organise des événements selon un
    enchaînement causal, donne de la voix au texte.
  • Lécole en fait un usage abondant (histoires,
    comptes rendus de sorties, dexpériences.). Ne
    pas se limiter à ce que dit lalbum mais évoquer
    ce quon a vécu.
  • Les contes, la lecture dhistoires, permettent
    daller plus loin dans le pouvoir de
    représentation du langage en proposant des
    territoires imaginaires, permettent dengager un
    travail sur la compréhension, largumentation
    (GS)
  • Quand le compte rendu apporte une explication, on
    parle de langage décontextualisé, cest-à-dire
    qui est décroché du  faire .

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Production du langage dévocation
  • Remarque une situation dévocation ninduit pas
    nécessairement le recours au langage dévocation.
  • Dans une situation dévocation, on peut évoquer
    la séance dEP Tu te souviens, quand tu as
    glissé, hier .
  • En langage dévocation Hier, Léo a glissé
    dans la salle dEP .
  • On vise un langage précis, construit , qui permet
    quelquun qui naurait pas vu ou assisté à la
    situation, de la comprendre.
  • Oblige à se décentrer, à délaisser le je, tu
    au profit de la troisième personne. Dans le
    message, il y a ce destinataire qui oblige à se
    décentrer. Les enfants doivent se représenter que
    celui à qui il sadresse, ne sait pas ce quil
    sait.
  • Aider les enfants à avoir une bonne
    représentation de la situation en donnant des
    outils (images, photos, les mots pour dire.
  • Les productions orales des enfants supposent des
    modèles fournis par le maître, par les histoires
    lues.
  • Remarques
  • - on ne travaille pas assez à la manière dont
    les enfants parlent. Lenseignant(e) traduit le
    plus souvent.
  • - Déplacer lintérêt des histoires personnelles
    vers le vécu collectif.

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Des compétences à construire 
  • Construire un parcours dapprentissage, dans
    lequel le langage daction, en situation, est
    premier et fondateur.
  • - Perfectionner ce premier langage, cest-à-dire
    lenrichir du point de vue lexical et syntaxique
    mais aussi le diversifier dans ses fonctions.
  • Les enfants doivent être capables de dire ce
    quils font.
  • ? Mettre à profit les occasions offertes par les
    domaines dactivités et les jeux.
  • ? se donner pour chaque séquence dactivités un
    objectif en matière de langage en plus de
    lobjectif spécifique au domaine dactivité.
  • Ex  domaine découvrir le monde
  • - désigner le matériel utilisé pour réaliser
    une expérience.
  • - Construire le second langage, langage
    décontextualisé, langage dévocation.
  • Cest le rôle de lécole maternelle,
    particulièrement avec les élèves de MS et GS, que
    de conduire une activité, de plus en plus
    consciente pour lenfant, délaboration dun
    discours précis et structuré pour se faire bien
    comprendre.

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Production du langage dévocation
  • Elaboration de supports pour aider à la
    restructuration des événements passés (photos,
    dessins).
  • Restitution dabord avec le maître sur le
    support, puis seul avec le support, puis de
    mémoire.
  • Conception de traces qui permettront la mise à
    distance  cahiers de vie
  • Validation des réalisations.
  • Les écrits littéraires travail sur la
    compréhension, à partir de questions ouvertes, de
    reformulations.

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  • Des moments structurés où des objectifs sont
    ciblés,
  • des visées précises  il sagit de faire
    acquérir un savoir-faire particulier (manipuler
    des syllabes, écrire des mots) pour faire
    progresser les élèves. Cela exige souvent une
    pédagogie différenciée.
  • Ces situations ne sont pas non plus des
     leçons  ou des exercices transversaux
    requérant imitation et répétition.
  • Ces moments supposent une organisation
    rigoureuse telle que lenseignant puisse se
    consacrer à un groupe délèves en particulier.
  • Ces temps donnent lieu à une évaluation qui se
    fonde sur une observation fine, à partir de
    critères et dindicateurs clairement définis.

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Les difficultés
  • A enseigner de manière explicite et strictement
    planifié.
  • Prendre des repères pour savoir où en sont ses
    élèves.
  • Il nexiste pas un parcours linéaire
    denseignement de lobjet langue.
  • Cest un parcours de situations choisies par
    lenseignant pour susciter le langage
    naturellement.

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Les programmes définissent des compétences qui
doivent être maîtrisées à la fin de lécole
maternelle.
  • 5 grands domaines 
  • - Comprendre
  • - Etablir des correspondances entre loral et
    lécrit
  • - Identifier des composantes sonores du langage
  • - dire, redire, raconter
  • - Ecrire.

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  • Programmes 2008 des principes de progression
    mais la programmation dactivités doit être bâtie
    localement, dans chaque école.
  • Il est nécessaire didentifier les éléments
    caractéristiques de chaque section.
  • Ce qui ordonne une programmation, ce sont les
    visées dapprentissage qui intègrent une
    perspective progressive.
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