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Nom de la pr

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Tout retard lors des soins pr hospitaliers repr sente un obstacle ... passe une thrombolyse par TDM 24 heures plus tard pour exclure la possibilit d ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Nom de la pr


1
Recommandations canadiennes pour les pratiques
optimales de soins de l'AVC Recommandation
3  Gestion de l'AVC en phase hyperaiguë
Nom de la présentation
Date
(mis à jour en 2008)
2
3.0 Gestion de l'AVC en phase hyperaiguë
  • Les soins de la phase hyperaiguë de lAVC sont
    définis comme les soins depuis le premier contact
    du patient qui a probablement subi un AVC avec
    léquipe médicale jusquà son hospitalisation ou
    son congé de lhôpital pour réintégrer la
    communauté.

3
3.0 Gestion de l'AVC en phase hyperaiguë
  • 3.1 Prise en charge des patients ayant subi un
    AVC en phase aiguë dans les services
    préhospitaliers d'urgence (SPU)
  • 3.2 Prise en charge active de lICT et de lAVC
    mineur
  • 3.3 Imagerie neurovasculaire
  • 3.4 Anomalies de la glycémie
  • 3.5 Traitement thrombolytique aigu
  • 3.6 Traitement actif par lAAS
  • 3.7 Prise en charge de lhémorragie
    sous-arachnoïdienne et intracérébrale

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3.1 Prise en charge des patients ayant subi
un AVC en phase aiguë dans les services
préhospitaliers d'urgence (SPU)
  • Les patients qui manifestent des signes
    avant-coureurs dun AVC hyperaigu, habituellement
    défini par leurs signes avant-coureurs survenus
    au cours des 4,5 heures précédentes, doivent être
    traités comme des cas durgence chez qui chaque
    minute compte et transportés sans délai vers
    létablissement de santé le plus près capable de
    leur prodiguer des soins durgence pour l'AVC.

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3.1 Prise en charge des patients qui ont subi
un AVC en phase aiguë dans les services
préhospitaliers d'urgence (SPU)
  • On recommande fortement aux patients ou aux
    personnes présentes de communiquer immédiatement
    avec les SPU (p. ex., 9-1-1) pour accélérer
    laccès aux soins pour lAVC aigu.
  • Les répartiteurs des SPU doivent considérer les
    patients qui manifestent des signes
    avant-coureurs dun AVC hyperaigu comme des cas
    prioritaires.
  • Pour dépister lAVC aigu, les techniciens
    ambulanciers paramédicaux doivent utiliser un
    outil diagnostique normalisé.
  • Il faut optimiser la prise en charge
    extrahospitalière du patient chez qui lon
    soupçonne un AVC aigu pour répondre à ses
    besoins.

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3.1 Prise en charge des patients ayant subi
un AVC en phase aiguë dans les services
préhospitaliers d'urgence (SPU)
  • Des protocoles de transport direct doivent être
    en place pour faciliter lorientation des
    patients admissibles vers létablissement le plus
    approprié et le plus près capable de prodiguer
    les soins requis pour lAVC aigu.
  • Le protocole de transport direct doit utiliser
    des critères basés sur 
  • 1. un intervalle combinant la durée des signes
    avant-coureurs et la durée anticipée du
    transport, le tout devant respecter
  • la fenêtre thérapeutique
  • 2. les besoins du patient en matière
  • de soins aigus.

7
3.1 Prise en charge des patients ayant subi
un AVC en phase aiguë dans les services
préhospitaliers d'urgence (SPU)
  • Il faut tenter dobtenir lhistorique de
    lévénement du patient ou de son entourage, y
    compris 
  • les signes avant-coureurs
  • l'heure de leur apparition
  • les antécédents médicaux et pharmaceutiques.
  • Les techniciens ambulanciers paramédicaux doivent
    aviser létablissement de destination de
    larrivée dun patient soupçonné de souffrir dun
    AVC aigu pour que léquipe se prépare à
    laccueillir.
  • Les techniciens ambulanciers paramédicaux doivent
  • transférer le patient sans délai au personnel de
  • létablissement qui laccueille.

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Exigences pour le système
  • La portée des soins extrahospitaliers commence
    dès le premier contact du patient avec les
    services préhospitaliers durgence (SPU) visant
    au transfert des soins vers létablissement de
    destination.
  • La formation des répartiteurs.
  • La formation des techniciens ambulanciers
    paramédicaux.
  • Des accords pour le transport direct.
  • Du transport et des soins coordonnés et continus.
  • Des systèmes de communication aptes à promouvoir
    l'accès.

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Indicateurs de rendement
  • Pourcentage de patients soupçonnés d'avoir subi
    un AVC arrivant à lurgence à bord dambulances.
  • Délai entre le premier appel reçu par le service
    téléphonique durgence et larrivée des services
    préhospitaliers durgence (SPU) auprès du
    patient.
  • Délai entre larrivée des SPU auprès du patient
    et son arrivée dans un service durgence
    approprié.
  • Pourcentage des patients qui ont potentiellement
    subi un AVC transportés par les SPU et qui ont
    reçu un diagnostic définitif dAVC ou dICT
    durant leur séjour hospitalier.

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3.2 Prise en charge active de lICT et de lAVC
mineur
  • Les patients qui présentent des signes
    avant-coureurs évocateurs dAVC mineur ou dICT
    doivent faire lobjet dune évaluation qui vise à
    confirmer le diagnostic et à commencer le
    traitement dès que la situation clinique le
    permet dans le but de réduire le risque dAVC
    majeur.

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3.2a Évaluation
  • Un examen clinique immédiat et d'autres épreuves
    diagnostiques au besoin pour confirmer ou
    informer le diagnostic dAVC et pour élaborer un
    plan de soins.
  • On recommande le recours à un outil de
    stratification du risque normalisé dès le premier
    contact avec les professionnels de la santé afin
    de guider le processus de triage.
  • Diriger les patients vers une clinique de
    prévention de lAVC désignée ou vers un médecin
    qui connaît bien lévaluation et la prise en
    charge de lAVC.

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Stratification des risques de récidive rapide
après une ICT
www.heartandstroke.ca/profed (en anglais
seulement).
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3.2a Évaluation
  • Les patients doivent subir des épreuves
    dimagerie cérébrale par tomodensitométrie ou
    imagerie par résonance magnétique.
  • Les patients dont létat est jugé très urgent
    (les patients les plus à risque dune récidive
    dAVC) doivent subir une épreuve dimagerie
    neurovasculaire dans les 24 heures.
  • Les patients dont létat est jugé urgent doivent
    subir leur épreuve dimagerie neurovasculaire
    dans les sept jours.
  • Les patients qui seraient des candidats à une
    revascularisation carotidienne doivent subir une
    angiotomographie, une angiographie par résonance
    magnétique ou une échographie carotidienne duplex
    le plus rapidement possible (dans les 24 heures
    pour les cas très urgents et dans les sept
    jourspour les cas urgents).

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3.2a Évaluation
  • Procéder demblée aux épreuves diagnostiques
    suivantes 
  • formule sanguine complète
  • électrolytes
  • fonction rénale
  • taux de cholestérol
  • glycémie
  • électrocardiographie.
  • Les patients pour lesquels la présence dun
    infarctus cérébral est confirmée à limagerie
    cérébrale doivent subir une évaluation
    ambulatoire complète visant à dépister une
    atteinte fonctionnelle dans les deux semaines, ce
    qui inclut 
  • une évaluation cognitive
  • un dépistage de la dépression
  • une vérification de l'aptitude à conduire
  • des évaluations fonctionnelles en vue d'une
    éventuelle réadaptation.

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3.2b Prise en charge
  • Dès que limagerie cérébrale a exclu la présence
    dune hémorragie intracrânienne, un traitement
    antiplaquettaire doit être administré chez tous
    les patients ayant subi une ICT ou un AVC mineur
    et qui ne prennent pas dantiplaquettaires au
    moment de la consultation.
  • La dose initiale dAAS doit être dau moins
    160 mg.
  • La dose de charge de clopidogrel est de 300 mg.

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3.2b Prise en charge
  • Pour les patients qui sont par ailleurs bons
    candidats à la revascularisation carotidienne, on
    préconise lendartériectomie carotidienne le plus
    rapidement possible, soit dans les deux semaines
    de lincident, chez les patients ayant subi une
    ICT ou un AVC mineur avec sténose carotidienne
    supérieure à 70  et chez des patients
    sélectionnés atteints de sténose carotidienne
    symptomatique aiguë atteignant 50 à 69  du côté
    impliqué par leurs déficits neurologiques.

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3.2b Prise en charge
  • Les patients ayant subi une ICT ou un AVC mineur
    et qui présentent une fibrillation auriculaire
    doivent recevoir un traitement anticoagulant par
    warfarine dès que limagerie cérébrale a exclu la
    présence dune hémorragie intracrânienne
    lobjectif thérapeutique est alors un RIN de 2-3.
  • Prendre en charge de manière énergique tous les
    facteurs de risque de maladie vasculaire au moyen
    dinterventions pharmacologiques et non
    pharmacologiques en visant une maîtrise optimale.
  • Conseiller fortement aux patients ayant subi une
    ICT ou un AVC mineur et qui fument la cigarette
    de cesser immédiatement
  • et appliquer les mesures pharmacologiques et non
    pharmacologiques qui simposent.

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Exigences pour le système
  • Un processus et des protocoles pour permettre aux
    patients ayant subi une ICT ou un AVC mineur
    daccéder rapidement aux services.
  • Des médecins ayant une formation et autres
    connaissances leur permettant de prendre en
    charge les patients.
  • Des cliniques de prévention de lAVC accessibles.

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Indicateurs de rendement choisis
  • Récidive de lAVC ou de lICT dans 
  • les 30 jours
  • les 90 jours
  • l'année.
  • Délai entre le premier contact avec léquipe de
    soins médicaux (soins médicaux primaires ou
    service durgence) et lévaluation neurologique
    par un expert en AVC.
  • Délai entre le premier contact avec léquipe de
    soins médicaux et lépreuve dimagerie cérébrale
    (TDM ou IRM) et autre épreuve dimagerie
    vasculaire.

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3.3. Imagerie neurovasculaire
  • Il faut soumettre sans délai tous les patients
    chez qui lon soupçonne un AVC aigu ou une ICT à
    une épreuve dimagerie cérébrale.
  • La modalité initiale choisie est une
    tomodensitométrie sans agent de contraste.
  • Limagerie vasculaire doit être faite le plus tôt
    possible afin de mieux comprendre la cause de
    lAVC et dorienter les décisions.
  • L'imagerie inclut une angiotomographie assistée
    par ordinateur, une angiographie par résonance
    magnétique, une angiographie par cathéter et
    une échographie duplex.

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3.3 Imagerie neurovasculaire
  • Si lon opte pour lIRM, cette dernière doit
    inclure des séquences pondérées en diffusion afin
    de déceler lischémie, la séquence décho de
    gradient et la séquence dinversion-récupération
    FLAIR afin de déterminer lampleur de linfarctus
    ou la présence dune hémorragie.
  • Limagerie carotidienne est indiquée dans les 24
    heures suivant une ICT dans le territoire irrigué
    par la carotide ou un AVC ischémique non
    invalidant (si lépreuve na pas été effectuée
    lors de lévaluation originale), à moins que le
    patient ne soit clairement pas un bon candidat
    pour lendartériectomie carotidienne.

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3.3 Imagerie neurovasculaire
  • Chez les enfants, si la TDM initiale est
    négative, il faut effectuer une IRM pour étayer
    le diagnostic et le plan de traitement.
  • Chez les enfants, les artères cérébrales et
    cervicales doivent être examinées par imagerie le
    plus rapidement possible, préférablement dans les
    24 heures.

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Exigences pour le système
  • Lévaluation initiale par des cliniciens
    expérimentés.
  • Laccès en temps opportun aux services
    diagnostiques.
  • Des soins de lAVC organisés dans lensemble des
    régions pour assurer laccès en temps opportun
    aux outils de diagnostic sils ne sont pas
    disponibles dans lhôpital initial.

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Indicateurs de rendement choisis
  • Proportion des patients ayant subi un AVC qui
    reçoivent une TDM ou une IRM dans les 25 minutes
    qui suivent larrivée à lhôpital (s'ils peuvent
    avoir le traitement par
  • t-PA).
  • Proportion des patients ayant subi un AVC qui
    reçoivent une TDM ou une IRM dans les 24 heures
    qui suivent larrivée à lhôpital.
  • Proportion des patients ayant subi un AVC qui
    reçoivent une imagerie carotidienne avant leur
    congé de lhôpital.
  • Proportion des patients ayant subi un AVC qui ne
    reçoivent pas une imagerie carotidienne durant
    leur hospitalisation, mais pour laquelle un
    rendez-vous
  • est pris pour une imagerie carotidienne
  • sur une base externe.

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3.4 Anomalies de la glycémie
  • Il faut faire immédiatement le dosage de la
    glycémie de tous les patients chez qui lon
    soupçonne un AVC aigu.
  • La mesure de la glycémie devrait être répétée si
    la première valeur obtenue est anormale ou si le
    patient a un diagnostic de diabète.
  • Les taux sensiblement élevés de glycémie
    devraient être traités à laide de médicaments
    réduisant lhyperglycémie.

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Indicateurs de rendement choisis
  • Proportion des patients dont la glycémie a été
    documentée durant leur évaluation à lurgence ou
    durant leur séjour à lhôpital.
  • Proportion des patients avec un diagnostic de
    diabète, dont la glycémie se situe dans
    lintervalle thérapeutique pour ce patient.

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3.5 Traitement thrombolytique aigu
  • Il faut évaluer immédiatement tous les patients
    présentant un AVC ischémique aigu invalidant qui
    peuvent être traités dans les 4,5 heures suivant
    le déclenchement de leurs signes avant-coureurs,
    afin de déterminer leur admissibilité à un
    traitement intraveineux par activateur du
    plasminogène tissulaire (alteplase).
  • Les patients admissibles sont ceux qui peuvent
    recevoir de lalteplase par voie intraveineuse
    dans les 4,5 heures qui suivent le début des
    signes avant-coureurs de lAVC, conformément aux
    critères adaptés de létude portant sur le
    traitement de lAVC par le traitement par t-PA du
    NINDS et de la ECASSIII.

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3.5 Traitement thrombolytique aigu
  • Tous les patients admissibles doivent recevoir le
    traitement par activateur du plasminogène
    tissulaire dans lheure qui suit leur arrivée à
    lhôpital.
  • Ladministration de lalteplase se fait selon les
    lignes directrices de lAmerican Stroke
    Association.
  • Si la TDM initiale montre un infarctus touchant
    plus du tiers du territoire irrigué par lartère
    cérébrale moyenne (c.-à-d., un score inférieur à
    5 à léchelle ASPECTS Alberta Stroke Program
    Early CT Score), le jugement du médecin et les
    souhaits du patient et de sa famille sont
    d'importants facteurs dont il faut tenir compte
    avant de prendre une décision pour le traitement
    à l'alteplase.
  • Chez les enfants, le traitement par t-PA ne
    devrait être considéré que dans le cadre d'un
    protocole de recherche clinique.
  • Remarque  Au Canada, lalteplase est
    actuellement approuvé par Santé Canada pour le
    traitement des adultes ayant subi un AVC
    ischémique aigu administré moins de trois heures
    après le début des signes avant-coureurs dAVC
    (déc. 2008).

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Indicateurs de rendement choisis
  • Proportion de tous les patients ayant subi un AVC
    ischémique et qui reçoivent un traitement par
    alteplase.
  • Proportion de tous les patients ayant subi un AVC
    ischémique admissibles et qui reçoivent un
    traitement par alteplase.
  • Proportion de tous les patients ayant subi un AVC
    thrombolysés qui reçoivent alteplase dans lheure
    qui suit leur arrivée à lhôpital.
  • Délai médian entre larrivée du patient à
    lurgence de lhôpital et ladministration de
    lagent thrombolytique (en minutes).
  • Proportion des patients provenant de communautés
    rurales ou éloignées recevant de lalteplase
    par le truchement de techniques de télé-AVC.

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3.6 Traitement actif par lAAS
  • Après que limagerie cérébrale a permis
    déliminer la possibilité dune hémorragie
    intracrânienne, tous les patients ayant subi un
    AVC en phase aiguë devraient recevoir
    immédiatement une dose de charge unique dau
    moins 160 mg d'acide acétylsalicylique (AAS).
  • Chez les patients qui reçoivent un traitement par
    activateur du plasminogène, ladministration
    dAAS devrait être reportée jusquà ce que la TDM
    effectuée 24 heures après la thrombolyse ait
    exclu lhémorragie intracrânienne.
  • Le traitement par lAAS (80 à 325 mg/jour)
    devrait être poursuivi indéfiniment ou jusquà ce
    quun autre traitement antithrombotique soit
    amorcé.

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3.6 Traitement actif par lAAS
  • Chez les patients atteints de dysphagie, lAAS
    peut être administré par voie intra-rectale ou
    par lentremise dun tube entérique.
  • Chez les enfants, le traitement initial avec les
    héparines de faible poids moléculaire doit être
    envisagé et poursuivi jusquà ce que la
    dissection des artères vertébrales et le thrombus
    intracardiaque aient été exclus. En l'absence de
    ces deux cas, passer au traitement aigu par lAAS
    à une dose de 3 à 5 mg/kg.

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Indicateurs de rendement choisis
  • Proportion des patients ayant subi un AVC
    ischémique et qui reçoivent un traitement aigu
    par lAAS dans les 48 premières heures après
    lapparition des signes avant-coureurs de l'AVC.
  • Délai médian entre lapparition des signes
    avant-coureurs de lAVC et ladministration de la
    première dose dAAS à lhôpital.

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3.7 Prise en charge de lhémorragie
sous-arachnoïdienne et intracérébrale
  • Il faudrait obtenir une consultation
    neurochirurgicale urgente pour établir le
    diagnostic et déterminer les soins de tous les
    patients chez qui une hémorragie
    sous-arachnoïdienne est soupçonnée.
  • Il faudrait obtenir une consultation
    neurochirurgicale urgente pour évaluer la
    nécessité dune craniotomie pour lévacuation de
    lhémorragie de tous les patients dhémorragie
    cérébelleuse.
  • Les patients avec hémorragie intracérébrale
    supratentorielle devraient être soignés dans une
    unité dAVC.

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Indicateurs de rendement choisis
  • Proportion des patients ayant subi un AVC
    hémorragique soignés dans une unité dAVC en
    phase aiguë.
  • Proportion du séjour total à lhôpital passé dans
    une unité dAVC en phase aiguë.
  • Pourcentage des patients subi un AVC hémorragique
    qui font lobjet dune consultation
    neurochirurgicale durant leur hospitalisation.
  • Proportion des patients ayant subi un AVC
    hémorragique qui, à leur congé de lhôpital, sont
    dirigés vers leur résidence, la réadaptation en
    milieu hospitalier, les soins continus complexes
    ou les soins de longue durée.
  • Taux de mortalité des patients présentant une
    hémorragie sous-arachnoïdienne ou intracérébrale
    dans les 30 jours de leur admission à lhôpital.

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Conseils de mise en vigueur
  • Former un groupe de travail en pensant à la
    représentation locale et régionale.
  • Évaluer les pratiques actuelles à l'aide de
    l'outil danalyse de lécart des Recommandations
    canadiennes pour les pratiques optimales de soins
    de l'AVC (2008).
  • Cerner les forces, les défis et les occasions
  • Cerner 2 ou 3 priorités d'action
  • Établir les champions à l'échelle locale et
    régionale

36
Conseils de mise en vigueur
  • Cerner les besoins de formation professionnelle
    et mettre au point un plan de formation
    professionnelle.
  • Penser à utiliser des ateliers locaux ou
    régionaux pour se concentrer sur la gestion des
    AVC aigus.
  • Accéder à des ressources comme la Fondation des
    maladies du cœur et les personnes-ressources
    provinciales.
  • Consulter d'autres stratégies pour les leçons
    apprises et les ressources.

37
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