Title: Diapositive%201
1LES BRULEURS FIOUL DOMESTIQUE
J-M R. DS-BTP
2(No Transcript)
3(No Transcript)
4Un brûleur fioul est un appareil qui permet
Quoi ? De créer, développer et entretenir
une flamme. Où ? A la tête de combustion.
Comment ? De façon économique, automatique,
sécuritaire et non polluante.
5Pour créer la flamme, il faut réaliser le
triangle du feu ( combustible, comburant, chaleur
). Il faudra donc - amener le
fioul, - amener lair,
- mélanger lair et le fioul dans une bonne
proportion, - porter le mélange à
la température dinflammation. Pour entretenir
la flamme, il suffira - de
continuer damener lair et le fioul en bonne
proportion.
6- Pour maintenir la flamme, à la tête de
combustion, il faudra - - éviter que la flamme décroche ,
- - éviter que la flamme rentre dans le brûleur.
- Pour fonctionner de façon économique, il faudra
- ajuster la quantité de fioul aux besoins,
- le brûler le mieux possible en amenant juste
lair nécessaire, - utiliser au mieux la chaleur fournie par la
flamme.
7- Pour fonctionner de façon automatique, il faudra
- - assurer automatiquement la demande de mise en
marche et darrêt du brûleur, - - effectuer automatiquement les cycles de
démarrage et darrêt du brûleur. - Pour fonctionner de façon sécuritaire , il faudra
- assurer larrêt et le verrouillage automatique
du brûleur en cas de dysfonctionnement. - Pour fonctionner de façon non polluante, il
faudra - - que les rejets à latmosphère soient
inférieurs aux normes en vigueur. -
8- Il existe deux grands types de brûleurs fioul
- Les brûleurs à pulvérisation où le fioul est
pulvérisé en très fines gouttelettes. - - brûleur à coupelle rotative,
- - brûleur à pulvérisation dhuile,
- - brûleur à fluide auxiliaire.
- Les brûleurs à caléfaction où le fioul liquide
est transformé en gaz.
9(No Transcript)
10Le rôle du circuit combustible est damener le
fioul du stockage au gicleur du brûleur.
11(No Transcript)
12La crépine, clapet de pied. Son rôle est de
filtrer grossièrement le fioul lors de
laspiration de ce dernier et d en empêcher le
retour à la cuve lors de l arrêt du brûleur. Il
se situe à 10 cm du fond de la cuve afin de ne
pas être dans les boues.
13La canne daspiration. Son rôle est daller
chercher le fioul dans la cuve. Elle va de la
crépine ou clapet du pied à la sortie de la
cuve. Elle peut être en acier, en cuivre ou en
caoutchouc.
14La vanne police. Elle permet de couper
lalimentation en combustible en cas dincendie.
Elle se situe sur la canalisation daspiration et
systématiquement à lextérieur de la chaufferie.
Elle peut être commandée à distance.
15Elle peut être de deux types
- à ouverture (création d une prise d air qui
désamorce laspiration).
- à fermeture (obturation de la canalisation
daspiration du fioul),
16La canalisation d aspiration. Elle a pour rôle
d amener le fioul de la vanne police à
l ensemble vanne d arrêt-filtre . Elle peut
être en acier ou en cuivre.
17Ensemble vanne d arrêt-filtre . Cet ensemble
a deux rôles - filtrer le fioul en amont du
brûleur et le décanter ( eau et sédiments). -
fermer laspiration fioul pour la maintenance du
brûleur.
18Ensemble vanne d arrêt-filtre. Il existe trois
types d ensemble vanne d arrêt-filtre
Ensemble mono-tube. Ensemble bi-tube. Ensemble
à recyclage.
19Les flexibles. Leur rôle est d amener le fioul
de lensemble vanne darrêt-filtre à la pompe
fioul du brûleur. Leur flexibilité permet le
démontage du brûleur ou louverture de la porte
chaudière sans démonter le circuit fioul.
20La canalisation retour. Elle permet le le retour
du fioul excédentaire à la cuve.
21Le circuit mono-tube.
Avantages - le circuit ne comporte quun
seul tuyau ( réduction du coût d installation
), - les filtres sencrassent moins
rapidement. Inconvénients - difficulté
damorçage du circuit, - lors dune légère
prise dair, celui-ci ne peut sortir que par le
gicleur.
ATTENTION OTER LA VIS DE BIPASSE DANS LA POMPE
FIOUL !!
22Le circuit bi-tube.
Avantages - amorçage rapide du circuit, -
lors dune légère prise dair, celui-ci peut
retourner à la cuve. Inconvénients - le
circuit comporte deux tuyaux ( augmentation du
coût d installation ).
LA VIS DE BIPASSE DOIT RESTER EN PLACE
23Le circuit mono-tube avec filtre recyclage.
Avantages - le circuit ne comporte quun
seul tuyau ( réduction du coût d installation
), - les filtres sencrassent moins
rapidement. - lors dune légère prise dair,
on peut purger par le filtre.. Inconvénients
- difficulté damorçage du circuit,
LA VIS DE BIPASSE DOIT RESTER EN PLACE
24Cuve en charge. La cuve est en charge si la
crépine est a une altitude supérieure à laxe de
la pompe fioul du brûleur.
Avec une cuve en charge le fioul pourrait être
siphonné.
25Cuve en aspiration. La cuve est en aspiration si
le niveau de fioul est a une altitude inférieure
à laxe de la pompe fioul du brûleur.
Avec une cuve en aspiration, le fioul ne peut pas
être siphonné.
26Cas spécial.
Cette cuve est en charge tant que laltitude du
niveau de fioul est supérieure à laxe de la
pompe. Cette cuve est en aspiration quand
laltitude du niveau de fioul est inférieure à
laxe de la pompe.
27La hauteur daspiration à la pompe est égale à la
pression atmosphérique du lieu diminuée
de la hauteur manométrique daspiration.
des pertes de charges de la tuyauterie.
La hauteur manométrique daspiration en mbar H
84.5
H correspond à la hauteur géométrique
daspiration entre la pompe et la crépine.
84.5 correspond à la hauteur daspiration en mbar
pour 1 mètre de hauteur de canalisation pour du
fioul de 0.84 kg/L de masse volumique.
Pour une hauteur daspiration de 2.2 mètres nous
aurons une hauteur manométrique daspiration de
84.5 2.2 185.9 mbar
28Les perte de charges vont être fonction
de la longueur développée de la canalisation
du diamètre de la tuyauterie.
des accessoires se trouvant sur la canalisation.
Nous utiliserons le principe de la longueur
équivalente pour déterminer la valeur des pertes
de charge des accessoires.
Longueur équivalente en mètre des accessoires
fioul
Crépine
0.35 ml
0.30 ml
Filtre
0.15 ml
Coude
Vanne à passage direct
0.10 ml
Vanne déquerre
1.8 ml
29Exemple de détermination
Installation de 2,2 m daspiration ayant une
longueur développée de 7 m de tube daspiration
sur laquelle se trouve une crépine, 4 coudes, un
filtre et une vanne à passage direct. La cuve se
trouve à lintérieur du bâtiment.
Hauteur manométrique daspiration 84.5 2,2
185,9 mbar
Longueur équivalente des accessoires 0,35 0.30
0.1 (4 0,15) 1.35 m
Longueur développé de la tuyauterie 7 m
Longueur corrigée daspiration 7 1,35 8.35
mètres
Le débit maximum de la pompe à fioul est de 30 L/h
30Les pertes de charges vont varier en fonction de
la viscosité.
Abaque pour une viscosité de 7.5 centistokes, qui
correspond à un ensemble canalisations et cuve à
lintérieur du bâtiment.
Abaque pour une viscosité de 12.5 centistokes,
qui correspond à un ensemble canalisation et cuve
à lextérieur du bâtiment.
Dans notre exemple pour un diamètre de 8 mm, les
pertes de charges au mètre seraient de 5 mbar.
Pertes de charge de la tuyauterie 5 8.35
41.75 mbar
En supposant que la pression atmosphérique
moyenne est de 1000 mbar, on aura une pression
absolue à laspiration 1000 ( 41.75
185.9 ) 772.35 mbar
31Dans ce cas linstallation en diamètre 8 mm est
possible car la pression absolue à laspiration
est supérieure à 500 mbar.
Chaque fabricant de pompe donne des abaques
permettant de déterminer le diamètre de la
tubulure en fonction de la pompe, de la longueur
de la tuyauterie et de la hauteur daspiration.
Les valeurs indicatives de diamètres ci-dessous
peuvent être utilisées dans les cas classiques de
dimensionnement pour une altitude inférieure à
800 m.
Dans la pratique même sils sont surdimensionnés,
les diamètres les plus utilisés sont le 101 et
le 121 car tous les raccords se trouvant dans
les différent kits sont en ces diamètres.
32Sécurités dans la cas dune cuve en charge. Pour
éviter le siphonage du fioul de la cuve lors
dune rupture ou du démontage de la canalisation
daspiration, il est nécessaire dinstaller une
soupape anti-siphon sur laspiration à la sortie
de la cuve.
33Les systèmes d aspiration. Il existe un système
d aspiration regroupant les fonctions de vanne
police, de clapet anti-retour et éventuellement
de clapet anti-siphon facilitant linstallation.
34- La pompe fioul a plusieurs rôles
- aspirer le fioul qui se trouve dans la cuve,
- mettre en pression le fioul au niveau du gicleur
pour une bonne pulvérisation.
Mise en pression du fioul
Aspiration du fioul
35Les pompes utilisées sont à engrenages.
- Les deux types de pompes à engrenages
- pompe à croissant,
- - pompe à engrenage trochoïdes.
36Le régulateur de pression.
Afin de maintenir une pression stable au gicleur
et de renvoyer le fioul excédentaire à la cuve,
la pompe est munie dun régulateur de pression
composé dun piston maintenu fermé par un ressort
réglable.
37Fonctionnement du régulateur.
Quand la pompe commence à être entraînée, la
pression du fioul na pas atteint la consigne de
réglage et le régulateur obture le passage du
recyclage du fioul.
Obturation du passage
38Quand la pression de fioul atteint la valeur de
réglage, le régulateur libère le passage du
recyclage a fin de renvoyer lexcédent de fioul
et de maintenir une pression constante.
Recyclage du fioul
39Les électrovannes fioul.
Les électrovannes fioul peuvent être placées
Sur la ligne gicleur
Lélectrovanne est fermée hors tension
Lélectrovanne est ouverte sous tension
40Les électrovannes fioul.
Intégrée dans la pompe
Lélectrovanne est fermée sous tension
Lélectrovanne est ouverte hors tension
41Cas dune pompe à deux pressions.
Dans certains brûleurs de moyenne puissance
fonctionnant en deux allures, la variation de
puissance est obtenue par deux pressions de pompe
différentes.
ATTENTION Remplacer la bobine par une de tension
identique.
électrovannes
42Pompe sans électrovanne.
43(No Transcript)
44Afin de pouvoir contrôler son fonctionnement et
régler la pression de fioul, la pompe est équipée
de prises manométriques.
Mesure de pression
Mesure daspiration
manomètre de pression
vacuométre
45Pour garantir son bon fonctionnement et empêcher
sa détérioration, la pompe est munie dun filtre
placé à laspiration du fioul.
filtre fioul
46Pompe en coupe
47(No Transcript)
48(No Transcript)
49Quelques filtres pompe
50Choix dune pompe.
Lors du remplacement dune pompe, il faut prendre
en compte plusieurs critères
Le sens de rotation se repère laxe de la pompe
face à soi.
rotation droite
rotation gauche
51Le débit, la vitesse de rotation, la plage de
pression, la sortie gicleur et les diamètres de
laxe et du moyeu sont donnés dans des tableaux
constructeur.
52Les différents accessoires de pompe.
Les accouplements permettent de raccorder la
pompe a laxe du moteur.
53Les garnitures garantissent létanchéité au
niveau de larbre.
ATTENTION, les garnitures étant lubrifiées par le
fioul, il est déconseillé de faire tourner la
pompe à sec .
54Noyaux et bobines délectrovanne.
ATTENTION Remplacer la bobine par une de tension
identique.
55Les joints de couvercle permettent létanchéité
au niveau du couvercle.
Joints plats type papier
Joint torique
56Le stockage du fioul. Le stockage du fioul, qui
peut être aérien ou enterré, est régit par une
réglementation spécifique en fonction du volume
et du type de stockage.
57Réglementation stockage aérien extérieur.
L installation doit comporter un bac de
rétention étanche et incombustible d une
capacité au moins égale à 100 du volume de la
plus grande cuve ou 50 du volume de l ensemble
des cuves. Ce dernier peut être en métal, en
maçonnerie ou en terre argileuse damée.
58 Réglementation stockage aérien intérieur à
usage individuel. ( cuve lt 1500 L )
Linstallation doit comporter un bac de rétention
étanche et incombustible d une capacité au moins
égale à 100 du volume de la plus grande cuve ou
50 du volume de lensemble des cuves. Ce
dernier peut être en métal, en maçonnerie ou en
terre argileuse damée. Les cuves métalliques
doivent être au minimum à un mètre des
générateurs. Les cuves plastiques doivent être
dans un local ventilé destiné uniquement à cet
effet et dont les murs, plancher et plafond sont
coupe feu 2 heures, et la porte 1/2 heure.
59 Réglementation stockage aérien intérieur à
usage individuel. ( cuve gt 1500 L )
Linstallation doit comporter un bac de rétention
étanche et incombustible dune capacité au moins
égale à 100 du volume de la plus grande cuve ou
50 du volume de lensemble des cuves. Ce
dernier peut être en métal, en maçonnerie ou en
terre argileuse damée. Les cuves plastiques,
interdites dans les E.R.P., dont la capacité ne
doit pas dépasser 10 000 L, et les cuves
métalliques doivent être dans un local ventilé
destiné uniquement à cet effet et dont les murs,
plancher et plafond sont coupe feu 2 heures, et
la porte 1/2 heure.
60 Réglementation stockage aérien intérieur à
usage collectif, E.R.P.. ( cuve gt 1500 L )
L installation doit comporter un bac de
rétention étanche et incombustible d une
capacité au moins égale à 100 du volume de la
plus grande cuve ou 50 du volume de l ensemble
des cuves. Ce dernier peut être en métal,en
maçonnerie ou en terre argileuse damée. Les
cuves métalliques doivent être dans un local
ventilé destiné uniquement à cet effet et dont
les murs, plancher et plafond sont coupe feu 2
heures, et la porte 1/2 heure. Les cuves
plastiques sont interdites. A l extérieur du
local doivent se trouver un extincteur du type
233 B.C. ainsi qu un bac de sable d au moins 50
L muni d une pelle de projection à manche rouge.
61 Réglementation stockage enterré à lintérieur
ou à lextérieur dun bâtiment. ( stockage en
fosse ).
La fosse, qui doit être étanche, peut être à
l intérieur ou à l extérieur du bâtiment. La
fosse doit faire un volume au moins égale à celui
de la cuve. La cuve peut être en métal simple
paroi. Les cuves plastique sont interdites.
62 Réglementation stockage enterré à lintérieur
ou à lextérieur dun bâtiment. ( stockage enfoui
).
Les cuves doivent être obligatoirement à sécurité
renforcée - soit métalliques à double paroi (
NF M 88 513 ), - soit en matière plastique
renforcée ( NF M 88 550 ), - soit à revêtement
interne en matière plastique ( NF M 88 552 et 553
), - soit avec un réservoir interne en matière
plastique ( NF M 88 514 ).
63(No Transcript)
64Tuyauterie sur une cuve fioul.
évent
65Rôle.
Le rôle du circuit aéraulique et dacheminer
lair nécessaire à la combustion et den régler
le débit.
66(No Transcript)
67Louie
Louie est lendroit du brûleur où lair est
aspiré.
ouie
68Le ventilateur.
Le seul rôle du ventilateur est dalimenter le
brûleur en air de combustion.
Le ventilateur centrifuge est composé de
- la volute,
- la turbine.
69La volute définit le sens de rotation de la
turbine et donc du moteur et de la pompe pour les
brûleurs fioul.
70Quel sens de rotation devra avoir la turbine ?
71Le registre dair équipé dun disque, dun
diaphragme ou dun ou plusieurs volets est situé
sur laspiration ou sur le refoulement du
ventilateur et permet de régler le débit dair de
combustion en créant une perte de charge sur le
circuit aéraulique.
Le registre pourra être fixe où motorisé.
La motorisation sera effectuée par un vérin
hydraulique où un servomoteur.
Certain registre sont équipés dun clapet
anti-balayage.
72Registre sur laspiration
Registre sur le refoulement
73Commande des registres.
Par servomoteur
Par vérin
fixe
74Certains brûleurs non motorisés sont équipés dun
clapet anti-balayage afin dempêcher, à larrêt,
la circulation dair dans la chaudière.
Clapet anti-balayage
Le clapet souvre par la pression ou
laspiration dair et se referme à larrêt par
son propre poids ou par un ressort de rappel. Il
est important de positionner correctement le
brûleur sur la chaudière afin dassurer la
fermeture du clapet.
75Il met en présence et mélange intimement le
carburant et le comburant, il allume le
mélange, il maintient la combustion au bout du
brûleur.
La pièce essentielle du circuit de mélange est le
déflecteur ou accroche flamme.
76Le tube dair
La ligne porte gicleur et le gicleur
Le déflecteur ou accroche flamme
Les électrodes et le câble haute tension
77Lair arrive par le tube dair
Une partie de lair qui traverse le déflecteur
est mise en rotation par les fentes usinées dans
le déflecteur
Le reste appelé air secondaire passe entre le
tube et le déflecteur
Les étincelles dallumage sont générées entre les
électrodes
78La pression dynamique de lair crée une
différence pression entre les deux faces du
déflecteur.
Le fioul pulvérisé est mis en rotation par le
gicleur et se mélange intimement à lair de
combustion.
79Dés lapparition de la flamme,la différence de
pression stabilise le front de flamme très prêt
du déflecteur.
Après la stabilisation de la combustion, larc
électrique est arrêté
80Peu dair secondaire flamme courte.
81Beaucoup dair secondaire flamme longue
82Points dattention
Position du déflecteur par rapport au gicleur
BON
83Points dattention
Position du déflecteur par rapport au gicleur
MAUVAIS
Pulvérisation derrière le déflecteur
84Points dattention
Position des électrodes
85Points dattention
Position des électrodes
86Points dattention
Position des électrodes
87Les organes électriques composant un brûleur
peuvent êtres classés en trois catégories
- Les organes commandés,
- Les organes de commande,
- Les organes de sécurité.
88Les organes commandés peuvent être classés en
fonction des circuits sur lesquels ils sont
affectés
- circuit dallumage du mélange air/fioul,
- circuits fioul,
- circuit air.
89Cellule
Servomoteur
Ligne gicleur réchauffée
Thermostat chaudière
info
Coffret de sécurité
ordre
Électrovanne
Transformateur H.T.
Voyant défaut
Moteur
Compteur horaire
90Le transformateur haute tension.
Il élève la tension de 230V à 1 ou 2 ? 5000 ou
7000V afin de pouvoir créer un arc électrique au
niveau des électrodes dallumage.
Il peut être intermittent (transformateur sous
tension uniquement lors de lallumage ) ou
permanent (transformateur sous tension tout le
temps du fonctionnement du brûleur).
Son contrôle peut seffectuer à laide dun
éclateur.
91Schéma de principe du transformateur haute
tension.
92Le réchauffeur de ligne gicleur.
Il élève et maintien en température le fioul à
pulvériser.
Lélévation de la température du fioul permet de
diminuer sa viscosité.
La viscosité diminuant, le débit de fioul à
travers le gicleur diminue.
Le but du réchauffeur est de diminuer la
puissance du brûleur et on ne trouve un
réchauffeur que sur les brûleurs de petite
puissance.
93Le réchauffeur de ligne gicleur.
Fioul à 20 C viscosité 6,4 cSt Fioul à 60 C
viscosité 2,8 cSt
94Le réchauffeur de ligne gicleur.
Autres avantages induits par la présence du
réchauffeur
Facilité des allumages car la température du
fioul est proche de son point déclair.
Pour les cuves extérieure, il ny a plus
dinfluence de la température extérieure.
Stabilité du débit du gicleur quelque soit la
qualité du fioul approvisionné.
Possibilité doptimiser les réglages de
combustion.
95Le réchauffeur de ligne gicleur.
Ecart de viscosité à 20 C 2,4 cSt Ecart de
viscosité à 60 C 0,9 cSt
96Le réchauffeur de ligne gicleur.
?
Alimentation permanente dès que le brûleur est
sous tension
N
Ph
97Le réchauffeur de ligne gicleur.
?
Alimentation permanente dès que le brûleur est
sous tension
Alimentation du coffret de sécurité si la
température est atteinte
N
Attention si le réchauffeur est en panne, le
brûleur ne peut pas démarrer.
Ph
Ph
98Lélectrovanne.
Elle ouvre ou ferme le passage du fioul vers le
gicleur.
Elle peut être fermée ou ouverte sous tension.
Elle peut se situer sur la ligne gicleur (
ouverte sous tension ) ou sur la pompe fioul (
fermée ou ouverte sous tension ).
99Lélectrovanne.
Principe de lélectrovanne ouverte sous tension (
NF ).
0 V
100Lélectrovanne.
Principe de lélectrovanne ouverte sous tension (
NF ).
240 V
101Le compteur horaire.
Il comptabilise les heures de présence de la
flamme dans le foyer de la chaudière.
Il peut se situer sur le brûleur mais le plus
souvent sur la chaudière ou le coffret de
commande. Dans le cas dun brûleur à plusieurs
allures, il est nécessaire davoir autant de
compteurs que dallures.
102Le moteur électrique.
Il entraîne la turbine du ventilateur ainsi que
la pompe fioul.
Il peut être monophasé ou triphasé.
Dans le second cas, il est nécessaire de vérifier
le sens de rotation.
103Le moteur asynchrone monophasé.
104Le moteur asynchrone monophasé.
T
105Le servomoteur de volet dair.
Il ouvre, règle et ferme le volet de réglage
dair de combustion du brûleur.
106Le servomoteur de volet dair.
Lactionneur est un moteur électrique réversible.
107Le servomoteur de volet dair.
N
O
F
arrêt
Lactionneur est un moteur électrique réversible.
Principe
Si les bornes O ou F sont hors tension,
le moteur ne tourne pas et le volet dair ne
bouge pas.
108Le servomoteur de volet dair.
O
F
ouverture
Lactionneur est un moteur électrique réversible.
Principe
Si lalimentation se fait sur la borne ouverture,
le moteur tourne et le volet dair souvre.
109Le servomoteur de volet dair.
O
F
fermeture
Lactionneur est un moteur électrique réversible.
Principe
Si lalimentation se fait sur la borne fermeture,
le moteur tourne et le volet dair se ferme.
110Le servomoteur de volet dair.
111Le servomoteur de volet dair.
112Le servomoteur de volet dair.
113Le servomoteur de volet dair.
114Le servomoteur de volet dair.
Lactionneur est un vérin hydraulique.
115Le servomoteur de volet dair.
116Le servomoteur de volet dair.
117Le servomoteur de volet dair.
118Les électrodes dallumage.
Constituées de porcelaines isolantes et de tiges
métalliques,
elles sont reliées au transformateur haute
tension par une extrémité
Et créent un arc électrique dans le flux dair à
lautre extrémité.
119Les électrodes dallumage.
Elles peuvent être séparées préformées
Séparées à former
Mono bloc
Leur forme est adaptée à la technologie du brûleur
120Le voyant de défaut
De couleur rouge, il avertit lutilisateur ou le
technicien du verrouillage du coffret lors de sa
mise en sécurité suite à un dysfonctionnement du
brûleur.
Il se situe sur le coffret lui-même et est
toujours visible sans aucun démontage. Un report
dalarme est possible sur le tableau de commande
ou sur la chaudière.
121Organes de détection de présence de flamme.
Ils contrôlent lallumage, le maintien et
lextinction de la flamme.
On emploie des cellules photo-résistantes
, dont la résistance varie avec la luminosité.
Dans le noir, leur résistance est très grande
(comme un contact électrique ouvert). Leur
résistance est pratiquement nulle en pleine
lumière (comme un contact électrique fermé).
Attention ces cellules réagissent à toutes les
lumières y compris les lumières parasites
(éclairage, soleil, autre flamme).
1228
0
?
1238
0
?
124Organes de détection de présence de flamme.
Sur les brûleurs mixtes ou flamme bleue, la
luminosité étant plus faible on utilise.
La cellule UV ou tube de décharge.
La cellule à scintillement ou infrarouge.
125Organes de détection de présence de flamme.
_
0
µA
126Organes de détection de présence de flamme.
_
0
µA
127Organes de détection de présence de flamme.
U.V.
_
0
µA
128Organes de détection de présence de flamme.
_
0
µA
129Organes de détection de présence de flamme.
Lumière
_
0
µA
130Organes de détection de présence de flamme.
Electrodes dallumage
_
0
µA
131Organes de détection de présence de flamme.
Electrodes dallumage
U.V.
_
0
µA
132Le coffret de sécurité.
Il gère le fonctionnement et la sécurité du
brûleur.
Il est appelé aussi boite de contrôle ou relais
de sécurité.
133Le coffret de sécurité.
Conditions de fonctionnement.
134Le coffret de sécurité.
Conditions de fonctionnement.
Les fabricants de coffrets prévoient la pré
ventilation. Exemple Pré ventilation par relais
thermique.
135Le coffret de sécurité.
Conditions de fonctionnement.
Les fabricants de coffrets prévoient la pré
ventilation. Exemple Pré ventilation par relais
thermique.
M
?
136Le coffret de sécurité.
Conditions de fonctionnement.
Les fabricants de coffrets prévoient la pré
ventilation. Exemple Pré ventilation par relais
thermique.
137Le coffret de sécurité.
Conditions de fonctionnement.
Les fabricants de coffrets prévoient la pré
ventilation. Exemple Pré ventilation par relais
thermique.
M
?
138Le coffret de sécurité.
Conditions de fonctionnement.
Les fabricants de coffrets prévoient la pré
ventilation. Exemple Pré ventilation par relais
thermique.
M
?
139Le coffret de sécurité.
Temps maximal de sécurité.
140Le coffret de sécurité.
Allumage normal.
Pré ventilation et pré allumage.
M
?
141Le coffret de sécurité.
Allumage normal.
allumage et post allumage.
M
?
142Le coffret de sécurité.
Allumage normal.
Acquisition de la flamme arrêt de lallumage.
M
?
143Le coffret de sécurité.
Allumage normal.
Allure établie.
M
?
144Le coffret de sécurité.
Arrêt de la demande.
M
?
145Le coffret de sécurité.
Démarrage sans allumage.
Pré ventilation et pré allumage.
M
?
146Le coffret de sécurité.
Démarrage sans allumage.
Essai dallumage, début du temps de sécurité.
M
?
147Le coffret de sécurité.
Démarrage sans allumage.
Pas de présence de flamme.
M
?
148Le coffret de sécurité.
Démarrage sans allumage.
Verrouillage du coffret en sécurité après le
temps de sécurité.
M
?
149Le coffret de sécurité.
Démarrage sans allumage.
Le coffret ne peut être réarmé que manuellement.
M
?
150- Pour que lensemble de chauffe fonctionne de
façon optimum, la préconisation du brûleur doit
prendre en compte différents paramètres - la puissance de la chaudière,
- la contre pression du foyer de la chaudière,
constructeur brûleur, - le type de la chaudière.
- Les constructeurs de brûleur préconisent ces
derniers en fonction des deux premiers critères
et le choix de la tête en fonction du troisième
critère.
151Ex P chaudière 72 kW, pression foyer 4
daPa Rendement brûleur estimé à 90
Seul le brûleur 3 est adapté à la chaudière.
Point de fonctionnement
Zone de fonctionnement du brûleur
152Ex 2 P chaudière 110 kW, pression foyer 5
daPa
Rendement brûleur estimé à 90
Le point de croisement est en dehors de la zone
de fonctionnement. Le brûleur nest pas adapté à
la chaudière.
Point de croisement
153La tête de combustion est choisie en fonction du
type de foyer et de la porte foyère. Les têtes
longues ou demi longues seront utilisées sur des
foyers borgnes ou sur des chaudières équipées de
portes foyères épaisses.
Tête courte
Tête longue
154(No Transcript)
155Suivant la taille et le poids du brûleur, il y
aura lieu de prévoir deux intervenants et/ou un
moyen de levage. Le contrôle de la compatibilité
chaudière-brûleur (puissance, alimentation
électrique) devra être effectué avant le
déballage du brûleur. Dans tous les cas,
lintervenant devra impérativement être équipé
des moyens de protections individuelles
(vêtement de travail, gants, chaussures de
sécurité). Après avoir contrôlé la présence de
tous les accessoires de montage (joint,
visserie), la mise en place du brûleur
seffectuera conformément à la notice
dinstallation du constructeur. Dans le cas où
la chaudière est équipée dune plaque foyère
adaptée au brûleur, seule une caisse à outils
traditionnelle est nécessaire, avec
éventuellement un niveau et un coffret de clés à
cliquet. Si la plaque foyère nest pas adaptée au
brûleur, prévoir tout loutillage de traçage, de
perçage et de taraudage.
1561. Vérifier la compatibilité chaudière -
brûleur. 2. Déballer le brûleur et ses
accessoires pour vérifier leur présence et leur
état. 3. Préparer loutillage. 4. Démonter,
tracer, pointer et tarauder la plaque foyère
suivant le gabarit fourni. 5. Mettre en place
la plaque et son joint avec les gougeons. 6.
Présenter et fixer le brûleur. 7. Vérifier la
position à laide dun niveau et serrer
lensemble en diagonale. 8. Nettoyer lespace de
travail. 9. Évacuer les emballages et les
déchets. La phase 4 nest nécessaire que
dans le cas dune plaque foyère non percée.
157 La mise en place du bac de rétention se fera
avant le raccordement fioul. Le raccordement
fioul commence à la sortie du pot filtre. La
longueur des flexibles doit permettre louverture
de la porte foyère. Les flexibles devront être
disposés de façon à ce quil soit impossible de
marcher dessus. Attention, une inversion des
flexibles va provoquer des dommages immédiats à
la mise en route du brûleur. Le montage des
flexibles paraît comme une opération simple mais
doit néanmoins être réalisée avec le plus grand
soin pour éviter de futurs désagréments (prise
dair, fuite ).
1581- Mettre en place le bac de rétention. 2-
Repérer laller et le retour sur la pompe et le
pot filtre. 3- Réaliser létanchéité des raccords
au téflon. 4- Raccorder les flexibles. 5-
Nettoyer lespace de travail. 6- Évacuer les
emballages et les déchets.
159Lintervenant devra être habilité B2V et devra
posséder tout loutillage spécifique dexécution
et de mesures électriques. Le raccordement
électrique comprend la liaison armoire électrique
- brûleur ainsi que le raccordement du tableau de
chaudière au bornier brûleur. Linstallation
devra être réalisée selon les normes électriques
en vigueur, avec du matériel homologué et en
respectant les préconisations du
constructeur. Lutilisation dun escabeau peut
être nécessaire pour la réalisation des liaisons
électriques. La mise en œuvre des chemins de
câbles devra être réalisée de façon à ne pas
endommager lisolant des câbles. Les liaisons
électriques ne doivent pas empêcher louverture
de la porte foyère. Les câbles ne devront pas
traîner sur le sol.
1601- Sassurer de la compatibilité de la tension
dalimentation du brûleur avec celle du réseau en
attente dans larmoire. 2- Déterminer le tracé
des liaisons électriques. 3- Fixer les supports
du chemin de câbles et/ou les colliers des tubes.
4- Percer larmoire et mettre en place les
presse-étoupe. 5- Tirer, fixer les câbles de
puissance, de commande, de régulation et de
signalisation en respectant les préconisations
(boucles, repérages...). 6- Réaliser les
raccordements aux différents borniers en
respectant les schémas électriques. 7- Vérifier
le serrage de toutes les connexions
électriques. 8- Nettoyer lespace de travail. 9-
Évacuer les emballages et les déchets.
161Avant toute intervention le technicien doit
impérativement sassurer - de la conformité
des ventilations basse et haute de la
chaufferie, - de la partie hydraulique de
léquipement de chauffe ( générateur, vannes
disolement, pompes, contrôleur de débit), -
de la présence des coupures réglementaires du
combustible et de lalimentation électrique.
Il devra se référer à la notice technique du
constructeur. En cas dune alimentation
électrique triphasée, il est impératif de
vérifier le sens de rotation du moteur afin de ne
pas endommager la pompe.
1621- Lire attentivement la notice technique du
brûleur. 2- Prérégler la tête de combustion en
fonction des données constructeur (accroche
flamme, électrodes, gicleurs). 3- Faire un
préréglage du volet dair. 4- Contrôler le bon
raccordement des flexibles et ouvrir les vannes
du circuit combustible fioul. 5- Vérifier
lalimentation électrique et mettre sous tension
le brûleur. 6- Vérifier le sens de rotation du
brûleur en actionnant brièvement le
contacteur. 7- Contrôler le cycle du coffret de
sécurité.
163Avant toute mise sous tension du brûleur, il est
impératif de sassurer de louverture des vannes
du circuit combustible. Il est indispensable de
posséder loutillage spécifique de contrôle de
combustion fioul (valise Brigon, mallette
électronique). En cas dindice dopacité élevé
(IB ? 1), lutilisation du contrôleur de
combustion électronique est a éviter. Lultime
contrôle de combustion doit seffectuer avec le
capot de protection brûleur en place et la porte
chaufferie fermée. Le technicien devra
impérativement respecter les préconisations de la
notice technique du constructeur.
1641- Calculer la (les) pression (s) de
pulvérisation et le(s) calibre(s) gicleur(s) en
fonction de la puissance nécessaire et du
rendement chaudière estimé. 2- Sélectionner
(débit, angle et cône de pulvérisation) et monter
le(s) gicleur(s). 3- Monter le manomètre
fioul. 4- Ouvrir les vannes combustible. 5-
Mettre en service le brûleur et régler la
pression de pulvérisation. 6- Régler le débit
dair total pour obtenir un indice dopacité (IB
lt 1). 7- Affiner les réglages d air primaire et
secondaire en fonction des relevés du contrôle de
combustion (CO2 et IB). 8- Calculer le rendement
de combustion. 9- Reprendre si besoin la pression
pompe ou/et la détermination des gicleurs. 10-
Peaufiner le réglage dair. 11- Remonter le capot
de protection brûleur et effectuer un dernier
contrôle de combustion. 12- Vérifier le
fonctionnement automatique des aquastats de
régulation. 13- Contrôler le fonctionnement de
laquastat de sécurité (touche du ramoneur). 14-
Remplir la fiche de mise en service.
165Pour réaliser cette opération, le technicien doit
impérativement être habilité (BR - B2V) et devra
en outre posséder loutillage spécifique (caisse
à outils, multimètre, coffret de contrôle de
combustion). Les prescriptions techniques des
constructeurs doivent être consultées et
respectées. Tous les essais doivent se faire en
réel, aucun élément électrique ne doit être
court-circuité.
1661- Prendre connaissance des schémas hydraulique
et électrique de linstallation. 2- Contrôler
louverture des vannes disolement (eau et
fioul). 3- Contrôler la pression deau dans
linstallation. 4- Mettre en service la (les)
pompe (s). 5- Vérifier les asservissements (pompe
recyclage, contrôleur de débit, contact fin de
course vanne papillon, pressostat manque
deau). 6- Contrôler lalimentation électrique du
brûleur. 7- Vérifier la chaîne de commande
thermostatique locale (aquastats) et
lasservissement éventuel à distance (régulateur,
Gestion Technique Centralisée ). 8- Tester le
fonctionnement du contact de porte foyère. 9-
Effectuer un cycle complet de démarrage et de
fonctionnement du brûleur. 10- Effectuer un
contrôle de combustion, capot monté et porte
chaufferie fermée. 11- Contrôler le
fonctionnement de laquastat de sécurité (touche
du ramoneur). 12- Remplir la fiche
d intervention ou le cahier de chaufferie.
167Lentretien consiste à pallier lusure (gicleur,
accouplement, électrodes), le déréglage
(électrodes, combustion), lencrassement (cellule
de détection de flamme, déflecteur, filtres,
turbine) et le desserrage des éléments
(connexions, fixations) qui conduiront
obligatoirement à un dysfonctionnement se
traduisant par une perte de rendement, une panne
ou un fonctionnement dangereux ou polluant. La
réalisation de cette opération nécessite une
caisse à outils traditionnelle et certains outils
spécifiques de mesure ainsi que des produits de
nettoyage et des chiffons.
1681- Arrêter le brûleur, fermer larrivée du
combustible et couper lalimentation
électrique. 2- Démonter le pot filtre, le
nettoyer et le remonter avec précaution (joint
torique). 3- Dévisser le capot de pompe, nettoyer
le filtre, puis remonter. 4- Démonter lensemble
moteur / turbine, nettoyer la turbine dair et la
volute. 5- Vérifier laccouplement de pompe, le
remplacer si nécessaire. 6- Remettre en
place. 7- Retirer et nettoyer la cellule. 8-
Démonter la tête de combustion. 9- Nettoyer
laccroche flamme, les électrodes et les câbles
dallumage. 10- Remplacer le (les) gicleur (s) à
lidentique. 11- Vérifier le positionnement du
déflecteur et des électrodes en fonction des
préconisations du constructeur (notice
technique). 12- Remonter la tête de combustion
puis remettre en position la cellule. 13-
Vérifier le serrage des connexions électriques.
14- Vérifier les fixations des différents
éléments. 15- Rouvrir la (les) vanne (s) de fioul
et remettre en service linstallation. 16-
Effectuer un contrôle de combustion, reprendre
les réglages si nécessaire.
169- La maintenance des appareils fioul particuliers
tels que les poêles à caléfaction, les poêles à
pétrole ou les générateurs fioul à ventouse
consistera à effectuer - un contrôle de fonctionnement de lappareil et
des sécurités avant et après lintervention, - un entretien systématique qui permettra de
palier à lusure, au déréglage, à lencrassement
et au desserrage des éléments qui conduiront
obligatoirement à un dysfonctionnement se
traduisant par une perte de rendement, une panne
ou un fonctionnement dangereux ou polluant. - La réalisation de cette opération nécessite une
caisse à outils traditionnelle et certains outils
spécifiques de mesure ainsi que des produits de
nettoyage et des chiffons. - Les appareils récents doivent comporter une
notice technique précisant les procédures
dinstallation, de mise en service et de
maintenance des appareils.
1701- Contrôler le fonctionnement de lappareil
(mise en marche, arrêt, sécurité,
performances). 2- Arrêter lappareil et le
mettre hors tension. 3- Nettoyer les filtres et
les éléments du circuit air, du brûleur, du
foyer, du corps de chauffe et de la cheminée. 4-
Remplacer les éléments consommables. 5- Contrôler
le serrage des éléments et des connexions
électriques. 6- Remettre en service
lappareil. 7- Contrôler les performances et
reprendre, si besoin est, les réglages. 8-
Contrôler le fonctionnement des sécurités. 9-
Nettoyer lespace de travail. 10 Rédiger le
rapport dintervention.
171(No Transcript)