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Title: D marches diagnostiques, th rapeutiques et pr ventives Aspects neurologiques et psychiatriques au cours de la maladie de Lyme Author – PowerPoint PPT presentation

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Title: D


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(No Transcript)
2
Introduction
  • Neuroborreliose de Lyme
  • Infections du système nerveux avec
  • Synthèse intrathécale danticorps anti-borrelia
    burgdorferi.
  • Difficultés diagnostic biologique
  • Test positif que dans 90 des patients avec
    infection établie.
  • Test négatif au début.
  • Erreurs en excès de diagnostic de maladie de Lyme
    neurologique
  • Diagnostic sur ensemble
  • Arguments cliniques (exposition symptomatologie)
  • Biologiques
  • Pléïocytose LCR

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Epidémiologie
  • Fréquence
  • manifestations neurologiques de 11 à 15 (USA),
  • Atteinte Neurologique varie selon le stade
  • 91 phase 2aire (durée 6 mois).
  • Moins de 9 phase 3aire (durée 6 mois à 9 ans).
  • Manifestations périphériques les plus fréquentes
  • Contexte
  • 40 souvenir de la morsure,
  • 50 à 80 ont eu un ECM
  • 40 ont souffert darthralgies

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Atteintes périphériques
  • Phase primaire
  • Pas de manifestation neurologique périphérique.
  • Phase secondaire
  • Environ 15 des patients
  • Méningoradiculite
  • Méningite lymphocytaire chronique,
  • Atteinte des nerfs crâniens (50),
  • paralysie faciale périphérique, souvent
    bilatérale,
  • autres nerfs crâniens,
  • Atteinte radiculaire
  • douleur importante et résistante.
  • dans le territoire du dermatome mordu.
  • hypoesthésie, déficit, aréflexie de la racine
    touchée

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Atteintes périphériques
  • Autres manifestations (liens discutés).
  • polyneuropathie,
  • polyradiculonévrite,
  • plexopathie, Parsonage et Turner,
  • mononeuropathie multiple.
  • Phase tertiaire
  • Fréquence 5 à 36
  • Délai 10 mois.
  • Polyneuropathie distale, symétrique, axonale, peu
    douloureuse.
  • Caractéristiques
  • douleurs radiculaires,
  • Méningite rare.
  • Acrodermite atrophiante fréquente
  • Syndrome du canal carpien jusqu'à 25

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Atteintes périphériques
  • Electrophysiologie
  • Anomalies axonales distales
  • Possibilité datteinte proximale, radiculaire.
  • Rares observations de polyradiculonévrites aiguës
    démyélinisantes .
  • Cadre approchant
  • Paralysie toxique par morsure de tique,
  • Neuropathies périphériques secondaires à des
    piqûres darthropodes, non liées à la maladie de
    Lyme

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Atteintes centrales
  • Phase primaire
  • Encéphalopathie mineure.
  • Association atteinte radiculaire, cérébelleuse
    ou myélite.
  • Phase secondaire
  • Encéphalite ou encéphalomyélite avec
  • méningite lymphocytaire,
  • neuropathie crânienne (paralysie faciale),
  • atteinte radiculaire.

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Atteintes centrales
  • Phase tertiaire
  • Encéphalopathies chroniques
  • Méningoencéphalomyélite
  • Myélite
  • Tableaux pouvant rarement mimer une sclérose en
    plaques.
  • Anomalies cognitives mineures
  • Mémoire, fonctions associatives
  • Manifestations dépressives mineures,
  • Céphalées, fatigue, troubles du sommeil,
  • Arguments para cliniques
  • LCR intérêt de sécrétion intrathécale
    danticorps
  • LIRM souvent normale anomalies non spécifiques
  • Symptômes non spécifiques et liquide
    céphalo-rachidien normal
  • Diagnostic incertain.
  • Divers
  • Atteinte cérébelleuse, épilepsie, chorée,
    démence, HTIC, vascularite.
  • Pas de recommandation dun traitement
    antibiotique additionnel.

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Manifestations psychiatriques
  • Lien épidémiologique en zone de forte endémie.
  • Observations et petites séries non contrôlées
  • Fréquence des manifestations dépressives et
    dirritabilité
  • Et diverses
  • attaque de panique, manie, délire paranoïaque,
    troubles de la pensée, hallucinations, catatonie,
    anorexie mentale, comportement obsessif
    compulsif, labilité émotionnelle, troubles de la
    personnalité, tableaux de type schizophrénique.
  • Anomalies sur l'électroencéphalogramme, le
    liquide céphalo-rachidien ou l'imagerie
    cérébrale.
  • Traitement antibiotique efficace si infection
    active.
  • Nécessité détudes plus systématiques des
    anomalies du liquide céphalo-rachidien
  • Pas dintérêt de détection systématique de la
    maladie de Lyme.

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Conduite et éléments diagnostics
  • Diagnostic sur ensemble darguments cliniques et
    biologiques
  • Contexte
  • Zone dendémie,
  • Morsure de tique,
  • Éruption,
  • Prudence tests sérologiques dans les zones non
    endémiques.
  • Pas de recherche systématique
  • Formes tardives
  • Antécédent de manifestations précoces de maladie
    de Lyme.
  • ELISA n'indique qu'un contact.
  • Synthèse intrathécale danticorps anti-borrelia
    est le meilleur indicateur.

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Critères Dg - Erreurs fréquentes
  • Diagnostic certain
  • Morsure de tique dans un milieu endémique,
  • Histoire neurologique compatible sans autre cause
    trouvée,
  • Et au moins un critère
  • ECM 
  • Lymphocytome
  • Séroconversion ou augmentation anticorps
    anti-borrelia burgdorferi 
  • Synthèse intrathécale d'anticorps anti-borrelia
    burgdorferi 
  • Anomalie typique de maladie de Lyme dans deux
    autres organes 
  • Preuve de la présence de la borrelia.
  • Erreurs diagnostiques
  • Patient interprété comme ayant une maladie active
    / persistante parce que
  • Sérologie positive au début,
  • Sérologie, PCR , symptômes non spécifiques
    persistants après traitement 
  • Patient interprété comme n'ayant pas de Lyme
    neurologique parce que 
  • Absence d'histoire de morsure de tique
  • Sérologie, PCR négatives  LCR normal.

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Conclusions
  • Manifestations neurologiques et psychiatriques de
    la maladie de Lyme sont plus fréquentes lors de
    la phase secondaire que lors de la phase
    tertiaire.
  • A la phase secondaire
  • Linfection active est objectivable (anomalies du
    liquide céphalo-rachidien, tests
    bactériologiques).
  • Méningoradiculite douloureuse, encéphalite et
    encéphalomyélite, manifestations dépressives
    constituent les manifestations les plus
    caractéristiques.
  • Le diagnostic doit être porté sur des arguments
    cliniques, épidémiologiques et biologiques.
  • La réponse au traitement est le plus souvent
    bonne.
  • A la phase tertiaire
  • Manifestations dont le lien avec linfection
    initiale est plus incertain.
  • Polyneuropathies axonales distales et
    encéphalopathies tardives sont les manifestations
    les plus fréquemment discutées.
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