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FRACTURE DE L

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Title: FRACTURE DE L


1
FRACTURE DE LEXTREMITE SUPERIEURE DU TIBIA
2
  • Classification en fonction du mécanisme
  • - compression axiale
  • - fracture bi-tubérositaire
  • - fracture spino-tubérositaires externe et
    interne
  • - compression latérale
  • - fracture séparation externe et interne
  • - fracture tassement
  • - fractures mixtes
  • - fractures uni-tubérositaires
  • - fractures complexes
  • - fractures ouvertes utiliser des
    fixateurs externes avec des broches dans les
    fragments
  • proximaux
  • Problèmes spécifiques
  • - désorganisation des surfaces
    articulaires
  • - désaxation globale du membre inférieur
    en varus (plateau tibial interne) ou valgus
    (plateau tibial
  • externe)
  • Dans tous les cas, la mobilisation doit être
    précoce, toujours réalisée pendant les 45 1ers
    jours dans le sens de la diminution des
    contraintes sur le plateau fracturé, afin de ne
    pas risquer de tasser la surface articulaire
    relevée.

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REEDUCATION APRES OSTEOSYNTHESE
  • période dalitement courte, suivi de la pose
    dune attelle postérieure
  • Phase de pré-consolidation
  • Verticalisation demblée permise avec une
    déambulation en décharge.
  • Il faut acquérir le plus vite possible
    lextension active complète (lattelle est remise
    en place après les séances).
  • Entretien articulaire
  • - mobilisation manuelle, puis auto-passive
    arthromoteur
  • - mobilisation en décoaptation fémoro-tibiale
    (par traction dans laxe du segment jambier ou
    en imposant une contrainte varisante en cas de
    lésion externe, ou valgisante en cas de lésion
    interne) mobilisation en piscine dès
    cicatrisation
  • Entretien musculaire
  • - lever dinhibition techniques de
    facilitation
  • - éviter toute résistance distale pour le
    quadriceps
  • - éviter toute composante de rotation et de
    coaptation

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  • Phase de remise en charge et dappui
  • - vers le 75-90ème jour
  • - progressivement, selon le protocole de
    remise en charge
  • - augmentation des sollicitations passives
    et actives
  • - poursuite du travail de gain
    damplitude, surtout en flexion
  • - poursuite du travail du quadriceps des
    ischio-jambiers du triceps sural du moyen
    fessier
  • - travail des stabilisateurs latéraux
    muscles de la patte doie en cas de lésion du
    plateau tibial
  • externe, et du TFL en cas de lésion du
    plateau tibial interne

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REEDUCATION APRES TRACTION MOBILISATION
  • 1ère phase
  • - soins de lalité
  • - massage à visée circulatoire,
    décontracturant
  • - contractions statiques du quadriceps
    techniques de facilitation
  • - mobilisation du genou en passif doux dès
    J3 mobilisation de la rotule (les poids de la
    traction
  • sont laissés en place) une participation
    active des fléchisseurs de hanche est demandée
  • (amplitude 30-40)
  • - mobilisation en extension de hanche à
    partir du bassin
  • - mobilisation du pied anti-équin
  • 2ème phase
  • - la traction est enlevée vers S6, puis
    attelle articulée ou amovible pendant 1 mois
  • - poursuite de la rééducation en
    continuant de protéger le foyer de fracture
  • - verticalisation avec précaution
  • - programme de rééducation identique au
    précédent, puis remise en charge progressive

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PATHOLOGIE
  • Déficit en flexion
  • Elle peut être due à des adhérences
    intra-articulaires, des rétractions des parties
    molles péri-articulaires (ailerons rotuliens).
  • Mobilisation sous anesthésie générale
  • - précoce 4-5 mois post-consolidation
  • - manœuvre forcée, brutale, faite de
    reprise dappui et après consolidation
  • - travail immédiat de recherche
    damplitude (manuelle, mécanique) antalgique
    ()
  • cryothérapie SETA massage antalgique
  • - posture en flexion extension alternée
    toute les 3 heures avec attelle, plâtre
  • - mobilisation par attelle motorisée à
    partir de J1 mobilisation de la rotule
  • - contracter relâcher, stabilisation
    rythmique, piscine
  • - physiothérapie antalgique
  • - éveil musculaire avec travail contre
    résistance
  • - travail en flexion avec contraction
    statique pour limiter les risques de
    réactions
  • inflammatoires
  • - obtention du verrouillage actif du genou
    et extension TOTALE ACTIVE

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  • Arthrolyse
  • - section et résection des éléments
    péri-articulaires
  • - libération du cul-de-sac
    sous-quadricipital et section des ailerons
    rotuliens (dans cas graves)
  • - libération des adhérences du quadriceps
  • - la flexion doit être plus facile
  • - appui partiel ensuite, puis total à J15
  • - attention récupération du quadriceps
    en flexion
  • - travail statique travail du vaste interne
  • - travail dynamique travail de lensemble du
    muscle
  • - travail en concentrique ou en excentrique
  • - résistance proximale ou distale
  • - résistance proche ou éloignée de la RM
  • - attention récupération verrouillage
    actif du genou
  • Déficit dextension
  • - éviter tout flexum
  • - correction après un flexum de 3-4 mois
    par plâtre
  • - traitement chirurgical par allongement
    des ischio-jambiers, désinsertion des coques
  • condyliennes, libération de tous les
    éléments postérieurs rétractés

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  • Étiologie
  • - ces fractures prédominent chez des
    sujets de 18 à 40 ans
  • - elles se font le plus souvent par
    torsion (sport, ski) ou par choc direct
    (circulation et travail)
  • - exceptionnellement, on a des fractures
    isolées du tibia ou des fractures isolées du
    péroné, mais
  • plus souvent ce sont des fractures des 2
    os de la jambe. Les fractures sont parfois à des
    niveaux
  • différents. Il y a un point faible à
    dunion du 1/3 moyen et du 1/3 inférieur du
    tibia, qui explique
  • la prédominance des fractures à ce niveau.
    Le tibia est courbe dans les 2 plans.
  • Les traits de fractures et les déplacements
  • les fractures spiroïdes
  • Ce sont les fractures les plus fréquentes on
    les retrouve dans 50 des cas (fractures par
    torsion). Le plus souvent, la fibula est fracturé
    plus haut que le tibia et on observe un biseau
    supéro-interne qui menace la peau (possibilité de
    fracture ouverte). Parfois, on trouve aussi un
    trait de refend qui peut isoler un 3ème fragment
    en aile de papillon.
  • On trouve 2 types de fractures spiroïdes
  • - les spiroïdes courtes
  • - les spiroïdes longues, plus stables que
    les courtes
  • Le déplacement des os se fait par chevauchement,
    le plus souvent il tend à saccentuer.
  • les fractures transversales
  • Ces fractures succèdent à un choc direct et
    peuvent survenir à tous les niveaux de la
    diaphyse tibiale. Le déplacement est variable, et
    cette forme de fracture peut être stable après
    réduction, à moins quil ny ait un 3ème
    fragment.

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  • les fractures comminutives
  • Elles saccompagnent de lésions des parties
    molles et sont très instables.
  • les fractures bifocales ou à double étage
  • Dans ces fractures, on trouve un fragment
    intermédiaire de la diaphyse, qui risque dêtre
    isolé de la vascularisation la vascularisation
    intra-osseuse est en effet peu importante, et
    cest la vascularisation périphérique qui est
    prédominante et peut être interrompue par la
    fracture et le déplacement.
  • les fractures isolées du tibia
  • Le déplacement de la diaphyse est limité par
    lintégrité de la fibula.
  • Le trait de fracture est oblique et la réduction
    est difficile à maintenir par un plâtre
    nombreux sont les partisans de lostéosynthèse
    dans ces cas.
  • Les déplacements de toutes ces fractures
    combinent angulation, translation, chevauchement
    et décalage (rotation).
  • Évolution des fractures
  • La consolidation dune fracture de la jambe bien
    traitée se fait en 2-3 mois chez ladulte, plus
    rapidement chez lenfant (mais la remise en
    charge est plus tardive chez lenfant). On parle
    de retard de consolidation au 4ème mois sil
    napparaît pas de signe de cal périphérique.
  • Les complications sont celles de toutes les
    fractures diaphysaires.

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TRAITEMENT
  • Différents types de traitements sont adoptés
    pour les fractures de la jambe
  • - limmobilisation des fractures sans
    déplacement, par lintermédiaire dun plâtre
    cruro- pédieux
  • - lextension continue cest une traction
    simple, avec le genou légèrement fléchi pour
    libérer le triceps sural
  • - la réduction sur cadre de Trillat suivie de
    plâtre
  • - la méthode de Sarmiento elle permet un
    appui précoce dans certaines formes de fractures.
    Le plâtre cruro-pédieux initial est remplacé
    vers la 3ème semaine par un plâtre de marche
    spécial. Cet appareil est caractérisé par un
    moulage serré des masses musculaires, qui
    joueront un rôle de tuteur compressif pour los.
    Les appuis sont bien modelés au niveau des
    condyles fémoraux, du tendon patellaire et de la
    patella
  • Ostéosynthèse à foyer ouvert
  • le vissage simple
  • Les vis seules sont rarement suffisants, sauf
    dans les fractures spiroïdes longues. Ce type de
    montage névite pas un plâtre protecteur, mais il
    permet une excellente réduction.

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  • les cerclages métalliques
  • Ils sont très insuffisants pour les fractures de
    jambe (sauf pour les fractures spiroïdes) et ils
    ont été abandonnés.
  • les plaques vissées
  • Elles permettent une très bonne réduction et une
    bonne stabilité et évitent le plâtre. Les plaques
    ne sont plus utilisées pour les fractures
    diaphysaires mais sont réservées surtout aux
    fractures des extrémités.
  • Enclouage centro-médullaire à foyer fermé
  • Il se fait, au bloc opératoire, avec le genou en
    flexion (jambe en crochet), en ouvrant
    lextrémité supérieure du tibia, jusquau canal
    médullaire, dans lequel on enfonce le clou. On
    utilise beaucoup le clou verrouillé par des
    vis ( clous de Kempf et Grosse) les vis sont
    enlevées avant la consolidation définitive, vers
    la 6ème semaine, et lappui autorisé, ce qui
    stimule la formation du cal. On peut verrouiller
    une extrémité du clou ou les deux.
  • Traitement en fonction du trait de fracture
  • les fractures transversales
  • Elles sont stables et consolident bien avec le
    traitement orthopédique, ou aussi avec le
    placement dun clou centro-médullaire avec appui
    repris immédiatement.

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  • les fractures spiroïdes
  • Le vissage, associé à une plaque vissée de
    neutralisation, est adopté par beaucoup.
    Lenclouage centro-médullaire peut presque
    toujours être réalisé dans les fractures
    spiroïdes.
  • les fractures comminutives
  • Elles peuvent être enclouées à foyer fermé, avec
    un verrouillage du clou en haut et en bas par des
    vis transversales qui bloquent les rotations et
    maintiennent la longueur correcte.
  • les fractures à double étage
  • Elles sont enclouées à foyer fermé, avec un
    petit clou dalignement . Ce montage est
    renforcé, verrouillé, par des vis.
  • les fractures isolées du tibia
  • Ces fractures peuvent être traitées par plâtre,
    mais à condition de surveiller labsence de
    déplacement secondaire (fréquent). On peut aussi
    les traiter par enclouage centro-médullaire à
    foyer fermé.
  • les fractures isolées de la fibula
  • Elles sont dues à des chocs directs. Elles
    consolident habituellement sans réduction et sans
    ostéosynthèse au 1/3 moyen, ou elles peuvent
    nécessiter une réduction et une ostéosynthèse.
  • Lutilisation de lextension continue (traction)
    peut permettre dattendre lamélioration des
    conditions cutanées avant de prendre la décision
    de faire une ostéosynthèse (qui pourra se faire 2
    à 3 semaines plus tard).
  • Le traitement antibiotique est systématique.
  • remarque on fonction des lésions cutanées dues
    à la fracture, on a recours au fixateur externe

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REEDUCATION
  • Principes
  • - mise en place de la rééducation précoce
    (dès les premiers jours)
  • - prévention des phlébites, des raideurs
    et des amyotrophies
  • - pas de travail des releveurs du pied
    contre résistance avant la phase dappui partiel
  • - le travail du triceps sural contre
    résistance débute à la phase dappui total
  • - il faut éviter les rotations avant la
    consolidation, donc pas de travail dinversion /
    éversion
  • contre résistance avant au moins la phase
    dappui partiel
  • - pas dappui avant consolidation
    partielle

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  • Rééducation à la phase de non appui
  • bilan du patient
  • En plus du bilan habituel, on sattache aux
    points suivants
  • - recherche des troubles
    thromboemboliques, dœdème et de douleurs sous
    plâtre
  • - recherche des déficits sensitifs,
    articulaires (parfois en équin) et musculaire
    (attention aux prises au niveau de foyer de
    fracture et test du quadriceps, des
    ischio-jambiers, et de triceps sural)
  • remarque à J30, test - du moyen fessier, en
    décubitus latéral
  • - du quadriceps, avec la main sous le genou
  • - des ischio-jambiers, debout en décharge ou
    en décubitus ventral (attention aux rotations)
  • - des releveurs et du triceps sural, avec une
    petite résistance au bout du pied
  • - des inverseurs / éverseurs, avec des
    mouvements sans résistance
  • - incapacité fonctionnelle marche
  • - évaluation des secteurs non lésés

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  • Traitement
  • Ce traitement va durer quelques semaines,
    jusquà la phase dappui partiel, et il va se
    composer
  • - dexercices actifs des deux chevilles,
    danticoagulants, de déclive et de bas de
    contention
  • - de surélévation des membres inférieurs
  • - de DLM et de cryothérapie
  • - de pressothérapie (suivant les médecins)
  • - de la surveillance du plâtre si besoin
    complications cutanées (escarres, sensations de
    brûlures), complications circulatoires (oedèmes
    distal, cyanose des orteils, phlébite),
    complications neurologiques (compression du SPE,
    syndrome des loges)
  • - dentretien des articulations libres du pied,
    avec une mobilisation analytique (attention à ne
    pas mettre de résistance à la triple flexion /
    extension)
  • - dentretien articulaire de la hanche pour
    éviter le flexum (attention aux rotations,
    notamment chez les patients avec clou
    centro-médullaire non verrouillé)
  • - de balnéothérapie contre indications à
    la balnéothérapie problèmes cardiaques,
    cicatrice non fermée, inflammation, œdème,
    spasticité (car la chaleur augmente la
    spasticité)
  • - du lever de sidération et de travail du
    verrouillage actif du genou
  • - dune prise en charge antalgique
    cryothérapie, SETA (2 électrodes en haut, puis 2
    en bas contre indication quand clou, plaque,
    vis), mains pas dultrasons
  • - de travail de la marche avec 2 cannes
    anglaises (appui simulé, puis contact en
    progression)
  • - de travail proprioceptif, par sollicitation
    manuelle plantaire type massage travail sur
    balle de tennis (et différentes textures)

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  • Rééducation à la phase dappui partiel
  • Lappui partiel est
  • - autorisé vers la 6ème 8ème semaine
    pour les fractures simples et vers la 15ème
    semaine pour les
  • fractures ouvertes
  • - autorisé à 1 mois post-opératoire si
    la fracture est traitée par fixateur externe de
    type rigide
  • Lexamen kinésithérapique sattache à la
    cicatrice, aux troubles de la trophicité, et à la
    mobilité (on peut cependant mettre un peu plus de
    résistance dans les tests musculaires).
  • Le traitement se compose
  • - de la remise en charge, sur un plan
    incliné, sur des balances, avec 2 cannes
    anglaises, en
  • balnéothérapie, et avec un travail de
    la marche
  • - du travail musculaire en CCF en
    piscine (en flexion)
  • - du travail du tibial antérieur avec
    le quadriceps contre résistance croissante
    (patient assis
  • travail de synergie)
  • - du travail contre résistance
    proximale du quadriceps et des ischio-jambiers
    SETE réglée sur
  • le mode renforcement à 66 Hz
    (résistance sur la TTA petit bras de levier)
  • - du travail de la mobilité, avec des
    techniques analytiques et spécifiques de toutes
    les
  • articulations de lavant et de la
    médio-tarsienne (attention aux contre prises pour
    la sous

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  • Rééducation à la phase dappui total
  • Lobjectif de cette rééducation dans la dernière
    phase est de réduite les déficits et les
    incapacités du patient.
  • Lexamen kinésithérapique doit ne pas présenter
    de déficits du genou et de la hanche. La mise en
    charge totale peut réactiver des phénomènes
    douloureux et inflammatoires, avec un plus un
    œdème. On peut aussi noter la présence dun
    déficit musculaire, en force ou en endurance (en
    ce qui concerne la fracture de la jambe, il
    sagit de refaire travailler le pied, donc on
    réalisera un travail musculaire plutôt en
    endurance quen force). On peut aussi noter un
    déficit proprioceptif, une boiterie
    dappréhension à la marche, à la montée et
    descente des escaliers.
  • Le traitement se compose
  • - du travail de gain damplitude de la cheville
    (techniques analytiques, manuelles, postures
    surtout en flexion dorsale)
  • - du travail de tous les muscles du membre
    inférieur, avec résistance manuelle, mécanique,
    SETE, en CCO, CCF, avec variations du nombre de
    séries, de répétitions (en progression)
  • - de DLM et de cryothérapie
  • - détirements actifs
  • - de travail sensori-moteur exercices en
    charge partielle, avec un ballon de
    Klein- Vogelbach, puis, en progression, en charge
    sur un plan instable (appui unipodal)
  • - de travail de la marche déroulement du pas
    au sol, longueur du pas, rythme de la marche,
    pas postérieur
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