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LES DYSTONIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES

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... d gradation scoliose de la marche insuffisance respiratoire chronique Les techniques chirurgicales ont permis d augmenter l ... techniques de : - des ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: LES DYSTONIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES


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LES DYSTONIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES
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GENERALITES
  • Les dystonies musculaires progressives sont des
    affections dégénératives du système musculaire.
    Ce sont des atteintes myogènes (jusquà présent
    on avait vu des atteintes neurogènes) dorigine
    familiale ou héréditaire.
  • Elles se caractérisent par une atteinte du tissu
    musculaire, tant les éléments contractiles que le
    tissu élastique (enveloppes conjonctives du
    muscle épimysium, périmysium et endomysium).
    Elles aboutissent donc à une dégradation de la
    valeur fonctionnelle du muscle.
  • Lespérance de vie des patients atteints de ces
    dystonies musculaires progressives a augmenté
    grâce au traitement chirurgical (ténotomies, tige
    de correction des scolioses,) jusquà 25 ans
    sans traitement, rares sont les patients qui
    arrivent à 20 ans.

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CLINIQUE DES DYSTONIES MUSCULAIRES
  • En premier lieu, on a une diminution de la force
    musculaire à localisation proximale
  • - au niveau du membre inférieur sont atteints
    le quadriceps et les fessiers
  • - au niveau du membre supérieur sont atteints
    le deltoïde, le grand dorsal, les pectoraux, les
    trapèzes et le biceps
  • - au niveau du tronc sont atteints les
    spinaux et les abdominaux
  • Ces atteintes musculaires donnent une silhouette
    caractéristique des patients touchés.
  • On a aussi une modification de la valeur
    fonctionnelle du muscle son volume est augmenté
    par hypertrophie de son tissu interstitiel
    cette augmentation apparente de volume contraste
    avec la diminution de la force musculaire. Cette
    hypertrophie du tissu interstitiel masque la
    perte musculaire, qui est marquée par une
    adiposité sous-cutanée (les muscles se
    transforment en graisse). A la palpation, on sent
    une diminution de la consistance du muscle.
  • On remarque aussi que la contraction musculaire
    est irrégulière, et on observe la formation de
    boules dans le muscle contracté.

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  • Il y a une disparition du réflexe
    idio-musculaire (réflexe idio-musculaire
    lorsque lon percute le ventre musculaire, on
    obtient, normalement, une contraction du muscle),
    alors que les réflexes ostéo-tendineux sont
    conservés.
  • les rétractions musculaires et tendineuses
    sinstallent progressivement.
  • Les sensibilités ne sont pas altérées.
  • Les signes pyramidaux sont absents
  • - BBK négatif
  • - ROT vifs, polycinétiques et diffusants

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EVOLUTION
  • On distingue 2 types datteintes
  • - les atteintes dapparition précoce type
    myopathie de Duchenne
  • Ces atteintes évoluent rapidement vers la perte
    de la marche et vers des déformations
    orthopédiques - pieds en équin
  • - déséquilibre latéral du bassin
  • - scoliose
  • - flexum de hanche et de genou
  • Les troubles respiratoires sont concomitants à
    lapparition de la scoliose (diminution du volume
    de la cage thoracique et déficience des muscles
    respiratoires).
  • - les atteintes dapparition tardive
  • Elles sont à évolution lente et touchent les
    adolescents et les adultes jeunes.

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BILAN KINESITHERAPIQUE
  • Les déficiences et les incapacités des patients
    myopathes sont appréciées des 2 manières
  • - globale
  • - analytique
  • Appréciation globale
  • appréciation du patient en mouvement
  • On observe 2 atteintes
  • - latteinte pelvienne on demande au patient
    de réaliser le transfert assis ? debout il
    saide avec les membres supérieurs, en prenant
    appui sur ses cuisses quand ils sont assis au
    sol, ils donnent limpression de grimper le
    long de leurs cuisses . Dans les atteintes
    graves, la course est impossible car la marche se
    fait par rotation du bassin
  • - latteinte scapulaire on a un balancement
    du tronc et des membres supérieurs pour
    permettre lélévation latérale et antérieure des
    membres supérieurs. Dans les efforts où le sujet
    veut soulever un poids important, il va réaliser
    une prise dappui au niveau du coude, pour
    saider dans les gestes nécessitant une certaine
    force

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  • appréciation du patient immobile
  • On observe le patient debout
  • - lhyperlordose cest la 1ère déformation
    objectivée chez les patients myopathes cest
    une hyperlordose par déficit des abdominaux et
    du grand fessier
  • - lantéversion du bassin elle entraîne une
    projection du tronc (du dos) vers larrière, ce
    qui entraîne à son tour une augmentation de la
    courbure lombaire
  • - la pseudo-hypertrophie musculaire on la
    retrouve an niveau des mollets et des deltoïdes
  • - latrophie musculaire on la retrouve
    surtout au niveau de la partie supérieure du
    thorax
  • Au niveau du tronc, on constate un décollement
    des scapula avec saillie de leur bord spinal.
    Quand le patient fait une abduction, la scapula
    décolle davantage, ce qui confirme latteinte des
    trapèzes, des rhomboïdes et des grands dentelés.
  • Associé aux atteintes des ceintures, on peut
    avoir quelques fois des atteintes faciales,
    caractérisées par une absence docclusion des
    yeux pendant le sommeil ( yeux blancs ), avec
    un faciès figé, inexpressif, et le patient est
    dans limpossibilité de gonfler les joues (ex
    pour siffler).
  • Appréciation analytique
  • Lappréciation analytique permet détablir un
    pronostic, de définir des objectifs de
    rééducation et de suivre lévolution. Les examens
    analytiques sont à renouveler
  • - tous les 6 mois chez lenfant
  • - tous les ans chez ladulte

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  • bilan orthopédique
  • Il sagit de mettre en évidence les
    déformations, qui sont la conséquence des
    déséquilibres musculaires Ces déformations sont
    réductibles au début de la maladie, puis elles se
    fixent secondairement. Ces déformations sont
    redoutables chez lenfant, car avec la
    croissance, il existe un facteur daggravation.
  • Le déséquilibre musculaire entraîne une attitude
    compensatrice du sujet, avec un raccourcissement
    des muscles les plus forts (qui vont prendre
    lhabitude de travailler en course interne) et
    une rétraction des muscles faibles (qui perdent
    leur élasticité) ce déséquilibre musculaire
    induit des déformations, qui vont induire à leur
    tour des attitudes compensatrices,
  • remarque en pathologie neurologique, on
    observera toujours
  • - un raccourcissement des muscles forts
  • - une rétraction des muscles faibles

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  • Les déformations rencontrées sont
  • - au niveau du membre inférieur
  • - pied en équin par déficit des releveurs du
    pied
  • - flexum de genou par déficit des extenseurs du
    genou
  • - flexum de hanche par déficit des extenseurs
    de hanche
  • - au niveau de membre supérieur
  • - coude en flexion
  • - avant-bras en pronation
  • - poignet en flexion
  • - au niveau du tronc
  • - déviation sagittale on a soit une
    augmentation, soit une diminution de la lordose
    (le plus souvent, cest une augmentation) la
    réduction de la lordose est appréciée par la
    flexion passive des cuisses sur le tronc
    (patient en décubitus dorsal)
  • - déviation latérale cest la scoliose elle
    apparaît avant la perte de la marche, soit par
    attitude scoliotique, soit par compensation dun
    bassin oblique (qui provoque une rétraction
    unilatérale du TFL)
  • Étude de linclinaison latérale du bassin
  • Cette inclinaison se produit après une
    rétraction asymétrique des muscles de la hanche
    on constate une chute latérale des membres
    inférieurs. Cette chute latérale des membres
    inférieurs se fait toujours du même côté quand on
    est en décubitus dorsal
  • - du côté de la chute des membres inférieurs,
    la hanche se fixe en RE / F / ABD
  • - du côté opposé à la chute des membres
    inférieurs, la hanche se fixe en RI / F / ADD
  • De plus, le flanc du côté opposé à la chute des
    membres inférieurs se ferme (rétraction
    musculaire à ce niveau).

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  • Étude de la scoliose
  • Elle est caractéristique et reste le facteur
    daggravation secondaire le plus important, en
    raison de son retentissement respiratoire plus
    la courbure est prononcée, et plus le
    retentissement respiratoire est important. Elle
    apparaît avant la perte de la marche et saggrave
    dès que lon place le sujet en position assise.
  • La courbure de cette scoliose est dorsolombaire,
    à grand rayon, et prédomine souvent à droite
    (convexité)
  • - la vertèbre sommet se situe au niveau de la
    charnière dorsolombaire
  • - la vertèbre neutre supérieure se situe au
    niveau de T5, T6 ou T7
  • - la vertèbre neutre inférieure se situe au
    niveau de L4 ou L5, et souvent, la courbure peut
    se prolonger au niveau du sacrum
  • Lévolution de la scoliose est indépendante de
    la puberté, et sa réductibilité diminue avec le
    temps.
  • bilan musculaire
  • Certains thérapeutes utilisent lévaluation
    manuelle de la force musculaire ( testing) pour
    évaluer la qualité des différents muscles, car
    elle permet danalyser la topographie de
    latteinte et de contrôler lévolution de la
    pathologie.
  • Il est cependant plus intéressant dutiliser des
    tests chronométrés on fait parcourir au patient
    une distance donnée en marchant, en courant (sil
    peut), monter et descendre des escaliers, se
    lever dun siège Au cours de ce test, il est bon
    de préciser les conditions dexécution (prise
    dappui, aide(s) de marche, appareillage,).

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  • bilan respiratoire
  • Il se fait tous les 3 à 6 mois son importance
    est fonction du nombre de décès en effet, la
    cause respiratoire est la principale cause de
    décès. Lappréciation des capacités respiratoires
    du myopathe reste lessentiel de la surveillance.
  • En ce qui concerne la kinésithérapie
  • - on mesure les périmètres thoraciques
    (axillaire, xiphoïdien)
  • - on réalise une spirométrie la capacité
    vitale respiratoire est diminuée en cas de
    scoliose
  • - on réalise une spirographie on mesure le
    Volume Courant, le Volume de Réserve
    Inspiratoire et le Volume de Réserve Expiratoire
  • - on recherche dans le dossier lanalyse des
    gaz du sang
  • - on observe les radios du thorax et des
    poumons
  • bilan psychologique
  • Pour certains thérapeutes, chez le myopathe, le
    retard mental serait le même que dans la
    population non myopathe pour dautres, le
    retard mental est incontestable chez le myopathe.

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TRAITEMENT KINESITHERAPIQUE
  • Le traitement curatif des dystonies musculaires
    progressives nexiste pas. Le traitement est donc
    palliatif, et son but est de prolonger le plus
    longtemps possible les aptitudes motrices du
    sujet, de conserver le plus longtemps la marche.
  • Dans les atteintes à évolution rapide,
    lobjectif est de conserver la fonction
    respiratoire, en augmentant les volumes et en
    évitant tous les facteurs daggravation (1ère
    cause scoliose 2ème cause encombrement et
    surinfection bronchique).
  • Dans les atteintes à évolution lente, il faut
    conserver au plus longtemps lautonomie du
    patient et entretenir lautonomie respiratoire.
  • Mais que ce soit dans les atteintes à évolution
    rapide ou à évolution lente, le traitement
    kinésithérapique doit toujours être adapté au
    patient. Il doit être quotidien et nécessaire une
    participation du malade, de la famille et de
    léquipe thérapeutique.
  • buts du traitement
  • Ce sont
  • - de limiter latrophie musculaire en
    protégeant le capital musculaire il ne faut
    jamais fatiguer le myopathe
  • - déviter toute attitude vicieuse
  • - dentretenir la fonction respiratoire
  • - de garder, conserver les possibilités
    fonctionnelles
  • - dassurer un maximum de confort physique,
    psychologique et social

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  • moyens du traitement
  • On va utiliser
  • - les massages ils nont que peu dintérêt
    sils sont effectués seuls on utiliser surtout
    des manœuvres hyperhémiantes, afin daugmenter
    lafflux sanguin pour apporter les nutriments et
    éliminer les déchets de la contraction musculaire
  • - la thermothérapie on utiliser des
    enveloppes manchots, des bains chauds, des
    infra- rouges, la fangothérapie, la
    balnéothérapie (la plus utilisée) avec une eau
    comprise entre 38 et 40 le patient est plongé
    pendant environ 30 minutes
  • - les mobilisations passives elles sont
    utiles pour lentretien articulaire on peut
    réaliser des étirements maintenus en fin de
    course, de façon à posturer et essayer de gagner
    sur la rétraction
  • - les postures on peut utiliser les postures
    simples (avec des poids, ) on peut réaliser
    les postures citées avec les mobilisations
    articulaires passives
  • - les mobilisations actives on utilise les
    mobilisations actives analytiques ou globales.
    Les mobilisations actives sont recommandées par
    certains thérapeutes, décriées par dautres.
  • Chez le myopathe, on va utiliser la technique
    de renforcement musculaire de Delorme et Watkins
    inversée le patient va commencer par travailler
    avec les 2/3 de la 10RM (rappel cest la
    résistance musculaire que peut soulever le
    patient 10 fois daffilée, sans temps de repos
    intercalé et dans toute lamplitude du
    mouvement), puis avec la ½, et enfin le ¼ de la
    10RM. Tout effort musculaire excessif est néfaste
    pour le myopathe il est essentiel déviter
    toute fatigue chez ces patients.
  • On peut utiliser la mobilisation active en
    piscine ou en suspension, afin de décharger le
    patient de la pesanteur.
  • remarque lélectrothérapie est à proscrire
    chez le myopathe, car on entraîne une
    contraction du muscle sans augmenter la
    vascularisation il y a donc non-élimination des
    déchets, et à long terme, détérioration de la
    fibre contractile.

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  • - la rééducation respiratoire elle est à
    mettre en route le plus précocement possible il
    sagit dentretenir les volumes respiratoires et
    la mobilité thoracique.
  • A chaque fois que les abdominaux sont atteints,
    on pose une sangle élastique au sujet, qui a
    pour but de contenir les viscères et doffrir
    ainsi un point fixe au diaphragme lors de la
    respiration.
  • On réalise léducation de la toux et du
    drainage au patient, afin de le désencombrer et
    déviter ainsi la surinfection bronchique.
  • On peut aussi utiliser la ventilation assistée
    à pression positive.
  • lappareillage
  • Le but de lappareillage est de suppléer ou de
    corriger une perte fonctionnelle.
  • - lappareillage statique il maintient en
    position corrigé et il est surtout utilisé la
    nuit. Pour les membres inférieurs, lappareillage
    évite la chute latérale pour le tronc, le
    corset maintient le rachis, mais il ne doit pas
    avoir de contraintes thoraciques (respiration).
  • Ainsi, pour ladulte, on utilise un corset en
    plexi dur, avec une coque postérieure rigide et
    une sangle abdominale élastique, avec 2 bretelles
    axillaires et un appui pectoral.
  • Le corset en plexi dur a pu être utilisé chez
    lenfant, mais on privilégie le corset siège
    (surtout quand il y a perte de la marche), où la
    pièce dorsale est complétée par une pièce prenant
    les 2 cuisses.
  • Le grand appareillage (appareillage du
    paraplégique), constitué pour verticaliser le
    myopathe (attention ce nest pas un
    appareillage de marche).
  • Lappareillg.age doit être léger, confortable,
    facile demploi, avoir une action préventive des
    déformations et doit respecter la mécanique
    ventilatoire.
  • - lappareillage dynamique il est utilisé pour
    compenser une fonction, donc favoriser la marche
    il sagit de chaussures orthopédiques, de
    releveurs du pied, de genouillères dextension
    (pour faire un rappel dextension et éviter le
    flexum).

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TRAITEMENT CHIRURGICAL ET REEDUCATION
  • Exemple de la myopathie de Duchenne de Boulogne
  • 0 7 10 20 ans
  • vie normale dégradation
    scoliose
  • de la marche
    insuffisance respiratoire chronique
  • Les techniques chirurgicales ont permis
    daugmenter lespérance de vie jusquà 25 ans.
  • Le traitement chirurgical précoce consiste en
    une ténotomie des muscles qui fixent les flexum
    et léquin, et en la pose de tiges métalliques
    dans chaque gouttière para-vertébrale.
  • Après intervention, la kinésithérapie aura pour
    buts
  • - de limiter le retentissement respiratoire
  • - de permettre une reprise précoce de la
    station assise
  • - de récupérer léquilibre assis
  • - de reprendre les activités antérieures le
    plus tôt possible

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  • Les buts de la rééducation sont la marche et le
    bon état orthopédique.
  • La rééducation pré-opératoire consiste en
  • - des tests chronométrés pour le bilan
  • - des mobilisations en piscine
  • La rééducation post-opératoire consiste en
  • - la reprise de la marche, ce qui implique une
    immobilisation a minima
  • - une verticalisation à partir du 3ème 5ème
    jour
  • - une reprise de la marche au 8ème jour
  • Après lintervention chirurgicale, on utilise
    des techniques de
  • - des ventilations on fait une ventilation
    mécanique quotidienne, une mobilisation du grill
    thoracique dans les amplitudes antalgiques, sans
    déclencher de douleurs. Sil y a des céphalées,
    cest que le sujet est hyperventilé
  • - la réadaptation assise on assoit dabord le
    sujet quelques minutes, avec un soutien au
    niveau du dos. Puis, quand le sujet tient de
    mieux en mieux, on augmente progressivement le
    temps jusquà 15 minutes, et on le remet au
    fauteuil. Une semaine après, on commence lassis
    libre, les pieds au sol et les mains sur les
    cuisses. Quand le patient est cicatrisé, on peut
    faire de la balnéothérapie,
  • A domicile, il faut contrôler lextension des
    genoux et des hanches, et la dorsiflexion des
    pieds.
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