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THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE DES MEMBRES INFERIEURS

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THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE DES MEMBRES INFERIEURS (PHLEBITE) PHLEBITE La gravit des phl bites des veines profondes r side dans ses deux complications principales ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE DES MEMBRES INFERIEURS


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THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE DES MEMBRES INFERIEURS
  • (PHLEBITE)

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PHLEBITE
  • La gravité des phlébites des veines profondes
    réside dans ses deux complications principales
    l'embolie pulmonaire et la maladie
    post-phlébitique
  • Lincidence annuelle de la thrombose veineuse
    profonde est estimée entre 200 000 et 1000
    000 cas.

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PHLEBITE
  • 1) ETIOLOGIES
  • ANOMALIES DE LA COAGULATION
  • Elles doivent être recherchées systématiquement
    chez les sujets de moins de 40 ans qui présentent
    une phlébite, chez les patients présentant des
    phlébites à répétition ou sans cause favorisante
    retrouvée..
  • 1-ANOMALIES CONGÉNITALES
  • Elles sont responsables de phlébites à répétition
    chez les sujets jeunes, qui peuvent s'associer à
    des phlébites viscérales (cérébrales par
    exemple).
  • Elles sont transmises sur le mode autosomique
    dominant.
  • - Déficit en antithrombine III (ATIII)
  • - Déficit en protéine S
  • - Déficit en protéine C, déficit en protéine C
    activée.
  • - Déficit en facteurs du système fibrinolytique
    (sans doute le plus souvent en cause dans les
    phlébites d'allure idiopathiques)
  • 2-ANOMALIES ACQUISES
  • - Anticoagulants circulants Ce sont des
    anti-prothrombinases. Ils apparaissent dans les
    maladies de système (lupus) ou certains cancers.
    Ils se compliquent plus volontiers de syndrome
    hémorragique que de thromboses.

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PHLEBITE
  • LES PHLÉBITES IDIOPATHIQUES
  • Ce sont les plus fréquentes. En réalité il doit
    s'agir de phlébites dont on ne sait pas retrouver
    la cause (déficit du système fibrinolytique?)
  • Il existe une prédisposition génétique
  • Elles surviennent
  • - Soit de façon apparemment isolée dans au moins
    25 des cas, le plus souvent à gauche
    (compression de la veine iliaque gauche par
    l'artère iliaque droite au niveau de leur
    croisement syndrome de Cockett)
  • - Soit dans des circonstances favorisantes
    pouvant s'associer

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PHLEBITE
  • PHLÉBITES OBSTÉTRICALES
  • - Durant la grossesse (stase veineuse)
  • - En post-partum immédiat (thrombophlébites
    pelviennes septiques surtout, sortant du cadre de
    la question)
  • - En post-abortum (thrombophlébites septiques)
  • - A rapprocher des phlébites favorisées par les
    cestro-progestatifs, surtout chez les fumeuses
    (rappel le tabac est une contre-indication à la
    contraception oestro-progestative!!)

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PHLEBITE
  • PHLÉBITES CHIRURGICALE
  • - Chirurgie de la hanche
  • - Chirurgie pelvienne (utérus, prostate)
  • - Mais tous les types de chirurgie peuvent se
    compliquer de phlébites.
  • - A rapprocher des immobilisations plâtrées des
    membres inférieurs.

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PHLEBITE
  • LES CAUSES MÉDICALES
  • - Les cardiopathies
  • En particulier l'insuffisance cardiaque gauche,
    droite ou globale (car il existe un bas débit),
    les cardiopathies ischémiques (en particulier la
    phase aiguë de l'infarctus du myocarde)
  • -Les cancers profonds (poumon, rein, estomac,
    pancréas)
  • Par compression pelvienne, ou par sécrétion d'un
    facteur thrombogène. Le diagnostic de phlébite
    doit faire pratiquer systématiquement des
    touchers pelviens.
  • -Les hémopathies malignes (surtout les syndromes
    myélo-prolifératifs)
  • - La mise en place d'un cathéter veineux dans une
    veine du membre inférieur

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PHLEBITE
  • AUTRES
  • - Causes rares maladies de système (lupus,
    maladie de Behcet)
  • - En fait toutes les situations où il existe un
    alitement prolongé (accident vasculaire cérébral,
    infections graves) et/ou un bas débit cardiaque
    favorisent les thromboses veineuses profondes,
    plus récemment ont été décrites des phlébites et
    surtout des embolies pulmonaires après voyage en
    avion de longue durée.

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PHLEBITE
  • Il) PHYSIOPATHOLOGIE
  • Elle est incomplètement connue.

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PHLEBITE
  • PHYSIOLOGIE DU RETOUR VEINEUX
  • L'écrasement de la semelle veineuse plantaire (de
    LEJART)
  • La contraction des muscles striés.
  • Le jeu articulaire.
  • 2 - Les autres éléments.
  • La respiration vis à fronté.
  • Le coeur artères vis a latère
  • La micro circulation et les anastomoses A-V

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PHLEBITE
  • A) LA TRIADE DE VIRCHOW
  • 1- LÉSIONS PARIÉTALES
  • Les lésions pariétales sont inconstantes. Elles
    s'accompagnent d'activation des plaquettes (cause
    ou conséquence ?) La lésion peut être due à un
    cathéter veineux (phlébites iatrogènes), à
    l'altération de la paroi veineuse par exemple par
    un facteur infectieux.
  • 2- LA STASE VEINEUSE
  • Le ralentissement du courant sanguin veineux
    favorise les thromboses. Il peut être du à une
    diminution du débit cardiaque (insuffisance
    cardiaque) ou à des facteurs locaux compression
    veineuse (tumeur pelvienne), immobilisation
    prolongée ...
  • 3- MODIFICATIONS DE L'HÉMOSTASE
  • - Déficit congénitaux en anti-thrombine III,
    protéine S, protéine C.
  • - On invoque dans les phlébites "idiopathiques"
    le rôle d'un déficit du système fibrinolytique.

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(No Transcript)
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PHLEBITE
  • B) PHYSIOPATHOLOGIE DES COMPLICATIONS
  • - Le risque de migration pulmonaire est d'autant
    plus important que la phlébite s'étend vers l'axe
    ilio-fémoral et la veine cave inférieure.
  • - Les thromboses détruisent les valvules
    veineuses et sont responsables d'obstruction
    veineuse chronique qui se traduisent par la
    redoutable maladie post phlébitique.

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PHLEBITE
  • III) DIAGNOSTIC
  • A) DIAGNOSTIC CLINIQUE
  • Les phlébites profondes peuvent être totalement
    asymptomatiques (par exemple, dans les embolies
    pulmonaires, 50 des phlébites affirmées sur les
    examens complémentaires étaient asymptomatiques)
  • Les signes cliniques sont parfaitement
    aspécifiques (Moins de 50? des phlébites
    suspectées cliniquement sont confirmées par les
    examens complémentaires)

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PHLEBITE
  • 1 -DIAGNOSTIC D'UNE PHLÉBITE SURALE
  • Les signes fonctionnels
  • - Ils se limitent à la douleur du mollet, plus ou
    moins violente, spontanée, mais majorée par la
    palpation, de siège variable.
  • - L'anxiété est un signe classique (surtout
    d'embolie pulmonaire )
  • Les signes cliniques
  • - Signes généraux (signes de pancarte) Fièvre
    modérée (38C), en règle retardée, avec pouls
    dissocié (plus rapide que ne le voudrait la
    fièvre pouls de Mahler)
  • - Douleur à la palpation du mollet, ou provoquée
    par la dorsi-flexion du pied (Signe de Homans
    bien peu spécifique en réalité !)
  • - Dilatation des veines superficielles,
    diminution du ballottement du mollet par rapport
    au coté controlatéral.
  • - Augmentation de la chaleur locale
  • - Oedème de la cheville (tardif)

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PHLEBITE
  • - A l'extrême est réalisé le tableau de
    phlegmatia alba dolens il existe une impotence
    absolue, les douleurs sont très violentes, la
    jambe est livide, infiltrée par un oedème
    important et dur (ne prenant pas le godet),
    blanc. II existe en général des signes généraux
    importants (fièvre) et une adénopathie inguinale.

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PHLEBITE
  • 2-DIAGNOSTIC D'UNE PHLÉBITE ILIO-FÉMORALE
  • - Elle est secondaire le plus souvent à
    l'extension d'une phlébite surale
  • - La douleur est inguinale ou au niveau de la
    cuisse, en général très violente.
  • - L'oedème peut toucher toute la jambe, pouvant
    même s'accompagner d'une hydarthrose du genou.
  • - Elle s'accompagne fréquemment de signes
    urinaires (dysurie, pollakiurie)
  • - Les touchers pelviens doivent être
    systématiques, ils sont en règle douloureux et
    doivent faire rechercher un empâtement qui
    signerait une extension pelvienne de la phlébite.

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PHLEBITE
  • 3-FORME CLINIQUE PARTICULIÈRE PHLEGMATIA
    CAERULEA
  • - ou PHLEBITE BLEUE
  • - Elle associe à la phlébite une ischémie par
    compression artérielle due à un oedème important.
  • - Elle complique surtout les phlébites
    ilio-fémorales plutôt que surales
  • - Cliniquement l'oedème est très important,
    dur. La jambe est froide, bleue (cyanique) avec
    des tâches purpuriques, les pouls artériels ne
    sont pas
  • perçus.
  • - La phlegmatia caerulea réalise une urgence
    chirurgicale

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PHLEBITE
  • B) EXAMENS COMPLEMENTAIRES
  • 1- ECHOGRAPHIE ET DOPPLER VEINEUX
  • C'est un examen très fiable entre des mains
    expérimentées , dans ces conditions il peut
    suffire au diagnostic.
  • C'est une méthode parfaitement anodine.

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PHLEBITE
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PHLEBITE
  • Le doppler continu
  • Retrouve une absence de modification de la courbe
    du flux veineux lors des manoeuvres de "chasse"
    (compression veineuse brutale) ou lors de la
    respiration. Cet examen détecte surtout les
    thromboses proximales (poplitées ou
    sus-poplitées), il est moins sensible pour
    recherche En général couplée au doppler pulsé,
    elle retrouve l'image du caillot veineux mais
    surtout un signe très important
    l'incompressibilité de la veine par la sonde
    d'échographie.
  • Le doppler pulsé confirme l'absence de flux
    veineux dans ce segment Pour les phlébites
    proximales ces examens sont aussi fiable que la
    phlébographie.

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PHLEBITE
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PHLEBITE
  • AUTRES EXAMENS(ne pas retenir) rarement pratiqués
  • -la pléthysmographie d'impédance
  • -le test au fibrinogène marqué.
  • PHLÉBOGRAPHIE DES MEMBRES INFÉRIEURS

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PHLEBITE
  • RECHERCHE DE SIGNES D'EMBOLIE PULMONAIRE
  • On pratiquera systématiquement
  • - Un électrocardiogramme (déviation axiale
    droite, bloc incomplet droit, troubles du rythme
    supra-ventriculaires)
  • - Une radiographie pulmonaire
  • - Des gaz du sang (quasi-systématiques) à la
    recherche d'un effet shunt.
  • S'il existe un doute clinique ou paraclinique sur
    une embolie pulmonaire
  • Scintigraphie pulmonaire Interprétable
    uniquement si la radiographie thoracique est
    normale, à la recherche d'un défect de perfusion
    systématisé.
  • Cet examen est systématique pour certains devant
    toute phlébite pour servir d'examen de référence.
  • Enfin, si le doute est important, l'embolie
    pulmonaire peut être confirmée par l'angiographie
    pulmonaire.

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PHLEBITE
  • BILAN ÉTIOLOGIQUE
  • - Il sera guidé sur les éléments cliniques et le
    contexte.
  • Les touchers pelviens doivent être systématiques,
    l'échographie abdominale d'indication large.
  • Bilan biologique standard numération-formule
    sanguine (anémie, leucémies), ionogramme sanguin,
    hémostase (TP, TCK)
  • Recherche d'anomalies de la coagulation et de
    thrombolyse Chez les sujets jeunes (moins de 40
    ans) présentant une phlébite sans circonstances
    favorisantes ou des phlébites à répétition on
    pratiquera
  • - Dosage de l'antithrombine III Réalisé en
    l'absence de traitement par héparine ou plusieurs
    jours après l'arrêt de l'héparine. Les AVK ne
    modifient pas le dosage. Les valeurs sont
    exprimées en pourcentage de la normale un taux
    inférieur à 80 est pathologique.
  • - Dosage de la protéine C et de la protéine S ,
    doivent être réalisés sans anti-vitaminiques K
    (arrêt depuis 1 semaine).
  • Une échographie abdominale et pelvienne, est
    souhaitable pour rechercher une cause favorisante
    (tumeurs ).
  • - Les autres examens à visée étiologique seront
    réalisés selon le contexte clinique urographie
    intra-veineuse, fibroscopie gastrique, scanner
    abdominal.

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PHLEBITE
  • EVOLUTION ET PRONOSTIC
  • L'évolution peut être tout à fait favorable sous
    traitement. Parfois, en l'absence de traitement
    ou même sous traitement des complications peuvent
    survenir
  • thromboses distales.

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PHLEBITE
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PHLEBITE
  • 1 -EXTENSION DE LA THROMBOSE
  • Extension ilio-fémorale d'une phlébite surale
    extension à la veine cave inférieure d'une
    phlébite ilio-fémorale majorant de façon
    importante le risque d'embolie pulmonaire.

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PHLEBITE
  • 2-EMBOLIE PULMONAIRE
  • Elle est extrêmement fréquente (impossible à
    chiffrer) mais elle est souvent minime, sans
    traduction clinique. Mais l'embolie pulmonaire
    peut être grave, mettant en jeu le pronostic
    vital. Elle peut être révélatrice de la phlébite.

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PHLEBITE
  • 3- LA MALADIE POST-PHLÉBITIOUE
  • Deuxième complication majeure des phlébites, elle
    est grave par son retentissement fonctionnel et
    son coût socio-économique. L'obstruction des
    veines profondes par la thrombose, va favoriser
    le retour veineux par les veines superficielles.
  • - Cliniquement Il existe une fatigabilité, une
    lourdeur des jambes, des oedèmes vespéraux puis
    permanents, des varices et leurs complications
    (troubles trophiques). Cette complication doit
    être prévenue parle traitement précoce de toute
    phlébite

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PHLEBITE
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PHLEBITE
  • 4- RÉCIDIVES
  • Quand elles sont fréquentes elles doivent faire
    rechercher à tout prix un facteur local
    (compression pelvienne) ou général (trouble
    congénitaux de lhémostase)

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PHLEBITE
  • PRINCIPES DU TRAITEMENT
  • Le traitement des phlébites doit être
    systématique et précoce ! pour éviter l'extension
    et l'embolie pulmonaire à court terme et pour
    prévenir la maladie postphlébitique à long terme
    .

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PHLEBITE
  • MESURES GENERALES
  • -Repos au lit pendant les premiers jours, avec un
    cerceau sur les jambes.
  • - Contention élastique ( bas ou bandes de
    contention) dès le lever.

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PHLEBITE
  • TRAITEMENT ANTI-COAGULANT
  • II représente la base du traitement.
  • 1- HÉPARINE
  • 2-LES ANTI-VITAMINE K
  • Ils seront débutés en relais de l'héparine le
    plus tôt possible (ce qui permet d'éviter les
    thrombopénies secondaires à l'héparine) , en
    pratique dès le 2ieme ou 3ieme jour (d'emblée le
    premier jour pour certains)

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PHLEBITE
  • TRAITEMENT CHIRURGICAL
  • - La thrombectomie est rarement pratiquée
    (thrombus iliaque ou cave ...)

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PHLEBITE
  • LE TRAITEMENT THROMBOLYTIQUE
  • Les indications sont très limitées (Thrombose
    récente proximale chez un sujet jeune), en
    pratique il n'est quasiment jamais utilisé.
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