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Recherches en g

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Recherches en g nomique foresti re et en protection des arbres contre les maladies et les insectes ravageurs – PowerPoint PPT presentation

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Title: Recherches en g


1
Recherches en génomique forestière et en
protection des arbres contre les maladies et les
insectes ravageurs
  • Louis Bernier

2
Axe 1 Génétique, biologie moléculaire et
physiologie
  • Volet 1.1- Étude des génomes et transcriptomes
  • (Bernier, Bousquet, Mackay, Tremblay)
  • Volet 1.2- Physiologie et biologie moléculaire
    des arbres, plantes forestières et symbioses
    (Berninger, Desrochers, Khasa, Laliberté,
    Lapointe, Lechowicz, Margolis, Messier, Piché,
    Shipley, Tremblay)
  • Volet 1.3- Micropropagation et embryogenèse
    somatique
  • (Laliberté, Lapointe, Tremblay)
  • Volet 1.4- Flux géniques et structures de
    populations des arbres, végétaux et leurs agents
    pathogènes et symbiotiques
  • (Bernier, Bousquet, Dayanandan, Green, Khasa,
    Mackay, Piché)
  • Volet 1.5- Moyens de lutte biologique contre les
    pathogènes et insectes ravageurs (Bauce, Bernier,
    Mauffette)

3
Volet 1.1
Étude des génomes et transcriptomes
4
Arborea La génomique pour la sélection de
variétés chez les épinettes (Genomics for
molecular breeding in spruces)
Institutions participantes
Répartition de l'équipe(plus de 50 personnes!)
Institutions Participants Université
Laval Co-dir J. Bousquet, J. MacKay P.
Rigault, N. Gélinas, R. Beauregard Gestionnaire
de projets P. Poulin Service canadien des forêts
(RNCan) N. Isabel, A. Séguin, J.
Beaulieu Agriculture et Agroalimentaire Canada
A. Bertrand, Y. Castonguay Min. des Ressources
Naturelles M. Perron et de la Faune
(Québec) University of Alberta J.
Cooke PAPRICAN L. Wallbacks University of
Georgia J. Dean
Projet financé par
Près de 15 de léquipe est située en Alberta!
5
Objectifs du projet Arborea
  • Mettre en évidence le contrôle génétique
    sous-jacent à laoûtement des bourgeons
    (indicateur de ladaptation et de la croissance)
    et aux caractéristiques du bois
  • Intégrer différentes approches expérimentales de
    la génomique pour établir des liens entre les
    gènes (génotypes) et ces caractères complexes
  • Connaissance du génome
  • Inventaire des gènes actifs chez lépinette plus
    de 15,000 identifiés
  • Répertoire des variations dans lADN des gènes
    des milliers de gènes ciblés
  • Caractérisations fonctionnelles gènes
    régulateurs, protéines de réserve, métabolisme de
    larginine
  • Ressources et méthodes développées pour lanalyse
    des épinettes
  • Biopuces à ADN profils de lexpression, environ
    10, 000 gènes à la fois
  • Méthodes pour déterminer le génotype sur des
    centaines de gènes en parallèle
  • Base de données des gènes, leur fonction et
    variations www.ForestTreeDB.org ( avec U. of
    Minnesota)
  • Laoûtement des bourgeons Génotype vs phénotype
  • Approches expérimentales Étude dassociation (
    population darbres non-apparentées) et
    cartographie génétique (familles obtenues de
    croisements). Jeunes arbres répliqués.
  • Comparaison de conditions naturelles et
    artificielles
  • Analyse fine de la morphologie, du métabolisme et
    expression des gènes pendant laoutement
  • Caractéristiques du bois - Génotype vs phénotype
  • Approches expérimentales Étude dassociation.
    Test de descendances de 200 familles sur 3 sites.
  • Densité et rigidité du bois, angle des
    microfibrils de la cellulose, contenu en lignine,
    celllulose, composés extractibles

6
Aoûtement des bourgeons
Photopériode naturelle
Changements brusques de la photopériode
(1) Sous serres Valcartier, Quebec
(1) Outdoor Valcartier, Quebec
(3) Chambre de croissance U. Alberta, Edmonton
(2) Chambre de croissance AAFC, Québec
Études dassociation et cartographie de QTL,
génotypage
Expression génique, Biopuces
7
Arborea II La génomique pour la sélection de
variétés chez les épinettes(Genomics for
molecular breeding in spruces)Découverte de
marqueurs de gènes indicatifs de ladaptation de
la productivité à partir dapproches intégrant la
génomique fonctionnelle et associative
8
Volet 1.4
Flux géniques et structures de populations
9
N. Isabel, P. Meirmans, M. Lamothe, P. Talbot,
G. Guigou, P. Périnet, D. Khasa, J. Bousquet
Vers une meilleure évaluation des risques
environnementaux liés à la dispersion de nouveaux
gènes dans lenvironnement
10
  • Inquiétudes soulevées par le manque de données
    sur les impacts environnementaux potentiels
    suivant le déploiement despèces exotiques ou
    dOGMs.
  • Chez les arbres risque de contamination
    génomique des espèces indigènes par les espèces
    exotiques ou les gènes introduits via le flux
    génique par le pollen.
  • Déterminer une alternative pour mesurer le flux
    génique potentiel entre les AGMs et les espèces
    indigènes, sans le recours aux plantations dAGMs
    sexuellement matures.
  • Estimer le flux génique depuis les plantations
    matures despèces exotiques vers les espèces
    voisines indigènes situées en périphérie, à
    laide de marqueurs moléculaires.

11
  • Les taux dintrogression observés diffèrent
    dépendamment de lespèce "receveuse" et entre les
    sites. Par contre, ils sont peu variables dans le
    temps. Les sites forestiers sont faiblement
    affectés les arbres isolés en paysage agricole
    plus affectés.
  • Quand Populus balsamifera est lespèce
    "receveuse", la majorité des hybrides
    correspondent à des croisements naturels entre P.
    balsamifera et P. deltoides.
  • Lampleur des taux dintrogression spontanée
    trouvés pourrait affecter à très long terme la
    constitution génétique des populations locales
    des espèces indigènes sous la condition que les
    hybrides fortuits soient plus adaptés que les
    arbres indigènes.
  • Les données obtenues pour P. balsamifera et P.
    deltoides seront intégrées dans un modèle de
    prédiction.

Khasa, D.P., P. Pollefeys, A. Navarro-Quezada, P.
Périnet and J. Bousquet. 2005. Molecular Ecology
Notes 5 920-923. Hamzeh, M., P. Périnet et S.
Dayanandan. 2006. J. of the Torrey Botanical
Society 133 519-527. Meirmans, P.G., M.
Lamothe and N. Isabel, 2007.). Submitted
12
J. Bousquet, J. Beaulieu, J.P. Jaramillo-Correa,
J. Godbout, S. Gerardi, B. Cinget, M.
Deslauriers, S. Senneville
Atlas phylogéographique des conifères du Canada
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  • La phylogéographie sintéresse à la distribution
    géographique des lignées ancestrales au sein
    dune espèce. Ces différentes lignées sont
    engendrées par des évènements historiques majeurs
    tels les grandes glaciations du Quaternaire.
  • Les connaissances sur la diversité génétique
    dordre géographique de ces espèces savèrent
    indispensables pour la conservation appropriée
    des ressources génétiques. Lobjectif du projet
    est donc de constituer un atlas phylogéographique
    des conifères à large distribution canadienne.
  • Chez la plupart des conifères, lADN
    mitochondrial est transmis maternellement par les
    graines uniquement, et non par le pollen comme
    pour lADN du noyau.
  • Parce que les graines sont dispersées sur de plus
    courtes distances que le pollen, les structures
    géographiques représentatives des lignées
    ancestrales sont donc plus faciles à détecter
    dans lADN mitochondrial. Doù lemphase sur la
    recherche et la découverte de polymorphismes
    spécifiques au génome mitochondrial.

14
  • La structure phylogéographique a été déterminée
    pour quelques conifères à vaste distribution pin
    gris, épinette noire, pin tordu dans lOuest
    canadien. Le nombre de lignées ancestrales et
    leur étendue géographique ont pu être déterminés.
  • Ces résultats ont permis didentifier des refuges
    glaciaires distincts près des côtes et au sud.
    Linlandsis mais aussi les chaînes de montagnes
    comme les Rocheuses, les Cascades et les
    Appalaches ont permis lisolement et la
    différenciation génétique des refuges.
  • Les voies de recolonisation postglaciaire et les
    zones de rencontre des fronts de migration ne
    correspondent pas toujours dune espèce à
    lautre. Ainsi, pour le pin gris, le centre du
    Québec constitue une zone de rencontre
    génétiquement hétérogène alors que pour
    lépinette noire, cest la vallée du St-Laurent
    qui constitue une telle zone.
  • Dautres espèces comme lépinette blanche, le
    sapin baumier, le mélèze laricin, le pin blanc,
    la pruche et lif sont présentement considérées.
  • Publications dans Molecular Ecology.

15
Volet 1.5
Raffiner les moyens de lutte contre les
champignons pathogènes et les insectes ravageurs,
en utilisant des approches moléculaires et
physiologiques.
16
Équipe Yves Mauffette
  • Écophysiologie des essences feuillues
  • détermination de l'allocation du carbone, de la
    photosynthèse, des concentrations de produits
    toxiques et nutritifs du feuillage en fonction
    d'insectes phytophages.
  • Dynamique de populations d'insectes défoliateurs
    présents dans les écosystèmes forestiers et leurs
    effets sur les plantes hôtes.

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Équipe Éric Bauce
  • Développement dun outil de prévention
    (sylvicole) pour accroître la résistance
  • Sélection de plants à résistance naturelle
    multiple et élucidation des mécanismes
    physiologiques et biochimiques en cause
  • Adaptation locale des populations de ravageurs
  • Biologie hivernale des insectes forestiers dans
    un contexte de changements climatiques

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Équipe Louis Bernier
  • Diversité des espèces et dynamique des
    populations de champignons pathogènes (1.4)
  • Étude des interactions arbre-pathogène (1.1)
  • Développement dagents de lutte biologique

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Diversité des champignons pathogènes
  • Champignons ophiostomatoïdes (bleuissement)
  • Espèces associées aux scolytes de lécorce (M.-È.
    Beaulieu)
  • Génétique des populations (P. Gagné, C. Morin)

Affiche 5
Collaborateurs C. Breuil (UBC), RC Hamelin
(SCF), GR Stanosz (UWisc)
20
Pourquoi étudier la diversité des champignons
pathogènes ?
  • Associer la bonne espèce fongique à la bonne
    maladie
  • Complexes despèces apparentées pathogènes vs
    saprophytes
  • indigènes vs exotiques (quarantaine)
  • Évaluer le degré de variabilité génétique au sein
    des espèces
  • Plasticité des espèces pathogènes
  • Reproduction sexuée vs asexuée
  • Espèce indigène vs exotique
  • Identifier les sources de variabilité (localité,
    hôte)
  • Populations panmictiques vs fragmentées biotypes
  • Guider les améliorateurs dans le choix des
    isolats fongiques à utiliser lors des tests de
    résistance (par ex., PEH au Québec)

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Étude des interactions arbre-pathogène
  • Chancre septorien
  • Bases physiologiques et moléculaires de la
    pathogénécité chez le S. musiva (V. Jacobi)
  • Maladie hollandaise de lorme (MHO)
  • Pathogénomique (M. Aoun, K. Plourde, J. Dufour,
    V. Jacobi)
  • Caractérisation des transposons chez les
    Ophiostoma (G. Bouvet)

Collaborateurs CM Brasier (UK), WE Hintz (UVic),
N Feau (SCF),MJ Mottet (MRNF)
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Pourquoi étudier les interactions hôte-pathogène?
  • Identifier les facteurs de pathogénécité et de
    fitness
  • Modulation
  • Évolution
  • Cibles potentielles pour lutte contre les
    pathogènes
  • Identifier des gènes de résistance susceptibles
    dêtre sélectionnés ou manipulés chez lhôte
  • Accélérer la sélection de matériel résistant par
    les améliorateurs

23
Travaux en cours sur la MHO
Ophiostoma novo-ulmi
Mycélium
Cellules levuriformes
Hylurgopinus rufipes Scolytus multistriatus
24
Inoculation de gaules dorme
25
Identification de gènes individuels modulant la
pathogénécité chez Ophiostoma novo-ulmi
1. AST27 mutant naturel
H327
AST27 -
80
a
60
40
Pathogénécité ( défoliaison)
b
20
0
Gène Pat1
Et-Touil et al. 1999
26
Identification à grande échelle de gènes modulant
linteraction entre lorme et O. novo-ulmi
Mycélium
Cellulesdorme
Extraction des ARN messagers et analyse des gènes
exprimés 72 h après linoculation dO. novo-ulmi
Aoun et al. Données non publiées
27
Gènes exprimés lors de linteraction orme - O.
novo-ulmi
  • 543 Étiquettes (EST) représentant 314 gènes
    différents

61
3
479
Gènes fongiques
Gènes de plante
Orphelins
Aoun et al. Données non publiées
28
Analyse de lexpression génique
Comparaison de macroarrays (96 gènes/membrane)
1 2 3 4 5 6 7 8 9
10 11 12 nc/pc
A Expression chez cals infectés
B Expression chez cals sains
Lorme dAmérique, bien que très sensible à la
MHO, possède des gènes R qui pourraient guider
les améliorateurs
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Lutte biologique contre le bleuissement de
laubier
  • Obtention dune souche de Ceratocystis resinifera
    albinos (Kasper)
  • Inoculation de Kasper pour contrer souches
    sauvages pigmentées

30
Et ça fonctionne ?
31
En guise de conclusion
  • La génomique, un outil puissant pour
  • Étudier le génome individuel ou cribler des
    populations entières
  • Établir les liens entre des gènes et des
    caractères souvent complexes
  • Étudier différents types dorganismes
  • Accélérer le processus damélioration génétique
    traditionnelle
  • La lutte biologique en foresterie, bien plus que
    le BT !
  • De nombreux microorganismes présentent un
    potentiel intéressant
  • Écueils à surmonter application à grande
    échelle, homologation, commercialisation.
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