Title: Les dangers du milieu subaquatique'
1Les dangers du milieu subaquatique.
2 Les dangers du milieu subaquatique
- Les poissons qui mordent LES REQUINS
Parmi les nombreuses espèces de requins qui
peuplent les océans, très peu peuvent vraiment
être qualifiées de dangereuses . Il y a 5
espèces qui sont particulièrement dangereuses
pour lhomme Le grand requin blanc
Le requin tigre Le requin océanique
Le grand requin marteau Le requin
bouledogue Les attaques de requins sur des
plongeurs sont extrement rares, aucun cas de
recencé à lIle de la Réunion. En cas de morsure,
sortir la personne de l'eau et avertir les
secours. Faire un garrot si le saignement est
important.
3 Les dangers du milieu subaquatique
- Les poissons qui mordent LES REQUINS
COMPORTEZ VOUS "CORRECTEMENT" Comportez vous
comme des invités "polis" et ayez "de bonnes
manières" avec vos hôtes les requins. Ils sont
les maîtres des lieux et restent des prédateurs.
Laissez nimporte quel requin vous approchez et
permettez lui de "faire votre connaissance" comme
cela lui plaît. Ne cherchez pas à toucher les
requins, ne les poursuivez pas, ne leur coupez
pas la route, nutilisez pas vos couteaux, bref
ne soyez pas agressif, le requin est un animal
qui obéit à son instinct et il cherchera à se
défendre s'il se juge menacé. Selon toute
probabilité, si vous vous comportez dune façon
agressive, il partira et ne cherchera pas à vous
attaquez mais il vaut mieux ne pas tenter le
diable. DURANT VOTRE RENCONTRE AVEC UN
REQUIN Restez immobile, de préférence prés ou sur
le fond. Essayez de vous fondre dans le relief et
la topographie qui vous entoure. Des mouvements
brusques ou rapides peuvent effrayer les requins,
les rendre nerveux et même provoqués des attaques
défensives de leur part. Ne perdez pas de vue les
requins qui vous entourent. Restez aussi très
vigilant après que les requins soient
(apparemment) partis. NE VOUS METTEZ PAS DANS UNE
POSITION VERTICALE Tapissez vous sur ou proche du
fond et orientez vous horizontalement. Les
requins semblent être plus affectés par la taille
que par la longueur peut être parce que la
grande majorité des créatures que les requins
rencontrent sont plus grande dans le sens
horizontal que le sens vertical. ÉVITEZ LES
REGROUPEMENTS DE PLONGEURS Les requins semblent
percevoir les regroupements de plongeurs comme un
grand organisme tout à fait effrayant. Séparez
vous en petit groupe, tout en restant proche de
votre binôme et en restant vigilant quand aux
mouvements des requins qui vous entourent. POUR
PROLONGER VOTRE RENCONTRE AVEC LES REQUINS Tirez
profit de la curiosité naturel des requins.
Respirez doucement et soyez détendue.
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4 Les dangers du milieu subaquatique
- Les poissons qui mordent LES REQUINS
N'ESSAYEZ PAS DE NOURRIR LES REQUINS SOUS
L'EAU Le fait dalimenter les requins change
radicalement leur comportement et peut provoquer
un contexte de concurrence entre les requins.
Ceci peut les rendre très agressifs donc très
dangereux pour les plongeurs. SI VOUS DEVEZ
FAIRE SURFACE EN PRÉSENCE DE REQUINS Déplacez
vous lentement et ne quitter jamais les requins
du regard. Rejoignez directement votre site de
sortie pré planifié. Évitez de nager de longues
distances en surface. Quand vous aurez rejoint
votre point de sortie (bateau, dock, plage ),
quittez leau rapidement, mais sans à-coup et
sans précipitation. Lors de la mise à leau, si
vous repérez des requins et décidez de plonger,
entrez dans leau doucement en faisant attention
à ne pas faire "trop de bruit" (rentrer dans
leau à partir de la position assise et non une
rentrer en sautant ). Des rentrés dans leau qui
provoque des remous et du "bruit" peuvent exciter
les requins. OBSERVEZ ATTENTIVEMENT LE
COMPORTEMENT DES REQUINS Vous devez quitter leau
immédiatement si le requin commence à être
nerveux ou agité (mouvements désordonnés,
saccadés et nerveux, nageoires dorsales
dirigées vers le bas, changement de direction
brusque, tension musculaire en augmentation,
mouvement nerveux de la queue ). Si vous ne
voulez ou vous ne pouvez quitter leau,
augmenter la distance entre le requin et vous,
ceci pourrait le rendre moins nerveux, voire le
calmer et vous permettre de partir "en douce".
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5 Les dangers du milieu subaquatique
- Les poissons qui mordent LE BARRACUDA
Nom scientifique Sphyraena barracuda Classe
Osteichthyes Ordre Perciformes Famille
Sphyraenidés Distribution toutes les mers
chaudes. Les grands barracudas sont plutôt
solitaires alors que les juvéniles et les
petites espèces de moins de 60 cm se regroupent
en bancs. La taille des barracudas varie de 45 cm
à plus de 2 mètres.Les barracudas ont une
mâchoire dont la mandibule supérieure est non
protractile et linférieure nettement
proéminente. Cest ce qui leur donne cette tête
peu sympathique. La gueule est armée de fortes
canines et de dents en poignards, disposées en
lame de scie. Le barracuda est un vorace et se
montre dune rapidité fulgurante. Il peut nager à
près de 44 km/h. Le barracuda est tellement
curieux quil nhésite pas à sapprocher des
plongeurs ou des embarcations. En règle générale,
il suit les plongeurs sans les attaquer. On ne
connaît quune quarantaine dattaques
vérifiées. Il faut souligner le fait que le sang
et les objets qui brillent attirent le barracuda.
Les pêcheurs sous-marins attachent leurs proies
à la ceinture. Les cas de morsures sont neuf fois
sur dix dues à ce type de contexte. Sa chair
provoque des empoisonnements comme la ciguatera.
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6 Les dangers du milieu subaquatique
- Les poissons qui mordent LES MURENES
Les murènes, dont on connaît environ 120 espèces,
atteignent couramment 1 mètre de long, et peuvent
dépasser 1,30 mètre. Leur corps, sans écailles,
légèrement comprimé latéralement, est revêtu de
belles couleurs agrémentées de marbrures. La
murène se défend quand on la dérange dans ses
caches sa bouche est largement fendue et son
palais est armé de dents en crochet. La morsure
de la murène nest pas venimeuse mais septique du
fait de présence de souillures alimentaires
interdentaires. Il est nécessaire de bien
désinfecter la morsure si lon veut obtenir une
guérison simple et rapide. Classe des
OstéichtyensSous-classe des ActinoptérygiensOrdr
e des AnguilliformesFamille des Muraenidés
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7 Les dangers du milieu subaquatique
- Les poissons qui mordent LES BALISTES
Le grand baliste à tête jaune, Balistoïdes
viridescens, est dangereux à plus d'un titre
dérangé lorsqu'il veille sur ses oeufs, il
attaque immédiatement le visiteur importun et
peut le mordre cruellement. Pêché, sa chair est
parfois empoisonnée par la fameuse et redoutable
ciguatera.
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8 Les dangers du milieu subaquatique
- Les poissons qui mordent LE POULPE
Ne pas tenter de sortir à tout prix un POULPE
de sa cachette. C'est très mauvais pour l'animal
lui-même dont le système nerveux est
particulièrement fragile. Mais c'est également
risqué pour le détendeur confronté à
des tentacules affolés et
encore plus
dangereux pour les mains du
plongeur qui pourraient se trouver
en contact
avec un bec corné alimenté
par des glandes salivaires toxiques.
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9 Les dangers du milieu subaquatique
- Les poissons qui piquent le poisson pierre
Champion du camouflage et de limmobilité, le
poisson-pierre sensable souvent. Tout plongeur
sous-marin doit se méfier du poisson-pierre. Sa
piqûre, très douloureuse, peut parfois être
mortelle.Une épine de SYNANCEE peut traverser une
palme !. Le poisson-pierre est le plus meurtrier
de tous les poissons. De plus, sa peau renferme
également une substance toxique. A la base de
chaque rayon épineux de sa nageoire dorsale, on
trouve de petites glandes qui contiennent le
venin mortel. Cet aileron dorsal porte 13
épines. Un plongeur qui pose son pied ou sa main
sur lun des rayons ressent immédiatement une
douleur intolérable. Les épines injectent un
neurotoxique puissant qui paralyse les muscles
et attaque le système nerveux. La piqûre provoque
une forte douleur souvent accompagnée d'une
perte de connaissance puis une mort par arrêt
cardiaque. Ce poisson nest pas agressif mais
cest son invisibilité qui le rend dangereux.
Confronté à un contact avec un Poisson Pierre, la
toute première préconisation consiste à plonger
la zone infectée dans de l'eau à 45 degrés Quand
les protéines du venin se sont dégradées à la
chaleur, la douleur devient supportable. Ensuite
un traitement antibiotique et antitétanique est
indispensable.
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10 Les dangers du milieu subaquatique
- Les poissons qui piquent LE PTEROIS
Dans son habit zébré et épineux, la rascasse
volante est un véritable seigneur des récifs
coralliens de lIndo-Pacifique. Cette rascasse ne
craint personne car ses épines venimeuses la
protègent des prédateurs. En dépit de son nom,
elle ne vole pas. Ce qualificatif lui vient de
ses nageoires allongées qui ressemblent à des
ailes. Egalement appelée, poisson scorpion, la
rascasse volante est très dangereuse. Les grandes
épines de sa nageoire dorsale sont venimeuses.
Leur piqûre produit, y compris chez lhomme, de
graves troubles maux de tête, fièvre, nausée,
difficultés respiratoires ou problèmes
cardiaques.Ces troubles peuvent entraîner la mort.
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11 Les dangers du milieu subaquatique
- Les poissons qui piquent le poisson chat
Il est en effet porteur dun appareil venimeux
redoutable. Ce corps est porteur de trois épines
venimeuses (une à lavant de la nageoire dorsale
et deux à lavant des nageoires pectorales). Ces
épines sont tranchantes et recouvertes dune
denture rétrograde et sont enveloppées dans un
manteau qui se déchirera en cas de piqûre.
Les douleurs violentes qualifiées datroces et
insupportables, voir plus que celle par poisson
pierre atteignent leur paroxysme dans les 2 à 3
heures suivant la piqûre. Elles saccompagnent
très souvent dun malaise général avec
nausées, vomissements, vertiges, agitation,
lipothymies et parfois peuvent être syncopales.
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12 Les dangers du milieu subaquatique
- Les poissons qui piquent LE DIODON
Cest lorsquil est effrayé que le diodon
justifie son surnom de poisson porc-épic. En
effet, son corps se gonfle et se hérisse de
longues épines. Poisson des mers tropicales et
des récifs de coraux, le diodon est également
connu sous le nom de poisson-hérisson. Stratégie
de défense du diodon Lorsquil se sent en danger,
le corps du diodon se gonfle deau pour devenir
presque sphérique. Dans le même temps, les épines
qui le recouvrent, normalement rabattues vers
larrière, se dressent à la verticale.
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13 Les dangers du milieu subaquatique
- Les poissons qui piquent le poisson crapaud
Certaines espèces sont dotées de 2 épines
dorsales et 4 operculaires garnies de glandes à
venin. Leurs moeurs et leur aptitude au
camouflage rappellent celles du poisson-pierre.
Leur piqûre expose à des effets comparables à
celle des poissons-chats, mais la plaie guérit
plus facilement.
Antennarius maculatus
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14 Les dangers du milieu subaquatique
- Les poissons qui piquent le poisson lapin
Les poissons-lapins (Siganidae) Assez proches des
Acanthuridae, les poissons-lapins sont appréciés
des chasseurs sous-marins pour la finesse de leur
chair. Leur appareil vulnérant comprend 13 épines
dorsales, 7 anales, 4 pelviennes, porteuses de
glandes à venin. La piqûre est très douloureuse,
mais le plus souvent bénigne.
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15 Les dangers du milieu subaquatique
- Les poissons qui coupent le poisson chirurgien
Les poissons chirurgiens Ils portent une épine
caudale longue et fine dirigée vers l'avant qui
se rétracte dans un sillon généralement signalé
par une tache de couleur. C'est cette épine
tranchante comme un scalpel, qui leur vaut leur
nom de poisson chirurgien.
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16 Les dangers du milieu subaquatique
- Les poissons qui embrochent lespadon
Cet habitant de toutes les mers, tropicales ou
polaires, est lun des plus grands poissons
connus. Très vigoureux, il peut mesurer jusquà 5
mètres de long. Solitaire, se rapprochant des
côtes en été, il se nourrit de petits poissons
et nutilise
pratiquement jamais sa mâchoire
supérieure en forme dépée pouvant
atteindre 1,5 mètre de
long pour attaquer
lhomme. Pratiquement, car de très rares
assauts contre des embarcations
ou des pêcheurs ont
été décrits.
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17 Les dangers du milieu subaquatique
- La faune qui pique LES OURSINS
Loursin diadème Oursin, pouvant atteindre 6 cm
de diamètre, noir, à piquants creux et très longs
(70 mm), renforcés sur la face dorsale par des
piquants secondaires ou épines fines et mobiles
qui peuvent se briser et se figer dans la peau
provoquant des lésions difficiles à soigner.
Retirer les épines à laide dune pince à épiler,
certaines munies dun crochet nécessiteront une
intervention chirurgicale. Vous pouvez aussi
essayer les compresses de Microlax .
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18 Les dangers du milieu subaquatique
- La faune qui pique LACANTHASTER
Étoile de mer à corps large et à bras multiples,
hérissée d'un revêtement urticant. syn. Coussin
de belle-mère (rare). encycl. Fléau pour les
récifs coralliens, qu'il dévore en ne laissant
que le squelette blanchi des coraux.
Il faut éviter de la tripoter ses piquants sont
couverts d'un mucus toxique.
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19 Les dangers du milieu subaquatique
- La faune qui pique LES CORAUX DE FEU
Les Crinoïdes font partie du même embranchement
que les Étoiles de Mer les Echinodermes.
Le Corail de feu est bien connu des plongeurs
il est extrêmement urticant. Il inflige même de
bonnes brûlures et enflures (d'où son nom) aux
imprudents qui le touchent. S'il prend plusieurs
formes (ramifié, en plaques), on le reconnaît
facilement à sa couleur jaune avec l'extrémité
blanche. Un plongeur averti en vaut deux! Risque
également de coupure et dallergie.
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20 Les dangers du milieu subaquatique
- La faune qui pique LES HYDRAIRES
Les hydraires font parti de la famille des
Hydrozoaire. Elles ressemblent à des plumes,
fixées sur un substrat. Elles se nourrissent de
plancton. Leurs contacts sont très douloureux,
et peuvent provoquer des brulures.
Afin déviter tout contact avec les hydraires,
maitrisez votre flottabilité. En cas de contact,
utilisez une pommade à base de cortisone.
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21 Les dangers du milieu subaquatique
- La faune qui pique LES CONES
Certains coquillages peuvent piquer, tels les
cônes. Ceux-ci peuvent projeter un dard,
recouvert de venin. Certaines espèces peuvent
être mortelles, comme le cône géographe. Afin
déviter tout accident, ne touchez, ni ne
ramassez aucun coquillage, lors de vos plongées.
Symptômes une violente douleur au point de
piqûre, suivi dun dème, puis, dans les formes
graves, des paralysies musculaires avec
décès par paralysie des muscles respiratoires.
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22 Les dangers du milieu subaquatique
- La faune qui pique LES ANEMONES
Lorsque l'on touche ces anémones, on a
l'impression qu'elles collent leurs tentacules à
notre peau, ce sont les harpons des cellules
venimeuses qui ont pénétré notre épiderme. Il
faut donc faire attention de ne pas mettre en
contact, de l'animal, une muqueuse (lèvres ) ou
une blessure, on pourrait avoir quelques gênes
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23 Les dangers du milieu subaquatique
- La faune qui pique LES MEDUSES
Quelques espèces de méduses bien de chez nous
sont très urticantes, et il vaut mieux passer
largement à l'écart c'est notamment le cas de
la physalie (Physalia physalis) et de la pélagie
brillante (Pelagia noctiluca).
Leurs tentacules peuvent avoir une longueur de
plusieurs mètres, voire de plusieurs dizaines de
mètres. Le problème, c'est qu'ils sont presque
transparents quand on les voit, c'est souvent
trop tard
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24 Les dangers du milieu subaquatique
- La faune qui pique LE PLANCTON
En cas de brûlure due à un cnidaire, nettoyer la
plaie avec de l'alcool (ou, à défaut, avec du
sable), en enlevant les restes de tentacules
collés à la peau sans frotter pour éviter
l'éclatement d'autres cellules urticantes. Puis
traiter comme une brûlure habituelle. Si
nécessaire, administrer à la victime un
antalgique et un anti-histaminique (donc
consulter un médecin).
Certains plancton, pas toujours visibles, peuvent
causer des brulures.
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25 Les dangers du milieu subaquatique
- La faune qui pique LES VERS DE FEU
Là encore, on regarde mais on ne touche pas qui
s'y frotte s'y pique. Ils sont couverts de soies
très fines et très cassantes, capables de
pénétrer dans la peau et d'y provoquer des
réactions allergiques très douloureuses causées
par une sécrétion toxique.
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26 Les dangers du milieu subaquatique
- La faune qui poignarde LES RAIES
Les dasyatidés qui comprennent les raies armées
(ou raies à aiguillon barbelé) dont la queue
porte sur sa face dorsale une épine venimeuse. Ce
sont des animaux piqueurs. Les raies provoquent
des blessures quand elles se sentent en danger.
La raie pastenague porte sur la queue un dard
souvent mortel dune vingtaine de centimètres,
denticulé et très difficile à retirer.
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27 Les dangers du milieu subaquatique
- La faune qui electrocute LA RAIE TORPILLE
Elle est capable d'envoyer des décharges
électriques dont l'intensité peut atteindre
plusieurs dizaines de volts. Largement de quoi
paralyser un autre poisson, qui pourra ainsi être
capturé sans difficulté
Pour un plongeur, la décharge électrique est
douloureuse, mais en général sans gravité
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28 Les dangers du milieu subaquatique
- La faune qui pince LES CRABES
Certains animaux peuvent pincer fortement. Comme
certains crabes ou homards. Faites attention
lorsque vous mettez vos mains dans un trou. En
cas de saignement, rincez, désinfectez, et
consultez un médecin si la plaie est importante.
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29 Les dangers du milieu subaquatique
- La faune qui assome LES PLONGEURS
Un autre danger vient des plongeurs eux-mêmes.
Choc lors de la mise à leau ou à la remontée.
Coup de palmes intempestifs provoquant la perte
du masque ou détendeur. Plongeur mal formé,
victime dun essoufflement, narcose, panne
dair,
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30 Les dangers du milieu subaquatique
- La faune et la flore subaquatique sont par nature
inoffensives. - Peux danimaux marins ont un comportement
agressifs. - Les accidents sont souvent liés à une réaction de
défense ou à un contact accidentel. - Pour éviter tout problème ne touchez à rien,
regardez avec les yeux. Maitrisez votre
flottabilité et restez entrainé. - En cas daccident, connaissez la conduite à tenir
pour éviter toute aggravation et soulager la
douleur. - Bonnes plongées.
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