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Les points cl

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Title: Les points cl s du programme de terminale Author: Tesni re Last modified by: ryo Created Date: 5/26/2006 11:49:45 AM Document presentation format – PowerPoint PPT presentation

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Title: Les points cl


1
Les points clés du programme de terminale
  • Les connaissances exigibles

2
La convergence lithosphérique et ses effets
3
La convergence se traduit par la disparition de
lithosphère dans le manteau, ou subductionLa
lithosphère océanique senfonce sous la marge
active dune plaque comprenant une croûte
continentale ou une croûte océanique.
4
Les principales caractéristiques des zones de
subduction sont - La présence de reliefs
particuliers- Une activité magmatique intense-
Une déformation lithosphérique importante- Une
répartition inégale du flux de chaleur
5
La distribution géométrique des séismes
matérialise le plongement dune portion rigide de
lithosphère à lintérieur du manteau plus chaud
et ductile
6
Lévolution de la lithosphère océanique qui
séloigne de la dorsale saccompagne dune
augmentation de la densité, jusquà dépasser
celle de lasthénosphère cette différence de
densité est lun des moteurs de la subduction
7
Les zones de subduction sont le siège dune
importante activité magmatique caractéristique
volcanisme et mise en place de granitoïdes
8
Le magma provient de la fusion partielle des
péridotites au dessus du plan de Benioff, cette
fusion est due à lhydratation du manteau
9
Leau provient de la deshydratation des roches de
la plaque plongeante. Le long du plan de Benioff,
les roches de la lithosphère océanique sont
soumises à des conditions de température et de
pression différentes de celles de leur formation.
Elles se transforment et des minéraux
caractéristiques apparaissent
10
Convergence et collision continentale
11
Dans les Alpes franco-italiennes affleurent des
roches qui contiennent des témoins minéralogiques
des conditions P et T dune subduction
12
Dans les Alpes franco-italiennes affleurent des
témoins de marges passives sédiments, blocs
basculés, croûte océanique non subduite. Les
marges passives sont déformées et témoignent
dune collision
13
Les conséquences les plus visibles du
raccourcissement et de lépaississement de la
croûte continentale sont Une topographie
particulière, des plis, des failles et des nappes
de charriages
14
Après la collision, la chaîne de montagne est le
lieu dune évolution tardive érosion en surface,
fusion partielle en profondeur
15
Parenté entre êtres-vivants actuels et fossiles-
phylogénèse- Evolution
16
Les êtres-vivants partagent des propriétés
communes qui traduisent une origine
commune.Toutes les espèces actuelles et fossiles
sont plus ou moins apparentées
17
La recherche de parenté chez les vertébrés
18
Létablissement de relations de parenté entre les
vertébrés actuels seffectue à partir de la
comparaison de caractères homologues.Les
comparaisons macroscopiques prennent en compte
létat ancestral et dérivé des caractèresSeul le
partage des caractères dérivés témoigne dune
étroite parenté
19
Ces relations de parenté contribuent à construire
des arbres phylogénétiquesLes ancêtres communs
représentés sur ces arbres sont hypothétiques,
définis par lensemble des caractères dérivés
partagés par des espèces qui leur sont
postérieures ils ne correspondent pas à des
espèces fossiles précises
20
La lignée humaine
21
LHomme est un eucaryote, un vertébré, un
tétrapode, un amniote, un mammifère, un primate,
un hominoïde, un hominidé, un homininé ces
caractères sont apparus successivement à
différentes périodes de la vie
22
LHomme partage un ancêtre commun récent avec le
chimpanzé et le gorille. Cet ancêtre nest ni un
chimpanzé, ni un gorille, ni un Homme.La
divergence de la lignée des chimpanzés et de la
lignée humaine peut être située il y a 7 à 10
millions dannées.
23
Les critères dappartenance à la lignée humaine
24
Les critères dappartenance à la lignée humaine
sont les caractères liés à la station bipède, au
développement du volume crânien, à la régression
de la face et aux traces fossiles dune activité
culturelleOn admet que tout fossile présentant
au moins un des ces caractères dérivés appartient
à la lignée humaine
25
Le caractère buissonnant de la lignée humaine
26
La lignée humaine est actuellement représentée
que par une seule espèce.Plusieurs espèces
dhomininés ont vécu entre 6 Ma et 100000 ans,
date dapparition dHomo sapiensCes espèces
appartiennent à 2 genres Australopithècus et Homo
27
Les Australopithèques possèdent les caractères de
la lignée humaine liés à la bipédie.Le genre
Homo possèdent en outre les caractères liés à
laugmentation du volume crânien et une réduction
de la face.Les Australopithèques formeraient un
rameau de la lignée humaine détaché assez tôt de
celui des Homo
28
Les espèces fossiles actuellement datées entre 4
et 1.5 Ma sont toutes africaines. Cela peut
sexpliquer par une origine africaine de la
lignée humaine ou par des conditions
exceptionnelles de fossilisation dans le rift est
africain
29
Les Homo erectus ont formé une large population
qui a colonisé lAfrique du nord, lAfrique du
Sud, le Proche orient, LAsie, lEurope.LHomme
de Néanderthal, trouvé en Europe semble provenir
de lévolution dHomo erectus ayant colonisé
lEurope
30
Lorigine des Hommes modernes
31
Toutes les populations actuelles partagent les
mêmes allèles, avec une fréquence variable.La
population ancestrale naurait compté que
quelques dizaines de milliers dindividus.Homo
sapiens serait une nouvelle espèce apparue en
Afrique ou au proche Orient il y a 100000 à
200000 ans et aurait colonisé tous les continents
en remplaçant Homo erectus
32
Stabilité et variabilité des génomes et évolution
33
Lapport de létude des génomes les innovations
génétiques
34
Au sein dune espèce, le polymorphisme des
séquences dADN résulte de laccumulation de
mutations au cours des générations. Suivant leur
nature et leur localisation, les mutations ont
des conséquences phénotypiques variables
35
Au sein du génome dune espèce, les similitudes
entre gènes (familles de gènes) sont
interprétées comme le résultat dune ou plusieurs
duplication dun gène ancestral.La divergence
des gènes dune même famille sexplique par
laccumulation de mutationsDans certains cas,
ces mécanismes peuvent conduire à des gènes ayant
une nouvelle fonction
36
Les innovations génétiques sont aléatoires et
leur nature ne dépend pas des caractéristiques du
milieu
37
Méiose et fécondation participent à la stabilité
de lespèce
38
Chez les organismes présentant une reproduction
sexuée, une phase haploïde alterne avec une phase
diploïde
39
La méiose assure le passage de la phase haploïde.
Elles suit une phase de réplication de lADN et
se compose de deux divisions successives qui
conduisent à la présence dun lot haploïde de
chromosomes dans chaque cellules fillesDes
perturbations dans la répartition des chromosomes
conduisent à des anomalies du nombre de
chromosomes.
40
La fécondation rétablit la diploïdie en
réunissant les lots haploïdes des gamètes dune
même espèce
41
Méiose et fécondation sont à lorigine du
brassage génétique
42
La variabilité allélique se manifeste par une
hétérozygotie à différents locus.La variabilité
génétique est accrue par la réunion au hazard des
gamètes lors de la fécondation et par les
brassages intra et inter chromosomiques lors de
la méiose
43
Le brassage intrachromosomique, ou recombinaison
par crossing over, a lieu entre les chromosomes
hologues appariés lors de la prophase 1 de la
méiose
44
Le brassage interchromosomique est dû à la
migration indépendante des chromosomes homologues
de chaque paire lors de lanaphase 1
45
3 exemples de relation entre les mécanismes de
lévolution et la génétique
46
Parmi les innovations génétiques seules celles
qui affectent les cellules germinales dun
individu peuvent avoir un impact évolutif.Les
mutations qui confèrent un avantage sélectif aux
individus ont une probabilité plus grande de se
répandre dans la population
47
2) Des mutations peuvent se rependre dans la
population sans conférer davantage sélectif
particulier
48
3) Des mécanismes affectant les gènes du
développement peuvent avoir des répercussions sur
la chronologie et la durée relative de la mise en
place des caractères morphologiques.De telles
mutations peuvent avoir des conséquences
importantes.
49
La mesure du temps dans l'histoire de la terre et
de la vie
50
Datation relative
51
La datation relative permet dordonner les uns
par rapport aux autres des structures (strates,
plis, failles, minéraux) et des évènements
géologiques variés (discordance, sédimentation,
intrusion, orogénèse)
52
La datation relative repose dur les principes de
la chronologie relative qui ont permis détablir
léchelle des temps géologiques. Ces principes
sont - superposition- continuité-
recoupement- identité paléontologique
53
La datation absolue
54
La chronologie absolue, en donnant accès à lâge
des roches et des fossiles, permet de mesurer les
durées des phénomènes géologiques.Elle permet
aussi de situer dans le temps léchelle relative
des temps géologiques
55
La chronologie absolue est fondée sur la
décroissance radioactive de certains éléments
chimiques.Les radio-chronomètres sont choisis en
fonction de la période de temps que lon cherche
à explorer.
56
Pour les derniers millénaires, on utilise le
carbone 14 dont la quantité lors de la fermeture
du système est connue. La mesure de la quantité
de carbone 14 restante dans léchantillon permet
de trouver un âge. Lorsque tous les éléments
radioactifs ont disparu de léchantillon, la
datation nest plus possible.
57
Pour les périodes plus anciennes on peut, par
exemple, utiliser le couple K/Ar. La quantité
initiale lors de la fermeture est négligeable.La
contamination par lAr de latmosphère rend
difficile la détection de lAr issu de la
désintégration du K.
58
On utilise aussi le couple Rb/Sr. Pour trouver
lâge dune roche, il est alors nécessaire de
mesurer les rapports isotopiques de plusieurs
minéraux de la même roche ayant cristallisé au
même moment.
59
La procréation
60
Du sexe génétique au sexe phénotypique
61
Chez les mammifères les structures et la
fonctionnalité des appareils sexuels mâle et
femelle sont acquise en 4 étape au cours du
développement
62
Stade phénotypique indifférencié. La structure
est commune aux 2 sexes.
63
2) Su sexe génétique au sexe gonadiqueSur le
chromosome Y,le gène Sry est activé et donne
naissance à la protéine TDF, signal de
développement des gonades en testicules.Sur le
chromosome X, il ny a pas de gène Sry. En
absence de protéine TDF, les gonades se
différencient en ovaires
64
3) Du sexe gonadique au sexe phénotypique
différenciéLa mise en place du sexe phénotypique
mâle se fait grâce aux hormones testiculaires. En
absence de ces hormones, on va vers une
différenciation phénotypique femelle.
65
4) La pubertéLacquisition de la fonctionnalité
des appareils génitaux se fait sous le contrôle
de la testostérone et des oestrogènes
66
Régulation physiologique de laxe gonadotrope
intervention de 3 niveaux de contrôle
67
Chez lhomme
68
Activité testiculaireLes testicules produisent
des spermatozoïdes et de la testostérone de
manière continue de la puberté jusquà la fin de
la vieLhoméostat de la testostéronémie est
indispensable à la fonctionnalité de lappareil
génital
69
Contrôle par lhypothalamusLa production
continue de FSH et LH par lhypophyse, induite
par la sécrétion pulsatile de GnRH ( par
lhypothalamus) détermine la sécrétion de
testostérone.La testostérone exerce sur le
complexe hypothalamo-hypophysaire un
rétrocontrôle négatif
70
Chez la femme
71
Fonctionnement cyclique de lutérus et de
lovaireElle permet de favoriser limplantation
dun embryon dans lutérus dont le fonctionnement
cyclique est synchrone avec le fonctionnement de
lovaire. Intervention dhormones ovariennes
oestrogènes et progestérone
72
Contrôle par lhypothalamusLévénement majeur du
cycle est un pic de LH qui provoque
lovulation.Le caractère cyclique de la
sécrétion des gonado-stimulines est liée à des
rétroactions et entre ovaire et complexe H-H
73
Rencontre des gamètes et début de grossesse
74
La rencontre des gamètes est conditionnée au
moins en partie par la qualité de la glaire
cervicale.La fécondation a lieu dans le 1/3
supérieur des trompes et nest possible que
pendant une brève période après lovulationAprès
la fécondation et la nidation, la sécrétion dHCG
par lembryon permet la poursuite de lactivité
du corps jaune et donc la sécrétion de
progestérone
75
Chez les mammifères non hominidés, lacceptation
du mâle par la femelles est déterminée par la
sécrétion doestrogènes (oestrus)Chez le mâle le
comportement du rut est dépendant de la sécrétion
de testostérone et de stimuli émis par la
femelleLHomme est capable de maîtrise sa
procréation. Son comportement sexuel est dissocié
de la sécrétion dhormones
76
La contraception hormonale féminine sappuie sur
lensemble des connaissances acquises sur la
régulation hormonale de la physiologie
sexuelleLa contraception hormonale masculine est
encore à létat de rechercheLe couple peut
utiliser dautres moyens contraceptifs pour
empêcher la rencontre des gamètes ou
limplantation de loeuf
77
Pendant toute sa grossesse la femme et son foetus
son médicalement surveillés grâce à différents
moyens dinvestigationDans le cas de la
détection dune anomalie grave, diverses mesures
sont mises en œuvre qui peuvent aller jusquà
proposer une IVG thérapeutique
78
Dans les cas dinfertilité, différentes
techniques médicales peuvent apporter des
solutions inséminations artificielles, FIVETE,
ICSI
79
Immunologie
80
Une maladie qui touche le système immunitaire le
SIDA
81
Le VIH et la primo-infection
82
Le virus dimmunodéficience humaine est transmis
par voie sexuelle, voie sanguine ou au cours de
la grossesse de la mère à lenfant.Ce virus
appartient à la famille des rétrovirus
83
Les cellules cibles du VIH sont principalement
des cellules immunitaires lymphocytes T4,
macrophages et monocytes. Ces cellules possèdent
des marqueurs membranaires CD4 auxquels samarre
le virus, ce qui lui permet dentrer dans la
cellule hôte
84
Une enzyme virale, la transcriptase inverse,
transcrit lARN viral en ADN dans les cellules
infectées. Cet ADN est ensuite incorporé dans le
génome de la cellule hôte, permettant au virus de
se multiplier et dêtre disséminé notamment dans
les organes lymphoïdes
85
Pendant cette période, les symptômes se limitent
à ceux dune maladie virale bénigne
86
La phase asymptomatique
87
2 semaines à quelques mois après la
contamination, la présence dans le sang de
différents anticorps anti-VIH est décelée, le
sujet est dit alors séropositif pour le
VIHApparaissent en même temps, des LTC
spécifiques dirigés contre les cellules infectées
88
Pendant cette période de plusieurs années, les
défenses immunitaires restent actives mais les
virus continuent de se multiplier et le nombre de
LT4 de diminuer
89
Le SIDA Phase symptomatique
90
En absence de traitement, le nombre de LT4
baisse. Le SIDA se caractérise par diverses
maladies opportunistes
91
Généralisation sur les processus immunitaires mis
en jeu.
92
Les anticorps agents du maintien de lintégrité
du milieu extracellulaire
93
La synthèse danticorps est la signature dune
réaction de lorganisme à la présence déléments
étrangersIls agissent dans le milieu
extracellulaire en se liant spécifiquement aux
antigènes qui ont déclenché leur formation.Ce
sont des immunoglobulines, protéines circulantes
constituées dune partie constante et dune
partie variable
94
La spécificité des anticorps est due à la partie
variableLa liaison antigène-anticorps entraîne
la formation de complexes immuns qui seront
éliminés par phagocytose
95
Les anticorps sont produits par les LB sécréteurs
ou plasmocytes.Ils proviennent de la la
différenciation de LB ayant des anticorps
membranaires spécifiques de lantigène.Les LB
sélectionnés se différencient en plasmocytes et
en LB mémoireLes anticorps ne peuvent agir
contre des cellules déjà infectées
96
Les lymphocytes T cytotoxiques (T8) agents du
maintien de lintégrité des populations
cellulaires
97
Les cellules infectées expriment à leur surface
des fragments peptidiques issus des protéines du
pathogène.Les LT, grâce à leurs récepteurs
spécifiques reconnaissent les cellules
infectées. Cette reconnaissance déclenche une
élimination des cellules infectées par les
LTC.La production des LTC suit le même schéma
que pour les plasmocytes
98
Dans le cas du SIDA, la destruction des LT4
infectés par les LTC limite la progression de
linfection virale
99
Les LT4 Pivots des réactions immunitaires
spécifiques
100
A la suite de lentrée dun antigène dans
lorganisme, les LT4 spécifiques se différencient
en LT4 sécréteurs dinterleukines qui stimulent
la multiplication et la différenciation de LB et
LT8 sélectionnés
101
Dans le cas du SIDA, la disparition des LT4
empêche la production danticorps et de LTC
contre des agents microbiens variés. Ceci permet
lapparition de maladies opportunistes
102
Les vaccins et la mémoire immunitaire
103
Des vaccins ont été mis au point contre
différents virus. Ils reproduisent une situation
naturelle celle de limmunité acquise contre
ces virus après une première infection guérie
104
Dans le cas du virus du SIDA, il sagit de
trouver un vaccin contre un virus qui nest pas
vaincu par les défenses immunitaires
naturelles.Le virus du SIDA mutant constamment,
une des difficultés consiste à identifier une
protéines invariable et accessible à la surface
du virus
105
Le phénotype immunitaire résulte dune
interaction complexe entre génotype et
environnement.Grâce à des mécanismes génétiques
originaux, lorganisme produit des LT et LB dune
infinie diversitéIl en résulte un phénotype qui
change sans cesse en sadaptant à
lenvironnement.La vaccination fait évoluer
artificiellement ce phénotype
106
Les points clés du programme de
terminaleConseils pour lépreuve de SVT
107
Le correcteur est toujours sensible à la
présentation du devoir et des points lui sont
généralement attribués2) Le correcteur na pas à
faire deffort pour vous relire3) Les schémas
doivent toujours être titrés et légendés4)
Attention à lorthographe notamment des mots
scientifiques (phile/ phylle/phyle). Cela peut
changer le sens dune phrase
108
La maîtrise du temps- 1h20 à 1h30 pour la
question de type 1- 30 à 45 minutes pour le 2A-
40 à 50 minutes pour le 2B10 minutes pour une
relecture efficace !
109
La question de type 1- Repérer le verbe utilisé
dans le sujet Montrer Apporter des
argumentsDécrireFournir des données
précisesExpliquerBien présenter un
mécanismeComparer Dégager les points communs et
les différences
110
-Etablir un planLe devoir doit toujours être
structuré avec des phrases de liaison entre les
parties qui donnent une cohérence au devoir.
Chaque partie se justifie par rapport au sujet
111
Prévoir les illustrationsRédiger lintroduction
(présentation du sujet, problématique et/ou
annonce du plan) et l conclusion (rappel des
idées générales et ouverture possible sur une
autre problématique
112
Les questions de type 2
113
Les questions 2A et 2B sappuient sur des
documents fournis.Il sagit de relier les
informations extraites des documents aux
connaissances acquises sur le sujet. Le tout en
relation avec la problématique posée dans le
libellé.En effet, en conclusion, il faudra
répondre au problème posé
114
Ces 2 questions ont pour objectif de voir votre
capacité à effectuer une mise en relation
dinformations pour répondre à un problème
115
Les 2 questions diffèrent entre elles par le
nombre de documents fournis, leur proximité ou
leur non proximité avec ceux utilisés en classe
et le niveau de raisonnement exigé
116
La réponse doit être organisée à partir des
données que leur lecture apporte à la résolution
du problème
117
Attention aux mots clés du sujetTirer des
argumentsExpliquer un mécanisme
118
Ne paraphrasez pas les documentsNe récitez pas
le cours en oubliant lapport des documentsNe
négligez pas la présentation
119
Un exemple de question de type 1A partir de vos
connaissances, rappelez ce quest une crise
biologique, ses conséquences évolutives et son
utilisation en géologie
120
2ème exemple de question de type 1Présentez des
arguments géologiques et biologiques utilisés
pour établir des coupures dans les temps
géologiques puis précisez ceux qui sont retenus
pour fonder une crise il y a 65 Ma
121
Un exemple de question de type 2La
reconnaissance spécifique des antigènesUtilisez
les apports du document, complétés par vos
connaissances, pour expliquer les mécanismes qui
permettent la reconnaissance spécifique des
antigènes par les lymphocytes
122
(No Transcript)
123
2ème exemple de question de type 2La recherche
de lorigine dune maladieReconstituez les
étapes du raisonnement qui ont permis dexpliquer
lorigine des symptômes dont souffre Monsieur X
124
(No Transcript)
125
fin et bon courage
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