Etat de lArt des Problmes dEclairage inverse - PowerPoint PPT Presentation

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Etat de lArt des Problmes dEclairage inverse

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des contraintes (On ajoute la fonction objectif des fonctions p nalisantes ... Recuit simul : on ajoute au second membre une composante al atoire telle que f ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Etat de lArt des Problmes dEclairage inverse


1
Etat de lArt des Problèmes dEclairage inverse
  • POULINGEAS Patrick
  • Laboratoire MSI
  • Equipe Modélisation et Infographie Intelligente

2
La problématique
  • Les données 
  • La géométrie des éléments de la scène
  • Les propriétés des matériaux
  • Léclairage voulu pour certains éléments

Les calculs  Les positions possibles des sources
lumineusesLes propriétés possibles des sources
lumineuses
Les résultats  Les scènes obtenues avec les
sources lumineuses trouvées
3
Les contextes possibles
  • Léclairage  réaliste  dune pièce en
    architecture.
  • Léclairage dun événement (par exemple une
    exposition dans un musée)
  • Une photographie(par exemple pour une
    publicité)
  • Une recherche artistique avec des jeux de
    lumière
  • Etc.

4
Les caractéristiques des algorithmes
  • La nature de léclairage
  • - direct
  • - global
  • Le modèle physique déclairement
  • Les contraintes a priori sur les sources
    lumineuses
  • positions fixées
  • ensemble de positions possibles
  • aucune contrainte

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Les modèles dillumination
  • Le modèle de Phong
  • La radiosité
  • Le calcul de la radiance

6
Articles utilisant le modèle de Phong
  • Lights from Highlights and ShadowsP. Poulin, A.
    Fournier1992
  • Sketching Shadows and Highlights to Position
    LightsP. Poulin, K. Ratib, M. Jacques1997

7
Utilisation de zones fortement éclairées et de
volumes dombre(Poulin, Fournier. 1992)
  • Eclairage direct
  • Lumière directionnelles pour les zones fortement
    éclairées ( highlights )
  • Sources de lumières ponctuelles, linéaires ou
    polygonales en plus avec lutilisation des
    volumes dombre

8
Utilisation de zones fortement éclairées(Poulin,
Fournier. 1992)
  • On calcule les paramètres du terme spéculaire
  • La direction de la source lumineuse (avec un
    point indiquant lintensité lumineuse maximale
    sur la surface)
  • Lexposant spéculaire (avec un second point et
    une valeur de seuil donnant la limite de la zone
    spéculaire)
  • On peut ensuite introduire dautres zones
    fortement éclairées sur la même surface

9
Utilisation de volumes dombre(Poulin, Fournier.
1992)
  • Sources lumineuses directionnelles

10
Utilisation de volumes dombre(Poulin, Fournier.
1992)
  • Sources lumineuses ponctuelles Extension du
    procédé employé pour une source directionnelle

11
Utilisation de volumes dombre(Poulin, Fournier.
1992)
  • Sources lumineuses linéaires ou polygonales
  • On traite chaque sommet comme une source de
    lumière ponctuelle
  • Eventuellement décomposition de la source
    lumineuse et de lobjet O en parties convexes
  • Calcul denveloppes convexes (celles des volumes
    dombre)

12
Conclusion(Poulin, Fournier. 1992)
  • Avantages
  • La position de la source lumineuse nest pas
    fixée a priori
  • Manipulation temps réel
  • Inconvénients
  • Eclairage direct uniquement
  • Manipulation peu intuitive des volumes dombre ?
    Il serait plus agréable de travailler sur les
    ombres portées des objets

13
Esquisses dombres portées et de zones fortement
éclairées(Poulin, Ratib, Jacques. 1997)
  • Eclairage direct
  • Plusieurs formes de sources lumineuses sont
    gérées
  • Utilisation desquisses marquant le contour dune
    ombre portée ou dune zone fortement éclairée
  • Recours à un système de contraintes et un procédé
    doptimisation pour placer la source lumineuse

14
Esquisses dombres portées (Poulin, Ratib,
Jacques. 1997)
  • Cas dune source lumineuse ponctuelle

15
Esquisses dombres portées (Poulin, Ratib,
Jacques. 1997)
  • Cas dune source lumineuse ponctuelle
  • La zone où lon peut placer la source lumineuse
    est lintersection des régions admissibles
    associées à chaque point desquisse.
  • Optimisation On maximise la distance entre la
    source lumineuse et les points desquisse.

16
Exemple de résultat (Poulin, Ratib, Jacques.
1997)
17
Esquisses dombres portées (Poulin, Ratib,
Jacques. 1997)
  • Traitement des sources lumineuses étendues
    (linéaires, polygonales, polyédriques,
    sphériques, etc.)
  • Esquisses de contour de lombre
  • Esquisses de contour de la pénombre
  • Pour lombre, tous les points de la source
    doivent appartenir aux zones associées aux points
    desquisses.
  • Pour la pénombre, au moins un point de la source
    doit appartenir à chaque zone associée aux points
    desquisses.

18
Exemple de résultat (Poulin, Ratib, Jacques.
1997)
19
Esquisses de zones fortement éclairées(Poulin,
Ratib, Jacques. 1997)
  • Source lumineuse ponctuelle
  • Même technique desquisse que précédemment
  • Point desquisse ? Cône
  • On essaie que la zone fortement éclairée soit
    resserrée autour des points desquisse
  • Si lintersection des cônes est vide, on modifie
    lexposant spéculaire pour avoir une solution

20
Exemple de résultat (Poulin, Ratib, Jacques.
1997)
21
Conclusion (Poulin, Ratib, Jacques. 1997)
  • Avantages
  • Interface utilisateur assez intuitive
  • La position de la source de lumière nest pas
    fixée a priori
  • Résultats satisfaisants, bons temps de calcul
  • Inconvénients
  • Restriction à une illumination directe
  • Pas de description qualitative des objectifs
    déclairage

22
Articles utilisant la radiosité
  • Painting with LightC. Schoeneman, J. Dorsey, et
    alii1993
  • Radioptimization Goal based RenderingJ.K.
    Kawai, J.S. Painter, M.F. Cohen1993
  • An Interactive System for Solving Inverse
    Illumination Problems using Genetic AlgorithmsJ.
    Elorza, I. Rudomin1997
  • Computer Aided Lighting for Architects and
    DesignersM. Contensin, J.-L. Maltret1997

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Détermination de lémittance à partir de patches
coloriés(Schoeneman, Dorsey, et alii. 1993)
  • Position des sources lumineuses fixées a priori
  • Lutilisateur peint des patches de la scène
  • Le concepteur a une vue sur une scène contenant
    ses souhaits et une autre avec la solution
    trouvée
  • Recours à un algorithme doptimisation pour
    satisfaire les désirs du concepteur
  • Une simple illumination directe est employée pour
    faciliter linteractivité

24
Principe de lalgorithme(Schoeneman, Dorsey, et
alii. 1993)
  • Soient f1,,fn la contribution des n sources
    lumineuses. Ce peut être
  • Des images obtenues avec un lancer de rayons
  • La distribution de la radiance sur les surfaces
    de la scène, reconstruite à partir de la
    radiosité (utilisé ici)
  • Soit g la fonction correspondant à la scène
    coloriée par lutilisateur
  • On se dote dun produit scalaire et on cherche
    les coefficients ai minimisant

25
La phase doptimisation(Schoeneman, Dorsey, et
alii. 1993)
  • Avec une méthode des moindres carrés, on exprime
    le problème sous forme matricielle Mab où a
    est le vecteur des coefficients que lon
    recherche
  • On résout le système associé à léquation
    matricielle avec la méthode itérative de
    Gauss-Seidel (légèrement modifiée)
  • Pour une modification dune couleur dun des
    patches, on tient compte des valeurs déjà
    obtenues (comme valeur de départ pour
    Gauss-Seidel)

26
Exemple de solution obtenue(Schoeneman, Dorsey,
et alii. 1993)
27
Conclusion(Schoeneman, Dorsey, et alii. 1993)
  • Avantages
  • Interface utilisateur intuitive
  • Bonne interactivité grâce à une vitesse de calcul
    convenable
  • Inconvénients
  • Pas de positionnement automatique des sources de
    lumière (? conduit à un problème non linéaire)
  • Pas de spécification sous forme qualitative des
    objectifs déclairage

28
Radioptimisation(Kawai, Painter, Cohen. 1993)
  • Utilisation de la radiosité hiérarchique
  • Position des sources lumineuses fixées a priori
  • Possibilité partielle de décrire qualitativement
    l ambiance d une scène
  • Introduction possible de spots
  • Utilisation d un algorithme d optimisation de
    type quasi-Newton

29
L interface utilisateur(Kawai, Painter, Cohen.
1993)
  • Après un rendu de la scène, le concepteur peut
    spécifier
  • Des contraintes sur les radiosités de certains
    patches
  • Les variables du problème d optimisation
  • l émissivité de certains patches
  • la réflectivité de certains patches
  • les paramètres des spots (direction et exposant)
  • Les poids des fonctions de base composant la
    fonction objectif à optimiser

30
Les contraintes(Kawai, Painter, Cohen. 1993)
  • Les contraintes physiques traduisant le système
    d équations de la radiosité
  • Les contraintes spécifiées par l utilisateur et
    portant sur les radiosités de certains patches
  • Les contraintes jouant un rôle de  barrières 
    et garantissant la validité physique (Ex 0 ? ?
    ? 1)

31
La fonction objectif(Kawai, Painter, Cohen. 1993)
  • C est une combinaison linéaire des fonctions de
    base, correspondant respectivement à
  • l énergie totale de la scène
  • la brillance de la pièce, liée à des paramètres
    physiques
  • une impression de  clarté , ou d intimité ,
    ou à  un aspect agréable  pour l utilisateur
    (Elles sont issues de tests psycho-visuels)
  • des contraintes (On ajoute à la fonction objectif
    des fonctions pénalisantes pour avoir un problème
    d optimisation sans contraintes)

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La fonction objectif(Kawai, Painter, Cohen. 1993)
  • Fonction objectif

Termes physiques
Termes basés sur une perception subjective
33
Méthode doptimisation BFGS(Kawai, Painter,
Cohen. 1993)
  • Méthode de Newton Méthode de descente avec
    comme direction -?2f(x)-1?f(x) où ? est le
    gradient et ?2 le hessien de f
  • Méthode quasi-Newton
  • On approxime le hessien (qui est difficile et
    coûteux à calculer)
  • Exemple la méthode BFGS (Broyden-Fletcher-Goldfa
    rb-Shanno)

34
Conclusion(Kawai, Painter, Cohen. 1993)
  • Avantages
  • Description qualitative des objectifs
  • Temps de calcul
  • Défauts
  • Possibilité de spécification de l ambiance très
    limitée
  • Entrée de la fonction objectif peu intuitive
  • Nécessité de rajouter des contraintes pour éviter
    des minima locaux sans intérêt pour le concepteur

35
Utilisation dun algorithme génétique(Elorza,
Rudomin.1997)
  • Même approche que Schoeneman, Dorsey, et alii
    On colorie des patches de la scène.
  • Utilisation de la radiosité hiérarchique
  • Détermination du nombre, de la position et de
    lémittance des sources lumineuses avec un
    algorithme génétique

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Algorithme génétique(Elorza, Rudomin.1997)
  • Individu chaîne binaire représentant le nombre
    de lumières, et pour chacune delles, leur
    émittance et leur position
  • Importance dun individu erreur RMS entre la
    scène coloriée par le concepteur et celle qui
    serait produite avec les paramètres de lindividu

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Exemple de résultat(Elorza, Rudomin.1997)
38
Conclusion(Elorza, Rudomin.1997)
  • Trop peu de détails sur lalgorithme génétique
  • Scènes testées de taille modeste
  • Temps de calcul élevés
  • Résultats peu convaincants

39
Pseudo-inversion par décomposition en valeurs
singulières(Contensin, Maltret. 1997)
  • Illumination globale prise en compte
    effectivement
  • Un ensemble de patches potentiellement émetteurs
    fixé a priori
  • Technique dalgèbre linéaire et danalyse
    numérique (pas un processus doptimisation)

40
Principes de lalgorithme(Contensin, Maltret.
1997)
  • On a 3 types de patches
  • N1 patches avec une émittance éventuellement non
    nulle (des sources de lumière potentielles)
  • N2 patches avec une émittance nulle dont la
    radiosité sera calculée en fonction des
    contraintes
  • N3 patches avec une émittance nulle et une
    radiosité fixée (Ce sont donc les contraintes)
  • On exprime les équations de radiosité sous forme
    matricielle et on effectue une pseudo-inversion
    par décomposition en valeurs singulières

41
Décomposition par valeurs singulières
(Contensin, Maltret. 1997)
  • La matrice A est décomposée en 3 matrices
  • A U S V
  • U et V sont des matrices orthogonales et S une
  • matrice diagonale.
  • Les valeurs sur la diagonale de S sont appelées
  • valeurs singulières

42
Exemple de résultat(Contensin, Maltret. 1997)
43
Conclusion(Contensin, Maltret. 1997)
  • Avantage
  • Méthode mathématique sûre
  • Inconvénients
  • Scènes de taille modeste (Lexemple contenait 228
    patches)
  • Temps de calcul élevés
  • Pas dinterface utilisateur développée

44
Articles utilisant une évaluation de la radiance
  • Optimisation and Lighting DesignA.C. Costa, A.A
    Sousa, F.N. Ferreira1999
  • Lighting Design a Goal based Approach using
    OptimisationA.C. Costa, A.A Sousa, F.N.
    Ferreira1999

45
Evaluation de la radiance(Costa, Sousa,
Ferreira. 1999)
  • Unités fonctionnelles de lapplication
  • Analyseur de scripts, scripts écrits par le
    designer et modélisant la fonction objectif
  • Radiance (Ward) pour le calcul de la radiance
  • ASA un paquetage implémentant un algorithme de
    recuit simulé

46
Hypothèses pour la validité de la méthode(Costa,
Sousa, Ferreira. 1999)
  • Milieu non participant
  • BSDF symétrique ? permet la réversibilité des
    calculs

47
Les différents types de sources
lumineuses(Costa, Sousa, Ferreira. 1999)
  • PL (Previous Luminaire) sources déjà présentes
    dans la scène
  • IL (Inverse Luminaire) sources fictives servant
    à modéliser les souhaits du concepteur
  • DL (Desired Luminaire) sources qui vont
    produire léclairage voulu

48
Principes de lalgorithme(Costa, Sousa,
Ferreira. 1999)
  • Lutilisateur spécifie ses souhaits avec un
    script
  • On évalue préalablement linfluence des PL sur
    les IL
  • Les IL propagent de lénergie lumineuse dans la
    scène
  • Calcul de la radiance en un point et selon une
    direction donnée
  • Phase doptimisation Recuit simulé

49
Recuit Simulé(Costa, Sousa, Ferreira. 1999)
  • Minimiser une fonction f non convexe sur Rn
  • Descente suivant le gradient de f xn1 xn
    rn?f (xn) rn pas, dépendant de lalgorithme
  • Inconvénient on peut aboutir à un minimum local
  • Recuit simulé on ajoute au second membre une
    composante aléatoire telle que f(xn1) gt f(xn)
    avec une probabilité pn ? 0 quand n ? ?
  • On donne au point xn la possibilité dexplorer
    tout lespace avant de se mettre à descendre vers
    un min

50
Exemple de script(Costa, Sousa, Ferreira. 1999)
  • (x1,x2,x3) position de la DL (x4,x5)
    direction du spot (de la DL)
  • V Vector(FaceCenter,(x1,x2,x3)) Face désigne
    le visage de la personne
  • If Angle(FacePerp,V) lt Vthreshold
    and Angle(FacePerp,Dir(-x4,-x5)) lt Athreshold
    return FAILURE
  • WIL1/DL1 Importance(SCENEIL1,x1,x2,x3,x4,x5)
  • WIL2/DL1 Importance(SCENEIL2,x1,x2,x3,x4,x5)
  • Return (K1 WIL1/DL1 K2 WIL2/DL1)

51
Exemples de solutions(Costa, Sousa, Ferreira.
1999)
52
Exemples de solutions(Costa, Sousa, Ferreira.
1999)
53
Conclusion(Costa, Sousa, Ferreira. 1999)
  • Avantages
  • Prise en compte de beaucoup de types de
    contraintes différentes (orientation, alignement
    des sources, etc.)
  • Modèle dillumination évolué
  • Inconvénients
  • Script complexe que le concepteur doit programmer
  • Temps de calcul élevés

54
Conclusion
  • Bonne interface utilisateur ? Peu de paramètres
    intervenant pour les sources lumineuses
  • Beaucoup de paramètres pour les sources
    lumineuses ? Interface peu intuitive
  • Beaucoup de techniques doptimisation
  • Un seul article prend en compte une description
    qualitative (partielle) de léclairage
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