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Origine des mots et expressions

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Origine des mots et expressions SP782 OK : Lors de la seconde guerre mondiale, les pilotes am ricains rentrant leur base sans avoir essuy s de perte parmi eux ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Origine des mots et expressions


1
Origine des mots et expressions
SP782
2
OK Lors de la seconde guerre mondiale, les
pilotes américains rentrant à leur base sans
avoir essuyés de perte parmi eux, le signifiait
en disant "OK". Ce qui voulait dire "zéro killed"
(zéro mort). A comparer au signe manuel
traduisant cette expression pouce et index
joints pour former le zéro et les trois autres
doigts alignés et levés verticalement.
3
  • Zinc Ce mot désigne souvent un avion.
    L'expression vient de l'utilisation de chromate
    de zinc pour la protection des avions légers
    contre la corrosion. Ce produit chimique est
    utilisé sous forme liquide et il est de couleur
    verte. Il constitue la couche primaire avant la
    peinture de finition. A la fin des années 40,les
    premiers avions métalliques vendus à l'aviation
    générale n'étaient recouvert que du chromate de
    zinc et ils pouvaient voler des années avant de
    recevoir la peinture finale. D'où l'expression
    un zinc.

4
  • Mayday Ce message international de détresse
    vient du français "Venez m'aider".
    L'anglicisation date de 1927, date à laquelle
    "Mayday" a été adopté par la Convention
    Internationale de Radiotélégraphie de Washington.

5
  • Avion Avion vient du latin "avis" qui signifie
    oiseau. Clément Ader donna ce nom à l'appareil
    qu'il fit voler en 1897. On dit aussi qu'il
    s'agit d'un acronyme inventé par Clément Ader
    signifiant Appareil Volant Imitant l'Oiseau
    Naturel.

6
  • Vasistas
  • . Un vasistas est une ouverture aménagée dans une
    fenêtre ou dans une porte , à hauteur des yeux ou
    dans leur partie supérieure. Il désigne aussi une
    fenêtre installée sur un toit ou dans un mur pour
    la ventilation et l'éclairage des combles ou
    d'une cave.
  • Emprunt oral à l'allemand, ce mot a pour
    étymologie la question récurrente  Was ist
    das ? , signifiant en français  Qu'est-ce que
    c'est ? , exprimée via une sorte de guichet, par
    des Allemands à leurs visiteurs français avant de
    leur ouvrir la porte.
  • La première forme connue de cet emprunt est
     wass-ist-dass  (1776), d'après Alain Rey .
     Wass-ist-dass  est utilisé par
    Jean-François-Clément Morand en 1776 dans son
    Mémoire sur les feux de houille.
  • La première apparition du mot vasistas dans un
    dictionnaire remonte à la 5e édition en 1798 du
    Dictionnaire de l'Académie française 

7
  • braquemart
  • Du néerlandais breecmes ( couperet, serpe ),
    composé de breken ( casser ) et de mes
    ( couteau ).
  • braquemart masculin
  • (Vieilli) épée courte et large à deux tranchants.
  • (Marine) (Vieilli) (Désuet) Sabre, cimeterre.
  • (Par métaphore) (Familier) Pénis.

8
  • là où le bât blesse
  • Lexpression apparaît dès le milieu du XVe siècle
    en référence aux bâts que lon posait sur le dos
    des mulets et sur lesquels on accrochait les
    charges quils transportaient. Ainsi, les bêtes
    dont le bât était mal fixé ou trop chargé avaient
    des plaies qui les faisaient souffrir. Dire
     Cest là que le bât blesse  revient donc à
    dire que lon a trouvé la cause dune souffrance
    (psychologique en général), le point sensible
    dune personne, ou un problème en général

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  • Nyctalope
  • Du latin nyctalops ( qui voit la nuit ),
    emprunté au grec ancien ???t????, nyktálops
    ( id. ).
  • Adjectif
  • nyctalope masculin et féminin identiques
  • Qui peut voir de nuit.

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  • Callipyge
  • Emprunté au grec ancien ?a???p????, kallípugos
    ( qui a de belles fesses ), issu de ?a??? kal?s
    ( bon, beau ) et de p??? pug? ( fesse ).
  • Adjectif
  • Qui a de belles fesses, aux formes harmonieuses.
  • Ta sÅ“ur est franchement callipyge, Pascal !
  • Jessica, aussi callipyge fut-elle, déplorait que
    lon ne remarquât pas sa beauté intérieure.
  • (Par extension) (Ironique) (Rare) Qui a des
    formes arrondies. Gros et gras

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  • oxymore
  • Du grec ancien ???µ????, oxymoros,  fin sous
    une apparence de niaiserie .
  • Nom commun
  • Singulier Pluriel oxymoreoxymore masculin
  • (Figure de style) Combinaison dans un même groupe
    syntaxique de deux notions contradictoires.
  • Une généreuse avarice est un exemple doxymore.
  • Exemple littéraire doxymore Cette obscure
    clarté qui tombe des étoilesEnfin, avec le flux
    nous fit voir trente voiles (Corneille, Le Cid,
    ACTE IV, Scène III)
  • Exemple de littérature moderne doxymore La
    lame lui mordrait la chair avec une froideur
    brûlante et les doigts mêmes qui la tenaient
    seraient coupés jusquà los.

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  • Palindrome
  • Le palindrome (substantif masculin), du grec
    p???? / pálin ( en arrière ) et d??µ?? / drómos
    ( course ) est une figure de style appelée
    aussi palindrome de lettres, c'est-à-dire un
    texte ou un mot dont l'ordre des symboles
    (lettres, chiffres, etc) reste le même qu'on le
    lise de gauche à droite ou de droite à gauche
    comme dans l'expression  Ésope reste ici et se
    repose. .
  • Le palindrome appartient aux jeux de mots comme
    l'anagramme, l'ambigramme ou l'anacyclique.
  • Les mots palindromes sont parfois nommés
     palindromes naturels , bien que cette
    appellation ne convienne pas aux langues
    agglutinantes (Gnutötung en allemand). Par
    exemple, les noms communs radar, rotor ou kayak,
    le verbe ressasser. Les mots palindromes peuvent
    également être des noms propres comme les prénoms
    Neven, Ève, Hannah et Otto, les villes de Sées,
    Noyon, Laval ou Senones, le groupe de musique
    ABBA. On peut également citer comme exemple une
    langue indienne, le malayalam, parlé dans l'État
    de Kerala.

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  • Acrostiche
  • Un acrostiche (substantif masculin), du grec
    akrostikhos (akros"haut, élevé" et stichos, le
    vers), est un poème fondé sur une figure de style
    consistant en ce que les initiales de chaque
    vers, lues verticalement de haut en bas,
    composent un mot ou une expression se rapportant
    au sujet du poème. Il existe trois sortes
    d'acrostiches en réalité. Si l'acrostiche est un
    type de poème, il repose avant tout sur une
    opération de transformation graphique donc sur
    une figure de style.
  • Correspondance de Musset et Sand
  • Alfred de Musset aurait envoyé à George Sand ce
    poème, dont l'autenticité n'a cependant jamais
    été prouvée .
  • Quand je mets à vos pieds un éternel
    hommageVoulez-vous qu'un instant je change de
    visage ?Vous avez capturé les sentiments d'un
    cœurQue pour vous adorer forma le Créateur.Je
    vous chéris, amour, et ma plume en délireCouche
    sur le papier ce que je n'ose dire.Avec soin, de
    mes vers lisez les premiers motsVous saurez quel
    remède apporter à mes maux.
  • George Sand répondit Cette insigne faveur que
    votre cœur réclameNuit à ma renommée et répugne
    à mon âme.

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  • Hédonisme  
  • PhilosophieDoctrine qui prend pour principe de
    la morale la recherche du plaisir.   n. et adj.
    HÉDONISTE
  • Concupiscence
  • La concupiscence est un terme qui désigne, dans
    la théologie chrétienne, le penchant à jouir des
    biens terrestres soit, de manière plus générale,
    le désir des plaisirs sensuels, assimilant la
    concupiscence au  foyer du péché 
    (concupiscentiam vel fomitem). La concupiscence
    est parfois confondue avec la seule libido
    freudienne, c'est-à-dire la forme primitive du
    désir sexuel.

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  • Omniscience
  • L'Omniscience est la capacité de tout savoir
    infiniment, ou de manière plus restrictive, tout
    ce qui peut être connu sur un sujet quelconque,
    et notamment dans le cas d'une personne de
    connaître intégralement ses pensées et
    sentiments.
  • Dans les religions monothésistes, cette faculté
    est typiquement attribuée à Dieu.

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Logorrhée
Une logorrhée (de logo-, la parole et de
-rrhée, tiré du grec rheî, couler ) est un
flux de paroles inutiles. La logorrhée recouvre
un besoin fort de parler, souvent de façon
incohérente, généralement avec un débit rapide et
continu. Elle recouvre aussi par extension un
langage verbeux et peu compréhensible qui couvre
des banalités, des incohérences ou contrevérités,
ou un manque d'argumentation claire. On la nomme
aussi diarrhée verbale ou incontinence verbale
un nom qui ne le qualifie certes pas voire, en
langage populaire, blabla. Ce flux de paroles
sans le moindre sens peut parfois être dû à
l'emprise de l'alcool. Il faut se garder de dire
logorrhée verbale , qui serait un pléonasme
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Noyer le poisson
Cette expression est apparue au XXe siècle et
signifie que l'on embrouille quelqu'un afin de
lui faire céder, ou bien lui faire oublier
quelque chose. Il s'agit d'une référence à une
technique de pêche, qui d'après Alain Rey, serait
utilisée dans son sens actuel depuis 1932, et
consisterait "à épuiser le poisson ferré en lui
élevant par moments, la tête hors de
l'eau". Certains diront que les hommes politiques
sont très forts pour utiliser cette technique,
lorsqu'ils sont confrontés à des questions ou
situations embarrassantes.
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Heureux comme un poisson dans l'eau Il est clair
que si vous sortez un poisson de l'eau, vous
constaterez vite qu'il n'est pas à son aise et
"reste muet comme une carpe" ... alors que si
vous le regardez dans une eau claire, en train de
nager, il vous semblera bien dans son élément.
Peut être simplement parce qu'il y est, comme
nous le sommes, à l'air libre. Cette constatation
facile à faire, a donné naissance à l'expression
sous sa forme actuelle, au XVIIe siècle, mais
auparavant, il avait existé "sain comme un
poisson en l'eau".
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Faire des yeux de merlan frit Cette expression
qui date du XVIIIe siècle était , à l'origine,
employée sous une autre forme "faire des yeux
de carpe pâmée" et ceci, pour qualifier les
regards que se lançaient les jeunes
amoureux. Pourquoi est on passé de la carpe au
merlan ? Voilà une bonne question !! et je n'ai
pas trouvé de réponse c'est toujours un mystère
! En tout cas, de nos jours, on l'emploie pour
désigner une expression un peu niaise et plus
question d'amour ! dommage
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C'est une autre paire de manches ! L'expression
date de 1611 et fait allusion aux demi-manches
amovibles qui protégeaient les bras, du coude au
poignet, au Moyen Age. A cette époque, on
changeait les manches de son vêtement, en
fonction de son activité ou de l'allure que l'on
voulait avoir ainsi on changeait de tenue à
moindre frais. Il aurait existé une tradition
médiévale qui consistait dans le fait que les
dames remettaient, en signe d'attachement, leurs
manches à leurs soupirants, qui les arboraient
alors à leurs lances ou à leurs écus, lors des
tournois.
Actuellement, cette expression s'utilise pour
signifier que l'on va s'engager dans quelque
chose de difficile, où il faudra faire preuve de
détermination, jugement et finesse, pour
atteindre le but recherché. On change donc de
manches pour s'atteler à une nouvelle activité
! L'expression a été mise au goût du jour,
puisque de nos jours les chemises sont d'une
seule pièce, et on ne peut changer de manches,
mais pour entreprendre un dur labeur, on se
"remonte les manches
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Faire poireauter 107 ans
"Bon, tu te dépêches oui ? Je vais pas poireauter
107 ans !" Cette expression signifie bien sûr
attendre très longtemps. Mais pourquoi
utilise-t-on le nombre 107, et pas 52 ou 406 ans ?
En fait, il semblerait que la construction de la
cathédrale Notre-Dame de Paris ait duré 107 ans,
et de là viendrait cette expression. Quant à
poireauter ou "faire le poireau", il faut savoir
qu'au milieu du XIXe siècle, l'expression était
en réalité "planter son poireau". Elle provenait
sans doute de la locution "rester planté", qui
sous-entend l'immobilité et l'inactivité. "Faire
le poireau" signifie que l'on reste droit et
immobile à attendre longuement..
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Mettre les pieds dans le plat
Au XIXe siècle, un "plat" était une vaste étendue
d'eaux basses. "Mettre les pieds dans le plat"
est à rapprocher de "faire une gaffe" ou
"gaffer". En effet, ce verbe signifiait en
provençal "patauger dans la boue", autrement dit
"dans les eaux basses".
Le fond d'un plat, au sens défini précédemment,
est souvent boueux et vient troubler la clarté de
l'eau lorsqu'on y met les pieds. C'est à ce
phénomène que se réfère l'expression, qui
signifie qu'une personne aborde maladroitement un
sujet à éviter et qu'elle continue à en parler
longuement, semant ainsi le malaise chez son
auditoire. On l'utilise plutôt comme "agir sans
aucune discrétion".
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Rater le coche Au XVIIe et au XVIIIe siècles, les
"coches" étaient des moyens de transport fluviaux
dont les départs et les arrêts dépendaient
d'horaires précis.
Le coche d'eau était le moyen de transport le
plus utilisé. Cependant, emprunter ce type
d'embarcation restait une aventure.
Aujourd'hui, "rater le coche" signifie que l'on
rate une bonne occasion de vivre un événement
particulier et qui aurait pu être palpitant ou
fructueux
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Pleurer comme une madeleine !
Cette expression est une référence à la
Bible. Voici ci-après ce qui y est dit. C'est
l'histoire de Marie, de la ville de Magdala, plus
tard, nommée Marie-Madeleine. Une dame
pécheresse, brûlée d'amour !
Cette femme ancienne prostituée, se présenta à
Jésus lorsqu'elle apprit qu'il était à Magdala.
Elle se mit à ses pieds, les arrosant de ses
larmes et de parfums, tout en les séchant avec
ses cheveux tout en lui confessant ses péchés.
Jésus lui pardonna et Marie Madeleine devint sa
plus fidèle disciple. Lors de sa résurrection,
c'est à elle que le Christ se présenta en
premier. Aujourd'hui, lorsqu'on dit d'une
personne, "qu'elle pleure comme une madeleine"
c'es pour dire que ses pleurs sont excessifs ou
non justifiés. Rien à voir avec notre
traditionnel petit gâteau lorrain, qui nous
régale et pourrait juste nous tirer une larme de
plaisir ....
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L'oeil de Moscou
Il s'agit d'un reliquat de la guerre froide,
quand le monde était divisé entre deux pôles
capitaliste et communiste. A l'époque, l'oeil de
Moscou désignait le KGB, le service soviétique de
renseignements de sinistre mémoire, toujours à
l'affût des moindres faits et gestes des
citoyens. Depuis l'expression est restée pour
désigner toute surveillance étroite, voire
illégale.
26
FIN
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