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ECOLE ET PATHOLOGIE DE DEVELOPPEMENT

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Troubles du langage Pathologies Associ es ... Les dyspraxies Les troubles d acquisition de la coordination motrice Les dysgraphies L infirmit motrice ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: ECOLE ET PATHOLOGIE DE DEVELOPPEMENT


1
ECOLE ET PATHOLOGIE DU DEVELOPPEMENT
Dr Jean Xavier Praticien hospitalier Service
de Psychiatrie de lenfant et de ladolescent du
Pr. David Cohen
CHU Pitié-Salpétrière
2
  • 1. généralités
  • 2. le clinicien et les troubles des
    apprentissages
  • 3. La phobie scolaire ou refus scolaire anxieux
  • 4. une manifestation névrotique à ne pas
    négliger l'inhibition.
  • 5. Vers une approche dimensionnelle du sujet
  • 6. La scolarité et ses aménagements

3
2. le clinicien et les troubles des
apprentissages
  • Les troubles du langage
  • Les troubles de la motricité fine

4
Les troubles du langageQuel public pour le
psychiatre ?
  • Les TED
  • Les dysharmonies (Multiplex Dev Dis)
  • Les IMC
  • Les retards mentaux
  • Les maladies du développement
  • Les dysphasies
  • Les retards de parole
  • Les troubles de larticulation
  • Les retards simples de langage
  • Les dyslexies
  • Les dysgraphies

Le THDA Linhibition psychologique La dépression
de lenfant Les pathologies fonctionnelles
Spécifiques
Intégrés
Associés
Premières consultations entre 4 et 8 ans
5
Les troubles du langageQuelles intrications
cliniques ?
- Autismes - Tbles du dévt
Pathologies Associées Primaires
- Dysphasies - Dyslexies
Troubles du langage
- Dépression - Inhibition - HADA - Évitant
Pathologies Secondaires Comorbides
Spécifique ? Isolé
6
Les troubles de la motricité finesQuel public
pour le psychiatre ?
  • Les dyspraxies
  • Les troubles dacquisition de la coordination
    motrice
  • Les dysgraphies
  • Linfirmité motrice cérébrale
  • Le retard simple de développement moteur
  • Les TED
  • Les dysharmonies
  • Les MDD
  • Le DAMP
  • Les RM
  • Les autres troubles du développement (multi-dys)

Le THDA Linhibition et les troubles anxieux La
dépression de lenfant Léchec scolaire Les
pathologies fonctionnelles Les TOP
Spécifiques
Intégrés
Associés
7
La dyscalculie
  • Echec de lapprentissage des premiers éléments du
    calcul, échec dans la capacité de manier un petit
    nombre de manière adéquate.
  • Syndrome développemental de Gerstman
  • Agnosie digitale difficulté motrice et de
    reconnaissance des doigts, comptage difficile
  • Dysgraphie,
  • Dyscalculie
  • Confusion droite gauche
  • Dyspraxie constructive.
  • ( Constellation rencontrée chez ladulte dans les
    atteintes pariétales gauches)
  • Plus fréquemment, est retrouvée lassociation
    dune dyscalculie, dune dysgnosie digitale,
    apraxie constructive.

8
La notion de dysharmonie
  • Nécessité dune vision développementale
    dimensionnelle et intégrative.
  • Concept est utilisé par A. Freud dysharmonies
    entre les lignes de développement.
  • Décalage entre le Développement de la de
    motricité, du langage ou cognition, ou au sein
    dune même dimension.
  • dysharmonie relative à dimension  affective  et
    au regard des autres dimension.
  • Risque restriction des possibilités
    dinvestissement et dévolution et organisations
    irréversibles.

9
Dysharmonies évolutives
  • troubles à symptomatologie variable et dont
    les traits et mécanismes caractéristiques
    s'inscrivent dans une perturbation évolutive
    multi-factorielle d'instauration précoce,
    toujours avant six ans, qui entraîne un
    développement dysharmonique.Les troubles du
    langage, de la psychomotricité, des fonctions
    cognitives se présentent principalement comme des
    dysharmonies fonctionnelles en rapport avec des
    défauts d'investissement, des insuffisances
    d'apprentissage, des modes d'échanges inadaptés
    avec l'environnement mais ils peuvent
    progressivement conduire à une restriction
    durable des potentialités.

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Critères dune délimitation nosographique
  • Lévolutivité 
  • conjonction de plusieurs mécanismes dordre,
    névrotique psychotique, ou psychopathiques avec
    une organisation en  mosaïque .
  • Même si lon nomme le mécanisme prépondérant il y
    a une prise de distance par rapport à des traits
    structuraux et possibilité dune évaluation
    pronostique moins péjorative.
  • 1. Les dysharmonies à versant névrotique
  • caractérisées par une anxiété patente, des
    manifestations de type phobiques, obsessionnelle
    ou hystérique, ou à type dinhibition avec
    conduites déchecs, asthénie et apathie
  • 2. Les dysharmonies à versant psychotique

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Les Dysharmonies évolutives de versant
psychotique
  • Terme proposé par Misès en 1967, nexiste que
    dans la CFTMEA
  • Expression manifeste à partir de l'âge de 3 à 4
    ans
  • Symptomatologie variable d'un cas à l'autre et
    pour le même enfant, et se modifie en cours
    d'évolution. Manifestations somatiques ou
    comportementales, instabilité, inhibitions
    sévères, manifestations phobiques, hystériques ou
    obsessionnelles, et dysharmonies dans l'émergence
    du langage et de la psychomotricité sans que le
    déficit intellectuel mesuré aux tests occupe une
    place centrale, au moins dans la période
    initiale. Les échecs dans les essais de
    scolarisation sont fréquents (phobies scolaires,
    difficultés d'apprentissage).
  • Traits et mécanismes de la série psychotique
  • capacités d'adaptation et de contrôle protégeant
    contre les risques de désorganisation. Les modes
    d'expression pathologique peuvent être limités à
    certains domaines ou ne se manifester ouvertement
    que dans certaines phases évolutives. Cette
    adaptation repose toutefois sur la mise en oeuvre
    de modalités contraignantes impliquant des
    restrictions notables dans les échanges avec
    autrui.

12
Les traits et mécanismes de la série psychotique
  • - menace de rupture avec le réel, absence ou
    mauvaise organisation du sentiment de soi et des
    rapports avec la réalité - tendance au
    débordement de la pensée par des affects et des
    représentations d'une extrême crudité -
    angoisses de divers types angoisses de
    néantisation, angoisses dépressives et de
    séparation, parfois attaques de panique -
    Dominante d'une relation duelle avec incapacité
    d'accès aux conflits et aux modes
    d'identification les plus évoluésprédominance
    de positions et d'intérêts très primitifs.

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Dans le cas de la Dysharmonie psychotique
  • Variabilité dun cas à lautre et dans
    lévolution dun même enfant. Les manifestations
    cliniques peuvent être différentes selon les
    moments en fonction de son état psychique et de
    ses capacités dadaptation et de contrôle.
  • Présupposé psychopathologique trouble majeur de
    lorganisation de la personnalité affectant
    lidentité du sujet et ses rapports avec la
    réalité et notamment son sentiment de soi.
  • Pour en revenir à lévaluation stricte dun
    trouble du déroulement harmonieux du
    développement, dans une visée purement
    descriptive

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Critères de diagnostic des TCMD
  • Régulation de létat affectif et de lanxiété
    altérée au-delà de ce qui est observé chez des
    enfants dâge comparables, et se manifeste par
    plusieurs des comportements suivants
  • - anxiété ou tension intense et généralisée
  • - peurs et phobies (souvent inhabituelles et
    singulières)
  • - épisodes de panique récurrents ou anxiété
    submergeant le sujet
  • - épisodes de désorganisation du comportement
    ponctués par des conduites nettement immatures,
    primitives, ou violentes
  • - variabilité émotionnelle étendue et
    significative avec ou sans causes
    environnementales
  • - fréquentes réactions danxiété
    idiosyncrasiques ou bizarres.
  • Comportement / sensibilité social(e) constamment
    altéré(e), se manifestant part différents
    troubles
  • - désintérêt social, détachement, évitement,
    ou repli sur soi, en dépit de compétences
    évidentes
  • - relations avec les pairs fortement altérées
  • - troubles marqués des liens affectifs degré
    important dambivalence vis-à-vis des adultes

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TCMD (suite)
  • - limitations profondes des capacités
    dempathie ou de la compréhension exacte des
    affects dautrui.
  • Altération du processus cognitif ( trouble de la
    pensée), se manifestant par certaines des
    difficultés suivantes
  • - irrationnalité, intrusions soudaines dans
    le processus de pensée normal, pensées magiques,
    néologismes ou répétitions de mot dénués de sens,
    pensées décousues, idées bizarres et dun
    illogisme flagrant
  • - incapacité à distinguer réalité et vie
    intérieure imaginaire
  • - perplexité et confusion (troubles de la
    compréhension des processus sociaux ou difficulté
    à garder ses pensées organisées)
  • - illusions, idées prédominantes comprenant
    des fantasmes domnipotence, des préoccupations
    paranoïdes, un hyper investissement de
    personnages imaginaires, des fantasmes de
    grandiosité et de pouvoirs exceptionnels, et une
    idéation réferentielle.
  • Le syndrome apparaît des les premières années de
    la vie
  • Lenfant nest ni autiste ni schizophrène.

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Evolution des DP/ TCMD
  • Fonctionnement quasi normal
  • Persistance de troubles anxieux et des troubles
    des interactions sociales.
  • A lage adulte évolution vers des pathologies
    limites, des troubles de lhumeur ou une
    schizophrénie.

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LES PHOBIES SCOLAIRESDEFINITIONS
  • Phobie scolaire concerne des enfants  qui pour
    des raisons irrationnelles refusent daller à
    lécole et résistent avec des réactions danxiété
    très vives ou de panique quand on essaie de les y
    forcer 
  • Phobie scolaire ? Refus scolaire

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LES PHOBIES SCOLAIRESLES DONNEES DE
LEPIDEMIOLOGIE
  • Prévalence ?? 1
  • Sexe ratio ? 1, même si jusqu à présent plus de
    garçons
  • Age de début Deux pics
  • 5 - 7 ans et lentrée à l école
  • 10 - 11 ans et lentrée au collège

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LES PHOBIES SCOLAIRESLA PRESENTATION CLINIQUE (1)
Début brutal ou rapidement progressif parfois gt
événement
La réaction phobique aiguë angoisse aiguë
lors de la confrontation à la situation
scolaire - avec apaisement lors de la
contrainte - au contraire crise de panique si
contrainte
LEVITEMENT SCOLAIRE est constant
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LES PHOBIES SCOLAIRESLA PRESENTATION CLINIQUE (2)
Plaintes somatiques chez le jeune enfant
Éléments névrotiques TOC, anxiété de
séparation, phobie sociale, culpabilité ...
Troubles du comportement plus souvent intra
familiaux enfants coléreux, exigeants voire
tyranniques
Rationalisations secondaires
Absence de refus du travail scolaire
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LES PHOBIES SCOLAIRESLA PRESENTATION CLINIQUE (3)
Chez l adolescent, on retrouve volontiers
Une dépression (désinvestissement, tristesse,
dévalorisation, clinophilie, idées noires)
ou
Des conduites agies (errance, fugues)
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LES PHOBIES SCOLAIRESLE CONTEXTE FAMILIAL ET LES
ATCDs
Intelligence normale
Tous les niveaux socio-économiques
Contexte familial - Monoparental, père absent -
Difficultés à assumer son rôle parental et à
sadaptater aux changements - Pathologies
psychiatriques - Difficultés à la séparation ou
ruptures
ATCD - Anxiété de séparation - Énurésie, troubles
fonctionnels du nourrisson - Petites difficultés
scolaires, absentéisme
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LES PHOBIES SCOLAIRESLETIOPATHOGENIE (1)
Plus lenfant est jeune, plus la problématique de
langoisse de séparation est au 1er plan Il
existe un conflit autour de la séparation et
de lautonomisation de lenfant par rapport à la
mère Le trouble permet le maintien du lien
infantile
Peut-on appliquer ce modèle théorique à
ladolescence ? Oui et non. Oui, si ce trouble
de PS succède à des antécédents infantiles
dangoisse de séparation pathologique et à
dautres manifestations dangoisse associées
au refus scolaire.
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LES PHOBIES SCOLAIRESLETIOPATHOGENIE (2)
Non, dans le cas de phobie scolaire isolée
Ladolescence offre ses propres exigences et ses
lignes de tension intra-psychiques avec en
particulier le nécessaire désengagement du lien
aux objets parentaux et la qualité des relation
aux pairs
Rôle non négligeable de la pression sociale Au
Japon, près de 70 des demandes de consultation
le sont pour phobie scolaire dans certains centres
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LES PHOBIES SCOLAIRESLA PRISE EN CHARGE
  • La demande thérapeutique est souvent limitée aux
    symptômes
  • La dimension anxio-dépressive est souvent laxe
    qui permet de proposer des soins
  • La prise en charge est souvent décevante,
    émaillée de ruptures thérapeutiques, dès quon
    évoque lidée dune psychothérapie individuelle,
  • ou des aménagements du cadre de vie (internat) ou
    encore une approche familiale.

Plus la reprise scolaire est rapide, meilleur est
le pronostic
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Inhibition
  • Manifestation dordre névrotique fréquente chez
    lenfant ou ladolescent
  • Motif fréquent de CS entre 8 et 12 ans
    retentissement scolaire
  • 3 secteurs potentiellement atteints
  • Inhibition intellectuelle
  • Inhibition à fantasmer
  • Inhibition relationnelle ( comportementale )
  • Secteurs potentiellement associés, parfois
    indépendants

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  • Inhibition intellectuelle
  • Activité cognitive, bêtise névrotique
  • Inhibition à fantasmer
  • Conformisme
  • Inhibition relationnelle ou externalisée
  •  Timidité 
  • Apparition dans lenfance ou préadolescence, avec
    renforcement à ladolescence.

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Inhibition intellectuelle
  • Difficulté ressentie devant le travail scolaire
  • Allure de  pseudo débilité 
  • Difficulté à être en rivalité, en compétition
    avec lun de ses parents ou dépasser le niveau
    scolaire quils avaient atteints.
  • Elle se distingue du désinvestissement scolaire
    car
  • Désir de poursuite des études et parfois travail
    acharné mais sans résultat
  • Domine le sentiment dincapacité
  • Parfois refus ou mépris apparent et affiché pour
    le travail qui masque linhibition sous-jacente

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  • risque déchec scolaire surtout dans le
    secondaire. Attention aux réorientation scolaire
    trop hâtives
  • Possible association avec autres manifestations
    névrotiques
  • Obsessionnelles (méticulosité de préparation)
  • Conduite phobiques (évitement)

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Inhibition à fantasmer
  • Difficulté à développer au sein de son
    fonctionnement psychique une aire de rêverie et
    de fantaisie
  • Inhibition à rêver, fantasmer, imaginer
  • Pauvreté et conformisme du jeu, recopiage préféré
    à la création avec graphisme mal assuré. 
  • Evolution
  • Effondrements subits après longues périodes de
    normalité superficielles
  • Maintien de relation de cette attitude
    conformiste avec maintien de relation de type
    infantile avec les images parentales

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Inhibition relationnelle
  • Inhibition portant sur les modalités
    relationnelles de lenfant avec son environnement
  • Timidité excessive souvent vie fantasmatique
    riche sous-jacente
  • Enfant calme, soumis, parfois isolé et refusant
    les activités de groupe.
  • Parfois contraste avec la vie familiale où il
    peut se montrer au contraire autoritaire
  • avec au maximum tableau de mutisme
    extrafamilial.
  • Lado craint que ses fantaisies/fantasmes soient
    découverts ou devinés par lautre.
  • Manifestations corporelles et posturales de
    linhibition.
  • Retentissement entrave à linsertion sociale

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Vers une approche dimensionnelledu sujet pour
une meilleure prise en charge (3)
Psycho Moteur
Social
Organique
Familial
SUJET
Psychodynamique
Cognitive
Clinique
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La scolarité et ses aménagements
  • A l'école élementaire CLIS et Rased
  • Dans le secondaire UPI et SEGPA
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