SAINT-BRICE-SOUS-FOR - PowerPoint PPT Presentation

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SAINT-BRICE-SOUS-FOR

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... par la romanci re am ricaine dith Wharton qui y meurt en 1937. Cette derni re y fit r aliser des travaux et cr er de nouveaux jardins. – PowerPoint PPT presentation

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Transcript and Presenter's Notes

Title: SAINT-BRICE-SOUS-FOR


1
Lilymage présente
2
SAINT-BRICE-SOUS-FORÊT
Val d'Oise
France
3
Saint-Brice-sous-Forêt est une commune située à
17km de Paris. C'est dans un document de 1125, où
Mathieu le Bel, futur seigneur de Villiers,
énumère ses possessions, que le nom de
Saint-Brice apparaît pour la première fois. Le
village est la seigneurie des Montmorency au
XIIIe siècle. Mais en 1632, le duc de
Montmorency, coupable d'avoir conspiré contre le
roi Louis XIII, est décapité en place publique à
Toulouse. Ses biens sont dévolus à sa sœur,
Charlotte, la femme du prince de Condé. La
Révolution provoque bien des troubles et. malgré
les protestations des villageois, Loiseau de
Béranger, le généreux propriétaire du château de
Saint-Brice, est guillotiné en tant que fermier
général.
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Région Ile de France Canton
Ecouen Département Val dOise Gentilé
Saint-Briciens Arrondissement
Sarcelles Population 14 320 ha (2010)
5
Mur denceinte de la limite nord de la ville
Les matériaux et la technique employés à sa
construction, en usage depuis le XVIIe siècle, ne
permettent pas d'établir sa datation de façon
précise. La présence des contreforts peut
indiquer une réalisation assez ancienne, mais
l'usage de ces éléments de stabilité a très bien
pu persister jusqu'au début du XIXe siècle.
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Rue de Paris
7
L'Empire, puis la Restauration, amenèrent un
certain nombre de notables dans la commune. C'est
ainsi que Talleyrand, ministre de Napoléon, fut
propriétaire, du 5 juin 1812 au 16 août 1815, du
château de Loiseau de Béranger où il séjourna
avec la duchesse de Dino. Pendant la guerre
prussienne de 1870-1871, la commune, abandonnée
par ses édiles, dut sa survie au dévouement sans
faille et à la sagesse de son curé, l'abbé Louis
Salati, qui, au péril de sa vie, assuma les
fonctions de maire sans en avoir le titre. En
1877, la gare entra en activité ce qui provoqua
un afflux de parisiens venant passer le dimanche
à la campagne.
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Le calvaire a été érigé, en 1895, grâce à une
souscription publique.
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Un écolier factice prêt à traverser la rue, ceci
pour inciter les automobilistes à la prudence.
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Lhôtel de ville fut construit sur lemplacement
de la propriété Lagrenaudie détruite dans les
années 1960-1970.
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Pendant le conflit 1914-1918, Saint-Brice n'était
pas très éloignée du front. Les grandes
propriétés accueillaient des soldats pendant
leurs permissions. Mais le village se trouvait
sur la trajectoire de la Grosse Bertha. Les
difficultés apparurent  réquisitions,
restrictions, manque de main d'œuvre... Comme
partout en France, les femmes et les enfants
prirent la place des hommes dans les champs.
Après 1918, bien des fortunes locales s'étaient
amoindries ou avaient changé de mains et de
grandes propriétés furent morcelées pour laisser
place aux premiers lotissements. Aujourd'hui,
Saint-Brice garde son double visage de ville
nouvelle et de village ancien soucieux de garder
son patrimoine architectural.
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Ancienne mairie (XIXe)
Ce bâtiment abrita la mairie de Saint-Brice de
1897 à 1970. Actuellement, il fait office de
banque.
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Villa Sainte Beuve (XIXe)
Cette propriété appartenait à la famille Sainte
Beuve elle fut la résidence de lactrice Armande
Cassive et enfin de la famille Driancourt,
distillateur.
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Hôtel de Mauléon, façade sur la rue de Paris
LHôtel de Mauléon fut construit pour Georges
Gary, en 1641, secrétaire du roi. A sa mort, il
revint à sa fille, Catherine. Bossuet fréquenta
beaucoup cette demeure, réglant souvent les
dettes de la nouvelle Dame de Mauléon.
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Hôtel de Mauléon, façade principale sur le parc
de la propriété (carte postale ancienne).
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Maison Daval (1892)
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Demeure de lEcuyer, sur rue
La demeure de lEcuyer est formée dun ensemble
de bâtiments des XVIIe-XVIIIe siècles. En 1730,
Nicolas, Vincent du Trou, écuyer valet de la
garde-robe du roi qui fut aussi brodeur ordinaire
de ses écuries, en hérita de son beau-père. Le
domaine fut vendu en 1750, puis, après la
Révolution, comme bien national et ne cessa par
la suite de changer de propriétaires. Il est
inscrit à lInventaire Supplémentaire des
Monuments Historiques.
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Demeure lEcuyer dans le parc
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A lorigine, cet immeuble abritait une épicerie
datant du début du XXe siècle. Comme les échoppes
de cette époque, elle comprenait une pièce
principale donnant sur la rue, ainsi que des
petites pièces annexes. La grande pièce servait
de boutique. Un cordonnier prit la suite de cette
épicerie. Actuellement, il ny a plus de commerce.
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Le presbytère, bien abrité derrière ces murs,
date du XIXe siècle. Les bâtiments disposés en L
se trouvent au fond de la cour (voir diapositive
suivante).
21
Auparavant logé dans une demeure près de
l'église, le presbytère est installé dans ces
bâtiments après la Première Guerre mondiale.
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L'église a reçu son visage actuel en 1778, lors
du percement de la rue de Paris, lorsque le chœur
est abattu pour faire place à la route, et quand
la croisée sud du transept ainsi que la nef sont
démolies pour vétusté. L'on construit encore une
nouvelle nef, sans intérêt particulier, avec le
chevet orienté vers l'ouest. En effet, l'entrée
principale est déplacée vers l'est, sur la rue de
Paris. La nouvelle façade orientale n'est
toutefois érigée qu'en 1899 soit plus dun siècle
plus tard. Malheureusement, léglise nest
ouverte quen fin de semaine, aux heures des
offices.
23
(No Transcript)
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La chapelle accolée à la face nord du clocher et
ce dernier sont classés monuments historiques par
arrêté du 17 septembre 1964.
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Cette façade représentative s'inscrit dans le
style néoclassique. Quatre pilastres doriques
encadrent le portail rectangulaire au centre,
surmonté par trois petites baies plein cintre.
Des niches abritent saint Pierre et saint Paul de
chaque côté.
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Place Galliéni et son marché
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LOrangerie (XIXe)
A l'origine, ce bâtiment était une dépendance de
la propriété des sœurs de l'hôpital Saint-Joseph.
Par la suite, il échoira à la commune de
Saint-Brice qui le confiera au foyer des jeunes.
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Cette folie, terme qui désigne une maison de
plaisance ou de divertissement, est un cadeau de
Jean-André Vassal, receveur des Finances, à sa
maîtresse Marie-Catherine Colombe, actrice de la
comédie italienne. Les toitures en ardoise sont
d'origine. La propriété est habitée, à partir de
1919, par la romancière américaine Édith Wharton
qui y meurt en 1937. Cette dernière y fit
réaliser des travaux et créer de nouveaux
jardins. On lappelle le Pavillon Colombe,
construit en 1770 et amélioré au XXe siècle.
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Fontaine Saint-Martin
Cette fontaine, datant de 1686, existe depuis que
le seigneur de Saint-Brice eut l'obligation de
canaliser cette eau, qui traversait à l'époque
les terres de son château. Actuellement, elle est
désaffectée.
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Cette balustrade de 1670 appartenait au parc du
château de Saint-Brice, maintenant disparu. A
cette époque, le domaine des seigneurs de
Saint-Brice disposait de grands jardins et
parterres.
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Cette maison de 1909, dessinée par l'architecte
A. Abbet, suit le modèle du pavillon de la Suisse
de l'Exposition universelle de 1900.
32
Cette Vierge à lenfant, nichée dans langle
dune maison était, jusquen 1939, le but de la
procession de lAssomption.
33
Au XIXe siècle, de nombreux Parisiens fortunés
achetèrent des maisons de campagne à Saint-Brice.
Celle-ci appartint un temps à de riches banquiers
versaillais. Elle fut vendue en 1911 à l'œuvre de
la maison de retraite du personnel du spectacle.
Suite à des difficultés de gestion, elle fut
cédée aux religieuses de lhôpital Saint-Joseph à
Paris.
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L'implantation de cette ancienne laiterie à
Saint-Brice témoigne du caractère rural qu'avait
encore la commune à la fin du XIXe siècle, lors
de la construction. Le comptoir commercial avec
ses fenêtres géminées en plein cintre est
d'inspiration néo-byzantine, alors que le toit
débordant à demi-croupe évoque la ruralité.
35
Cette ancienne ferme du XVIIIe siècle était une
propriété des religieuses du couvent de la
Visitation, à Saint Denis. Traditionnellement,
elle se composait de quatre bâtiments disposés
autour dune cour.
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Cette maison du XVIIIe siècle est l'ancienne
propriété du libraire Hippolyte-Louis Guérin,
éditeur et ami de Jean-Jacques Rousseau. Après sa
mort, elle est habitée par sa fille
Françoise-Catherine, épouse de Louis-François
Delatour (1727-1807), libraire et conseiller du
roi.
37
(No Transcript)
38
(No Transcript)
39
Propriété Clairfont (1880)
Cette demeure fut édifiée sur l'emplacement de
l'ancienne maison de l'écrivain Jean-François
Marmontel (1723-1799). Résidence d'Alexis
Rostand, oncle d'Edmond Rostand, elle reçut
quelquefois la visite de l'auteur de Cyrano de
Bergerac.
Photo du Net
40
Maison Paul Eluard
Cest dans cette petite maison que le poète Paul
Eluard est venu vivre, en 1920, avec sa femme
Gala et leur fille, Cécile. Hélas, actuellement,
la demeure est totalement délaissée.
41
(No Transcript)
42
Flâner dans Saint-Brice-sous-Forêt est un
plaisir des yeux tant sont nombreuses les très
belles demeures. Pour diverses raisons, elles ont
été, malheureusement, amputées dune partie plus
ou moins grande des parcs qui les
environnaient. Toutes ces belles propriétés font
de Saint-Brice une cité résidentielle où il doit
être agréable de vivre.
43
lilymage1_at_gmail.com
Informations prises sur le Net. Photos,
conception, montage Lilmage. Musique de
Zamfir. Date Novembre 2013. Mes diaporamas sont
hébergés sur le site de www.imagileonation.com
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Au Revoir
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