De la prise en charge symptomatique - PowerPoint PPT Presentation

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De la prise en charge symptomatique

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De la prise en charge symptomatique la prise en charge palliative Dr Emilie MOUCHET, quipe mobile de soins palliatifs-Centre SPILLMANN CHU de NANCY – PowerPoint PPT presentation

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Title: De la prise en charge symptomatique


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De la prise en charge symptomatique à la prise en
charge palliative
  • Dr Emilie MOUCHET,
  • Équipe mobile de soins palliatifs-Centre
    SPILLMANN
  • CHU de NANCY

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La Douleur
  • Palier de lOrganisation Mondiale de la Santé (
    douleur par excès de nociception)
  • http//tpeantidouleur.e-monsite.com/pages/la-doule
    ur/les-echelles-de-mesure.html

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Prescription
  • Voie dadministration simple, fiable, adapté
    (voie orale)
  • Prises régulières /durée d action de la molécule
    - Anticipation des accès douloureux
  • Doses maximales
  • Effets secondaires
  • L équi-analgésie passage d une molécule à
    l autre, d une voie d administration à
    l autre
  • Pas dutilisation de produit de la même classe
    ayant la même cinétique

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Antalgiques de palier 1
  • - Le paracétamol
  • 1g toutes les 6h , max admis 1g toutes les 4h
    (douleur cancéreuse)
  • PO, Suppo, Voie injectable non disponible en
    ville
  • Les AINS attention chez la PA, limiter la durée
    de prescription
  • Lacupan
  • Ampoule de 20mg/2ml ( voie IV lent ou IM, SC
    hors AMM, PO sur un sucre hors AMM)
  • 1 injection toutes les 4 à 6h ou en continu en SE
    ( max 120 mg/J)- ne pas mélanger
  • Delai 30 à 60 min, durée daction 4 à 6h

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Antalgiques de palier 2 (1)
  • - La codéine
  • association paracétamol/codéine, LP, (buvable)
  • 1/6 équivalent PO morphine
  • Delai daction 1h (LI) 2h ( LP)- durée
    daction 4h (LI) 12h (LP)
  • EI identique à la morphine. Prévention
    constipation-systématique

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Antalgiques de palier 2 (2)
  • Le tramadol
  • LI, LP sur 12 ou 24h
  • buvable
  • injectable (prescription initiale hospitalière)
  • Equianalgésie 1/6 à 1/10 équivalent PO morphine
  • Delai daction 1 à 2h ( LI), 5h (LP) -durée
    daction 5 à 7h (LI), 12H (LP)
  • Posologies voie orale 400 mg / j maxi
  • voie injectable 600 mg/j maxi

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Antalgiques de palier 2 (3)
  • Sujet âgégt 75 ans, ins. rénale ou hépatique
    allonger lintervalle de prise - non si Cllt10
    ml/min
  • EI confusion, tb digestifs, somnolence, sueurs,
    sécheresse buccale, hypo chez patient diabétique,
    diminution du seuil épileptogène
  • CI épilepsie non contrôlée
  • Interactions IMAO ( CI), méd. qui diminuent
    seuil épileptogène (AD, nefopam),sd
    sérotoninergique avec IRS

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Antalgiques de palier 3 (1)
  • Morphine orale LI, LP (skenan possibilité
    douvrir les gélules) , buvable (oramorph 1gtte
    1,25 mg de morphine )
  • Morphine injectable IV ou SC
  • Oxycodone orale LI, LP, orodispersible 2x plus
    puissant que la morphine
  • Oxycodone injectable (réserve hospitalière)

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Antalgiques de palier 3 (2)
  • Patch de fentanyl transdermique (25 microg 60
    mg équivalent PO morphine ) douleur stable,
    délai daction 12h, durée 72h, attention à la
    fièvre
  • Sophidone deuxième intention, cancérologie
    7,5 x plus puissant que la morphine
  • Fentanyl transmuqueux uniquement ADP,
    cancérologie (ne pas dépasser 4 prises par jour,
    titration obligatoire)

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Antalgiques de palier 3 (3)
  • Les effets secondaires
  • Constipations à prévenir
  • Somnolence
  • Nausées/vomissements (au début)
  • Sécheresse buccale
  • Confusion/hallucinations
  • Dysurie
  • Effets dépresseurs respiratoires

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Rotation des opioides
  • Changement dun opioide par un autre
  • Quand diminution du rapport bénéfice/risque
  • Dans les règles déquianalgésie

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Les douleurs neuropathiques (1)
  • Les antidépresseurs
  • Essentiellement tricycliques laroxyl ,
    anafranil, tofranil
  • Formes comprimé, solution buvable (gouttes)
  • Réelle action antalgique à de posologies moindres
    que pour une dépression
  • Dose progressive et adaptée à chaque patient
  • Informer le patient de leffet retardé
  • EI sédation, hypo TA, sécheresse buccale, RAU,
    constipation- attention sujets âgés
  • CI glaucome à angle fermé, adénome prostate,
    IDM récent, trouble du rythme
  • Interactions tramadol, IRS

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Les douleurs neuropathiques (2)
  • Les antiépileptiques
  • gabapentine Neurontin algies post zostérienne
    et neuropathie diabétique- en 3 prises max
    3600mg/j
  • prégabaline Lyrica DN périphériques et
    centrales- en 2 prises max 600mg/j
  • Posologie croissante ( 3 à 7 jours de délai avant
    augmentation)
  • Effet différé
  • EI somnolence -vertiges-bouche
    séche-sensation débriété-prise de poids
  • Problème du rivotril ?

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Les Co-analgésiques
  • Approches non / médicamenteuses
  • corticothérapie PO, IV ou SCL
  • Spasmolytiques PO ou injectable
  • Biphosphonates - métastases osseuses
  • (! fonction rénale)
  • Radiothérapie/ Cimentoplastie
  • Relaxation, hypnoanalgésie

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Soins palliatifs Premières définitions
  •  Tout ce quil reste à faire quand il ny a plus
    rien à faire  (Dr Thérèse Vannier, 1976)
  •  Soins actifs et complets donnés aux malades
    dont laffection ne répond plus au traitement
    curatif  (OMS, 1990)

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Soins palliatifs Définition SFAP (1) Société
Française dAccompagnement et de soins
Palliatifs,Assemblée Générale du 4 mai 1996,
Toulouse
  • Les soins palliatifs sont des soins actifs dans
    une approche globale de la personne atteinte
    d'une maladie grave, évolutive ou terminale. Leur
    objectif est de soulager les douleurs physiques
    ainsi que les autres symptômes, et de prendre en
    compte la souffrance psychologique, sociale et
    spirituelle

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Soins palliatifs Définition SFAP (2)
  • Les soins palliatifs et l'accompagnement sont
    interdisciplinaires
  • Ils s'adressent au malade en tant que personne,
    à sa famille et à ses proches, à domicile ou en
    institution
  • La formation et le soutien des soignants et des
    bénévoles font partie de cette démarche

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Soins palliatifs Définition SFAP (3)
  • Les soins palliatifs et l'accompagnement
    considèrent le malade comme un être vivant et la
    mort comme un processus naturel
  • Ceux qui les dispensent cherchent à éviter les
    investigations et les traitements déraisonnables.
    Ils se refusent à provoquer intentionnellement la
    mort

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Soins palliatifs Définition SFAP (4)
  • Ils s'efforcent de préserver la meilleure qualité
    de vie possible jusqu'au décès et proposent un
    soutien aux proches en deuil. Ils s'emploient,
    par leur pratique clinique, leur enseignement et
    leurs travaux de recherche, à ce que ces
    principes puissent être appliqués

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Les soins palliatifs dépassent largement les
soins terminaux
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  • Soins palliatifs exclusifs prise en charge
    symptomatique de la maladie incurable
  • Objectif confort et qualité de vie,
    accompagnement du patient et de lentourage
  • Soutien des équipes soignantes
  • À domicile ou en institution
  • Spécificités gériatriques

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Spécificités gériatriques liées au patient
Spécificités des pathologies
  • Fréquence de la pathologie cancéreuse
  • Fréquence des insuffisances terminales dorganes
    (insuffisance cardiaque, respiratoire, rénale,
    etc.)
  • Fréquence des poly-pathologies avec défaillances
    en cascade
  • Fréquence des atteintes cognitives associées
    (démence de type Alzheimer, autres démences, etc.)

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Spécificités gériatriques liées au patient Une
évolution très incertaine
  • Patient parfois déjà en état de grande dépendance
  • Alternance dépisodes aigus et de mieux contre
    toute attente
  • Expression clinique  bruyante  de problèmes
    intercurrents curables (fécalome)
  • Difficultés détablir un pronostic vital
  • Soins palliatifs parfois sur une longue durée

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Spécificités gériatriques liées au patient
  • Du fait des altérations cognitives
  • Difficulté dévaluer les symptômes douleur et
    autres signes dinconfort
  • Difficulté dévaluer le désir propre du sujet
  • Difficulté de communication
  • Du fait du grand âge
  • Spécificité des thérapeutiques (interactions
    médicamenteuses) - risque iatrogénie
  • Spécificité de lévaluation

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Spécificités gériatriques liées à lentourage
  • Entourage absent (ces patients sont parfois
    totalement isolés)
  • Le conjoint est lui-même âgé ou malade (perte
    dautonomie et/ou altérations cognitives chez
    laidant)
  • Les enfants peuvent être dans la situation
    davoir leurs deux parents en difficulté en même
    temps, travaillent, résident parfois loin,
    eux-mêmes ont leurs enfants, parfois leur propre
    pathologie

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Spécificités gériatriques liées aux soignants
  • Parfois accompagnement de patients quils
    connaissent depuis longtemps (charge affective
    importante, attachement ou rejet, risque de
    projection et de burn-out)
  • Leur compétence doit être double
  • gériatrique
  • palliative

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Principaux symptômes inconfortables en fin de vie
  • Douleurs
  • Troubles de létat général asthénie, anorexie,
    fièvre
  • Troubles respiratoires
  • Troubles digestifs
  • Troubles psychiques confusion,agitation
  • Troubles urinaires, cutanés

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Soulagement des symptômesen fin de vie daprès
B. MOUNT (Royal Victoria Hospital, Montréal)
  • Traiter la cause du symptôme
  • Prévenir le symptôme
  • Soulager le symptôme
  • Garder le patient le plus valide possible
  • Préserver les facultés intellectuelles
  • Privilégier la voie orale
  • Ne pas écarter une pathologie curable non liée à
    la maladie incurable

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Les symptômes respiratoires
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La dyspnée Ressentie par le patient, à évaluer
  • Traitement étiologique (si possible)
  • Antibiothérapie Rocéphine possible en SC
  • Corticothérapie
  • Aérosols
  • Diurétiques Lasilix possible en SC ( hors AMM)
  • Traitements non spécifiques
  • les morphiniques par voie orale ou parentérale
  • augmentation de 25 à 50 de la dose administrée à
    visée antalgique ou dose filée
  • Surveillance amélioration du symptôme et FRgt
    10 cycles/min
  • Seul traitement ayant prouvé sont efficacité
    dans la prise en charge symptomatique, palliative
    de la dyspnée
  • O2 non systématique
  • - Symptômes anxiogènes anxiolytiques

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Lencombrement bronchique
  • Symptôme très fréquent en soins palliatifs en
    particulier dans la phase terminale
  • Faut-il fluidifier les sécrétions ou les
    assécher? 
  • Évaluation possibilités thérapeutiques,
    espérance de vie estimée du patient (phase
    agonique), consensus équipe patient famille
  • Traitement étiologique si possible (ATB, kiné, )
  • Traitements symptomatiques
  • Diminution des apports (hydrat 250cc)
  • diurétiques
  • Scopolamine patch (ttes les 72h, non
    remboursé), injectable (1 à 10 ampoules/24h en
    discontinue ou continue)
  • À privilégier si râles agoniques

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Les symptômes digestifs
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La constipation
  • Moins de 3 selles par semaine et inconfort lié
  • Surveillance
  • Règles hygiéno diététiques
  • Laxatifs osmotiques type macrogol, délai 1 à 2
    j
  • ( prévention ), posologie à adapter
  • Laxatifs stimulants ( non remboursés)
  • Laxatifs lubrifiants ( attention aux fausses
    route, non remboursés)
  • Rectaux si prise PO impossible ou en seconde
    intention microlax, eductyl, glycérine,
    normacol, lavement (après TR objectivant une
    ampoule rectale pleine)

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Les nausées/vomissements
  • Traitement étiologique si possible HTIC,
    troubles métaboliques ( hypercalcémie),
    hospitalisation fréquente si syndrome occlusif
  • Traitement spécifique
  • Privilégier voie IV ou SC si vomissements
  • Anti-émétique dompéridone, métoclopramide
    (prokinétiques si pas dobstacle, possible en
    continu dans une hydratation SC), antisécrétoires
    type SCOBUREN surtout en cas docclusion
    (possible en continu)
  • Vomissements rebelles haldol, largactil
    (occlusion )

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Les symptômes neuro-psychiques
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Anxiété- angoisse-dépression-confusion
  • PO SERESTA, XANAX, parfois ATARAX ( non BZP)
    possible en injectable (attention aux effets
    anticholinérgiques)
  • Injectable HYPNOVEL ( réserve hospitalière)
    si nécessaire à domicile HAD possible
  • NL si BZP inefficaces, délire-hallucinations,
    confusion, risque de détresse respiratoire
  • Tiapridal, largactil (très sédatif), haldol( anti
    productifs)
  • - Antidépresseurs
  • attention tricycliques chez PA,
  • ISRS certains en solution buvable

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Traitements médicamenteux
Molécules DCI Nom commercial Formes galéniques ½ vie
Oxazépam Seresta Cp 10h
Alprazolam Xanax Cp 12h
Lorazépam Temesta Cp 12h
Bromazépam Lexomil Cp 20h
Diazépam Valium Cp- gouttes 32h
Cloraz/dipotassique Tranxene Gélule- cp IV- IM 40h
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Traitements non médicamenteux
  • Psychothérapie
  • Relaxation
  • Massage
  • Réassurance

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La bouche
  • Sécheresse buccale très fréquente
  • Bicarbonate de sodium 1,4 (gargarisme, batonnets
    ou compresses)
  • éviter bains de bouche irritants utilisés en
    soins dentaire
  • En labsence de bicarb ST Yorre
  • Spray deau, artisial
  • Coca cola, schweppes, ananas
  • Glaçon
  • Soins de bouche plaisir

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La bouche
  • Traitement dune mycose
  • Privilégier la voie locale
  • DAKTARIN gel buccal 1CM fois 4 par jour, à
    distance des repas ( CI si O2)
  • FUNGIZONE 1CC fois 4 par jour
  • LORAMYC 1 cp buccal muco adhesif une fois par
    jour
  • Ne pas oublier de traiter les prothèses hygiène
    et trempage dans chloréxidine aqueuse (20 min)

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La bouche
  • Ulcérations
  • Tamponnement à lULCAR fois 3 par jour
  • Saignements
  • Tamponnements à lEXACYL fois 3 par jour
  • Douleur
  • XYLOCAINE visqueuse
  • Bain de bouche morphine dilution ORAMORPH dans
    100ml deau stérile

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Alimentation - hydratation en fin de vie
  • Traitements dépendants de la phase de la
    pathologie et de lespérance de vie
  • On ne meurt pas de faim en fin de vie
  •  privilégier alimentation plaisir et soins de
    bouche  (cf SFAP)
  • Alimentation artificielle rarement nécessaire
  • Hydratation artificielle non systématique et
    privilégier la SC

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  • Que ce soit à domicile ou en institution
  • Pluridisciplinarité
  • Projet de soins gt PROJET DE VIE
  • reconnaissance du rôle et de la parole de chacun
  • Formation
  • Ressources ( intervention des équipes de SP (
    EMSP, réseau), HAD, bénévoles )

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Ressources
  • www.sfap.org
  • Centre de ressources national FX Bagnoud
    www.croix-saint-simon.org
  • SOR 2002 sur les traitements antalgiques
    médicamenteux des douleurs cancéreuses par excès
    de nociception chez ladulte
  • www.sfetd-douleur.org
  • MOBIQUAL Les soins palliatifs en établissements
    de soins et dhébergement pour personnes âgées ou
    handicapées et à domicile
  • FNCLCC Standards, Options et Recommandations
    (SOR) Nutrition en situation palliative ou
    terminale de l'adulte porteur de cancer évolutif,
    2001

45
  • Merci de votre attention
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