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Title: LE FINANCEMENT DE PROJET Author: Utilisateur Last modified by: SEC Created Date: 3/31/1997 4:05:08 PM Document presentation format: Affichage l' cran – PowerPoint PPT presentation

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Title: L


1
L ÉVALUATION DES ACTIONS ORDINAIRES
  • Il existe 2 méthodes pour effectuer l analyse
    d une action et faire une prévision
  • L analyse fondamentale utilise l information
    financière.
  • L analyse technique utilise l information
    passée tels que l évolution du prix du titre et
    le volume.

2
  • Le but du travail de l analyste financier est
    de déterminer si le prix auquel il peut acheter
    un titre reflète ou non la valeur de ce titre.
  • Si le prix est supérieur à la valeur quil
    attribue, il ne l achètera pas et vice versa.
  • Le bilan est utilisé pour évaluer la valeur
    comptable (book value).
  • Actif - Passif Avoir des actionnaires (A.A)
  • A.A / nombre dactions valeur comptable
  • par action.

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  • La valeur aux livres (valeur comptable) est une
    valeur historique.
  • Amortissement vs coût de remplacement.
  • Valeur réelle (courante) des dettes vs inflation,
    taux d intérêt,
  • La valeur de liquidation est la valeur minimum
    de la firme. On présume ici que la compagnie
    cesse ses opérations et vend ses actifs (souvent
    sous la valeur au marché)
  • V.L produit de la vente - dettes.

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  • La valeur de remplacement est basée sur le coût
    d acquisition des actifs au prix courant. Ne
    tient généralement pas compte des intangibles
    tels que la notoriété et les méthodes
    d opération.
  • I- Les modèles dactualisation des dividendes
  • La base de ces modèles est que la valeur d une
    action reflète la valeur actuelle de tous les
    flux monétaires ( les dividendes et le gain /
    perte sur disposition) que recevra le détenteur
    de l action.

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  • A- Le modèle de GORDON
  • D1 D2
    Dn Pn
  • V0 -------- -------- ------------
  • (1k) (1k)2
    (1k)n
  • V0 Valeur présente,
  • k taux d actualisation,
  • Dn dividende au temps n,
  • Pn prix de revente anticipé au temps n.

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  • Si D2 D1(1g)
  • Où g taux de croissance des dividendes
  • D3 D2(1g) etc...
  • Alors
  • D1
  • Vo -------- D1 D0(1g)
  • (k-g)
  • g ROE b
  • Où ROE Return on equity
  • b taux de réinvestissement des
    bénéfices.

7
  • Exemple
  • D1 2 b 60
  • ROE 15 k 12,5
  • V0?
  • D1
  • Vo --------
  • (k-g)
  • g ROE b 0.15 0.60 0.09
  • 2
  • V0 ---------------- 57.14
  • 0.125 - 0.09

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  • Les limites du modèle de GORDON
  • Une seule source de financement, le
    réinvestissement d une partie des profits (1-d)
    n admet pas le financement externe.
  • TRI moyen des projets d investissement de
    l entreprise est constant, ce qui est
    irréaliste
  • - En général, le TRI moyen diminue en
    fonction de l augmentation des fonds
    investis tous les projets ne sont pas aussi
    rentables

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  • - comme la VAN, la dynamique économique fait
    en sorte que le TRI d un projet donné varie
    dans le temps.
  • Taux de rendement exigé (k) est constant on
    verra par la suite quil varie.
  • Taux de croissance des dividendes (et non pas des
    bénéfices) est constant, ce qui est irréaliste.
    En fait on a vu que g (1-d)TRI or TRI et d
    varient dans le temps.
  • Il faut que k gt g. Autrement, on peut avoir une
    valeur négative ou infinie?

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  • B- Le modèle de MOLODOVSKY (plusieurs
  • phases de croissance)
  • Certaines entreprises dites de croissance,
    connaissent effectivement un taux de croissance
    supérieur au taux de rendement exigé. Le modèle
    de GORDON ne leur est pas applicable.
  • À utiliser lorsque le taux de croissance g
    n est pas le même d une période à une autre.

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  • g7 g8 g7
    g10
  • ---------------------------------------------
    ---
  • 1997 1998 1999 2000
    2001
  • Alors D2 D1(10.07)
  • D3 D2(10.08)
  • ..
  • ..
  • ..
  • On n a pas le choix!

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  • Par contre, si on a deux phases de croissance,
    cest à dire que les dividendes croient au taux
    annuel g1 7 pendant 3 années puis au taux
    g2 10
  • g7
    g10
  • ---------------------------------------
    -----------
  • 0 1 2 3 4
    5 ?
  • D2 D1(10.07)
  • D3 D2(10.07)
  • D4 D3(10.10)
  • D5 D4(1.010)

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  • D1 D2 D3
    Dn
  • V0 -------- ------- -------- ..
    --------
  • (1k) (1k)2 (1k)3
    (1k)n

  • ?
  • D1 D2 D3 ?
    Dn

  • n4
  • V0 ------- -------- --------
    --------------
  • (1k) (1k)2 (1k)3
    (1k)3
  • D1 D2 D3
    P3
  • V0 -------- -------- -------- --------
  • (1k) (1k)2 (1k)3 (1k)3

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  • Car
  • ?
  • P3 ? Dn
  • n4
  • D3(1g)
  • P3 --------------
  • (k-g)
  • D4
  • P3 ----------
  • (k-g)

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  • Selon les modèles de GORDON et de MOLODOVSKY, la
    variable la plus étudiée est le dividende au
    temps n.
  • En conséquence, les analystes financiers
    accordent beaucoup dimportance aux profits des
    entreprises car de ces derniers dépendent des
    dividendes ainsi que de leur taux de croissance
    g.
  • Dividende t profit t - profit t réinvestis.

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  • Donc
  • ? Dt ? Et
    ? It
  • V0 ? ---------- ? ---------- - ? ----------
  • t1 (1k)t t1 (1k)t t1
    (1k)t
  • Exemple
  • La société XYZ verse actuellement un dividende
    de 0.30 et on pense quil augmente de 20 pour
    les 5 prochaines années. Par la suite, le taux de
    croissance devrait se stabiliser à 10. Si vous
    exigez un rendement de 15 sur les actions XYZ, à
    quel prix êtes-vous prêt à les acheter?

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  • Solution
  • D1 0.31.2 0.36 D4 0.561.2
    0.62
  • D2 0.361.2 0.43 D5 0.621.2
    0.75
  • D3 0.431.2 0.56 D6 0.751.1
    0.82
  • Doù P0 9.85
  • C- Le modèle H (Half-Time Model)
  • Le modèle H est fort populaire chez les
    courtiers qui s en servent comme une
    approximation du modèle de MOLODOVSKY.

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  • Ce modèle suppose que le taux de croissance va
    augmenter ou diminuer de façon linéaire, d un
    taux actuel ga à un taux d équilibre à long
    terme gn sur un nombre d année égal à n2H. Sa
    formulation générale est la suivante
  • D0(1ga) D0H(ga - gn)
  • P0 ----------------- --------------------
  • K - gn k - gn
  • P0 valeur attribuable à la croissance normale
    (premier terme) et valeur attribuable à la
    croissance anormale (deuxième terme).

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  • II- L évaluation basée sur les bénéfices le
    ratio Cours-Bénéfice
  • Le modèle du rapport cours-bénéfice est l un
    des modèles les plus populaires parmi les
    praticiens du placement il a l avantage d être
    simple et intuitivement correct.
  • Le ratio cours/bénéfice représente donc le
    montant que les investisseurs sont disposés à
    payer pour chaque dollar de bénéfice que réalise
    l entreprise.

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  • Dans la pratique, le ratio C/B est obtenu en
    divisant simplement le cours actuel du titre par
    le dernier bénéfice annuel (ou annualisé) par
    action connu.
  • V C/B BPA prévu pour la prochaine période
  • Il suffit donc de prédire les BPA futurs et d y
    appliquer le ratio C/B que l on juge approprié
    pour le genre d entreprise.

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  • En réalité, le modèle du ratio C/B est
    compatible avec le modèle d actualisation des
    dividendes à taux de croissance constant (modèle
    de GORDON). En effet, on a vu que
  • D1
  • V0 P0 ----------
  • k-g
  • Or, D1 BPA1 d et g (1-d) ROE
  • Alors, BPA1 d
  • P0 ---------------------
  • k - (1-d) ROE

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  • En divisant les deux membres par BPA1, on
    obtient,
  • P0 d
    (1-b)
  • -------- --------------------- ---------
  • BPA1 k - (1-d) ROE k-g
  • N.B Il faut supposer que l action est
    exactement évaluée par la marché (P0 V0) ou que
    sur les bénéfices réinvestis, on obtient le ROE.

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  • Les limites du ratio C/B
  • Les difficultés d application du modèle C/B
    sont nombreuses
  • Le cours fluctue d un instant à l autre, alors
    que le BPA n est connu quau plus 4 fois par
    année. Comme il s agit de bénéfices anticipés,
    on ne peut vérifier ses prédictions que 4 fois
    l an.

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  • Le bénéfice est mesuré conditionnellement à
    l application des principes comptables souvent
    capricieux d une année à l autre et d une
    entreprise à l autre.
  • Note Les courtiers rapportent généralement le
    rapport P0 / BPA0 plutôt que P0 / BPA1 pour
    éviter les difficultés d estimation du BPA1.
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