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NEUROPATHIES PERIPHERIQUES

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Title: NEUROPATHIES PERIPHERIQUES


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NEUROPATHIES PERIPHERIQUES
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DEFINITION
  • Latteinte du système nerveux périphérique est
    défini par l'ensemble des manifestations
    cliniques, électriques, biologiques et
    histologiques résultant d'une atteinte du neurone
    périphérique.

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RAPPEL
  • Le système nerveux périphérique est composé de
  • Fibres motrices efférentes. Le corps cellulaire
    est situé dans la corne antérieure de la moelle
    épinière.
  • Fibres sensitives afférentes. Le corps cellulaire
    est situé dans le ganglion rachidien de la racine
    postérieure. Leur destinée médullaire les oppose
    en deux groupes lemniscales qui véhiculent de
    façon homolatérale la sensibilité épicritique et
    le sens proprioceptif, et spino-thalamiques dont
    les fibres, qui véhiculent de façon
    contro-latérale le tact grossier et la
    thermoalgie.
  • Fibres végétatives (Voies efférentes sympathiques
    et parasympathiques). Le corps cellulaire du
    neurone préganglionnaire est situé dans le tronc
    cérébral ou la moelle, l'axone quitte le système
    nerveux central par le trajet des nerfs crâniens
    (III, VII, IX, X) ou des racines antérieures
    médullaires pour faire un relais avec le neurone
    post-ganglionnaire innervant muscles lisses et
    glandes.

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RAPPEL
  • Histopathologie
  • Les fibres nerveuses sont constituées d'axones
    (cellules nerveuses), de cellules de Schwann
    (myéline) et de tissus de soutien (vaisseaux et
    conjonctif).
  • Les lésions élémentaires des fibres nerveuses
    sont
  • La dégénérescence wallérienne désintégration
    progressive myélino-axonale puis bouquets de
    régénérescence axonale ("clusters").
  • La démyélinisation segmentaire mise à nu
    progressive des axones par destruction de la
    myéline au niveau des noeuds de Ranvier qui
    s'élargissent anormalement.

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SYNDROME NEUROGENE PERIPHERIQUE
  • Sensibilité
  • Signes subjectifs. Ces sensations anormales sont
  • paresthésies (picotements, fourmillements,
    engourdissements spontanés),
  • des dysesthésies (déclenchées par le tact)
  • des douleurs (brûlures, décharges électriques,
    striction). Leur origine peut être radiculaire ou
    tronculaire.

6
SYNDROME NEUROGENE PERIPHERIQUE
  • Sensibilité
  • Atteinte objective rarement dissociée
  • sensibilités superficielle au tact
    (épicritique),
  • température et à la piqûre (thermo-algique)
  • proprioceptive altération du sens vibratoire, du
    sens de position des segments de membre, avec
    signe de Romberg.

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SYNDROME NEUROGENE PERIPHERIQUE
  • Motricité
  • Une Paralysie ou parésie, par atteinte de la
    motricité volontaire, réflexe et automatique par
    souffrance de la voie finale commune (motoneurone
    alpha).
  • Une Amyotrophie .
  • Des Fasciculations (spontanées ou provoquées par
    la percussion ou l'exposition au froid).
    Traduisant l'activité spontanée d'une unité
    motrice, elles sont en faveur d'une lésion proche
    de la corne antérieure (motoneurone, racine).
  • Une diminution ou une abolition des réflexes
    ostéo-tendineux ()

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SYNDROME NEUROGENE PERIPHERIQUE
  • Signes Neurovégétatifs
  • Il sagit des
  • signes vasomoteurs (oedème, cyanose),
  • de troubles trophiques (peau sèche, squameuse et
    atrophique) et des phanères (chute poils, ongles
    cassants),
  • dune hypotension orthostatique,
  • dune impuissance,
  • dune incontinence urinaire

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SYNDROME NEUROGENE PERIPHERIQUE
  • Examens complémentaires
  • EMG
  • PL
  • Biopsie nerveuse

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APPROCHE DIAGNOSTIQUE
  • Selon la Topographie
  • Polyneuropathies diffuses
  • Polyneuropathie longueur dépendante
  • Mononeuropathie tronculaire multiples
  • Polyraduculonévrite
  • Polyneuropathies circonscrites, focales
  • Plexique
  • Radiculaires
  • tronculaires
  • Atteinte de la corne antérieure
  • PAA
  • SLA
  • ASP
  • Atteinte du ganglion postérieur

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APPROCHE DIAGNOSTIQUE
  • Sur le plan anatomo-pathologique
  • Axonopathies
  • Myélinopathies
  • Neuronopathies corps cellulaire du neurone
    moteur dans la moelle et du neurone sensitif dans
    le ganglion rachidien.
  • Motrices SLA, Amyotrophies spinales aigues ou
    chroniques, acquises ou héréditaire
  • Sensitives Ganglionopathies Zona, Syndrome de
    Sjögren, Syndrome paranéoplasique de Denny-Brown,
    Ganglionopathies sensitives

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APPROCHE DIAGNOSTIQUE
  • Selon le mode évolutif
  • Polyneuropathies aiguës (maximum 4 semaines).
  • Polyradiculonévrites aiguës démyélinisante
    syndrome de Guillain-Barré
  • Multinévrites aiguës vascularites
  • rarement des polyneuropathies aiguës axonales  
  • porphyries atteinte axonale,
  • rares formes de neuropathies diabétiques
  • Polyneuropathies périphérique subaiguës les
    plus fréquentes, neuropathies métaboliques,
    nutritionnelles, carentielles, toxiques et
    paranéoplasiques.
  • Polyneuropathies périphériques chroniques
    installation en quelques années.On évoque
  • une neuropathie héréditaire,
  • une gammapathie monoclonale,
  • une polyradiculonévrite chronique idiopathique.

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  • POLYNEUROPATHIES DISTALES LONGUEUR - DEPENDANTE

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CLINIQUE
  • Atteinte sensitivo-motrice, distale, symétrique,
    amyotrophiante des 4 membres
  • Abolition des ROT
  • EMG processus axonale
  • LCR si pas de cause évidence
  • Biopsie peu contributive en règle générale

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ETIOLOGIE
  • DIABETE
  • CAUSES TOXIQUES ET MEDICAMENTEUSES
  • ALCOOLO-CARENTIELLE
  • DYSGLOBULINEMIE
  • MALADIES DE SYSTEME
  • HEMOPATHIES
  • CANCERS
  • CAUSES INFECTIEUSES
  • AMYLOSE PRIMITIVE

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ETIOLOGIE
  • Neuropathies héréditaires
  • Dégénératives
  • neuropathies sensitivo-motrices de Charcot -
    Marie Tooth (Atrophie péronière, Pieds creux,
    Atteinte sensitivomotrice). LEMG permet de
    différencier des formes axonales et des formes
    démyélinisantes. Dans ce dernier cas, le
    diagnostic peut être conforté par la biologie
    moléculaire (duplication sur le chromosome 17 ou
    anomalie du gène de la connexine 32).
  • Non dégénératives Leucodystrophie
    métachromatique, Maladie de Refsum, Amylose
    portugaise (type I), Porphyrie aiguë intermittente

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POLYRADICULONEVRITES AIGUES
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INTRODUCTION
  • Définition Syndrome de Guillain Barré,
    polyradiculonévrite inflammatoire aiguë avec
    démyélinisation segmentaire multifocale d'origine
    auto-immune.
  • Epidémiologie
  • Incidence à 1/100 000
  • rare chez le petit enfant, ce qui rend peu
    probable une susceptibilité génétique.
  • Il existe fréquemment un antécédent infectieux
    respiratoire ou digestif (55 ) dans les 15 jours
    précédents. Campylobacter jejuni, VIH et
    Cytomégalovirus sont plus particulièrement
    impliqués.

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PHYSIOPATHOLOGIE
  • Les lésions démyélinisantes du SGB seraient en
    rapport avec la production et le passage dans les
    espaces endoneuraux d'anticorps dirigés contre
    certains antigènes de la myéline, dont la nature
    n'a pas encore été établie chez l'homme.
    Linfection virale déclenche une immunisation
    croisée contre les antigènes du système nerveux
    périphérique. Cette participation humorale est
    confirmée par la démyélinisation observée "in
    vivo" chez l'animal après injection de sérum de
    patients atteints.

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ASPECTS CLINIQUES
  • Phase d'extension des paralysies
  • Elle dure par définition moins de 4 semaines
  • Elle réalise une parésie plus ou moins
    symétrique, étendue et sévère, qui prédomine au
    niveau proximal puis touche les extrémités. La
    gravité est fonction de l'atteinte respiratoire.
  • Phase de plateau dont la durée serait un facteur
    de pronostic fonctionnel.
  • aréflexie tendineuse, déficit sensitif,
    paresthésies, myokymies faciales, rarement des
    membres.
  • Latteinte du système nerveux végétatif est
    fréquente (tachycardie, hypotension
    orthostatique, anomalie sudation, constipation)
    et serait un facteur de gravité.

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ASPECTS CLINIQUES
  • Phase de récupération
  • Elle se fait dans l'ordre inverse de
    l'apparition des déficits. La récupération nest
    pas toujours parfaite
  • 15 auraient des séquelles légères (déficit
    sensitivo-moteur distal)
  • 5 des séquelles très sévères (sujets
    quadriplégiques et ventilés).
  • On considère quil ny a pas damélioration
    après 12 à 18 mois.
  • Les rechutes vraies sont rares et définissent en
    partie le cadre des formes chroniques.

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EXAMENS COMPLEMENTAIRES
  • EMG recherche de bloc de conduction
  • PL dissociation albumino-cytologique
  • Autres examens biologiques
  • normaux,
  • ou en rapport avec l'infection qui a précédé le
    SGB (augmentation des transaminases,
    lymphocytopénie).

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TRAITEMENT
  • Surveillance des complications
  • Echanges plasmatiques
  • Immunoglobulines iv polyvalentes

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  • MONONEUROPATHIES MULTIPLES

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CLINIQUE
  • atteinte successive (asynchrone) et asymétrique
    de plusieurs troncs nerveux nerfs périphériques
    et nerfs crâniens.
  • Apparition le plus souvent brutale ou rapide.
  • Évolution par poussées.
  • Latteinte motrice est souvent plus marquée.

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CAUSES
  • LEPRE
  • Cause la plus fréquente dans le monde
  • Bacille de Hansen
  • Diabète
  • Vascularites
  • PAN
  • Churg Strauss

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SYNDROMES CANALAIRES
  • Nerf médian au canal carpien
  • Nerf cubital au coude
  • Nerf radial à la gouttière huméral
  • Nerf fémoro-cutané ou méralgie paresthésique
  • SPE au col du péronée

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ATTEINTES RADICULAIRES
  • Complications neurologiques de la pathologie
    rachidienne lombaire
  • S1 L5 L4 L3
  • Complications neurologiques de la pathologie
    rachidienne cervicale
  • NCB
  • Myélopathies cervicarthrosiques

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ATTEINTES PLEXUELLES
  • Syndrome de Parsonage Turner
  • Syndrome de Pancoast Tobias
  • Plexopathies post-radiques

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C.I.D.P.
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DEFINITION
  • Entité clinique individualisée par Dyck en 1975.
  • Neuropathie sensitivo-motrice démyélinisante
    segmentaire, multifocale et dorigine
    auto-immune.
  • Opposition au SGB (1916) sur 3 points
  • Absence dépisodes infectieux notables dans les
    semaines précédentes
  • Installation des symptômes plus prolongées (au
    delà de 4 semaines) et persistance surtout au
    delà de 6 mois
  • Corticosensibilité nette qui navait jamais était
    démontré dans le SGB

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FORME COMMUNE IDIOPATHIQUE
  • Fréquence rare 10 à 20 des polyneuropathies, 2
    à 4 fois moins fréquente que SGB
  • Prédominance masculine sex-ratio 1,5
  • Age de début 2 à 77 ans
  • Délai entre le début et le maximum des symptômes
    doit être au moins de 2 mois mais il existe des
    formes subaigues
  • Déficit moteur prédomine, souvent distale
    rapidement proximale, atteignant simultanément ou
    assez rapidement les MS, bilatéral et symétrique
    (asymétrique secondaire dans lévolution). 10 à
    20 sont motrices pures.
  • Déficit sensitif troubles proprioceptifs,
    ataxie, paresthésies distales, tremblements
    dattiutdes
  • Aréflexie généralisée et amyotrophie rare au
    début
  • Atteinte des nerfs craniens (15)
  • Evolution progressive ou à rechute

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CRITERES EMG (4 critères)
  • Ralentissement de la vitesse tronculaire
  • Allongement de la latence distale et de londe F
  • Bloc de conduction partiel
  • Dispersion temporelle

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ANOMALIES BIOLOGIQUES
  • 90 des cas LCR hyperprotéinorrachie sans
    élément.
  • 10 sans dissociation albuminocytologique
  • 30 des cas il existe une gammapathie monoclonale
    IgG, A, M de faible taux dite de signification
    indéterminé (MGUS)

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BIOPSIE NERVEUSE
  • En 1975, Dyck a décrit les lésions
  • Démyélinisation segmentaire
  • Prolifération schwannienne en bulbes doignons
  • Å’dème endoneural et dinfiltrats périvasculaires
  • Dégénérescence axonale
  • Actuellement
  • La BNM nest plus utilisée pour le diagnostic
    positif.
  • Elle est réalisé en cas de doute pour éliminer un
    diagnostic différentiel.

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PHYSIOPATHOLOGIE
  • Le mécanisme dysimmunitaire est probable mais
    encore mal élucidé
  • Lassociation avec dautres maladies
    dysimmunitaires, la fréquence des gammapathies
    monoclonales, la présence danticorps sont des
    indices mais aucun marqueur spécifique ni
    séqueence pathologique na été identifié
  • Lamélioration à la fois sous échanges
    plasmatiques, IgIV et corticoïdes laisse supposer
    lassociation dune perturbation de limmunité à
    médiation humorale

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FORMES PARTICULIERES
  • FORMES CHEZ LENFANT
  • FORMES AVEC HYPERTROPHIE NERVEUSE
  • FORMES DATTEINTE DES NERFS CRANIENS
  • FORMES EVOLUTIVES (30 à 40 à sont à rechutes,
    60 sont progressive)
  • FORMES SENSITIVES (très rares 6)
  • FORMES AVEC SIGNES CENTRAUX
  • FORMES  AXONALES 
  • FORMES MULTIFOCALES
  • FORMES AVEC GAMMAPATHIE MONOCLONALE
  • FORMES ASSOCIEES OU NON IDIOPATHIQUES

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FORME MULTIFOCALE
  •  De type Lewis et Sumner  (décrite en 1982) 40
    CIDP / 5 cas
  • Atteinte asymétrique, multitronculaire associée
    un bloc de conduction moteur focal
  • Diagnostic différentiel NMBC

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FORMES ASSOCIEES
  • A rechercher si sévère, perte axonale importante
    ou résistance aux thérapeutiques habituelles.
  • Causes
  • Infectieuses
  • Dyscrasie plasmocytaire ou hémopathie
  • Maladie systémique inflammatoire
  • Cancer
  • Diabète

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FORMES AVEC GAMMAPATHIE MONOCLONALE
  • CIDP avec gammapathie monoclonale sans activité
    anti-myéline de type MAG ou SGPG ou SGLPG idem
    CIDP sans gammapathie
  • CIDP avec IgM monoclonale avec anticorps anti-MAG
    ou SGPG ou SGLPG
  • 60 à 65 ans
  • Polyneuropathie dévolution très lente sur
    plusieurs années, sans rechute ni atteinte des NC
    et à très nette prédominance sensitive
  • EMG démyélinisation lente distale, homogène
    avec perte axonale, dispersion temporelle,
    absence de bloc de conduction, discordance
    clinico-électrique des potentiels sensitifs
  • PL hyperprotéinorachie
  • BNM espacement anormal des lamelles de myéline
  • Traitement
  • Chloraminophène, Interféron Bêta 1a
  • Résistantes au Corticoïdes en général

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TRAITEMENT
  • 3 traitements
  • Corticothérapie 1mg/kg/j ou 100 à 120mg 1j sur 2
  • IgIV 0,4mg/kg/j pendant 5j répétés toutes les 3
    semaines
  • Echanges plasmatiques 2 par semaines pendant 3
    semaines puis 1 par semaine pendant 3 semaines
  • Aucun critère clinique ou EMG ne permet de
    prévoir pour un patient donné le meilleur
    traitement
  • Vérifier lefficacité dun traitement au bout de
    6 à 12 semaines et changer immédiatement en
    labsence damélioration

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RECOMMANDATIONS DES EXPERTS
  • Corticothérapie
  • 12 semaines à bonne dose avant de conclure à une
    inefficacité.
  • En cas de succès diminuer les doses par palier et
    arrêter sur 1 ou 2 ans.
  • IgIV
  • Si succès de la 1ère cure, on attend
  • Si réaggravation 2ème cure sur 1 ou 2j puis
    parfois des cures toutes les 2 à 6 semaines.
  • Quand le patient est stable, diminution dabord
    de la dose puis la fréquence

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  • Traitement 1
  • IgIV- Corticoïdes-EP

  • Echec
  • Traitement 2
  • Succès IgIV-Corticoïdes-EP

  • Succès
    Echec
  • Cf Recommandations
  • DExperts
  • Succès Traitement 3
  • IgIV-Corticoïde-EP


  • Echec
  • Dépendance
  • Azathioprine
  • Ciclosporine A Traitement 4
  • Mycophénolate mofétil Cyclophosphamide
  • Méthotrexate Ciclosporine A

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