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Title: Diapositive 1


1
ECOLE GOUTELAS 2006
Sommaire Définition de RD RT des
projets Diversité et richesse de la
RD Positionnement par rapport aux
projets Types de programmation
initiative Valorisation transfert de
technologie Thématiques Mise en uvre et suivi
de la RD Evolution depuis 1998 Moteurs de la
RD Agences Grands projets Structures Interd
isciplinarité
28 Septermbre 2006 Jean Pierre Picat
2
ECOLE GOUTELAS 2006
Sommaire suite RD dans les laboratoires retour
denquête Prospective Elaboration dun plan
stratégique Idées sur un groupe de
suivi Valorisation Présentation CNRS Données
de la DAE Protection et communication Structures

28 Septermbre 2006 Jean Pierre Picat
3
RD et RT De quoi parle-t-on? Distinction non
évidente RT au CNES souvent RD à
lINSU Actions plus proches des développements
à lINSU, plus amont au CNES. Tentative de
définition donnée à La Colle sur Loup RD
actions permettant de faire émerger de nouveaux
programmes ou de résoudre des points durs
identifiés à diverses étapes de ces projets
le D est la finalité, contraintes liées à
la programmation des projets. Actions menées au
sein des équipes techniques des laboratoires ou
des agences de moyens (CNES, ONERA, INSU, ESA,
etc.) mais aussi industrielles suivies par ces
équipes techniques RT actions technologiques
et industrielles pour la mise en oeuvre dune
RD. recherches a priori plus fondamentales ou
innovantes, souvent moins contraintes par les
aspects purement programmatiques que la
RD. pouvant conduire à des transferts de
technologie. RD publique (recherche
académique ) et RD privée, mêlées au niveau
de l'INSU
4
Diversité et Richesse de la RD (1) La RD est
un sujet complexe à gérer, diversité de son
contexte diversité des moyens richesse en
terme d'innovation et d'incitation - RD en
amont des projets ou hors projets Suscitées
par des idées scientifiques (CMB),
5
2. Le Fond Cosmologique Micro-onde (FCM)
COBE (1989) T(2.7280.004)K ?T/T10-5 à 7
WMAP (2002)
6
(No Transcript)
7
(No Transcript)
8
(No Transcript)
9
(No Transcript)
10
Collaboration DCMB
  • Accord de coopération de différents laboratoires
    en France (objectifs/moyens différents)
  • RD soutenue par le programme Astroparticule du
    CNRS et par le CNES
  • Objectif dobtenir un ensemble cohérent de moyens
    et de compétences pour le développement de
    matrices de bolomètres refroidis
    (microfabrication)
  • Deux filiaires pour des bolomètres composites
  • Haute impédance (NbSi)
  • Supraconducteurs (TES) (NbSi ?)

11
Diversité et Richesse de la RD (1) - RD en
amont des projets ou hors projets Suscitées
par des idées scientifiques (illustration
CMB), anticipation des évolutions
techniques et des besoins technologiques Ex
Micro-Technologies, micro-systèmes Technologies
de linformation Nano-technologies Lippman 
intérêt idée profitant de nouvelles
technologies, savoir faire, collaborations,
soutien du CNES
12
Superconducting Single Photon Detectors
(SSPD). RD sur Systèmes supraconducteurs de
comptage de photons sensibles depuis lUV jusquà
linfrarouge moyen. Développé par le LAOG avec
le CEA de Grenoble et le Laboratoire de
Spectrométrie Physique de Grenoble Microcircuit
, microélectronique
photography of a SSPD meander fabricated at the
CEA-Grenoble. The width of the stripes and the
distance between them are 150 nm. Courtesy of
CEA-Grenoble/DRFMC/LCP (Jean-Claude Villégier).
13
Développement dun spectrographe miniature
intégré en utilisant leffet Lippman permettant
la photographie en couleur Quand une onde se
réfléchit sur un miroir, il apparaît une onde
stationnaire perpendiculmaire au miroir et un
interférogramme qui peut etre enregistrée sur une
plaque photographique. (1894) Le développement
précédent peut être utilisé pour enregistrer de
façon numérique cet interférogramme en utilisant
les SSPD La résolution dépend du nombre de
détecteurs Possibilité de construire des
mosaiques de spectrographes. A donné lieu à un
brevet Techniques de microélectronique (depôts
epitaxiques, bombardement protonique) Applicatio
ns pour la spectrographie rapide ,
télécommunications, médecine Collaboration avec
le CEA de Grenoble soutenu par le CNES .
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Diversité et Richesse de la RD (1) - RD en
amont des projets ou hors projets Suscitées
par des idées scientifiques (illustration CMB),
anticipation des évolutions techniques et des
besoins technologiques Ex Micro-Technologies,
micro-systèmes Technologies de linformation
Nano-technologies Lippman  intérêt idée
profitant de nouvelles technologies, savoir
faire, collaborations, soutien du CNES axes
prospectifs nouveaux, programmation libre - RD
amont à des programmes non acceptés par les
agences. MAX  optique GAMMA, détecteur GAMMA
(classique ou évolution de produit développé dans
un autre contexte) programmation contrainte
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(No Transcript)
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(No Transcript)
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(No Transcript)
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(No Transcript)
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Diversité et Richesse de la RD (1) - RD en
amont des projets ou hors projets Suscitées
par des idées scientifiques (illustration CMB),
anticipation des évolutions techniques et des
besoins technologiques Ex Micro-Technologies,
micro-systèmes Technologies de linformation
Nano-technologies Lippman  intérêt idée
profitant de nouvelles technologies, savoir
faire, collaborations, soutien du CNES axes
prospectifs nouveaux, programmation libre - RD
amont à des programmes non acceptés par les
agences. Ex MAX  optique X, détecteur X
(classique ou évolution de produit développé dans
un autre contexte) programmation
contrainte RD durant le développement de
programmes acceptés résoudre les difficultés
identifiés lors des études de phase A, voire
ultérieurement gestion des coûts MUSE  
concept optique validé, approche technique, type
de matériau, précision, possibilité de
duplication (24)
20
Structure
21
(No Transcript)
22
Challenge Innovation
  • Challenge
  • Atteindre une grande efficacité (poses de 80h)
  • Atteindre une grande résolution spatiale (gain)
  • Atteindre une grande stabilité
  • Garder le contrôle des coûts (24 éléments
    dupliqués)
  • Innovation
  • Slicer concept avancé méthode de fabrication
    Spectrograph concept nouveau adapté à
    réalisation industrielle
  • Grating Réseau holographique large bande
  • AO correction couche sol

23
Diversité et Richesse de la RD (1) - RD en
amont des projets ou hors projets Suscitées
par des idées scientifiques (illustration CMB),
anticipation des évolutions techniques et des
besoins technologiques Ex Micro-Technologies,
micro-systèmes Technologies de linformation
Nano-technologies Lippman  intérêt idée
profitant de nouvelles technologies, savoir
faire, collaborations, soutien du CNES axes
prospectifs nouveaux, programmation libre - RD
amont à des programmes non acceptés par les
agences. Ex MAX  optique X, détecteur X
(classique ou évolution de produit développé dans
un autre contexte) programmation
contrainte RD durant le développement de
programmes acceptés résoudre les difficultés
identifiés lors des études de phase A, voire
ultérieurement gestion des coûts MUSE  
concept optique validé, approche technique, type
de matériau, précision, possibilité de
duplication (24) poids des agences,
calendrier RD de démonstration validation
dun concept instrumental original FALCON
24
(No Transcript)
25
Image quality requirements
Distant galaxies are small and low surface
brightness sources! 3D spectroscopy at Rgt 3000
?
0.2  FWHM  arcsec (8 m) or 0.06  FWHM 
arcsec ( 30m)  0.02  FWHM  arcsec ( 100m) ?
need to concentrate the light!
26
AO system
(from Assemat PhD thesis)
  • Tomography
  • Measures of the wavefront from several
  • off-axis GS.
  • Computation of the on-axis wavefront
  • in the pupil ( 4 sq arcsec)
  • Key point reconstruction matrix
  • Optimal reconstruction matrix
  • works even with GS located at a distance of
    1.5 arcmin.
  • Requirements
  • Knowledge of turbulence profile noise on GS.
  • Absolute phase measurements.

Layer 2
Layer 1
Ground Layer
Known perturbation
Unknown perturbation
27
Axes de RD (1)
  • fibres optiques adaptées optimisation dans
    lIR, ?c50-60 µm, maintien et usinage
  • boucle de contrôle de lensemble
  • Ensemble en boucle  pseudo-ouverte 
  • nouveauté en O.A. quelle calibration ? (absolue
    gt cf. analyse du f.o.).

28
(No Transcript)
29
Diversité et Richesse de la RD (1) Illustration
par le résultat dune enquête menée au près des
labos en 2005. vision RD des
labos résultats bruts indictifs Contexte de la
RT moitié des actions liées à des
projets décidés ou en cours, une moitié pour
des actions de RT soit non rattachées à des
projets, soit à des projets possibles. En
nombre dactions, pas en importance
30
Diversité et Richesse de la RD (2) Types de
programmation "Top Down " Appels doffres
formel par un organisme extérieur Mode de
fonctionnement des grandes agences, CNES ou
ESA Le laboratoire répond, lorganisme établit
ses priorités et finance RD structurée
objectifs à atteindre, planification dans le
temps, coût, "Bottom-Up "  émergeant
spontanément des laboratoires réponse à une
offre libre faite par un organisme (CNES ou
lINSU). Le laboratoire répond sur la base des
savoir-faire technologiques quil possède .
Le décideur est lorganisme qui finance les
actions de RD quil sélectionne Offres
 spontanées , Le laboratoire décide de lancer
une action de RD quil finance sur ses propres
ressources. place aux idées porteuses
dinnovations technologiques
31
Diversité et Richesse de la RD (3) Ressources
très diversifiées Mesures de choix et
d'accompagnement très différentes en terme
de ressources humaines et budgets,
partenariats contributions, nature. Ligne
RD de l'INSU faible, au niveau des matériels, en
comparaison aux budgets des agences ou de
l'Europe Risque, dêtre perçue comme un
complément aux engagements pris par ailleurs
? Nécessité d'une politique de RD
volontaire L'INSU fonctionne sans appel d'offre
réel ? difficulté de mener une vraie
politique ? Contexte RD plus large que
programmes ? Plus grande ouverture vers
innovation
32
Diversité et Richesse de la RD (4) La RD
source de valeur ajoutée (valorisation) -
Propositions instrumentales aux agences.
Importance des actions de RD menées en amont
dans le cadre de la politique des agences qui
tendent à lancer des projets courts -
Possibilités de transfert technologique vers des
projets industriels ou dautres secteurs il.
33
PUEO  hibou à la vision acéréeThe CFHT Adaptive
Optics Bonnette
Probing the Universe with Enhanced Optics.
34
(No Transcript)
35
(No Transcript)
36
Ladjonction de lOA permet de compenser les
aberrations géométriques de lil donc de
restaurer la résolution latérale. examen au
travers dune pupille dilatée devient possible.
restauration de la cohérence des fronts
donde augmente le contraste interférométrique.
sensibilité de lexamen augmente
37
Diversité et Richesse de la RD (4) La RD
source de valeur ajoutée (valorisation) -
Propositions instrumentales aux agences.
Importance des actions de RD menées en amont
dans le cadre de la politique des agences qui
tendent à lancer des projets courts -
Possibilités de transfert technologique vers des
projets industriels ou dautres secteurs ex
il. - Formation des jeunes chercheurs et des
équipe techniques - Positionnement des
laboratoires au niveau national et
international  Valorisation par les résultats
scientifiques publiés
38
Diversité et Richesse de la RD (5) Gérer la
Richesse thématique. Les actions de RD touchent
des domaines technologiques très variés, souvent
en évolution rapide, Comment regrouper les
actions RD pour en assurer la gestion Approche
longueur d'onde approches techniques
proches ou communes Hautes
énergies, particules, jusqu'aux gamma
Optique UV à l'infrarouge lointain
Radio Approche thématique et
générique HRA
Détecteurs Electronique et contrôle Composants
électronique, détecteurs, optique
Logiciels Grands équipements fédérateurs
ELT Recouvrements Grandes tendances
39
(No Transcript)
40
Spécialités
Thématiques
D'autres spécialités sont évoquées 1 gt18GHz 1 Arc
hivage de données 1 Bolométrie très basse
température (Tlt20mK) 1 chimie analytique 1 détécti
on hétérodyne 1 Lasers, stabilisation 2 MEMS 1 opt
ique electrostatique 1 stabilisation lasers
41
Domaines longueur donde
Autre atmosphere 1 lasers 1 moyen IR 1 plasma
atmosphere
Domaine technique
42
  • Prospective et suivi (1)
  • Point sur Politique RD, après Arcachon et
    Boussens
  • - Maintien, dans les laboratoires, d'une capacité
  • dinitiative technologiques et d'un excellent
  • niveau de RD,
  • - Mise en place, d'une ligne budgétaire RD,
  • - Maintien de postes sur des profils spécifiques
    RD
  • - Réflexion interdisciplinaire SDU, autres
    départements
  • - Organisation de deux ateliers dédiés
  • atelier d'Optique en (2001) état des lieux
  • atelier "Projets et R D en Radioastronomie" (
    2003) groupes de travail
  • - Rédaction dunPlan Stratégique 2000 Etat
    des lieux, programmes et labos

43
Prospective et suivi (2)
Contexte les moteurs de RD - Nouvelle
programmation du CNES et de l'ESA et affichage
dorientations RD (ex vol en formation,
microtechnologies)
44
(No Transcript)
45
Activité Recherche et Technologie du CNES
dans le cadre de lAgence Spatiale
Européenne à travers la contribution du CNES -
programmes obligatoires (comme le Technology
Research Programme) - programmefacultatifs
(GSTP, EOEP, ARTES, ), dans le cadre national
à travers les activités de RT menées
directement par le CNE Programme Pluriannuel de
Recherche et Technologie (PPRT). les contrats
avec industriels et organismes de recherche
scientifiques et technologiques. pôle de
compétitivité Aéronautique, Espace et Systèmes
Embarqués Programmes Cadres de lUnion
Européenne (6ème puis 7ème PCRD). Consultations
avec la communauté en accord avec les
orientations stratégiques du CNES. appel à
idées, réunions plénières, réunions de bilan et
de perspective en phase Lactivité conduite à
travers le PPRT pour couvrir les besoins de
recherche prospective et particulièrement
recherche des sauts technologiques possibles
préparation des projets futurs, amélioration
de la compétitivité des produits et des services
existants, développement de la capacité
dexpertise nationale.
46
(No Transcript)
47
(No Transcript)
48
ASTRONOMIE ASTROPHYSIQUE Le programme de RT
du CNES accompagne et soutien les laboratoires
scientifiques français dans lélaboration des
instruments pour les programmes dobservatoires
astronomiques du futur. - soutien dans la
recherche de détecteurs performants
travaillant dans les différentes gammes de
longueurs dondes Gamma, X, UV, IR, Submm
perspective des programmes XEUS (X-Ray
Evolving Universe Spectrometer 2015), et post
HERSCHEL/PLANCK (exploration astro dans le
domaine submillimétrique-), mm - développement
de lensemble des nouvelles techniques infrarouge
de détection interférométrique (optique intégrée,
recombinaison, filtrage, dispositifs
coronographiques, mise en cohérence, composants
optiques cryogéniques,). préparation de la
mission DARWIN (détection dexo-planètes),
49
(No Transcript)
50
(No Transcript)
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(No Transcript)
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(No Transcript)
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(No Transcript)
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(No Transcript)
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(No Transcript)
56
Prospective et suivi (2)
Contexte agences moteurs de RD - Nouvelle
programmation du CNES et de l'ESA et affichage
dorientations RD (ex vol en formation,
microtechnologies) visibilité permettant une
programmation daccompagnement - Emergence de
grands projets internationaux dans un cadre
européen (ELT, SKA, CONCORDIA, OV..) appel de
programmes RD accompagnement
57
  • Prospective et suivi (3)
  • Poids croissant de l'Europe
  • - FP6 (plusieurs JRA de OPTICON et RadioNet )
  • budgets pour lastronomie, de 9 M dans FP5, à
    80 M dans FP6
  • ? Organisation , ressources, mise en commun
  • - FP7 en construction moyens plus importants
    que FP6
  • Continuation et amélioration de lapproche
    bottom-up
  • Installation dune approche stratégique
  • Financements de programmes définis par les
    Plateformes Technologiques.

Perspectives ELT SKA
58
(No Transcript)
59
(No Transcript)
60
(No Transcript)
61
(No Transcript)
62
(No Transcript)
63
ELT La Design Study de lUE a débuté au 1/1/05,
la France participe aux études suivantes 
hypertélescopes spectro intégral de
champ instrument de type Planet Finder,
développé par lESO)  SCOWL (participation à
une caméra submm de type SCUBA). 3 industriels
français participent également Fogale Nanotech,
SESO et SAGEM Une fiche ESFRI retenue dans la
rubrique  Physics Astronomy . Actions de
RD - lames minces pour large DMs -
cophasage - expertise SiC - smart focal
planes, AO, detecteurs, etc Instrumentation
concepts, composants et expertise système. -
MOAO (Multi-Object Adaptive Optics). - AO haut
contraste - algorithmes pour OA Etude de site
64
RadioNet RD dans FP6 (I3) 3 JRAs ? AMSTAR
(Récepteurs Mm Submm) PHAROS (Réseau focal de
récepteurs phasés 0.5-10 GHz) ALBUS (Software de
calibration et de reconstruction dimages)
SKADS -RD instrumentale (ASIC, RFI)
-Modelling (en coordination avec le projet
HORIZON). FP7 cest presque demain
préparation Regroupement des demandes par
discipline (OPTICON RadioNet) ?? Renouveler
les programmes RD Continuation probable de
PHAROS et dAMSTAR. Liste de projets
concernent le hardware Amplificateurs,
Mélangeurs, Oscillateurs locaux, Récepteurs
hétérodynes intégrés, Détecteurs bolométriques
TES/SQUID, Grands réseaux de récepteurs focaux
(hétérodynes et bolométriques) lélectronique
digitale le software Identifier les
relations avec lindustrie européenne
65
(No Transcript)
66
(No Transcript)
67
  • Prospective et suivi (3) réformes de structure
  • - Emergence de structures fédératives
  • actions spécifiques (ASHRA, ASSNA, OV France)
    permettant de fédérer une thématique
    propositions
  • programmes interdisciplinaires (GdR JMMC,
    Programme Astroparticules, GdR AGRET, ...)
    mise en commun
  • Emergence de programmes scientifiques forts
  • ex recherche dexo-planètes, CMB. innovation
  • -Réforme du CNRS à voir comment
  • département ingenierie apports de
    plusieurs disciplines
  • multiappartenance
    décloisonnement,
  • régionalisation tissu industriel?
  • dynamiques régionales
    recherche et dinnovation,.

68
Prospective et suivi (3) réformes de
structure - Pôles de compétitivité -
Structuration des Relations Industrielles
GIS PHASE haute résolution angulaire GEPI,
LESIA et du Dota à lONERA PIA "Photonique
et Instrumentation Avancée" LAM, Institut
Fresnel, LP3 (Lumigny ) créé Octobre 2005
69
Résultats du deuxième appel à projets RD Le
Gouvernement annonce le financement de 68 projets
de recherche et développement issus de 39 pôles
de compétitivité, pour un financement par lEtat
de lordre de 80 M. Ces dossiers ont été
présentés lors du deuxième appel à projets
interministériel de 2006, clos le 15 mai dernier.
Les collectivités territoriales ont indiqué
leur intention de financer certains de ces
projets aux côtés de lEtat, à hauteur denviron
30 M. 18 projets présentent des spécificités
mieux adaptées au financement dOSEO-anvar (17)
et des collectivités locales (1), qui ont marqué
leur intérêt de principe. Ils seront présentés à
ces organismes pour une aide potentielle
denviron 16 M. En cumulé, les deux appels à
projets de 2006 et celui de 2005 ont permis de
soutenir 165 projets issus de 57 pôles de
compétitivité différents parmi les 66
labellisés. Un troisième appel à projets sera
lancé le 1er octobre prochain. Les projets
devront être présentés avant le 1er décembre
2006. 66 pôles labellisés Lenveloppe totale
dédiée au financement des pôles, en particulier
leurs projets de RD, sélève à un minimum de 1,5
milliard deuros sur 3 ans
70
Prospective et suivi (4) Interdisciplinarité
L'interdisciplinarité source de richesse
indispensable à la RD. Le CNRS une
vingtaine de programmes interdisciplinaires
Enveloppe annuelle de lordre de 20 millions
d'euros HT, (9 des moyens destinés aux
laboratoires) - vivant et ses enjeux sociaux,
l'information, la communication et la
connaissance, la Société de linformation -
l'environnement, l'énergie et le développement
durable, - nanosciences, nanotechnologies et
matériaux (6ème PCRD) . Programme National
Nanosciences mis en place en 2003. Pour l'INSU,
Programmes "Astroparticules" Aspect RD est
expressément mentionné dans les objectifs pour
préparer la génération ultérieure
dinstruments, identifier de quelques
opérations de RD avancée, ( transfert de
compétences et synergie) relation privilégiée
avec le CNES
71
Prospective et suivi (4) Interdisciplinarité Ré
flexions pluridisciplinaires au sein du SDU.
Discussions en 2004 et 2005 au niveau du CSD de
SDU regroupant les 4 divisions de
l'INSU Astronomie et Astrophysique (AA)
Océan et Atmosphère (OA) Prospective en
2003 Enquête RD Surface et Interfaces
Continentales (SIC) Colloque de prospective en
2002 enquête RD lancee en 2004 peu de
réponses. Sciences de la Terre(ST) Peu de
résultats identification de thèmes d'intérêt
commun, organisation, rôle DT INSU réflexion et
moyens affectés à la RD à des niveaux très
différents Les laboratoires de la division
Astronomie semblent en avance sur le plan de la
réflexion et de la mise en uvre d'actions RD
concertées et devraient pouvoir jouer un rôle
majeur dans l'organisation de la RD sur un plan
pluridisciplinaire
72
Prospective et suivi (5) Interdisciplinarité Exe
mples de collaborations en place avec d' autres
communautés scientifiques STIC RD Haute
Résolution Angulaire et instrumentation, nano- et
micro-technologies et de loptique (fibres
optiques), optique intégrée), miroirs déformables
actionneurs associées, automatismes pour
loptique adaptative, micro-switch et fentes),
temps-fréquence prises de brevets conjoints entre
Astronomie et STIC. traitement dimages,.
domaine nouveau sest ouvert avec le
développement de la Grille. lastronomie est en
pointe dans le développement des grilles
disciplinaires de données et de service Avec la
mise en oeuvre de lObservatoire Virtuel,
Astroparticules Le programme
interdisciplinaire du CNRS Astroparticules
apparaît comme élément fédérateur des actions
menées par le CNRS, les universités, le CEA et le
CNES dans ce secteur.
73
Prospective et suivi (5) Interdisciplinarité
Relations avec les physiciens et les
chimistes spectres IR lointain (molécules, PAHs,
petits grains glaces (Herschel , Chimie quantique
et excitation) Relations avec les Sciences de la
Planète principalement, dans la thématique de
la planétologie. développement des études sur les
planètes extrasolaires synergie entre Astronomie
et Sciences de la Planète renforcée TPF / Darwin)
appel à proposition ESA pour la période
2015-2020 exobiologie exploration spatiale
vers les sites du système solaire (Mars, Europe,
Titan, comètes). COROT (exoterres),
DARWIN Relations avec la Physique Fondamentale
Microscope pour le test du principe
déquivalence, ACES/Pharao pour les horloges à
atomes froids dans lespace, Lisa pour les ondes
gravitationnelles, T2L2 pour le transfert de
temps. Gaia,
74
Prospective et suivi (5) Interdisciplinarité Re
lations avec lingénierie Exemples de
collaborations RD sol et espace
existantes. ELPOA avec SPM RD matrice de
bolomètres avec SPI,SPM, (Archeops, HFI Planck)
micro miroirs déformables avec
SPI, traitement de l'information avec STIC,
Peu structurées Département large englobant
lingénierie et multi-appartenance structurer
les relations interdépartements structures
appropriées doivent être créées Collaborations
contractuelles de type industriel (ONERA, CEA).
Exemple du SERAS à Grenoble Structures type
GIS simplification des relations et des
aspects budgétaires et personnel.
75
La RD dans les laboratoires(1) Implication des
laboratoires très variable dans les actions de
RD minimum indispensable étant dassurer une
veille technologique.
ETPs global sur durée du projet
Part RT sur l'activité du labo en ETPs ()
pourcentage ETPs sous forme contractuelle
76
La RD dans les laboratoires(2)
Accompagnement
durée des opérations RT en moyenne 3 ans mais
ecarts de 1 à 12 ans??? ambiguite action RT et
développement de projet
financement global Keuros
financement du labo sur budget total
Apport industriel en
77
La RD dans les laboratoires(3) Atouts des
laboratoires adaptabilité des équipes. Projet
scientifique prototype, qui évolue prise de
risques marges réduites de spécifications
proximité des personnels scientifiques et
techniques maîtrise des aspects système
conception, modélisation simulation, mise
au point, contrôle et essais. traitement des
données. volume dactivité faible comparé à
celui des industriels durée Evolution des
activités de RD Préserver équipes RT
(chercheurs et techniciens), métiers
techniques. Gérer lévolution des métiers de
la recherche Coordination nationale pour la RD
au niveau de lINSU
78
La RD dans les laboratoires(4) Vision des
labos - actions de RD projets personnels
et budgets associés - reconnaissance de
lactivité RD par les tutelles personnels -
libérer du temps pour veille technologique et
formations - analyser les capacités des labos
par rapport aux besoins existants. -soutenir
les études les plus bottom up -
Propositions dateliers pour coordonner les
actions de RD soutien des groupes de travail
au niveau financier ligne stable Finalité des
ateliers? atelier dOptique (2001), atelier
électronique (2003) Exemples Ateliers imposée
dans les JRAs. Centres de compétences du CNES
Programmes ou actions spécifiques Contexte
pluridisciplinaire (MRCT, réseaux du CNRS)
79
  • La RD dans les laboratoires(5)
  • Proposition de Groupes de travail bottom up
  • - Circuits numériques, outils et traitements
    ASICs analogiques, FPGA Imagerie - radio RFI
    Protection des fréquences
  • - Techniques de détection millimétrique -
    submillimétrique et IR lointain (hétérodyne,
    directe)
  • - lithographie optique, usinage ionique
    (nouvelles applications)
  • - Optique Adaptative (Analyseurs de Surface
    d'Onde, Miroirs Déformables, écrans de phase...)
  • - Bolomètres très basse température
  • - Cryogénie spatiale active et passive
  • - Optique UV 4 Microcamera multibandes
  • - Vols en Formation
  • - Temps Fréquence et Relations à Physique
    Fondamentale et Services Temps
  • utilisation des lasers
  • asservis dans les missions spatiales
  • en HRA
  • liens spatiaux dont LASER (Virgo, Lisa, etc.)
  • - Microonde
  • - Toutes technologies haute vitesse

80
Plan Stratégique (1) Objectifs
génériques Miniaturisation performance,
puissance, coût électronique ASIC,
FPGA instruments spectromètres embarqués,
slicers, micromiroirs (Falcon), positionneurs,
optique intégrée Amélioration des
performances Gain en rapidité, extension des
bandes de fréquences, bandes passante,
résolution Ouverture domaines nouveaux Miroirs
gamma, détecteurs Nouveaux composants bolomètr
es haute température, détecteurs IR chauds,
détecteurs UV, traitements UV Traitement du
signal sur site, bases de données, simulations
81
Plan Stratégique (2) Réflexions Groupe de
travail RD/CSA sur la Prospective RD Position
minimale RD en grande partie conduite par les
projets suivi de la programmation,
ressources RD en amont par les initiatives
des labos ? ressources ligne RD,
programmation Pour aller plus loin la
prospective RD doit - évoluer sur une base
plus régulière suivi technologique et
programmatique, innovation - veiller à la
cohérence avec les grands développements
instrumentaux les moyens des laboratoires
affectés à la RD personnel le contexte
extérieur et international - dépasser un simple
état des lieux par thématique ?
Orientations sur l'ensemble de la discipline
82
Plan Stratégique (3) Exemple du CNES Objectifs
et axes techniques établis en 2004 (5
thématiques). Incitations - micro
technologies en environnement spatial - suivi
des nanotechnologies - technologies spécifiques
des vols en formation En 2006, possibilité
dactions pluriannuelles. Mode de sélection des
actions sur un an Appel a idees Mai cadrage
dans chaque thème Réponses Août Résultats de
linstruction proposés à un comité de
pilotage Plan diffusé en Janvier soumis aux
instances Atelier de présentation des projets
sélectionnés ? Atelier RT ouvert information
(périodicté 2 à 3 ans)
83
Plan Stratégique (3) Proposition Groupe MAN/RD
Homogénéiser l'expertise par la confrontation
des dossiers Croiser les informations
(électronique, miniaturisation, moyens (jonctions
et masques) Possibilité de découvrir des
synergies possibles... ou des redondances Assure
r une Diffusion plus globale des
informations Constituer un Groupe Conseil de la
CSA avec une vision de l'ensemble de la
discipline Compléter les avis de AS, PN, GT
s'ils existent dans la thématique Donner des
avis si les thématiques ne sont pas
encadreés Assurer le suivi des projets Suivi
technologique proposer des éléments de
prospective Assurer les Relations avec les
autres divisions Organisation et coordination
des efforts si nécessaire Prospective Evolution
du Plan Stratégique RT sans rupture Suivi des
opérations Choix des experts expertise,
communautés (GT, ASHRA, ELT, ADC, SKA, ASSNA,
OV France), laboratoires
84
Les Programmes
85
  • Optique adaptative et coronographie
  • Instruments pour ELT support UE via OPTICON
    (JRA1/2) et ELT design study
  • OA à fort Strehl ( XAO)
  • Extension de lutilisation de lOA gt 10m
    existants, correction partielle, application hors
    astronomie.
  • Les modules
  • Systèmes haut niveau de correction
  • Micro miroirs déformable
  • coronographie
  • Bancs de tests coronographique
  • Masques 4 quagrants
  • Speckle noir
  • CIA
  • Boutons OA /Falcon

86
  • Interférométrie
  • Préparation Darwin interférométrie en frange
    noir pour la détection de planètes
  • Instrumentation VLTi de seconde génération
  • Interférométrie Post VLTi au sol
  • Interférométrie en Antarctique (Alladin, Keops),
  • travailler sur le durcissement des
    spécifications
  • Grand réseau interférométrique (extension du
    nombre de télescopes et des longueurs de bases)
  • Hypertélescopes
  • RD en cours
  • Interférométrie de frange noire
  • Optique intégrée
  • recombinaison à grand nombre de télescopes,
  • Extension pour ??? gt 3µm

87
  • Détecteurs vis IR
  • Détecteur visibles
  • taille augmente, bruit diminue, (gt à 1 e) Peu
    dactivité.
  • EMCCD (bruits de lecture lt 1 e) Opticon JRA2.
    Domaine actif
  • vitesses de lecture augmente Domaine actif
  • Émergence des détecteurs CMOS détecteurs CMOS
    hybridés FP7
  • Détecteurs IR monopole américain Rockwell
  • Sofradir semble actuellement le seul endroit où
    on pourrait inverser la tendance. investissement
    de 2-4 M A voir dans le cadre du FP7 ?
  • Détecteurs supraconducteurs toujours en phase
    RD, pas vraiment dapplications astro
  • Forces dispersées

88
  • Bolometres
  • Le champ d'application à Tlt100mK couvre les
    domaines X, submm et mm
  • Détection IR ou submm mise au point des
    éléments-pixels (bolocollecteur) assemblables en
    mosaïque et en 4 standards de taille pour
    couvrir la gamme de 200 microns à 2 mm.
  • ? RD denvergure est nécessaire pour identifier
    les bons matériaux (radioactivités internes,
    propriétés thermiques, rendements démission,).
  • Mosaiques intégrer des détecteurs, réalisés par
    des processus collectifs procédés de micro
    technologie alliages Ag/Al et Au/Ti réalisés au
    CSNSM
  • ?Rôle des industriels
  • Bolomètres doubles lumière et chaleur, cible
    massive scintillante et un détecteur optique
    éliminer le fond de radioactivité ambiante
  • Bolomètres à électrons chauds (HEB) à
    supraconducteur à haute température critique
  • -Très large bande instantanée (plusieurs
    dizaines de GHz)
  • - Puissance doscillateur locale réduite
    (inférieure à 10 µW) W)
  • Cryogénie relativement légère (quelque dizaines
    de mW à 60 60-80 K)

89
  • Hautes energies
  • Lentille gamma démonstrateur CLAIRE projet MAX
  • X (0.1-10 keV) pas de mission en perspective en
    X avant Xeus (2020 ?)
  • gamma faible énergie (Elt100 keV) SIMBOL-X
    (2012), ECLAIRS (2010)
  • gamma haute et très haute énergie (Egt100 MeV)
    GLAST (2007), HESS2 (2008)
  • trou (2-3 ordres de grandeur) dans le domaine 100
    keV 100 MeV.
  • Jusquà quelques centaines de keV RT sur les
    miroirs peut-on concentrer le rayonnement à ces
    énergies ?
  • Au dela du MeV RT sur consommation des circuits
    de lecture et épaisseur des détecteur CdTe ou
    CdZnTe pixellisés qui limitent les performances
    des télescopes Compton
  • Priorités Astroparticules
  • (matrices de bolomètres), bolomètres pour la
    détection de la matière noire,
  • détecteurs infrarouges
  • une nouvelle génération de photodétecteurs de
    grande efficacité
  • nouvelles méthodes de détection nouvelles gerbes
    cosmiques

90
Domaine UV (UV. LYOT/SMESE Amelioration des
revetements UV Préserver la polarimetrie Etude
de Multicouches EUV amelioration des
efficacites Detecteurs UV nouveaux composants
detecteurs du type AlGaN et diamant sources EUV
rempacement synchrotron par Source plasma
fabriquee par le GREMI. IFTSUV (imaging Fourier
transform spectrometer pour l'UV)
91
Calcul Info La recherche informatique proprement
dite (langages, méthodes), relève dorganismes
comme lINRIA, et c'est la RD autour des
applicatifs qui concerne plus directement les
laboratoires dastronomie - Simulation
modelisation organisation ASSNA comparable à
lexploitation des grands instruments évolution
de larchitecture des super-calculateurs,
sophistication rapidement croissante de
lalgorithmique, gestion et exploitation des
données massives produites par les simulations.
composante intégrante du développement des
instruments. Difficulté milieux très
diversifiés, physiques très différentes Traitemen
t du signal exemples Imagerie à haute
résolution spatiale par traitement a posteriori
champ étendu incohérent et peu contrasté.
Application astronomique des techniques de "Data
Mining recherche de contreparties à
différentes longueurs d'onde Photométrie de
champs denses commence.
92
Archivage et bases de donnees archivage
automatique de données astronomiques données
complexes et hétérogènes standards
dinteropérabilité Virtual Observatory
Alliance projet VOTECH (EU FP6 ) gestion des
très grands catalogues (collaboration avec les
laboratoires STIC) prise en charge des données
textuelles et construction d'une ontologie de
l'astronomie (avec l'IRIT et le LORIA), -
traitement d'images hyper-spectrales (avec le
LSIIT et le CERGA). ? étendre les relations
entre laboratoires d'astronomie et laboratoires
STIC sur des sujets communs. veille
technologique et RD RD finalisée R D en
préparation à la mise en oeuvre de lObservatoire
Virtuel astronomique Simulations
instrumentales développement de logiciels de
simulation optimisation de concepts Interféromé
trie radio (décamétrique submm) (Nançay,
LERMA) Instruments en optique, radio (GEPI,
LERMA,LESIA validation par démonstrateurs
expérimentaux
93
Radar Ground Penetrating Radar (GPR) pour le
futur rover martien de lESA (Aurora/pasteur)
tomographie radar de géocroiseurs (Cnes).
miniaturisation réduction des puissances
consommées maturité de conception des
instruments. technologie des FPGA intégration
des fonctionnalités de traitement du signal
composants ayant des capacités de calculs
importantes, grande souplesse par rapport à
une architecture hardware classique Le
savoir-faire nécessaire à lutilisation de cette
technique dans les projets futurs est un passage
obligé.
94
Radio basse fréquence Moyen terme LOFAR et FASR,
plus long terme SKA. Développer les techniques
de radio impulsionnelle radio détection des
rayons cosmiques de très haute énergie sur une
instrumentation lourde à proximité dAUGER, et/ou
de LOFAR. Projet de radio détection
dexoplanètes va induire des développements
techniques nouveaux sur le radiotélescope UTR-2 à
Kharkov en Ukraine. Domaines de RT Antennes à
large bande de fréquences, bas bruit et bas
coût Front-end analogiques miniaturisés (ASIC)
Backends numériques de nouvelle
génération Traitement des interférences
radio Traitement des données et Observatoire
Virtuel Gestion et protection et des fréquences
(radio BF - submm) EMBRACE Développements des
circuits intégrés (ASIC) perspective SKA,
Gagner en sensibilité, résolution spatiale et
largeur de bande instantanée Permettre
lobservation simultanée dans plusieurs
directions du ciel en mode dobservation
multi-utilisateurs ou multi-faisceaux
95
Domaine Submm Front-ends amélioration des
performances de bruit sur de très larges bandes
passantes, qualification spatiale intégration
de composants planaires (imagerie) extension
des technologies sur membranes au-delà du THz
exploration de nouvelles technologies
matrices de mélangeurs de type HEB supra, les
oscillateurs locaux à supraconducteurs
(ESPRIT,). réalisation de front-ends intégrés
de type Schottky et de matrices SIS et HEB
(caméra Shahira) mélangeurs SIS équilibrés à
réjection de fréquence fonctionnant entre 200 et
370 GHz transposer à plus basse fréquence les
résultats en SIS du canal 7 de ALMA Backends
spectromètres à large bande et haute résolution
de type autocorrélateurs numériques analyse à
large bande sur 4GHz avec loupe spectrale
configurable cryostats refroidis a 15 K, 4 K ou
0.3, voire 0.1 K. .rôle des industriels
96
Objectifs de la RD Temps-Fréquence Amélioration
des définitions (voire changement de définition
?) Meilleures réalisations et mises en pratique
des unités (s, Hz) et des moyens de transfert
Mise à disposition plus performante des
références métrologiques aux utilisateurs Tests
de physique fondamentale (relativité restreinte,
relativité générale) RD couplée à la RD
Temps-Fréquence Capteurs inertiels à ondes
atomiques (gyromètres, accéléromètres,
gravimètres, ) Télémétrie laser Projets futurs
LISA (références de fréquence) ICE
(interférométrie atomique dans lespace) Horloges
optiques dans lespace TIPO
97
Mesures in situ évolution, miniaturisation et
perfectionnement évolution des matériaux des
capteurs ou celle des concepts reconnus Pluralité
des technologies mesures magnétiques progrès
nécessaires au niveau des capteurs Extension
bande de fréquence vers le bas (antennes UBF) ou
vers le haut (projet TARANIS, radars à
pénétration de sol) progrès dans les matériaux
ou certains composants (exmagnéto-résistances
géantes) traitement à bord et des logiciels
embarqués limmunité aux interférences,
compression des données. , mesures 3D, si
possible instantanées, miniaturisation des
spectromètres-imageurs IR et utilisation de
composants comme les AOTF
98
Accompagnement RD Dome C Etudes au cas par cas
études thermiques, cryogénie (infrarouge ou
(sub)millimétrique robotisation de télescopes,
structures à envisager pour installer des
télescopes à quelques dizaines de mètres
optique adaptative adapté au profil particulier
de turbulence ou sur le type de de hauteur.
cryogénie est évidemment un point critique RD
est essentielle, Détecteurs les meilleurs
détecteurs possibles, prototype domaine
millimétrique/submillimétrique. méthodologie
rigoureuse pas de développemnt sur site
99
La Valorisation
100
Valorisation (1) Valoriser et transférer les
résultats de recherche relèvent des missions du
CNRS Valorisation par la diffusion des
résultats Valorisation des développements par
réalisation dun projet et exploitation
scientifique des résultats et
publications Valorisation par transfert de
technologie vers dautres secteurs de recherche
ou lindustrie Valorisation par la
formation Diffusion vers les politiques et le
grand public La valorisation exige des
ressources au niveau des laboratoires  Moyens de
mise en uvre ressources humaines et
budgétaires qualité transmettre volet
technique et volet " accompagnement" (propriété
intellectuelle, les savoir-faire détenus par le
laboratoire...) exploiter la technologie.
Adapter de la technologie aux
besoins constitution et à la composition d'une
équipe dédiée au transfert. La valorisation
exige un accompagnement et une sensibilisation
monde industriel medias Connaissance des
circuits de valorisation instances
scientifiques La valorisation cest aussi la
protection des résultats protection
intellectuelle, carrière, bénéfice, synergie
101
Valorisation (2) CNRS Stratégie de détection et
d'évaluation du potentiel économique des
inventions issues des laboratoires accroître le
nombre de brevets accroitre le montant des
redevances générées par les transferts. Mise en
oeuvre par la Délégation Aux Entreprises (DAE)
le Service du Partenariat et de la
Valorisation (SPV), la Direction des Affaires
Juridiques (DAJ) et la société FIST Le CNRS,
a choisi de privilégier le partage des droits de
propriété industrielle Les principaux axes
d'actions du CNRS en matière de valorisation
sont La recherche en partenariat La
valorisation des résultats de recherche La
création d'entreprises La communication et le
transfert de technologie vers les PME
Formation, sensibilisation de ses personnels
ingénieurs et chercheurs
102
Valorisation (3) Delegation aux entreprises
DAE La délégation aux entreprises développe la
politique de collaboration du CNRS autour de 5
axes amplifier les actions de partenariat,
valoriser les résultats de recherche issus des
laboratoires dépôts de brevets cessions de
licences, aider à la création d'entreprises,
favoriser le transfert de technologies
innovantes vers les PME/PMI, former les
personnels à la pratique des relations avec le
monde économique. Quelques données 2001
103
gt2350 dossiers de valorisation actifs en 2002
Un portefeuille de 1391 brevets prioritaires
actifs en 2002
104
532 licences actives en 2002
42,45 M de redevances en 2002
105
98 entreprises issues de laboratoires propres ou
associés au CNRS ont été créées depuis 1999
106
Valorisation (4) Qualité Comité pour la
démarche qualité en recherche mis en place
dès octobre 2002 placé sous la responsabilité
de la DAE réunit les représentants des
départements scientifiques, du secrétariat
général et de la MRCT Missions développer
une vision commune de la qualité en recherche,
définir des actions en direction des
laboratoires, capitaliser les expériences
proposer un dispositif réaliste et adapté au
CNRS. espace qualité recherche centré sur la
démarche qualité dans les établissements de
recherche lien privilégié avec le ministère de la
recherche Toutes les normes existantes et
l'actualité normative, (portail de l'AFNOR)
107
Valorisation (5) Protéger communiquer
identifier le(s) inventeur(s) dune invention,
produit ou procédé et préserver leurs droits, se
garantir contre une exploitation abusive de
linvention, se doter des moyens de négocier
lexploitation de linvention, avec un partenaire
industriel percevoir des redevances en cas
dexploitation de linvention. Que protège-t-on
? Peuvent être protégés, tous résultats de
recherches propres au laboratoire ou issus dun
contrat de collaboration avec un partenaire à
lexception des concepts, idées,
théories Différentes formes de protection
Brevet dinvention (produit, procédé) moyen
le plus sûr de protéger une technologie dans
lespace désigne les pays auprès desquels il
étend la protection du brevet. dans le temps
durée connue par avance 20 ans à compter du
dépôt de brevet. linnovation doit
être Nouvelle, Inventive, Susceptible
dapplications dans lindustrie ou dans
lagriculture. . Attention ! Ne sont pas
brevetables les théories scientifiques,les
méthodes mathématiques, les créations
esthétiques, les plans, principes et méthodes
dans lexercice dactivités intellectuelles, en
matière de jeu ou dans le domaine des activités
économiques, ainsi que les programmes
dordinateurs,
108
Valorisation (6) Protéger communiquer Dossi
er technique (logiciel, savoir-faire) dossier
technique, dans lequel seront consignés tous les
éléments descriptifs confidentiel aucune
divulgation préalable sans un accord de
confidentialité. auteurs limités dans leur
publication scientifique. Il peut concerner
un savoir-faire , véritable " tours de main "
des hommes de métier, un logiciel, (protégé
actuellement en France par le droit
dauteur) un produit ou un procédé pour lequel
le dépôt de brevet ne semble pas
opportun. Enveloppe SOLEAU acte qui permet à
un inventeur ou à un auteur de dater son
innovation. marque lantériorité dune
invention. Accord de secret et de
confidentialité engagement du partenaire à ne
pas utiliser, ni exploiter, ni divulguer les
travaux communs. Droit dauteur
(logiciel) les logiciels relève exclusivement
du droit dauteur. déposer les sources du
logiciel auprès de lAgence pour la Protection
des Programmes, ou dorganismes agréés (INPI,
enveloppe Soleau, notaire, )
109
Valorisation (7) Protéger communiquer Quand
communiquer ou publier ? Un Problème Avant
protection, une invention doit demeurer
strictement confidentielle ne doit faire
lobjet daucune divulgation. Toute
communication orale ou écrite (enseignement,
publications, soutenance de thèse,) annule le
caractère nouveau de linvention et sa
brevetabilité. Problème des publications
attendre le dépôt auprès de lINPI  Institut
national de la propriété industrielle  La
publication officielle par l'INPI interviendra 18
mois à compter du dépôt du brevet. le fait que
la description du brevet soit accessible au
public, ne rend pas ce dernier inopposable. Qui
est inventeur, toute personne physique
directement impliquée dans lobtention dun
résultat de recherche statut indépendant de la
responsabilité hiérarchique au sein dune équipe
les inventeurs sont financièrement intéressés
sur le montant des redevances. Réalisée dans le
cadre de lactivité professionnelle, linvention
dite " invention de mission " appartient de
plein droit à l'employeur. Il lui revient la
décision de prendre ou non un brevet. Lorsque
le CNRS décide de ne pas déposer de brevet ou de
ne plus entretenir, il propose à linventeur
den reprendre à sa charge les droits.
110
Valorisation (7) Protéger communiquer
Coût financier En France dépôt de brevet
auprès de lINPI 3800 et 4600 (taxes de
dépôt et honoraires de cabinet de brevet).
entretien sur 20 ans revient en moyenne à 4750
(annuités hors honoraires). Brevet européen
(OEB) entre 2670 - 3800 (taxes et
honoraires). cumul des annuités jusquà la 7ème
(passage en phases nationales) 2800 en seules
taxes. maintient jusquà son terme 10000
(taxes). Demande internationale de brevet (PCT)
4300 - 4600 (taxes de dépôt et honoraires
de cabinet). dépôts lors du passage en phases
nationales avec validation dans les principaux
pays industrialisés (Europe, Etats-Unis, Canada,
Japon) 30500 - 42700 (taxes et honoraires
de cabinet). Coût en Investissement personnel
dossier, documentation
111
Valorisation (7) Protéger communiquer Qui
perçoit les redevances ? La concession dune
licence dexploitation ouvre un droit à
redevances. La propriété industrielle est
distincte du droit aux redevances. dès lors
quil est fait mention dun inventeur CNRS dans
un brevet déposé par un industriel, des
redevances sont également dues au CNRS. Quel est
lintéressement des laboratoires et des
inventeurs ? Le CNRS a pour politique
dintéresser les laboratoires, ainsi que les
inventeurs personnes physiques, dont sont issues
les inventions. Intéressement des
laboratoires 25 des redevances encaissées par
le CNRS sont redistribués aux unités de
recherche. 20,9 MF ont ainsi été redistribués à
près de 100 laboratoires en 1998. Intéressement
des inventeurs 50 des redevances encaissées
par le CNRS après déduction des frais directs de
propriété industrielle sont répartis entre
inventeurs au prorata de leur contribution
respective à linvention Seule ou en
concertation avec les organismes ou universités
partenaires, la DAE (Délégation aux entreprises)
se charge de la négociation et de la rédaction
des accords dexploitation dune invention par un
industriel. Elle est seule habilitée à signer
une licence dexploitation pour le CNRS.
112
Valorisation (7) Les Services CNRS Le
Service Partenariat et Valorisation
SPV soutien et expertise pour le montage
de partenariats industriels, institutionnels et
européens le montage de projets de
valorisation. Pour valoriser les recherches
menées dans les laboratoires préserver la
propriété intellectuelle des inventions des
chercheurs dépôt de brevets, de licences
Faciliter les échanges de chercheurs et les
collaborations de recherche entre la France et
létranger Université Services d'Activités
Industrielles et Commerciales SAIC mise en
uvre de la loi sur l'innovation et la recherche,
promulguée le 12 juillet 1999, objectif la
multiplication des échanges entre les
laboratoires publics de la recherche et le
monde des entreprises. chargé au sein de
l'Université de la promotion et de la
valorisation de ses activités industrielles et
commerciales. Sensibilisation des pouvoirs
publics communautés scientifiques suivent-elles?
113
Valorisation (7) FIST France innovation
Scientifique et transfert Filiale du CNRS et
de lANVAR, société de transfert et de
commercialisation de technologies
innovantes. domaines des Sciences du Vivant et
des Sciences de la Matière, FIST met à la
disposition de tout détenteur de technologies
innovantes un savoir-faire performant fondé sur
une approche intégrée et globale du processus de
valorisation Direction de la Politique
industrielle créée par décision du 17 juillet
2006 composée de la cellule stratégique de
la politique industrielle (CESPI) la cellule
opérationnelle de la politique industrielle
(COPI). pour l'accomplissement de ses
missions, elle s'appuie, sur la société FIST
SA les (SPV) en délégation. Objectifs
Valorisation de la recherche et relations avec
les entreprises perspective de moyen ou long
terme, formes de partenariats accord
cadre, programme commun de recherche,
laboratoire commun. échanges de
personnels, via la mobilité de chercheurs ou
d'ingénieurs du CNRS vers l'entreprise ou via
l'accueil au CNRS de spécialistes industriels
organisation dateliers sur la politique de
relations industrielles et de transfert
.
114
Composante de la Direction des Etudes et des
Programmes (DEP), la Mission des Ressources et
Compétences Technologiques (MRCT) est une
structure interdisciplinaire initiant des actions
transversales fondées sur les technologies. Ces
actions bénéficient à l'ensemble des disciplines
scientifiques et permettent ainsi de fédérer en
profondeur des communautés d'origines diverses.
Elles prennent également en compte la composante
humaine (évolution des compétences et des
savoir-faire).   Le positionnement de la MRCT au
sein d'une direction transversale facilite la
conduite d'actions interdisciplinaires et/ou
d'intérêt collectif. Son Comité de Pilotage est
constitué de DSA représentant les Directions
Scientifiques du CNRS, de la DRH, de la DAE,
ainsi que d'un Délégué Régional. La MRCT
collabore également avec l'ensemble des
structures du CNRS.
115
Nouveau centre d'usinage mutualisé pour les
laboratoires associés au CNRS. financement de
la Mission Ressources et Compétences
Technologiques du CNRS (MRCT), complété par une
contribution du département scientifique du SDU.
charte d'utilisation, équipement mutualisé
progressivement ouvert aux laboratoires régionaux
puis nationaux facteur de rapprochements et de
coopérations entre laboratoires appartenant à des
disciplines différentes.
116
(No Transcript)
117
(No Transcript)
118
(No Transcript)
119
Valorisation (7) OSEO ANVAR Transfert de
technologie Le transfert de technologie
s'entend communément comme l'ensemble des
compétences et des résultats techniques
développés et tenus à jour au sein des
laboratoires, cédés ou concédés à des tiers, au
travers notamment de cession de brevets ou
concession de licences d'exploitation de brevet
et de savoir-faire, mais aussi grâce au
recrutement de personnel formé par la recherche.
120
Valorisation (7) ANRT Association Nationale de
la Re
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