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LA CONSOLIDATION DES COMPTES

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Title: LA CONSOLIDATION DES COMPTES Author: Jacques Simon Last modified by: f.deconiac Created Date: 11/11/2005 5:52:20 PM Document presentation format – PowerPoint PPT presentation

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Title: LA CONSOLIDATION DES COMPTES


1
LA CONSOLIDATION DES COMPTES
2
INTRODUCTION
  • L ENJEU DE L ANALYSE FINANCIERE DES GROUPES DE
    SOCIETES
  • LA CONSOLIDATION DES COMPTES VA PERMETTRE DE
    COMPRENDRE
  • LES CARACTERISTIQUES DE LA STRUCTURE DU GROUPE
  • POUR MIEUX L ANALYSER
  • LA CONSOLIDATION EST DONC
  • UN OUTIL PRIVILEGIE DE L ANALYSE, DES GROUPES .
  • POURQUOI ?

3
INTRODUCTION
  • L ANALYSE D UNE SEULE SOCIETE APPARTENANT A UN
    GROUPE
  • S AVERE SOUVENT SANS INTERET , VOIRE
    DANGEREUSE,
  • L OBTENTION DES COMPTES CONSOLIDES EST
    GENERALEMENT NECESSAIRE, MEME POUR LES PETITS
    GROUPES NE DEPASSANT PAS LES SEUILS POUR
    LESQUELS LA CONSOLIDATION EST OBLIGATOIRE
  • RISQUES PLUS IMPORTANTS DE CES PETITS
    GROUPES,
  • LA NOTION DE PERIMETRE DE CONSOLIDATION ,
    SOUVENT NEGLIGEE EST POURTANT FONDAMENTALE
  • RISQUES D UN PERIMETRE INCOMPLET OU MAL
    APPREHENDE
  • SOCIETES DEFICITAIRES NON CONSOLIDEES,
  • EXCLUSIONS NON JUSTIFIEES , OU METHODES DE
    CONSOLIDATION INCOHERENTES PAR RAPPORT AU
    CONTRÔLE

4
INTRODUCTION
  • NE PAS CONFONDRE
  • COMPTES CONSOLIDES ET COMPTES COMBINES
  • LE PLAN COMPTABLE PREVOIT EGALEMENT UNE METHODE
    PLUS
  • SIMPLE D ETABLISSEMENT DES COMPTES DITE DES
  • COMPTES COMBINES DONT LA DEFINITION EST LA
    SUIVANTE
  • CUMUL DES COMPTES ANNUELS DES DIFFERENTES
    ENTREPRISES COMPRISES DANS LE PERIMETRE,
  • LES COMPTES RECIPROQUES, ACTIFS ET PASSIFS,
    CHARGES ET PRODUITS, SONT ELIMINES .

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DEFINITION
  • LA CONSOLIDATION DES COMPTES VA PERMETTRE DE
    CONNAÎTRE
  • LA SURFACE REELLE D UN ENSEMBLE CONSTITUE, LE
    GROUPE
  • SES FONDS PROPRES
  • SON ENDETTEMENT
  • SA STRUCTURE FINANCIERE
  • LA PERFORMANCE REELLE DE CE GROUPE AU NIVEAU
  • DE SON ACTIVITE
  • DE SA CAPACITE BENEFICIAIRE

6
DEFINITION
  • AINSI LE GROUPE CONSOLIDE, DANS SES COMPTES
  • VA TENIR COMPTE, NUANCER, NEUTRALISER, NIVELER
    CERTAINES OPERATIONS ,
  • ET DONNER UNE IMAGE D ENSEMBLE REELLE DE SA
    SITUATION FINANCIERE
  • EN ANNULANT CERTAINS MONTAGES
  • OU PARTICULARITES PONCTUELLES OU NON .

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RAPPEL
  • CHAQUE SOCIETE DU GROUPE, MAISON MERE ( HOLDING)
    ET
  • FILIALE, QUELQUE SOIT SON NIVEAU, VA ETABLIR ET
    PUBLIER
  • SES PROPRES COMPTES APPELES
  • COMPTES SOCIAUX
  • DANS UNE DEMARCHE PARTICULIERE, LA CONSOLIDATION,
  • L ENSEMBLE DE CES COMPTES SOCIAUX VONT PERMETTRE
  • L ETABLISSEMENT DES
  • COMPTES CONSOLIDES DU GROUPE

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HISTORIQUE
  • 1832 USA PREMIERE HOLDING
  • 1892 PREMIERE PUBLICATION DE COMPTES CONSOLIDES
    AUX ETATS UNIS -( NATIONAL LEAD),
  • 1929 KRACH, CRISE DE 1929 PROCEDURES
    NORMALISEES ,INFORMATIONS FINANCIERES FIABLES ?
  • 1933 LA PUBLICATION DES COMPTES CONSOLIDES EST
    RENDUE OBLIGATOIRE AUX ETATS UNIS,
  • 1934 CREATION DE LA S. E. C. (SECURITIES AND
    EXCHANGE COMMISSION),
  • 1934 AUX ETATS UNIS, LES COMPTES CONSOLIDES
    DOIVENT ETRE JOINTS AUX RAPPORTS ANNUELS
  • 1948 - LA PUBLICATION DES COMPTES CONSOLIDES EST
    RENDUE OBLIGATOIRE EN GRANDE BRETAGNE,

9
HISTORIQUE
  • 1965 EN ALLEMAGNE, LES SOCIETES DE CAPITAUX ONT
    L OBLIGATION D ETABLIR DES COMPTES CONSOLIDES ,
  • 1966 EN FRANCE, PUBLICATION DES PREMIERS
    COMPTES CONSOLIDES,
  • 1968 RECOMMANDATION DU CONSEIL NATIONAL DE LA
    COMPTABILITE , (FACULTE DONNEE D ANNEXER DES
    COMPTES CONSOLIDES AUX COMPTES ANNUELS),
  • 1973 CREATION DE L IASC INTERNATIONAL
    ACCOUNTING STANDARD COMMITTEE AMELIORATION ET
    HARMONISATION DES RAPPORTS FINANCIERS, RELEXION
    SUR LAMISE EN PLACE DE NORMES COMPTABLES
    INTERNATIONALES IAS,

10
HISTORIQUE
  • 1974 L ONU CREE UNE COMMISSION DES SOCIETES
    TRANSNATIONALES,
  • 1976 L IASC EMET SA PREMIERE NORME RELATIVE
    AUX COMPTES CONSOLIDES IAS 3 INTITULEE LES
    ETATS FINANCIERS CONSOLIDES ,
  • 1983 LA 7 EME DIRECTIVE EUROPEENNE SUR LES
    COMPTES CONSOLIDES EST ADOPTEE, -(PROCESSUS D
    HARMONISATION DES COMPTES CONSOLIDES ). DIRECTIVE
    APPLIQUEE EN FRANCE COURANT 1986 . UN ARRETE
    MINISTERIEL DU 9 DECEMBRE 1986 A EGALEMENT
    DEVELOPPE UNE METHODOLOGIE DETAILLEE DES C/C QUI
    A ETE INTEGREE DANS LE PCG PLAN COMPTABLE
    GENERAL
  • 1985 OBLIGATION DE CONSOLIDER POUR LES SOCIETES
    COMMERCIALES EN FRANCE,
  • 1999 PUBLICATION DU REGLEMENT 99 02 IASC QUI
    A ETE HOMOLOGUE EN FRANCE PAR ARRETE DU 22 JUIN
    1999 ET SE SUBSTITUE AUX DISPOSITIONS RELATIVES A
    LA METHODOLOGIE DES C/C

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LOI FRANCAISE SUR LES COMPTES CONSOLIDES
  • RAPPEL
  • LA LOI DU 24 JUILLET 1966 SUR LES SOCIETES
    COMMERCIALES EST
  • LA LOI DE BASE
  • AU FUR ET A MESURE QUE LA REGLEMENTATION EVOLUE
    OU SE
  • MODIFIE LES ARTICLES DE CETTE LOI DE 1966 SONT
    ANNNULES,
  • COMPLETES, MODIFIES EN SONSEQUENCE .
  • AINSI LES NOUVEAUX TEXTES DE LOIS, DECRETS,
    ARRETES,
  • REGLEMENTS S Y TROUVENT INSERES .
  • LA LOI DU 3 JANVIER 1985 CREE
  • L OBLIGATION DE CONSOLIDER POUR LES SOCIETES
    COMMERCIALES
  • EN FRANCE, ET DE PUBLICATION DES C/C .
  • SON DECRET D APPLICATION DU 17 FEVRIER 1986
    MODIFIE EN CE SENS
  • L ART . 248 DE LA LOI DE JUILLET 1966

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LOI FRANCAISE SUR LES COMPTES CONSOLIDES
  • LA CONSOLIDATION EST OBLIGATOIRE
  • POUR TOUTES LES ENTREPRISES
  • QUI REPONDENT A DEUX DES TROIS CRITERES SUIVANTS
  • ACTIF gt A 15 M EUROS ,
  • CHIFFRE D AFFAIRES gt 30 M EUROS
  • EFFETCIF gt 250 SALARIES

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LA NOTION DE GROUPE
  • UN GROUPE EST COMPOSE D UNITES JURIDIQUEMENT
    AUTONOMES QUI DEPENDENT D UN CENTRE DE DECISION
    UNIQUE APPELE SOCIETE MERE
  • EN FAIT ENSEMBLE DE MOYENS MIS EN ŒUVRE POUR DES
    STRATEGIES INDUSTRIELLES, COMMERCIALES,
    FINANCIERES .
  • CONCENTRATION DESRESSOURCES ECONOMIES D
    ECHELLE, SYNERGIES, EFFETS DE RESEAUX,
    INTEGRATIONS VERTICALES ET HORIZONTALES
  • FILIALES EFFETS DE DECENTRALISATION, DE
    DIVERSIFICATION DU RISQUE ECONOMIQUE, DANS UNE
    CONCEPTION DE DECISION UNIQUE,
  • LA VALEUR D UN GROUPE N EST JAMAIS EGALE A SES
    COMPOSANTES

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DEFINITION D UN GROUPE DE SOCIETES
  • UN GROUPE DE SOCIETES EST UN ENSEMBLE DE SOCIETES
  • JURIDIQUEMENT INDEPENDANTES
  • MAIS LIEES PAR UN INTERET ET/OU UNE DEPENDANCE
  • FINANCIER (E)
  • DIRECTORIAL (E)
  • CONTRACTUEL (E)
  • ECOMOMIQUE,
  • SOCIAL (E).
  • DE CE FAIT, LES SOCIETES DU GROUPE SONT SOUMISES
    A
  • UNE UNITE DE DECISION,
  • A LA DEFINITION D UNE POLITIQUE ELABOREE POUR L
    ENSEMBLE DU GROUPE, DANS SON INTERET GENERAL .

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LA NOTION DE GROUPE ASPECTS JURIDIQUES,
ECONOMIQUES ET FISCAUX, D UN GROUPE DE SOCIETE
  • ASPECTS JURIDIQUES
  • LE CODE DE COMMERCE NE PRESENTE AUCUNE DEFINITION
    DU GROUPE DE SOCIETES ,
  • LE DROIT DES SOCIETES NE RECONNAÎT PAS LE GROUPE,
  • LE GROUPE N A PAS LA PERSONNALITE MORALE
  • ASPECTS ECONOMIQUES
  • CEPENDANT LE GROUPE CONSTITUE UNE REALITE
    ECONOMIQUE ET FINANCIERE INCONTOURNABLE,
  • MAL CONDUITE, L ANALYSE D UN GROUPE PEUT CACHER
    UN CONTRÔLE ARTIFICIEL, UNE STRUCTURE PAR
    MONTAGES PERMETTANT UNE FORTE CAPACITE D
    ENDETTEMENT SANS REELLE SURFACE, VOIRE UN
    SURENDETTEMENT
  • ASPECT FISCAL
  • LES GROUPES DE SOCIETES ONT SOUVENT LE CHOIX
    ENTRE PLUSIEURS REGIMES FISCAUX

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LA NOTION DE GROUPE
  • DONC POUR LEGROUPE
  • PAS DE REGLES SPECIFIQUES, PAS D EXISTENCE
    JURIDIQUE
  • MAIS VERITABLE EXISTENCE ECONOMIQUE
  • EXIGENCES FINANCIERES, NOTAMMENT SI COTATION,
  • DEVELOPPEMENT EFFET DE TAILLE A ATTEINDRE,
    STATEGIES DE CROISSANCE ( INTERNE ET EXTERNE),
  • INTERETS DES GROUPES
  • INTERNATIONALISATION, CAPTURE DE NOUVEAUX
    MARCHES, DIVERSIFICATION,
  • ASSURER LE CONTROLE D UNE ENTREPRISE EFFET DE
    LEVIER,
  • DETENTION DE 50 1 DES DROITS DE VOTE ,
  • DIVERSIFICATION ET MUTUALISATION DES RISQUES
  • FINANCIERS, OPERATIONNELS, D EXPLOITATION .

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INCIDENCES JURIDIQUES LIEES A L EXISTENCE DE
GROUPES DE SOCIETES
  • OBLIGATIONS D INFORMATION
  • ( NOTAMMENT POUR SOCIETES COTEES)
  • DE LA SOCIETE
  • DES ASSOCIES
  • PUBLICATION DE DOCUMENTS CONSOLIDES RAPPORTS
    ANNUELS / BALO)
  • TRANSPARENCE COB - AMF
  • PROTECTION
  • DES CREANCIERS,
  • ET MESURES EN FAVEUR DES SALARIES D UN MEME
    GROUPE

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OBLIGATIONS D INFORMATION DES ASSOCIES
  • LE RAPPORT DE GESTION
  • ANNUEL, ARRETE PAR LE CONSEIL D ADMINISTRATION,
    VERIFIE PAR
  • LE COMMISSAIRE AUX COMPTES ET PUBLIC DEPOSE AU
    GREFFE,
  • IL REPREND NOTAMMENT DES INFORMATIONS SUR
  • LES PRISES DEPARTICIPATIONS SIGNIFICATIVES,
  • L ACTIVITE DE CES PARTICIPATIONS,
  • LA REPARTITION DU CAPITAL .
  • EN ANNEXE AU BILAN CONSOLIDE DOIVENT FIGURER
  • LA LISTE DES FILIALES, DES PARTICIPATIONS ET DES
    SOCIETES CONTROLEES ,
  • UN TABLEAU PRESENTANT LA SITUATION FINANCIERE DE
    CES FILIALES ET PARTICIPATIONS,

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OBLIGATIONS D INFORMATION DES ASSOCIES
  • LES RAPPORTS DU (OU DES) COMMISSAIRE (S) AUX
    COMPTES
  • POUR LES COMPTES SOCIAUX DE LA MAISON MERE ET DE
    CHAQUE
  • FILIALE
  • LE RAPPORT GENERAL REPRENANT L OPINION DU
    COMMISSAIRE AUX COMPTES SUR LES COMPTES ET LES
    VERIFICATIONS QU IL A REALISEES,
  • LE RAPPORT SPECIAL QUI REPREND LES SEUILS DES
    PRISES DE PARTICIPATIONS, LES PRISES DE CONTRÔLE
    AU SENS DE L ART . 355.1, LES ALIENATIONS D
    ACTIONS, MAIS EGALEMENT LES DIFFERENTES
    CONVENTIONS ( ART 101) ENTRE LES SOCIETES DU
    GROUPE, CONVENTIONS EXISTANTES OU CONCLUES DANS
    L EXERCICE CONVENTIONS DE PRESTATIONS DE
    SERVICE, F
  • INANCIERES, FISCALES
  • POUR LES COMPTES CONSOLIDES
  • UN RAPPORT GENERAL EST EGALEMENT ETABLI

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L ARTICLE 355 1 DE LA LOI DU 24 JUILLET 1966
  • UNE SOCIETE EST CONSIDEREE, POUR L APPLICATION
    DES PARAGRAPHES 2 4 DE LA
  • PRESENTE SECTION, COMME EN CONTROLANT UNE AUTRE
  • LORSQU ELLE DETIENT DIRECTEMENT OU INDIRECTEMENT
    UNE FRACTION DU CAPITAL LUI CONFERANT LA MAJORITE
    DES DROITS DE VOTE DANS LES A. G. DE CETTE
    SOCIETE
  • LORSQU ELLE DISPOSE SEULE DE LA MAJORITE DES
    DROITS DE VOTE EN VERTU D UN ACCORD CONCLU AVEC
    D AUTRES ASSOCIES OU ACTIONNAIRES ET QUI N EST
    PAS CONTRAIRE A L INTERET DE LA SOCIETE
  • LORSQU ELLE DETERMINE EN FAIT, PAR LES DROITS
    DE VOTE DONT ELLE DISPOSE, LES DECISIONS DANS LES
    A. G. DE CETTE SOCIETE .
  • ELLE EST PRESUMEE EXERCER CE CONTROLE
  • LORSQU ELLE DISPOSE, DIRECTEMENT OU
    INDIRECTEMENT, D UNE FRACTION DES DROITS DE VOTE
    SUPERIEURS A 40 ET QU AUCUN AUTRE ASSOCIE OU
    ACTIONNAIRE NE DETIENT, DIRECTEMENT OU
    INDIRECTEMENT, UNE FRACTION SUPERIEURE A LA
    SIENNE

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PROTECTION DES ASSOCIES
  • REGLEMENTATION LIMITATION
  • DES PARTICIPATIONS RECIPROQUES,
  • DE L AUTOCONTROLE
  • REPRESSION DES ABUS DE MAJORITE

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PROTECTION DES CREANCIERS
  • PAIEMENT D UNE CREANCE PAR UNE AUTRE SOCIETE DU
    GROUPE
  • CLAUSE DE SUBROGATION
  • LA SOCIETE DU GROUPE QUI PAIE LES CREANCIERS D
    UNE AUTRE
  • SOCIETE DU GROUPE, EN SES LIEU ET PLACE ,
  • EST SUBROGEE DANS LES DROITS DE CES
    CREANCIERS VIS A VIS DE
  • LA SOCIETE DEBITRICE .
  • ELLE DEVIENT AINSI CREANCIERE DE SA SOCIETE
    SŒUR .
  • COMPENSATION ENTRE DETTES ET CREANCES DE SOCIETES
  • MEMBRES D UN MEME GROUPE A L EGARD D UN
    CREANCIER .
  • GARANTIES DES ENGAGEMENTS DES FILIALES
  • CAUTIONNEMENT
  • LETTRE D INTENTION (AVEC AUTORISATION DU CONSEIL
    D ADMINISTRATION)
  • REDRESSEMENT JUDICIAIRE COMMUN ( EXTENSION DE LA
    MERE )

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PROTECTION DES SALARIES
  • INSTAURATION D UN COMITE DE GROUPE
  • COMITE D ENTREPRISE COMMUN
  • EN CAS D UNITE ECONOMIQUE ET SOCIALE
  • CONSEQUENCES SUR LES COINTRATS INDIVIDUELS
  • ANCIENNETE
  • PARTICIPATION
  • LICENCIEMENT COLLECTIF
  • ASSIGNATION PAR UN SALARIE
  • RUPTURE DU CONTRAT DE TRAVAIL
  • .

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ANALYSE DE CERTAINS MONTAGES
LE CONTRÔLE SANS OU AVEC PEU DE MOYENS
M
100
50
F 1
200
50
F 2
400
50
800
F 3
100 ( 100 X 0,50) 3 M CONTRÔLE EN CASCADE
12,50 de F 3 ET INDEPENDAMMENT, D AILLEURS, DU
CHOIX DES STRUCTURES JURIDIQUES SA, SARL, SNC,
STE EN COMMANDITE ., POUR REDUIRE LES
INCIDENCES FISCALES !
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ANALYSE DE CERTAINS MONTAGES
M ACTIF A 200 SN
400 ACTIF B 200 EMPRUNT 200
D OU UNE CAPACITE D ENDETTEMENT THEORIQUE DE
200
MULTIPLIER SES CAPACITES D EMPRUNT
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ANALYSE DE CERTAINS MONTAGES
M TITRES DE X 200 SN
400 TITRES DE Y 200 EMPRUNT 200
X ACTIF A 200 SN 200
Y ACTIF B 200 SN 200
MONTAGE PAR FILIALISATION EN RATEAU
SOIT UNE CAPACITE D ENDETTEMENT THEORIQUE DE 600
M 200 X 200 Y 200
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ANALYSE DE CERTAINS MONTAGES
M TITRES DE X 400 SN
400
EMPRUNT 200
X ACTIF A 200 SN
400 TITRES B 200
Y ACTIF B 200 SN 200
MONTAGE PAR FILIALISATION EN CHAINE
SOIT UNE CAPACITE D ENDETTEMENT THEORIQUE DE 800
M 200 X 400 Y 200
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ANALYSE DE CERTAINS MONTAGES
  • ON VOIT QUE PAR CES MONTAGES , CES ASTUCES
  • DEMULTIPLICATION
  • PAR CREATION DE FILIALES ET APPORTS DE
    TITRES
  • QUE L ON PEUT DETENIR UNE SUITE DE SOCIETES
  • IMPORTANTES
  • SANS APPORT DE CAPITAUX CONSEQUENTS
  • ET PAR ACCROISSEMENT DE LA CAPACITE D
    ENDETTEMENT
  • SOIT UN FORT EFFET DE LEVIER
  • D OU L OBLIGATION D ANALYSER TOUS LES COMPTES
    SOCIAUX
  • DES SOCIETES COMPOSANT LE GROUPE DE MANIERE A
    BIEN CERNER
  • L ENDETTEMENT DU GROUPE . ( EFFET DE
    COMPENSATION ..)

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LA NOTION DE GROUPE EN FISCALITE
  • LA FISCALITE APPREHENDE LES GROUPES DE SOCIETES
    POUR
  • FAVORISER CETTE FORME DE CONCENTRATION
  • PREVENIR LES ABUS RESULTATN DES LIENS D INTERETS
  • NEUTRALISER OU ATTENUER LES CASCADES D
    IMPOSITION .
  • TROIS REGIMES PERMETTENT D ASSURER LA NEUTRALITE
    DE
  • L IMPÖT AU REGARD DES GROUPES DE SOCIETES
  • LE REGIME DU BENEFICE CONSOLIDE
  • LE REGIME DES SOCIETES MERES ET FILIALES
  • LE REGIME D INTEGRATION DES GROUPES DE SOCIETES

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LE REGIME DU BENEFICE CONSOLIDE
  • LES SOCIETES FRANCAISES
  • AGREEES PAR LE MINISTERE DES FINANCES,
  • PEUVENT RETENIR L ENSEMBLE DES RESULTATS DE
    LEURS
  • EXPLOITATIONS DIRECTES ET INDIRECTES,
  • QU ELLES SOIENT SITUEES EN FRANCE OU A L
    ETRANGER,
  • POUR L ASSIETTE DES IMPOTS ETABLIS SUR LA
    DISTRIBUTION DE
  • LEURS BENEFICES - CGI ART . 209 quinquies .
  • UNE DOUZAINE ?? DE SOCIETES FRANCAISES ONT
    BENEFICIE DE CET
  • AGREMENT

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LE REGIME DES SOCIETES MERES ET FILIALES
REGIME MERE FILLE
  • L INTERET DE CE REGIME
  • EST D EVITER LA TAXATION A L I. S. EN CASCADE
    POUR LES
  • ENTREPRISES DEVELOPPANT LEUR ACTIVITE PAR LE
    BIAIS D
  • ENTITES JURIDIQUES DISTINCTES .
  • AUTREMENT DIT , LES PRODUITS EMANANT DE LA
    FILIALE SONT
  • EXONORES D I. S. CHEZ LA SOCIETE MERE, DECUCTION
    FAITE D UNE
  • QUOTE PART FORFAITAIRE DE CHARGES OU CHARGES
    ET FRAIS
  • REELS ( SUIVRE LOI FISCALE) .

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LE REGIME D INTEGRATION DES GROUPES DE SOCIETES
L INTEGRATION FISCALE
  • ART . 53 - LA LOI DE FINANCE 1988 ( CGI ART .
    223 A à P) .
  • L I. S. EST ACQUITTE SUR L ENSEMBLE DES
    RESULTATS FISCAUX
  • DU GROUPE CONSTITUE ET LES SOCIETES FRANCAISES
    DONT IL
  • DETIENT 95 AU MOINS DU CAPITAL, DIRECTEMENT OU
  • INDIRECTEMENT .
  • L OPTION EST VALABLE 5 ANS ET LE REGIME S
    EXERCE SUR L
  • ENSEMBLE DES ACTIVITES EFFECTUEES PAR DES
    SOCIETES SOUMISES
  • A L I. S.
  • LES FILIALES CONSERVENT LEURS PROPRES OBLIGATIONS
    A L EGARD DE L
  • ADMINISTRATION FISCALE, SAUF LE PAIEMENT DE LI.
    S., DE L I. F. A. ( IMPOT
  • FORFAITAIRE ANNUEL), ET DU PRECOMPTE QUI INCOMBE
    A LA SOCIETE MERE .
  • LE PERIMETRE D INTEGRATION EST LIBREMENT FIXE
    PAR LA SOCIETE MERE .

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LES DESTINATAIRES DES COMPTES CONSOLIDES
  • S AGISSANT DE DOCUMENTS DE SYNTHESE FIABLES
  • LES COMPTES CONSOLIDES REPRESENTENT
  • UNE INFORMATION FORTE ET IMPORTANTE SUR LA
    SITUATION
  • FINANCIERE DU GROUPE .
  • LES COMPTES CONSOLIDES SERONT ANALYSES NOTAMMENT
    PAR
  • LES AUTORITES DE MARCHE POUR LES SOCIETES COTEES
  • MAIS EGALEMENT PAR TOUS LES APPORTEURS DE
    CAPITAUX
  • ILS SERVIRONT EGALEMENT, EN FONCTION DES
    OPERATIONS
  • ENVISAGEES,
  • POUR L EVALUATION DU GROUPE DANS LES OPERATIONS
    DE FUSIONS ACQUISITIONS, DE GESTION DE
    PATRIMOINE, GESTION DE FONDS ..

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LES DESTINATAIRES DES COMPTES CONSOLIDES
  • PAR AILLEURS, AU DELA DE
  • L INSTRUMENT DE GESTION ET D ANALYSE DES
    PERFORMANCES QU ILS
  • REPRESENTENT POUR LES DIRIGEANTS ET LES
    ACTIONNAIRES DU GROUPE,
  • ILS INTERESSENT TOUT PARTICULIEREMENT L
    ENSEMBLE DES
  • PARTENAIRES DE CE DERNIER
  • BANQUIERS
  • ANALYSTES FINANCIERS ( MARCHES FINANCIERS SI
    SOCIETES COTEES)
  • ASSUREURS DE TOUTE NATURE ACTIFS, RISQUE
    CLIENTS ..
  • CLIENTS
  • FOURNISSEURS
  • PERSONNEL
  • ETAT, ADMINISTRATION FISCALE
  • CAPITAL RISQUEURS,
  • ..
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