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Title: Traitement de l info dans le RIS Author: gilles coppin Last modified by: gilles coppin Created Date: 10/10/2005 9:34:23 PM Document presentation format – PowerPoint PPT presentation

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Transcript and Presenter's Notes

Title: M


1
Mémoire(s)
2
Modèle dAtkinson Shiffrin (1968)
Moyen de stockage et de travail
Registre de linformation sensorielle
Mémoire à Court terme
Mémoire à Long terme
Registre de linformation sensorielle
MCT
MT
Mémoire à Long terme
3
Registre dinformation sensorielle
4
RIS
  • On peut  travailler  sur des stimuli ou
    perceptions plus longtemps que la durée de ces
    stimuli eux-mêmes (Sperling 1960)
  • Rémanence visuelle, acoustique ou tactile
  • Epaisseur du temps de la Gestalt ?

5
Traitement de linfo dans le RIS
Localisation vs. contenu
R 4 6 C 3 B 9 S
Rappel par ligne ou colonne vs. Rappel par
caractéristiques (Sperling 1960)
50 ms
6
Traitement de linfo visuelle dans le RIS
Rappel de 9 lettres
A T R I U P N B M
50 ms
50 ms
variable
Le marqueur permet de focaliser le traitement et
de retrouver la lettre avant effacement du
RIS (Averbach Corryel 1961)
7
Traitement de linfo visuelle dans le RIS
masquage
A T R I U P N B M
A T R I O P N B M
Lorsque le second stimulus (masque) se présente,
il interrompt le traitement du premier. (Averbach
Corryel 1961)
8
Informations acoustiques et RIS
Travaux sur informations acoustiques dans le
registre acoustique (Darwin, Turvey Crowder
1970) Rémanence approximative de 2
secondes Effet de suffixe équivalent de
leffet de masquage visuel (Crowder 1972)
9
Mémoire à court terme
10
Mémoires ou mémoire ?
Modèle  moniste  le traitement fait la
différence
Vs.
Modèle  dualiste  les structures et
dispositifs sont différents
11
Types de tests de mémoire
Rappel retrouver les mots sans donner dautre
indication
Reconnaissance présenter un item et demander
si on reconnaît
12
Rémanence en MCT
Test des 3 consonnes (ou trois mots)
de retenus
100
(Peterson Peterson 1959)
50
25
3
6
9
18
Temps de rappel (s)
13
Expérience de rappel de listes (1)
Atkinson Shiffrin 1968
14
Expérience de rappel de listes (2)
Glanzer Cunitz 1966
15
Effets de primauté et effet de récence
Moyenne nbre répétition
Proba rappel
1
1
Position liste
Position liste
20
20
(Rundus 1971)
16
MCT et MLT
Autre expérience Hyp premiers mots liés à
MLT, derniers liés à MCT
Confusions acoustiques pour MCT (lié au
verbal) Confusions sémantiques pour MLT (lié au
sens)
17
Définition de la mémoire à court terme
Mémoire primaire, mémoire à court terme, mémoire
immédiate Version initiale (Atkinson
Shiffrin) la MCT stocke des informations Phonéti
ques. Items verbaux, sons.
Mémoire de travail (Baddeley) Mémoire modulaire.
Processus de traitement.
18
Les points clés
  • La capacité
  • La structure et les processus
  • Loubli

19
Capacité empan mnémonique
  • Lié au rappel sériel immédiat
  • Empan pour les lettres ou chiffres denviron 7
    ou 8
  • Mise en évidence de la capacité limitée de la
    mémoire à court terme
  • Polémique sur une définition de capacité limitée
    à lempan mnémonique

20
Capacité empan mnémonique
Nombre total déléments Nombre total déléments Nombre total déléments Nombre total déléments
Num. liste Lettres Syllabes Mots
1 6 6 -
2 6 8 -
3 37 12 6
4 54 16 8
5 51 18 6
21
Capacité chunks ou pas chunks ?
  • Miller (1956) 7 /- 2 items ou chunks
  • Un chunk est un groupe déléments ou stimuli qui
    ont une signification familière
  • GPD WMB PDG BMW
  • Lien avec la mémoire à long terme
  • Mais encore trop simple lempan mnémonique
    diminue en nombre de mots en fonction du nombre
    de syllabes dans les mots (Baddeley, Thomson,
    Buchanan 1975)

22
Capacité, récence et empan mnémonique
  • Tulving Colatla (1975) mesure des éléments
    retenus par récente en test de rappel libre
  • Résultat moyen 3,6
  • Expérience de Baddeley Hitch (1974) rappel
    libre (16 mots lus toutes les deux secondes) mais
    avec contrainte supplémentaire de mémorisation de
    chiffres (0, 3, 6 chiffres)
  • résultat la primauté seffondre !
  • Conclusion empan et récence pourraient dépendre
    de deux mécanismes distincts

23
Structure et processus autorépétition
  • Expérience de Rundus (1971) rappel libre avec
    énonciation à haute voix des mots à mémoriser
  • corrélation très forte !

24
Structure et processus MCT modulaire
  • Proposition de Baddeley Hitch (1980)
  • Boucle articulatoire (lié au langage)
  • Tablette visuo-spatiale (lié au visuel)
  • Registre dinput (mémoire passive, liée à lempan)

Central executive
Visuo-spatial sketch pad
Phonological loop
Baddeley 1986
25
Structure et processus boucle articulatoire
  • Rappel sériel directement lié à la boucle
    articulatoire (autorépétition)
  • Limitation liée au temps de répétition possible
    dans une boucle denviron deux secondes
  • Corrélation forte entre temps de lecture (haute
    voix) et probabilité de rappel sériel correct
    (Schweicker Boruff - 1986)
  • Rappel ordonné
  • Confusions acoustiques les stimuli visuels sont
    transformés en signaux acoustiques

26
Structure et processus boucle articulatoire et
lecture
  • Expérience de Levy (1981)
  • Rappel mots et texte en forçant le sujet à
    articuler un autre motif (test de la suppression
    articulatoire)
  • résultat le sens du texte est retenu (pas de
    rôle central de la boucle articulatoire dans la
    lecture), mais lidentification de mots
     difficiles  ou inusuels ne se fait pas.
  •  Il ma indiqué que Stroksilogluvsk ne pourrait
    pas venir aujourdhui  

27
Structure et processus tablette visuo-spatiale
In the starting square put a 1
In the next square to the right put a 2
In the next square up put a 3
In the next square to the right put a 4

8 retenues
In the next square down put a 5
3 4
1 2 5
7 6
8
In the next square down put a 6
In the next square to the left put a 7
In the next square down put a 8
In the starting square put a 1
In the next square to the quick put a 2
In the next square good put a 3

Matrice en support
4 à 5 retenues
In the next square to the quick put a 4
In the next square bad put a 5
In the next square bad put a 6
In the next square to the slow put a 7
In the next square bad put a 8
28
Structure et processus tablette visuo-spatiale
  • Expérience de Zhang Simon (1985)
  •  Gong  6 homophones (même prononciation,
    symbole différent)
  • Autorépétition verbale impossible, mais
  • empan mnémonique de 3 items

Utilisation dune composante visuo-spatiale
29
Structure et processus registre dinputs
  • Expérience de Glanzer Razel (1974)
  • Si un sujet mémorise des phrases (non reliées
    entre elles), ce sont les deux ou trois dernières
    qui sont retenues.
  • Le registre dinputs stocke des chunks

30
MCT structure, processus et capacité
  • Expérience de Chase Ericcson (1981)
  • Rappel sériel de 80 chiffres
  • Stratégies
  • Groupement (3 ou 4)
  • Moyen mnémotechnique
  • Stratégie de récupération hiérarchisée (groupes
    de groupes)

Pas daugmentation de la capacité de la MCT
Empan peu représentatif
31
MCT et reconnaissance
  • Protocole de Sternberg (1966)
  • Ensemble-mémoire (6 ou 7 items) puis test de
    présence sur un item et mesure de la latence de
    la réponse
  • Temps linéaire en fonction de la taille de
    lensemble-mémoire
  • Interprétation Sternberg parcours sériel
  • Hypothèse non validée

32
Oubli en MCT
Oubli par dégradation avec le temps
Comment tester ?
Oubli par interférence
Force de la trace mnémonique A / Af / Af2 / /
Afi
33
Oubli par estompage rémanence en MCT
Test des 3 consonnes (ou trois mots)
de retenus
100
(Peterson Peterson 1959)
50
25
3
6
9
18
Temps de rappel (s)
Tâche de distraction différente (pas
dinterférence entre lettres et
chiffres)) Autorépétition bloquée
34
Oubli par interférence
  • Expérience de Waugh Norman (1959)
  • Série  4567284952546 
  • Puis annonce de la sonde  9 
  • 3 ou 4 chiffres entre présentation et annonce
    rappel sans problème
  • 7 ou 8 chiffres rappel impossible

Interférence des chiffres intermédiaires
35
Oubli interférence sélective(ou proactive)
Bée Chez Nez Dé Fée Quai
Ai Hué Ré Sué Thé Yé-yé
?
S
I
Bée Chez Nez Dé Fée Quai
Eskimo Violon Buffle Crayon Téléphone Hiver
?
S
I
Quelles caractéristiques provoquent le plus ou le
moins dinterférences ?
36
Oubli interférence sélective(ou proactive)
  • Analyse du RIP (release from proactive
    interference)
  • Changement de catégorie sémantique
  • Nature de lintrusion de la mémoire sémantique ?
  • Gardiner, Craik Birtwistle (1972)
  • Linterférence proactive affecte les indices
    utilisés pour retrouver linformation
  • Le RIP apparaît même si le changement de
    catégorie survient après la présentation

37
Oubli mémorisation et reconstruction
KAMOURASKA CHICOUTIMI SHAWINAGAN MATAGAMI DONNACON
A REPENTIGNY
BAI SAI PAI LAI MAI FAI
Intervention de la MLT
Mots longs / mots courts
Sonorités identiques / distinctes
38
Concept de mémoire de travail
Importance de la rapidité dencodage et de la
nature des informations encodées dans la MT
Prototypes en MLT
MT
Attributs
Inputs
Codes
39
Bibliographie
C. Fortin, R. Rousseau, Psychologie cognitive,
une approche de traitement de linformation ,
Presse de lUniversité du Québec,
Télé-Université, 1992 John R. Anderson, Learning
and memory, an integrated approach, Wiley,
1994 P. Lindsay D. Norman, Traitement de
linformation et comportement humain, Vigot,
1980 W. Gordon, Learning and memory, Brooks /
Cole, 1988
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