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Title: Les accidents vasculaires c r braux Author: SIMON OLIVIER Last modified by: Olivier SIMON Created Date: 11/3/2003 2:23:16 AM Document presentation format – PowerPoint PPT presentation

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Title: H


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Hémorragie méningée
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Généralités
  • Irruption de sang dans les espaces
    sous-arachnoïdiens,
  • le plus souvent par rupture dun anévrysme situé
    dans cet espace, parfois par propagation dune
    hémorragie parenchymateuse (hémorragie
    cérébro-méningée).
  • Il sagit dune urgence vitale, nécessitant une
    prise en charge neurochirurgicale immédiate

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Les symptômes
  • syndrome méningé aigu
  • céphalées brutales, explosive , demblée
    maximale
  • vomissements en jet, parfois remplacés par des
    nausées
  • photophobie et phonophobie
  • troubles de la vigilance fréquents obnubilation
    allant jusquau coma
  • La survenue à loccasion dun effort est
    évocatrice mais inconstante.

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Symptomes
  • Il existe de nombreuses variantes
  • selon lintensité des symptômes typiques
  • céphalée modérée, survenant parfois de manière
    répétée. Le caractère inhabituel de la céphalée
    et la brutalité de chaque épisode font évoquer
    une hémorragie méningée.
  • coma demblée ou mort subite par inondation
    massive des espaces sous-arachnoïdiens.
  • selon le type de symptômes
  • perte de connaissance brutale, voir malaise.
  • syndrome confusionnel dinstallation aiguë, crise
    épileptique généralisée, voire état de mal.

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Signes cliniques
  • souvent réduits à la raideur méningée
    (enraidissement douloureux de la nuque)
  • parfois responsable des signes de Kernig et de
    Brudzinski.
  • Signes végétatifs possibles bradycardie ou
    tachycardie, instabilité tensionnelle,
    hyperthermie retardée (38-385), polypnée,
    modifications vasomotrices, modifications de la
    repolarisation à lECG.
  • Signes neurologiques sans valeur localisatrice
    parfois
  • signes pyramidaux (Babinski bilatéral, réflexes
    ostéotendineux vifs)
  • paralysie du VI

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Signes cliniques
  • Anomalies du fond dœil possibles hémorragies
    rétiniennes ou vitréennes, œdème papillaire.
  • Paralysie du III intrinsèque et extrinsèque si
    compression du nerf par un anévrisme de la
    terminaison de lartère carotide interne
  • Les autres signes de localisation témoignent
    dune complication de lhémorragie méningée
  • hématome intraparenchymateux associé, spasme
    artériel au delà du troisième jour
  • hémiparésie, hémianopsie, aphasie anévrisme de
    lartère cérébrale moyenne
  • paraparésie, mutisme, syndrome frontal
    anévrisme de la communicante antérieure.

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Investigations complémentaires visant à affirmer
lhémorragie méningée
  • Scanner cérébral sans injection
  • examen-clé du diagnostic, à réaliser de toute
    urgence
  • affirme le diagnostic sil montre une
    hyperdensité spontanée dans les espaces
    sous-arachnoidiens (sillons corticaux et vallées
    sylviennes, citernes de la base, scissure
    inter-hémisphérique).
  • oriente la localisation de la rupture vasculaire
  • prédominance de lhémorragie dans une région
    cérébrale
  • plus rarement visualisation directe de
    lanévrysme (calcifications de la paroi
    anévrysmale)
  • cherche des complications précoces
  • hématome intraparenchymateux associé
  • rupture intraventriculaire
  • hydrocéphalie aiguë.

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  • Le scanner est normal (20 des cas environ) dans
    deux circonstances
  • hémorragie discrète
  • hémorragie ancienne (disparition de
    lhyperdensité sanguine en 5 à 8 jours).
  • IRM
  • remplace rarement le scanner dans cette situation
    durgence.
  • Certaines séquences (T2) sont particulièrement
    sensibles pour détecter un saignement
    intracrânien.

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(No Transcript)
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  • La ponction lombaire
  • contre indiquée sil existe un signe de
    localisation neurologique faisant craindre un
    hématome intraparenchymateux (risque dengagement
    cérébral).
  • réalisée seulement si le scanner cérébral est
    normal.

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  • conditions pratiques de sa réalisation
    soigneusement respectées
  • éviter une contamination sanguine par ponction
    traumatique
  • réalisation systématique
  • dun examen cytologique (comptage des globules
    rouges et globules blancs)
  • dun examen biochimique standard (glycorachie et
    protéinorachie),
  • dun examen du surnageant après centrifugation
  • dun examen direct avec mise en culture (rares
    hémorragies méningées compliquant une méningite).
  • acheminement immédiat des tubes au laboratoire

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  • Anomalies caractéristiques du liquide
    céphalo-rachidien
  • liquide uniformément rouge (rosé), incoagulable,
    dans les différents tubes.
  • surnageant xanthochromique après centrifugation,
    avec pigments sanguins (à partir de la 12ème
    heure).
  • érythrocytes en nombre abondant, rapport
    érythrocytes/leucocytes supérieur à celui du sang
  • leucocytose initialement à même répartition que
    celle du sang puis à prédominance lymphocytaire.
  • pression du liquide céphalo-rachidien élevée,
    témoignant de laugmentation de la pression
    intracrânienne.

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  • Ces résultats sopposent point par point à ceux
    dune ponction lombaire traumatique
  • liquide coagulable et de moins en moins sanglant
    au fur et à mesure du recueil.
  • surnageant clair après centrifugation avec
    absence de pigments sanguins.
  • rapport érythrocytes/leucocytes superposable à
    celui du sang.
  • pression douverture normale.
  • La normalité dune ponction lombaire 12 heures
    après le début de la céphalée (avec notamment
    absence de xantochromie) permet déliminer le
    diagnostic dhémorragie méningée.

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Causes et facteurs de risque des hémorragies
méningées
  • Lanévrisme artériel
  • 1ère cause 60 des hémorragies méningées
  • dilatation sacciforme (rarement fusiforme) de
    lartère avec zone dimplantation plus ou moins
    étroite appelée collet.
  • zone de fragilité pariétale malformative
    responsable dune expansion vers lextérieur du
    vaisseau
  • La malformation artérielle peut augmenter
    progressivement de taille, sous linfluence
    notamment dune hypertension artérielle mal
    contrôlée .
  • Les localisations préférentielles danévrisme
    artériel sont
  • la terminaison de lartère carotide et lartère
    communicante antérieure
  • Suivies de lartère cérébrale moyenne.
  • autres localisations (terminaison du tronc
    basilaire, artère cérébrale antérieure, )
    possibles.

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(No Transcript)
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(No Transcript)
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  • facteurs qui majorent le risque de rupture sont
    mal connus
  • le principal facteur semble être la taille de
    lanévrisme.
  • risque extrêmement faible au-dessous de 10 mm,
    mais il existe des hémorragies méningées sur
    anévrisme de petite taille
  • la rupture semble plus fréquente chez la jeune
    femme
  • les à-coups tensionnels jouent probablement un
    rôle

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Origine des anévrysmes artériels
  • en partie méconnue et fait intervenir
  • facteurs congénitaux
  • formes familiales danévrismes artériels (lt 10
    des cas)
  • des anévrismes sont présents au cours de diverses
    affections congénitales
  • polykystose rénale (anévrisme chez 1/3 des
    patients)
  • maladies du collagène (Ehlers-Danlos, Marfan)
  • dysplasie fibromusculaire
  • coarctaction de laorte.
  • facteurs acquis
  • modifications dégénératives de la paroi et
    conséquences des à-coups tensionnels au niveau
    des bifurcations artérielles.

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Autres causes dhémorragie méningée
  • malformation artérioveineuse
  • traumatisme
  • anévrismes mycotiques, secondaires à une embolie
    septique dans le cadre dune endocardite
    infectieuse.
  • angiopathies dorigine diverse (angéites
    inflammatoires, abus damphétamines, dissection
    dune artère intracrânienne, etc)
  • Absence de cause identifiée
  • situation fréquente (20 à 25 des cas).
  • fait proposer la reprise des investigations à
    distance du premier bilan.

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(No Transcript)
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Facteurs de risque
  • tabac risque multiplié par 5 (retour à un
    risque équivalent en quelques années après
    sevrage)
  • HTA chronique
  • Alcool

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Investigations à visée étiologique
  • IRM couplée à langiographie par résonance
    magnétique (ARM)
  • de plus en plus pratiquée en première intention.
  • ARM identification des anévrismes de quelques
    millimètres avec une sensibilité de près de 80.
  • Angio-scanner
  • avec reconstruction tridimensionnelle
  • place croissante, pour préciser le collet et les
    rapports de lanévrisme avec les structures
    vasculaires adjacentes
  • La normalité de ces examens nélimine pas un
    anévrisme artériel.

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Artériographie cérébrale
  • demeure lexamen de référence
  • pratiquée en urgence, en labsence de
    contre-indication opératoire.
  • comporte une étude de quatre axes nourriciers du
    polygone de Willis (artères carotides et
    vertébrales tronc basilaire) avec des
    incidences multiples.
  • met en évidence lanévrisme artériel (image
    daddition opacifiée aux temps artériels
    précoces), précise son volume, ses rapports avec
    les axes vasculaires, sa forme, le siège du
    collet
  • recherche des anévrismes multiples (20 des cas)
  • Recherche un spasme artériel secondaire
    (généralement après quelques jours).
  • parfois normale malgré lexistence dun anévrisme
    (masqué par le spasme associé), et est alors
    rediscutée à distance (6 à 8 semaines).

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Autres examens
  • demandés au cas par cas
  • hémocultures en cas de suspicion danévrismes
    mycotiques
  • examens à la recherche dune affection
    congénitale en fonction du contexte familial
  • échographie rénale pour la polykystose rénale
  • biopsie de peau pour les affections du collagène

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Prise en charge thérapeutique
  • Toute hémorragie méningée impose, un transfert
    médicalisé immédiat en milieu neurochirurgical.
  • Les objectifs du traitement sont
  • lutter contre la douleur du syndrome méningé aigu
  • supprimer la cause du saignement
  • prévenir et traiter les complications éventuelles

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Prise en charge médicale
  • Elle est débutée aux urgences avant le transfert
    et comporte
  • repos strict au lit
  • bilan préopératoire
  • arrêt des apports par voie orale
  • mise en place dune voie veineuse
  • sonde nasogastrique en cas de trouble de la
    vigilance
  • traitement antalgique par des médicaments qui ne
    perturbent pas les fonctions plaquettaires
    (salicylés et AINS contre-indiqués).

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  • contrôle des fonctions vitales
  • intubation avec ventilation assistée en cas de
    détresse respiratoire
  • pression artérielle maintenue aux alentours de
    150 mmHg de systolique
  • prévention du spasme artériel par la nimodipine
    (Nimotop, inhibiteur calcique), lorsque la
    pression artérielle peut être surveillée en
    continu.
  • mise en place dune surveillance rigoureuse
  • pouls, pression artérielle, conscience toutes les
    heures
  • température toutes les 8 heures
  • examen neurologique plusieurs fois par jour à la
    recherche dun déficit focal.

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Prise en charge interventionnelle
  • Simpose le plus tôt possible après mise en
    évidence dun anévrisme, compte tenu du pronostic
    extrêmement grave dun re-saignement.
  • Traitement retardé (au-delà de la 2ème semaine)
    sil existe
  • des troubles de la conscience
  • des troubles neurovégétatifs sévères
  • un spasme artériel
  • Traitement chirurgical ou neuroradiologique en
    fonction
  • de létat du patient
  • surtout de considérations anatomiques
    (localisation de lanévrisme, aspect du collet).

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Complications évolutives
  • nombreuses et graves
  • Hypertension intracrânienne
  • liée à lirruption de sang dans lespace
    sous-arachnoïdien avec œdème cérébral, parfois à
    la présence dune hémorragie intraparenchymateuse
    associée.
  • majorée par lhydrocéphalie aiguë.
  • nécessite la prescription de solutés
    macromoléculaires associés avec surveillance
    stricte tensionnelle et électrolytique.

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Complications évolutives
  • Hydrocéphalie aigue
  • précoce
  • liée à lobstruction des voies ventriculaires ou
    des citernes de la base par le caillottage
    sanguin.
  • impose la mise en place dune dérivation
    ventriculaire externe en urgence.
  • Récidive hémorragique
  • fréquente en cas dhémorragie méningée par
    rupture danévrisme (30 à 1 mois)
  • maximum entre le septième et le onzième jour.
  • souvent plus sévère que lhémorragie initiale
    (décès dans plus dun tiers des cas).

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Complications évolutives le spasme artériel
  • vasoconstriction sévère et prolongée.
  • du à la présence de caillots adhérents à la paroi
    externe des artères qui induiraient la libération
    de peptides vasoconstricteurs par les plaquettes
    (sérotonine, thromboxane)
  • Fréquence estimée à 50 au cours des
    anévrismes rompus
  • Sévérité
  • fonction du volume de lhémorragie méningée
  • Situé au voisinage de lanévrisme rompu ou
    sétendre de proche en proche à distance du siège
    de la rupture.
  • Délai
  • généralement entre le quatrième et le dixième
    jour dévolution et dure deux à trois semaines.

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Complications évolutives le spasme artériel
  • Conséquences
  • selon son étendue, sa sévérité et létat de la
    circulation de suppléance, le spasme peut être
  • asymptomatique
  • symptomatique, responsable dun infarctus
    cérébral prouvé par lhypodensité au scanner.
  • Mise en évidence par
  • lartériographie cérébrale, qui visualise
    directement le rétrécissement artériel
  • le doppler transcrânien, qui montre une
    augmentation des vitesses circulatoires au niveau
    de lartère spasmée. Il présente lavantage de
    pouvoir être répété facilement au cours de
    lévolution.
  • Prévention
  • systématique compte-tenu de la gravité éventuelle
    de cette complication
  • Nimodipine

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Autres complications précoces générales
  • hyponatrémie par hypersécrétion du facteur
    natriurétique (SIADH)
  • troubles de la repolarisation et du rythme
    cardiaque
  • hyperthermie, complications de réanimation
    (pneumopathie, ulcère, )

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Complications à distance
  • Hydrocéphalie à pression constante
  • se révèle quelques semaines à quelques mois après
    lhémorragie méningée.
  • triade symptomatique
  • troubles de la marche (astasie-abasie)
  • troubles sphinctériens
  • troubles cognitifs
  • conséquence dun feutrage de larachnoïde au
    niveau des aires de résorption du LCR
    (granulations de Pacchioni).
  • Récidive hémorragique tardive

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Pronostic de lhémorragie méningée par rupture
danévrisme
  • - Taux de mortalité 60 environ, avec 10 de
    décès dans les trois premiers jours
  • Déficit invalidant 25 des survivants
  • Facteurs de mauvais pronostic
  • âge avancé (gt 70 ans)
  • saignement abondant
  • troubles de la conscience initiaux sévères
  • présence dun spasme artériel
  • anévrisme non accessible à la chirurgie ou à la
    neuroradiologie interventionnelle

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  • Lhémorragie méningée se caractérise par un
    syndrome méningé aigu (céphalée brutale) lié à
    lirruption de sang dans les espaces
    sous-arachnoïdiens
  • Il sagit dune urgence vitale, nécessitant une
    prise en charge neurochirurgicale immédiate
  • Le diagnostic repose dabord sur le scanner
    cérébral, puis la ponction lombaire, dont la
    réalisation doit être soigneuse pour éviter une
    contamination sanguine dorigine traumatique

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  • La principale cause est lanévrisme artériel,
    dorigine malformative. Langiographie cérébrale
    est lexamen de référence, souvent précédé dune
    ARM et/ou dun angio-scanner
  • Le traitement a pour objectif dexclure
    lanévrisme de la circulation par neuroradiologie
    interventionnelle ou chirurgie
  • De nombreuses complications, aiguës ou tardives,
    sont possibles. Le spasme artériel précoce est la
    principale et est systématiquement prévenu
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